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Il fut chez lui une petite heure après. Il rangea deux trois trucs au bureau dans la chambre de Gabin, se fit couler un bain, et en attendant, prit le petit miroir pivotant pour regarder son trou. Ca irait, et quand il fit son lavement, il sut que l'outil était tout à fait réparé. Il tarda dans l'eau chaude, se caressant, se doigtant, resta longtemps à se titiller un téton en tournant doucement deux doigts dans son cul. Et une fois dehors, il se lubrifia et continua de tourner un ou deux doigts, sur le lit de Gabin. Il ne travailla ses cours qu'une demi-heure, Gabin appelant d'en bas, et Miky se signalant en haut. Prudent, Miky s'était habillé. " Yep ! ça va ? demanda Gabin en lui déposant un petit bisou, et se débarrassant de son blouson et de son sac, puis se retournant brusquement vers Miky, il avança son bassin, la bite tendue et offerte, il avait eu le temps de baisser jeans et boxer : " devine qui a une grosse envie ?! ", et il se secouait, et son gros dard balançait à l'horizontale à droite et à gauche. Les deux se mirent à rire, Miky se leva, embrassa Gabin en caressant sa bite, et le poussa vers le lit. Il lui enleva les chaussures, le fute et le boxer, et, Gabin croisant les mains sous sa nuque, il prodigua au jeune homme sa récompense de la journée, prenant son temps, léchant, massant, baisant la bite et les couilles. Les soupirs de Gabin ne finissaient plus. Miky l'acheva en taquinant le frein tout en pompant, et Gabin gueula plusieurs " ouais ! ouais ! OUAIS ! " avant de cracher le lait de toute une journée, puis sombrant comme un bienheureux tandis que Miky dégustait le jus, puis la bite à coups de langue. Bien nourri, Miky s'allongea de côté à hauteur de bite, tourna Gabin de côté aussi et le téta jusqu'à ce qu'il ramollisse dans sa bouche, avec douceur. Les deux mains sous la joue, les yeux fermés, Gabin se laissa faire et raconta sa journée. La main de Miky était si douce sur ses fesses, il aurait bien dormi une petite demi-heure comme ça.
Seul Miky entendit la porte d'entrée. Il descendit, et Toni venait de se prendre une bière. " Ca va ptit poulet ? Ca va courageux travailleur ? " Miky se blottit contre sa poitrine, et Toni le serra d'un bras, puis ils s'embrassèrent. Miky avait déjà la main sur son paquet. Toni sourit et lui dit qu'il devait pisser d'abord. Il fut quand même surpris quand Miky lui demanda s'il pouvait la lui tenir. " Ben oui, coquin... " répondit-il avec un nouveau baiser. Une fois aux toilettes, peu habitué, il demanda : " alors, comment on fait ? ". Miky lui sourit, releva la lunette, et quand Toni sortit sa lourde queue molle, Miky, serré sur son côté, la prit entre les doigts : il adorait cette lourdeur molle et chaude ; il décalotta, et dirigea bien le gland. Il fut vite admiratif devant le jet, puissant, long. " Eh ben ! " s'exclama le jeune. Toni n'était pas tout à fait à l'aise devant cette nouveauté, mais intéressé ; il sourit. Et quand, après plusieurs jets faiblissants, un filet de gouttes, puis une dernière goutte, Miky s'agenouilla et suça le gland, il se sentit en terrain connu de nouveau. Miky suça comme un bonbon et en peu de temps le barreau fut bien dur et gonflé. Miky rabaissa la cuvette et s'assit, attira les grosses paluches sur sa tête, et Toni comprit. Il lui lima la bouche assez lentement mais profondément, Miky avait baissé ses fringues aux genoux et lui caressaient fesses et cuisses, admiratif encore, ouvrait sa gorge et pressait sa langue. Toni laissa monter sa liqueur progressivement, puis se finit en quelques poussées profondes contre les amygdales, il feula de plaisir en libérant ses sucs brûlants, et Miky couina de bonheur sous l'abondance. Toni s'étira, tremblant, et regarda le ptit lui masser les boules et remercier sa bite bienfaitrice à coups de langue amoureux. Il l'aurait bien branlé à son tour, mais Miky lui rappela sa bière. Ils retournèrent à la cuisine, et Miky parlait de sa journée à la fac quand Jaco entra. Il baisa les lèvres de son frère puis roula une pelle à Miky, interrompue par son éclat de rire : " ah ! déjà nourri !... si tu peux patienter, je me ferais bien lécher un peu, bébé... - Oui, p'pa ! - en plus, t'as dû avoir Gabin aussi, non ? - Oui, p'pa ! " Alors les trois se mirent à rire. Toni sortit une bière pour son frère qui se mit le cul à l'air et s'accouda au plan de travail ; ils trinquèrent et Miky s'agenouilla pour lécher le cul vénéré de son mâle, lequel soupira aussitôt de soulagement.
- Nan mais, j'te jure, j'en peux plus de ce connard ! dit-il à Toni
- Qu'est-ce qu'il a fait encore, ce con ?
- Mais tout le temps sur notre dos ! tout le... ouh wh... tout le temps, et là il se demande, monsieur, s'il va pas revoir nos horaires... Pour le... hmmm, putain, bébé, c'est bon là, làààà... Le vendredi il veut rallonger la journée et prévoit des extérieurs.
- Qu'est-ce qu'il lui prend ?
- Mais je vais plus pouvoir venir, demanda Miky, sorti des fesses chaudes et musclées.
- En plus, y a ça, tu verrais la gueule de Daniel et Jérém ! Dès le lundi ils parlent de leur vendredi avec toi ! Nan mais je le comprends pas ce... ouhhh, oh putain, que c'est bon !
Il choppa sa bite, et se branla, encore plus cambré : Miky fouillait de la pointe en écartant les fesses au maximum. Toni se repaissait du spectacle : son frangin, le cul tendu se faisait bouffer l'oignon, se branlait, le visage tout crispé, et le visage de Miky s'agitait, à moitié disparu entre les lobes puissants. " Hmmm ! ça monte ! ça monte !... viens chercher ton jus, bébé ! ". Aussi vite, Miky vint s'incruster entre les portes de placard, sous le ventre de son homme et prit son gland en bouche, pendant qu'il continuait de se branler. Toni s'approcha, mouilla son index, et poussa sa phalange ans le cul de son frère ; celui-ci grogna de plaisir, l'encouragea, et se purgea dans un long râle. Miky en eut plein la bouche, à ras bord, et deux fois. Il sentit son mâle trembler comme son frère peu avant. Jaco se redressa et se laissa téter doucement, puis remonta ses fringues, Miky se releva, ils s'embrassèrent. " Dis donc ton cul pourrait péter une barre d'acier ! " s'exclama Toni. Alors les rires fusèrent, les bières se vidèrent et à trois ils s'occupèrent du repas. Toni roula une clope pour lui et son frère et ils reparlèrent du patron. Miky partit regarder les infos, ce qui calma son érection... il digéra tranquillement le foutre, se sentant tout simplement bien, dans le canapé. Jaco vint peu après et lança le feu dans la cheminée. Renseignements pris sur l'état du " ptit cul ", ils surent que la soirée serait sportive.
- Miky est d'attaque pour ce soir, dit-il à son frère dans la cuisine.
- Nickel, je suis en forme aussi. J'aurais peut-être pas attendu un troisième jour, avec des obsédés comme vous, vous avez fait de moi un vrai lapin.
- T'es con ! t'étais en veille, et maintenant c'est bien toi !
Après une bonne tape sur l'épaule, Toni appela son fils. Les gros cannelloni et la salade à la sauce blanche inspirèrent tout le monde, et le repas se termina sur des allusions de moins en moins subtiles. Quand les jumeaux partirent à la douche, Gabin resta avec Miky :
- Toi tu vas y passer ce soir !
- J'ai grave envie !
- Et moi je pourrai ?
- T'inquiète, bosse bien, et je passe après... j'ai très envie de ta bite aussi.
Ils s'embrassèrent, Miky caressant le paquet de Gabin. " Cool ! " dit ce dernier, débarrassant la table. Miky partit aux toilettes se remettre un doigt et saliver son trou. Dans la salle de bain, les jumeaux éclatèrent de rire en se mettant à poil : ils bandaient comme des fous.
- Un lapin, mais monté comme un âne, dit Jaco entrant dans la douche
- Regarder Miky bouffer ses cannellonis, c'était pas tenable.
- Tu sais que pour la sauce, je suis sûr qu'il l'a fait exprès !
L'eau tomba sur leurs épaules, et ils se faisaient face, bites dressées presque en contact. Il y eut un silence, puis Toni embrassa voluptueusement son frère, ils s'enlacèrent. " Putain, je t'aime frangin, tu me fais revivre " souffla Toni. Jaco lui branlait la bite, en répondant à son baiser. " Baiser Miky, c'est déjà le pied, mais avec toi, ensemble... ". Les baisers durèrent longtemps, et ils se lavèrent l'un l'autre.
Devant une série, Miky ne pensait qu'à se faire sauter ; il s'était mis en tee-shirt et slip ; le feu était si bon. Comme samedi, quand il vit ses deux mâles identiques apparaître, colossaux, sublimes de virilité, il eut deux secondes de vertige : il ne voulait plus qu'être leur instrument de plaisir. Le slip bien plein, le marcel moulant, un blanc, un noir, ses mâles étaient des dieux, et des dieux du sexe, ça n'allait pas tarder. Alors qu'ils se tenaient debout sur le tapis, Miky se baissa à leurs pieds pour les baiser, et remonta vers eux les yeux pleins d'amour et de soumission. Il se retrouva entre les torses, la langue de Jaco en bouche tandis que Toni s'agenouillait pour lui bouffer le cul. Il fut à poil en trente secondes. Mais il ne perdit pas de temps non plus, fit enlever son marcel à Jaco, dégagea son slip (avec peine : il avait déjà la poutre !), puis lécha une aisselle, se pencha pour lécher un téton, cambrant ainsi davantage pour la langue de Toni qui l'ouvrait bien. Il se mit en équerre pour pomper son homme, et la langue de Toni lui rentra dans le cul. Jaco le fit pivoter, et ce fut à Toni de se déshabiller, de sentir la langue de Miky contre son aisselle, ses tétons, et sur sa bite. Jaco en profita pour lui mettre deux doigts et limer énergiquement. Il était déjà trempé. Miky couinait et bavait sur la trique de Toni. Quand les doigts de Jaco abandonnèrent son trou, Miky se mit à 4 pattes sur le tapis, hyper cambré et écartant à pleines mains ses fesses. Son trou était ouvert et sombre, appelant la bite... et il en fut gavé pendant une bonne heure : les gourdins gonflés à bloc lui percutèrent la glotte et la prostate à tour de rôle ; les mâles avaient les jambes fléchies et se rejoignaient au-dessus de Miky pour se galocher, ne cessant de s'exclamer comme c'était bon de retrouver ce cul divin.
Et Miky éprouvait une satisfaction et un soulagement incroyables de se faire remplir à nouveau des deux côtés, et la dose de mouille sur la bite qui sortait de son cul, passant en sa bouche, ne trompait pas. Les mâles firent durer le plaisir : au lieu de se faire sucer après l'avoir enculé, ils lui donnèrent leur cul à lécher. Labouré avec force par Jaco, Miky agrippa les cuisses de Toni dont il dégustait à gros coups de langue le trou viril ; il s'immobilisa, rengorgea un long cri et juta sur le tapis. Impossible pour Jaco de résister aux palpitations qui lui moulèrent alors la bite : dans un cri de caverne, il déversa son foutre en vagues dans le cul glissant, et il fallut encore bien des allers-retours pour qu'il se sente vraiment vidé. D'une tape sur le cul, il fit tourner Miky, qui se jeta sur sa grosse queue au moment où Toni lui enfournait la sienne, tassant de justesse le jus qui allait s'échapper du trou grand ouvert. Jaco s'étendit sur le dos et regarda avec délectation son ptit lui nettoyer la bite, secoué par les coups de son frère, dont le visage montrait un terrible plaisir : il le vit aussi jouir, ils se fixaient l'un l'autre. Matraqué par un fou, Miky ne pouvait plus lécher la queue crémeuse, il la tenait et gueulait, et Toni gueula aussi, quand des geysers de foutre lui partirent du fond des couilles, pour aller au fond du cul déjà baigné. Jaco approuvait de " ouais, ouais... " ce spectacle en plein trip. Toujours planté dans Miky, Toni l'attira et s'assit, dévorant de baisers sa nuque et ses boucles, ses mains arpentaient son torse étroit. Jaco se leva pour prendre une serviette, et quand Miky fut dégagé du pieu, Jaco appliqua la serviette, et une rivière de sperme s'étala, le cul palpitant l'expulsant. Fatigué, Miky resta comme ça un moment, le cul en buse, et les jumeaux ne furent pas mécontents de la vue... Puis Miky posa la serviette là où lui avait juté pour éponger, et les trois s'allongèrent côte à côte, se faisant chauffer les orteils près de la cheminée et regardant vaguement la télé. " Qu'est-ce que c'est bon ! qu'est-ce que j'suis bien ! " lança Miky, et comme réponse il eut les caresses, les baisers et les rires de ses mâles. Surtout qu'il ajouta :
- Avec tout ça, je sais pas qui a tué l'avocat !
- Oh mais, putain, toi je t'adooore ! dit Jaco en riant, et le prenant sur lui pour l'embrasser.
Toni regardait, charmé, ce corps mince et blanc sur l'épaisse masse virile de son frère.
- Vous croyez que si vous vous rapprochez je peux me mettre sur vous sans vous écraser ?
- Nous écraser ? dit Toni, où t'as vu ça, avec tes trois kilos ?!
Alors les jumeaux s'allongèrent en se collant, et Miky s'allongea sur le ventre, sur eux deux au milieu, posa sa tête sur les biceps et se reposa quelques minutes.
- Quand même faut trouver une solution pour les taches... Et puis cette serviette, c'est chiant.
- Mais t'inquiète, bébé, ça se lave, le rassura Jaco.
- Mouais.
A l'émission qui suivit, Miky comprit qu'il était plus de 22h30.
- Faut que j'aille voir Gabin.
Ses mâles éclatèrent de rire. " Eh oui, c'est dur la vie - bien dure... "
mike
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