Premier épisode | Épisode précédent
Miky ne savait pas à quelle heure Gabin était rentré, mais il était tard quand même. Il se glissa sur lui, endormi sur le ventre, le haut du dos dégagé, et commença à le masser doucement. Comme à chaque fois, Gabin ne put articuler grand-chose, mais apprécia visiblement. Et quand Miky arrêta et bascula, Gabin se tourna et dégagea les draps sur sa belle bite bien raide. Miky se chargea aussitôt de la lécher en longueur, et Gabin releva les cuisses pour donner son cul. Miky le dégusta amoureusement. " Oh oui, lèche-moi bien le cul... hmmm ". Gabin offrait sa rosette à pleines mains écartant ses fesses magnifiques et Miky adorait ce petit trou rose tout lisse, il suçait autant qu'il pointait sa langue et tirait de petits gémissements au jeune homme. Au bout de 10mn, Gabin empoigna sa bite et se branla, encourageant Miky à continuer pendant qu'il se " remplissait ", puis il rabattit les jambes, tendit sa bite et Miky goba le gland. Gabin alors lima la bouche à coups de reins et se répandit abondamment, contracté de partout et gueulant le moins fort possible. Une fois la source de lait tarie, Miky s'allongea à ses côtés, tout tendre, et Gabin le remercia d'une caresse.
- Ah, tu lèches trop bien le cul !... je kiffe !
- Et hier ? c'était bien ?
- Tu parles, naze ! y avait que des thons... j'ai travaillé une nana 4h pour qu'elle me suce aux chiottes, tout ça pour qu'elle avale pas finalement, et j'ai même pas pu juter sur ses seins !
- Oh mon pauvre, s'amusa Miky
- Dis donc, te moque pas, hein ! Bon c'est quelle heure ?
- 11h et demie passée.
- Ok ok. Et c'était bon cette petite pipe ?
- Toujours un régal, dit Miky, pensant que c'étaient les mêmes mots que Jaco un peu plus tôt.
- Et vous avez baisé toute la nuit j'imagine, vous...
- Euh... ouais, on peut dire que c'était chaud !...
- Pffffffff, chuis dég'.
- Allez, on traîne pas, Jaco va partir et toi je te rappelle que tu vas chez ta mère.
- Ouais, ouais, on sait, on sait... tu l'aimes mon cul ?
- Mais oui je l'adore ! allez, bouge...
Gabin descendit, et Miky put enfin aller aux toilettes, où il dégusta sévère... et à la douche où quelques doigtés lui confirmèrent ses craintes : il avait été bien défoncé ! Comme cela déclencha de nouvelles sensations au rappel de la nuit, il dut se branler à force de s'effleurer la rondelle. Il refit le lit, sur lequel il constata l'ampleur des taches, puis descendit : Gabin était à la douche, Toni était occupé à finir de préparer le repas, une bière sur le plan de travail, la table mise.
- Pour un dimanche, tu chômes pas, toi, dit Toni en prenant Miky dans ses bras.
- Je suis un peu crevé, mais c'est bon quand même...
- On reste tous les deux tranquilles cet aprem, on va se reposer. Moi aussi je suis un peu crevé ; tu nous as vidés !
- Ah, je vous ai forcés ? demanda Miky, mutin.
- Oh que non, poulet... tu es parfait.
Et ils s'embrassèrent. Gabin descendit peu après, et tout était au point pour passer à table. Toni revint sur la soirée de son fils, qui raconta en gros, en soulignant à quel point c'était raté, et Toni ne manqua pas de rajouter avec un sourire : " ah, pas nous... ". Gabin se mit à imaginer tout ce qui avait pu se passer, et banda tout le temps du repas ; d'autant qu'il savait que Miky et Toni allaient peut-être baiser tout l'aprem après son départ. Il fit du pied à Miky et désigna des yeux sa queue, qui tendait son pantalon ; et il frotta sa langue contre sa joue. Mais les deux jeunes hallucinèrent quand Toni se leva pour débarrasser, avec une gaule énorme lui aussi, le jean déformé au-dessus de la cuisse. Il avait le même sourire serein. Gabin ne tenait plus : c'est sûr, Miky allait s'en prendre une bonne, et pas qu'une fois !
- Tu vas rentrer à quelle heure ?
- Elle m'a dit jusqu'à l'heure du repas.
- Ok, on remangera à trois alors ; Jaco rentre vers 21h.
Toni et Miky avaient prévu une bonne sieste avant tout. Et Miky eut envie d'un bain pour se détendre, après la précipitation de la matinée. Gabin monta avec lui pour se faire pomper pendant que le bain coulait : Miky était assis sur le bord de la baignoire, et Gabin, sortant sa queue bien gorgée, lui expliqua qu'il fallait absolument qu'il se soulage, trop excité par ce qu'il pensait de l'après-midi entre son père et lui. Miky ne se fit pas prier, et Gabin dégorgea une seconde fois, aussi copieusement qu'au réveil. Puis Miky prit son bain, Gabin partit chez sa mère, et Toni rangea la cuisine. Miky profita bien de l'eau bien chaude, mais il eut quand même du mal à se laver le cul en profondeur : pourquoi le faisait-il d'ailleurs ? eh bien c'était clair dans sa tête, il n'envisageait pas qu'il ne se passe rien, avec plusieurs heures en compagnie de Toni ; il lui devait au moins une pipe, et qui sait... Pourtant il se doutait que s'il se faisait embrocher, il allait souffrir. Son trou était encore boursouflé, mais il mouillait vite... Bref, quand Miky sortit et gagna la chambre, Toni somnolait à moitié, dans le lit. Miky le rejoignit, et les deux s'endormirent après un baiser, Miky bien blotti dans les bras puissants
Quand Miky se réveilla, étonné d'avoir sombré si vite, Toni dormait encore, et il l'observa. Si beau, comme Jaco, forcément. Visage carré bien viril, pomme d'Adam, poils, pecs découverts, tétons appétissants. Miky ne put résister, et se mit à en sucer un. Toni soupira et sa main vint caresser les cheveux de Miky, encouragé par le durcissement du téton. Du coin de l'oeil il vit aussi le drap se dresser lentement au-dessus de la bite du mâle. Toni s'excita sous les succions de son téton, dégagea le drap et poussa le tête de Miky vers son sexe : une magnifique poutre prête à baiser encore. Miky la voulut entière dans sa gorge et s'installa à califourchon sur le mâle, lui présentant sans vraiment y penser son cul. Toni aussitôt lui lécha le trou meurtri, ce qui fit gémir de soulagement Miky, qui engouffra la queue aux deux-tiers. Les gémissements de part et d'autre ne s'arrêtèrent plus, Toni lapant avec application la rondelle qui lui avait donné tant de plaisir la nuit passée, Miky se limant la gorge de plus en plus profond, et puis le gland passa les amygdales : " HHmmm ! Mikyyy ! " s'exclama Toni avant de lui replanter sa langue épaisse. Chacun voulut rivaliser. Mais Miky, en vrai pro, et la gorge maintenant habituée à cette ouverture, prenait le gourdin jusqu'aux couilles et le branlait avec ses amygdales, à répétition, tant que son souffle le lui permettait, et il tenait Toni sous les fesses. Il bavait et salivait à l'extrême, les boules étaient recouvertes et luisaient, et Miky passa un doigt dans cette mouille qu'il amena au trou de Toni et poussa légèrement. Le mâle, vaincu, abandonna son bouffage de cul, sentant sa grosse bite enfoncée au max dans la gorge de Miky, et un doigt enfoncé à moitié dans son cul, glissant légèrement au rythme de la défonce que s'imposait Miky. Et quand celui-ci, par pression sous les fesses de Toni, l'invita à limer tout seul, le mâle donna des coups de bassin de plus en plus rapides pour limer cette gorge si glissante chaude et serrée - un pied incroyable ! Les mouvements faisaient aller et venir le doigt en même temps, et Miky s'adapta au rythme pour respirer. Finalement, Toni oublia tout, il plaqua des deux mains la tête de Miky enfoncée sur sa bite et lui défonça la gueule en criant, criant, criant jusqu'à l'extase : un torrent de lave lui remonta des couilles. Miky n'eut pas le goût des premières giclées, propulsées dans l'oesophage, mais il vit les couilles se contracter et sentit sous les lèvres distendues les gonflements du canal pour au moins trois jets. Il se dégagea à moitié pour savourer le sperme onctueux, alors que Toni comme une machine ne contrôlait plus son bassin, et se vidait, se vidait en gueulant des " putain !! ". Les dernières gouttes semblèrent lui arracher les couilles, et tout son corps se souleva, renfonçant la bite à fond dans la gorge de Miky. Mais celui-ci releva la tête au bord de l'asphyxie, gavé de jus tout de même, et les deux amants soufflèrent longtemps avant de pouvoir parler
Miky s'étendit contre Toni qui, un peu remis, le couvrit de baisers, " génial ! génial ! " répétait-il, " oh ! cette pipe, putain ! ". Et Miky lui rendait volontiers ses baisers, admiratif devant le déploiement de cette virilité. Satisfait d'avoir satisfait son homme, et d'avoir été encore nourri. Alors après quelques minutes, Toni proposa à Miky de lui calmer un peu la rondelle, avec de la crème. Miky se mit sur le dos, plia les jambes, et Toni, tout en l'embrassant doucement sur les lèvres, lui passa un doigt, tout aussi doucement, sur le trou merveilleux mais martyr. Cela fit un bien fou à Miky, qui s'abandonna complètement. Sa rondelle se détendait sans peine, et Toni massait, tournait, du bout des doigts. Et il appuyait un peu, assouplissait, remettait de la crème, et ne quittait pas des yeux son jeune amant si dévoué. Il rebandait déjà ; il avait déjà envie de ce cul. Mais il ne voulait absolument pas que Miky en souffre trop. Il continua encore un moment, avant de pousser prudemment une phalange dans le trou, et Miky l'accueillit avec un simple gémissement. Il sentit la bite dressée de Toni contre son flanc, et lui aussi eut envie de baiser. Toni lima un moment, avec attention, sentit la mouille venir, mit un deuxième doigt, et le trou se crispait avant de s'ouvrir. Alors Toni lima lentement avec ses deux doigts tout en chuchotant à Miky droit dans les yeux : " tu veux ma bite, Miky ? t'en veux encore ? je veux te la mettre, je veux te limer ... ". Miky décollait, et comme Toni accélérait, sentant le cul s'assouplir parfaitement, il ouvrit sa bouche et son trou pour que Toni les occupe pleinement, de sa langue vigoureuse et de ses doigts rapides.
- Oui ! baise-moi ! baise-moi ! supplia-t-il en ouvrant les cuisses
- Oui, je vais te baiser, reprit Toni en s'allongeant sur lui et relevant les cuisses, demande encore.
- Baise-moi, Toni ! vas-y !
Toni cracha dans sa main et enduisit son gland, qu'il poussa contre la rondelle bien glissante : le gland entra en tirant un cri à Miky, puis le reste du barreau s'enfonça à leur plus grande satisfaction à tous les deux : Miky voyait le plaisir sur le visage de Toni, lèvres pincées, yeux mi-clos, et se sentait de nouveau bien rempli. Il ouvrit bien son cul, leva haut les cuisses, et Toni le prit aux genoux et commença ses poussées. Ce fut un long et lent missionnaire mais puissant et passionné.
- T'es tellement bon pour un homme !... tu la sens bien ma bite ?
- Oui, pistonne-moi, Toni ! vas-y !
- Tu veux comme ça ? hein ? bien fort ? ouais ! vas-y, couine ! j'aime !
Et Miky se laissa emporter et devint de nouveau une salope en chaleur, poussant pour s'ouvrir encore et voulant se faire ramoner en profondeur. Toni y alla franchement et quand il ne léchait pas le visage de son amant, il le fixait intensément et l'encourager à couiner encore, comme une femelle. Miky saisit sa bite et se branla, délirant sous les coups de bassin. Toni était décidé à le faire jouir en premier même s'il ne tenait plus. Miky cria qu'il venait, leva la tête et ouvrit la bouche pour se prendre une bonne giclée, bouche et menton, et s'arrosa le ventre, tout secoué. Evidemment, la bite de Toni ne résista pas aux spasmes de son cul, et il déchargea en grognant longuement de bonheur, en dosant bien le fond, où il resta emmanché un long moment, ne bougeant que peu, au rythme des décharges. Puis il s'abattit sur Miky, sans trop l'écraser, et ils récupérèrent leur souffle dans la nuque l'un de l'autre, se baisouillant, Toni goûtant les gouttes de sperme sans rechigner. Puis Toni vint s'asseoir sur Miky, lui donna sa queue et ses boules à lécher, s'exclamant de bonheur et s'étirant, tremblant parfois sous la langue vorace de Miky qui léchait sa mouille. " Oooh ! c'est booon ! c'est boooon !! et toi, t'es le meilleur " adressa-t-il au jeune nettoyeur, qui lui sourit, malgré le gland en bouche. Toni en rit, et vint se réinstaller à ses côtés, le pressa très fort contre lui et ils se rendormirent sur ces paroles poétiques de Toni : " c'est pas près de couler, là où je te l'ai mis... "
mike
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