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Toni fut réveillé par Jaco qui chuchotait son nom : il était 10h15 déjà. Tout engourdi, Toni se tourna pour voir son frère, allongé de côté vers lui, et qui lui fit signe de regarder au milieu du lit : de côté aussi, Miky à hauteur de bite, était en train de téter son gland en dormant. Jaco avait un grand sourire amusé, et Toni s'assit pour mieux voir de dessus : oui, les 22/7 étaient pleinement développés, et seul le gros gland disparaissait dans la bouche de Miky, dont les lèvres épousaient la forme, et il tétait, endormi, avec quelques soupirs et quelques " hmmm " de temps en temps. Les jumeaux discutèrent à voix très basse en admirant le spectacle, qui avait fait bander illico Toni.
- Il m'a réveillé comme ça y a 5mn.
- On dirait un bébé avec une grosse tétine !
- Oui, c'est ça... et attends tu vas voir, il pousse des ptits cris comme un chiot qui rêve.
- Putain, c'est dingue !
- Et c'est super bon, tu sentirais sa langue sous mon gland !...
- Et si tu jutes, il va pas se réveiller ?
- Je crois pas, c'est déjà arrivé : il tète, je jute et il tète mon jus et se rendort.
A ce moment-là, Miky poussa des gémissements plus étouffés sans interrompre sa tétée. Il rêvait, oui. Il rêvait qu'il était entouré de mecs qui se branlaient et venaient donner leur gland au moment de décharger, Miky se gavant de sperme pendant des heures : des dizaines de mecs réunis chez Paul dans l'arrière-boutique, et Miky, les yeux bandés pour pas voir les plus déplaisants, bouffait leur foutre, à genoux sur une confortable estrade rembourrée ; et les mecs passaient debout, et il sentait qu'il se faisait lécher le cul et même pénétrer par une langue. Il ronronnait en dégustant tout ce sperme, se régalait et se léchait les babines, et remerciait chaque gland qui quittait sa bouche d'avoir bien déchargé.
Toni se branlait doucement. " Putain, j'vais v'nir !! " dit Jaco, et Toni regarda le beau visage crispé de son frère puis la bite qui gonfla à chaque giclée, et aussitôt Miky téta de manière plus sonore, comme s'il savourait un festin, et sa gorge s'agitait au rythme des décharges qui remontaient des couilles. " ah..., s'exclama Jaco en basculant la tête, ce pied, putain !... ", puis revenant aux chuchotements, il caressa la tête de Miky : " Prends bien tout, bébé, làààà, lààà... tu veux le gros bibi de Toni maintenant ? ". Mais on ne pouvait savoir si les " hmmmm " de plaisir de Miky étaient une réponse. " Viens, tu vas lui donner dès que j' me retire ", dit Jaco. Toni se plaça dos à son frère, qui sortit son gland des lèvres téteuses, et aussitôt Toni avança sa bite : la bouche n'avait été inoccupée que deux secondes, et elle reprit sa tâche sur le gland de Toni, sans que Miky ne se réveille. " Il lui faut plus de protéines pour se remettre de cette nuit ", commenta Jaco en souriant. Toni lui fit un clin d'oeil et savoura cette tétée matinale tandis que Jaco descendait à la cuisine. Toni était envahi aussi par une tendresse toute paternelle : après l'avoir démonté comme une pute dans la nuit, il allait bien le nourrir en douceur, et de fait, tété et léché sur le frein, il laissa son sperme monter par saccades, lui arrachant un soupir de bonheur à chaque giclée, et Miky répondit comme en écho en tétant voracement son foutre. Une fois vidé jusqu'à la dernière goutte, Toni abandonna sa bouche, craignant de le réveiller, mais non : Miky, repu comme dans son rêve, continua de dormir.
Quand Toni arriva dans la cuisine, le café était prêt, son frère l'accueillit avec un grand sourire, en slip, assis et coupant du pain. Ils ne parlèrent pas tout d'abord, mais s'embrassèrent sur les lèvres, et Toni s'assit, servi par son frère.
- Putain, Jaco... cette nuit !...
- Je crois qu'on sait ce qu'on va faire le samedi soir maintenant !
- Quel pied, bordel !
- M'en parle pas, j'y repense et je bande !
- Tu m'étonnes !
Et les deux frères se matèrent l'entrejambe, déjà tendue.
- Il est incroyable ! nan mais sérieux...
- Oui, c'est mon bébé et ma ptite salope. Je l'adore.
- Ben moi aussi, tu sais...
- Qu'est-ce qu'on lui a mis, purée !
- Et il encaisse, et il réclame !... putain, ta bite sur la mienne... terrible !
- Et on s'est bien bouffé le cul, hein frangin ?
- Ah, on s'est pas privés !
Et ils débriefèrent un moment, de leurs bites, en toute modestie superbes, et des talents de Miky, de quelque trou qu'il s'agisse. Justement, le petit prodige descendit - avec peine. Dès qu'il fut sorti du lit, il se sentit bien faible, et comme encore écarté des fesses. Il avait passé ses doigts sur sa rosette, toute boursouflée. Il s'était rassis, et les images et les sensations se bousculaient, de cette baise terrible. Il bandait dur ! C'est dans cet état (ah ! les premières marches de l'escalier !) qu'il rejoignit ses mâles, qui lui adressèrent de grands sourires, et, au bord de se moquer de sa démarche hésitante, ils finirent par regarder avec tendresse ce corps qui avait si bien enduré leur ramonage. Il embrassa Jaco avec un " Bonjour Papa ", puis se tourna vers Toni, s'assit sur ses genoux et l'embrassa, avant de le fixer pour lui dire " Bonjour Tonton ". Emu, Toni l'embrassa de nouveau et le serra fort contre lui, le temps que Jaco lui verse du café.
- Pas trop dur, bébé ?
- Euh... je crois que j'ai bien ramassé, dit Miky en riant. Je suis crevé !
- T'as assuré ! répondit Toni. Un as, un pro, une perle !
- Quelle baise ! reprit Miky, j'ai joui du cul deux fois, c'était dingue !
- Tu les aimes, nos deux bites hein ? demanda Jaco
- Je les adore ! et les deux ensemble, c'est pas descriptible !
Le petit déj se poursuivit, chacun complimentant l'autre, dans une ambiance de parfait paradis. Et les jumeaux tout en discutant en venaient à admirer ce corps frêle et tellement résistant à la fois, dans son mini slip taille 34 blanc, le visage chiffonné, et, les traits creusés, leur amant mangeait avec appétit.
- Tu sais que tu nous as tétés en dormant ?
- Nan !
- J'te jure, dit Jaco. Ce matin, je me suis réveillé avec une grosse demi-molle et mon gland dans ta bouche, et tu suçais en dormant.
- Et quand Jaco a juté, tu m'as fait pareil.
- Ah ben j'avais faim, éclata de rire Miky, normal, non ?
Et les trois rirent ensemble. Mais Miky ne put finir de déjeuner sans que ses mâles s'occupent de le faire jouir à son tour : assis sur Toni, dos contre son torse, il fut branlé et embrassé par Jaco pendant que son frère lui caressait les tétons, et il gémit encore comme une petite femelle sous ces attentions. Quand Jaco le sentit partir, il engouffra sa queue et reçut tout son sperme, qu'il lui rendit dans un profond baiser. Miky se gava de salive et de jus, et sentit le braquemart de Toni sous ses fesses. Il caressa la bite de Jaco qui distendait son slip.
- Tu ne vas pas voir Paul ? demanda Jaco.
- Ah si, et il est pas loin d'11h.
- Sinon, j'ai de quoi déjà..., dit-il en posant la main sur celle de Miky.
- Au retour, papa, sourit Miky en se levant, et se tournant vers Toni : toi aussi, tonton.
Il fila à l'étage constater qu'il était quand même présentable, même s'il lui tardait la douche, se lava les dents et enfila la tenue de sport décontractée. Un quart d'heure plus tard, il avait la bite de Monsieur Paul en bouche. " J'ai eu peur que tu viennes pas ", lui avait dit celui-ci en baissant sa braguette. C'est avec soulagement qu'il se vida les couilles dans cette si bonne bouche, et Miky se régala comme à son habitude, sauf qu'il avait eu un peu mal au cul en s'asseyant... Et 10mn plus tard, c'est le gland de Kamel que Miky léchait avec appétit : il mouillait beaucoup ! " je déborde depuis une heure ; je vais te noyer ! ". Et en effet, Miky reçut la maxi dose de jus, après avoir été intensément limé. " Ah ! putain, ça fait du bien ! j'avais les couilles en feu ! ". Doublement nourri encore, Miky se leva (aïe !), prit les viennoiseries, et rentra, après l'habituel " à dimanche ! " de monsieur Paul.
Toni se douchait, Jaco était à la cuisine et rangeait, toujours en slip, et toujours bandé.
- C'était bon ? demanda-t-il en dégainant son gourdin, jambes écartées.
- Oui ! et Kamel était rudement plein, répondit Miky en se mettant à genoux.
- C'est bien, je vais compléter ; lèche-moi les couilles, ajouta-t-il en commençant à se branler.
Miky baissa le slip aux genoux et s'attaqua aux boules prodigieuses, gobant et léchant avec amour les divines productrices. Jaco marmonnait en astiquant furieusement son barreau et en se titillant le téton. Il fit glisser son slip, et posa un pied sur une chaise : Miky comprit et passa plus en dessous pour lui lécher le cul. " Ouais... ouais... bouffe-moi le cul, putain ! hmmmm ! " Miky se délecta de ce trou de mâle adoré et sentit jouir rapidement son homme : il reposa le pied, lui ordonna " ouvre ta bouche ! " et il finit sa branlette : Miky reçut gueule ouverte 5 beaux jets épais et quand Jaco en feulant posa son gland sur sa langue, il sut qu'il pouvait refermer les lèvres, avaler la dose et tirer les dernières gouttes. Ils se regardaient dans les yeux, c'était toujours aussi fort, malgré la fréquence de ce genre de vidange.
- Là aussi c'était bon ?, demanda Jaco en faisant remonter son ptit.
- Tout est bon chez toi, ton jus, ta queue, ton cul, tout, j'adore !
Ils s'embrassèrent, et Jaco monta faire accélérer Toni : il ne devait plus tarder pour aller voir ses filles chez son ex- femme. Miky rebut un café, disposa les viennoiseries et monta. Il croisa Toni, habillé, et ils se roulèrent un gros patin. Miky sentait qu'il bandait sous le jean. " J'aurai mon tour, occupe-toi de mon fiston ", lui dit Toni avec un clin d'oeil ; et il descendit préparer le repas du midi.
mike
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