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Une heure plus tard, ils étaient de retour dans le canapé et face au feu, que Jaco ranima in extremis. Cette fois, ils parlèrent, Miky étendu sur eux se laissant caresser et aller aux confidences.
- C'est fou que j'aime me faire démonter comme ça, quand même, non ?
- Pourquoi fou ? attends, ça nous convient très bien, je crois, non ? Toni ?
- Moi je dirais pas fou, idéal plutôt, confirma-t-il en riant.
- J'aime tellement vos bites, et quand vous me baisez comme ça, à deux, bien fort...
- On a adoré ton ptit show, bébé, et tu t'es bien occupé de nous.
- T'es parfait, Miky, t'es vraiment une perle pour les hommes.
- J'aime trop quand vous vous embrassez...
- Comme ça ? dit Jaco en attirant la tête de son frère.
Miky les regarda et se redressa pour les rejoindre dans leur baiser, assis sur deux de leurs cuisses. Il palpa les slips, qui se tendaient.
- Au fait, c'est pas le nouveau lit qu'on devait inaugurer ?
- T'as pas cru que c'était fini quand même ?, répondit Jaco plein de malice.
- Moi mes 22/7 sont en pleine forme.
- Pareil ! et toi t'es partant pour la suite ?
Alors Miky, pour les provoquer encore, leva un peu le cul et passa une main : il se cala deux doigts sans peine, et fixa ses mâles plein de défi : " vérifiez vous-mêmes... ". Deux grosses paluches s'avancèrent : Miky libéra ses doigts, écartant ses fesses, et Toni et Jaco, chacun à une oreille de leur amant, enfoncèrent deux doigts en douceur.
- Hmmmm, tu réclames, on dirait, chuchota Toni
- C'est ça bébé ? tu veux encore de la bonne grosse bite ?
- Oui... ouiii, dit Miky au rythme des deux fois deux doigts qui entraient et sortaient deux phalanges
- Bien te faire défoncer... ?
- Qu'on te fasse gueuler ?...
Les mâles sortaient leurs doigts pour les faire sucer à Miky qui décollait grave, et le redoigter plus vite, continuant leurs questions :
- Hein, deux males pour te viander la rondelle ?
- T'arroser la glotte ?
- Etre un bon vide-couilles pour papa et tonton ?
- Hmmm, ouiii, ouiii
- Hmmmm, bébé, t'es vraiment une bonne salope...
Sur ce, Jaco donna une tape sur les fesses de Miky et déclara simplement : " bon je vais remettre une bûche, et toi tu vas t'en prendre deux ; Toni, mets-toi au chaud, et on monte. " Jaco s'occupa donc du feu, et Toni ramena Miky sur son entrejambe, baissa son slip et assit Miky sur sa queue d'un coup. Il se leva en le tenant par les reins, tandis que Miky le prenait dans ses bras.
Dans la chambre, pendant une bonne demi-heure, les préliminaires prirent toutes les formes, mais les deux mâles veillaient surtout à faire gémir Miky le plus possible. Leurs quatre mains et leurs deux langues firent des merveilles absolument partout sur le corps du jeune homme, le menant aux portes de l'extase sans jamais les lui faire franchir : ah ! il les avait bien chauffés en bas ! il allait voir ! et il allait supplier pour se faire mettre bien comme il faut. Et dans la tête de Jaco une idée commençait à germer : le prendre en double avec son frère. Il savait que Miky avait déjà pratiqué quand il habitait avec Pedro, Samuel, et que Thierry passait ; mais jamais ils ne l'avaient fait ensemble, et Toni serait le partenaire idéal. Bien sûr, se prendre les deux 22/7 n'allait pas être simple... mais en même temps ils l'avaient déjà bien élargi. Jaco commença par l'enculer pendant qu'il léchait les boules, le périnée et le trou de son frère. Il allait lentement et veillait à donner des mouvements circulaires du bassin qui faisaient déjà bien plaisir à Miky. Il posa son index et son majeur sur sa large bite, et quand il s'enfonça ainsi lentement, Miky se redressa en poussant un long " ahhhhh ", pas de douleur... Toni se redressa aussi, sentant une nouveauté : il plaqua la tête de Miky sur un de ses tétons, et admira par au-dessus le travail du cul que Jaco lui imposait. Miky lui caressait la bite et les boules en léchant l'aréole, se laissant dilater lentement en prenant un pied d'enfer. Jaco était hyper concentré sur le spectacle troublant de ce mini-cul parcouru par son gourdin et ses doigts et sur la tension qu'il sentait dans la rondelle. Il accéléra, toujours en profondeur et en tournant aussi : son ptit s'ouvrait, se donnait, il le sentait ; il dégagea ses doigts et en passa trois sous sa bite, et l'encula de nouveau, lentement. " Hmmm, ouais, putain ! vas-y, bébé, ouvre ! ". Il ne tarda pas à accélérer. Toni, fasciné, se pencha pour écarter les fesses autant que possible, et tandis que Miky, les reins en angle droit, lui suçait toujours le téton, il regardait avec un sourire bienheureux son frère travaillant comme un pro : il avait compris le projet ! Miky ne souffrait pas, au contraire, un téton à sucer, une main pleine des grosses couilles de Toni et l'autre autour de sa trique énorme, et énorme était ce qui lui dilatait le cul ; ça faisait longtemps. Jaco accéléra et Miky cria son plaisir et l'encouragea. Et quand Jaco lui demanda s'il voulait les deux, il gueula encore plus ses " ouiii ! " répétés.
Alors Jaco ordonna : " Prends la bite de Toni ", et Miky s'empala sur le gourdin jusqu'aux couilles, et Jaco, le plaquant vers l'avant vint se placer derrière lui et poussa son gland dans la rondelle, aussi tendre que glissante. Toni ne quitta plus le visage de Miky, tendu et concentré, Jaco lui fixait l'invasion lente de sa poutre dans le mini-cul ; Miky feula, et cria à chaque poussée de quelques centimètres, dilaté jusqu'à la rupture, rempli comme jamais. Quand Jaco fut enfoncé jusqu'aux couilles et fit son premier mouvement, Miky sombra dans un délire à moitié conscient, tenu à quatre mains aux hanches et écartelé par deux gourdins, et il ne se rendit même pas compte qu'il giclait sur le ventre de Toni. Mais celui-ci le sentit et enflammé par le visage extatique du jeune amant doublement fourré entama des mouvements de bassin au rythme de son frère : les jumeaux entamèrent en démontage en règle de ce cul offert, et leurs grognements et leurs insultes couvraient les gémissements de femelle de Miky. Jaco se donna comme une bête. Les frangins se régalaient de toutes les sensations, serrés et moulés au mieux, frottés par leurs propres bites, excités par les cris, et par la vision des visages pour Toni (brute en rut de son frère, petite femelle déboîtée pour Miky), celle de sa grosse queue déchaînée dans le trou explosé pour Jaco. Miky ne voyait plus grand-chose : la tête relevée par la main de jaco qui lui tenait les boucles, et les yeux révulsés, il fixait la tête de lit et ne se sentait plus qu'une rondelle tendue à mort et fourrée avec puissance. Mais il sentit bientôt monter en lui un plaisir furieux sous les doubles coups, comme si son cul finalement allait pouvoir s'ouvrir encore plus ; ses parois étaient tellement ramonées qu'il partit dans un cri suraigu et interminable jusqu'à un silence qui fit tout comprendre aux jumeaux : ils y allèrent de plus belle quelques secondes et Miky jouit du cul en s'écroulant, tandis que Jaco se finissait comme un cinglé. Il hurla de bonheur en jutant le plus brûlant des jus, et Toni sentant la chaleur se répandre et baigner sa propre queue d'acier frotta frénétiquement son chibre et explosa aussi dans le cul de Miky, en beuglant à la mort. Les spasmes durèrent bien deux minutes et Miky en était tout secoué. Et il fallut encore du temps pour que les trois amants récupèrent, encore emboîtés, de cette transe. Puis Jaco sortit délicatement sa poutre et Toni remonta Miky pour faire sortir la sienne : jamais le trou de Miky n'avait été si ouvert, rougeoyant, lissé. Jaco, voyant les deux grosses bites luisantes, s'étonna de ce que son ptit venait de se prendre. Du sperme en coulées s'échappa de son cul. Jaco se déplaça et vint sur l'oreiller à droite sonner sa queue à Miky qui se jeta dessus tout en sentant sa rondelle palpiter encore. Toni vit en gros plan Miky engouffrer le pieu couvert de mouille et de foutre : " Oui, bébé, vas-y, mange ! " lui soufflait Jaco, et quand la bite fut impeccable, Toni réclama pour la sienne - mais il fallut aider Miky à bouger : il était complètement cassé ! Quand Toni fut adossé et la bite léchée, Jaco lui choppa les lèvres et ils se roulèrent un patin d'enfer.
Après avoir pris si cher, Miky dut demander à Jaco de le porter à la douche. Les trois hommes s'engouffrèrent comme ils purent dans la baignoire, où ils passèrent autant de temps à s'embrasser qu'à se rincer. Miky nota que les jumeaux se titillaient probablement le cul... mais, occupé à se vider, en longs pets mouillés qui firent rire tout le monde, il ne s'agenouilla pas pour voir ça de près. Ses jambes tremblaient presque, et contrairement à leur habitude, il ne put débriefer tout de suite sur l'assaut qu'il avait subi : les trois regagnèrent le lit, bien baptisé, et Miky s'endormit comme une souche entre eux deux qui le caressaient. Enfin ils éteignirent.
Mais la nuit n'était pas finie. Dans le noir, plus tard, Miky fut réveillé par des sensations électriques : on lui léchait le cul, et avec un appétit bientôt bruyant. A la voix (" putain, on t'a bien élargi ! "), il reconnut Jaco, mais ensuite, aux gémissements de Jaco, Miky comprit que Toni lui léchait le sien : les trois étaient à 4 pattes. Pendant un long moment, dans le noir, culs et bites passèrent de bouche en bouche, et les bruits de langue, de succions, les gémissements emplirent la chambre. Miky était manipulé par il ne savait pas toujours qui, pour être dans telle ou telle position avant de sentir un gros gland sur ses lèvres ou une raie bien ouverte. Et l'excitation monta jusqu'à ce qu'il se retrouve de nouveau empalé : Jaco s'était mis sur le dos et avait installé son ptit sur sa queue en pleine forme. " On r'met ça, hein ? tu veux, hein, bébé... " et Toni enfonça lentement son pieu, et ce fut reparti pour une nouvelle double sodo. A Toni maintenant de défoncer ce ptit cul par-dessus, pendant que Jaco, tout soufflant, mangeait les cris de Miky à ses lèvres, lui suçant la langue et réglant ses rythmes du bassin sur les perforations de son frère. Les jumeaux ne s'arrêtèrent pas avant d'avoir donné à Miky un deuxième orgasme du cul, que celui-ci réclama d'ailleurs assez vite, les encourageant par ses " ouiii ! " entre deux râles, et ses supplications grossières : " pétez-moi le cul ! vas-y ! bourre ! ", et les deux mâles se repaissaient de l'entendre ainsi déchaîné. Ils sentirent même à ses mouvements et à son ouverture qu'il cherchait un vrai larvage et il ne fut pas déçu : au bout d'un moment les deux frères n'en pouvaient plus de se ralentir pour le faire supplier, et Toni lança une cadence diabolique, puissante, il n'était plus sur les genoux mais en appui sur ses chevilles et trouvait encore plus d'élan pour le perforer. Ce fut un supplice de plaisir pour Miky, mais pour Jaco aussi, fortement branlé par la queue de son frère qui martelait de " tiens, salope ! " ses coups de reins, et Miky enfin atteignit un orgasme fulgurant, qui autorisa les jumeaux à se finir en lui de nouveau. Toni finit par déverser son foutre avec un soulagement inouï, et bien sonore... Ses mouvements, ses palpitations entraînèrent la jouissance de Jaco, ses mains écrasant celles de Miky qui ouvraient ses fesses. Cette fois, les trois étaient hachés : Toni s'effondra sur le côté pour reprendre son souffle, répétant " oh ! putain... oh ! putain... " ; Jaco soufflait tellement qu'il décoiffait les boucles, celles qui n'étaient pas collées de sueur, de Miky, lequel était comme mort : seuls ces souffles, et les spasmes de sa rondelle qui ne s'arrêtaient plus, parvenaient encore à son cerveau. D'ailleurs il ne se désemboîta pas, et c'est plus tard, dans un demi-sommeil réciproque, que les deux amants se dégagèrent. Le cul de Miky continua de couler, mais il dormait déjà, comme les deux mâles.
mike
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