Premier épisode | Épisode précédent
Comme la semaine précédente, ce dimanche matin inaugurait deux jours de repos pour le petit trou boursouflé de Miky, et c'est à grand renfort de pipes juteuses qu'il commença à reconstituer ses forces et que ses mâles se soulagèrent les burnes. Cette fois les jumeaux et Gabin étaient à la maison et Miky eut largement de quoi pomper. En comptant les purges dominicales de Monsieur Paul et Kamel, il se coucha pour une sieste avec l'estomac tapissé de 7 bonnes décharges, et le soir, sur le canapé, les jumeaux lui léchèrent longuement le cul pour l'apaiser, avant de lui doser les amygdales, et c'est le cul de Gabin que Miky bouffa avec amour avant de lui vider les couilles. Les jumeaux étaient assez fatigués : les travaux de la nouvelle salle de bain avaient bien avancé : le week-end suivant, ce serait terminé.
Le lundi, après la triple purge matinale, Miky resta seul à la maison et se reposa, se créma un peu le cul, et le massa régulièrement. Pendant ce temps, au lycée, Gabin et Seb faisaient un premier bilan de leur recrutement pour la touze. Lors de la soirée d'anniversaire du samedi, ils avaient, en fins stratèges, attendu que l'alcool ait enflammé Ben et Rodrigue, leurs potes de basket, pour d'abord leur proposer une prochaine tournante avec une " sacrée gourmande ", et ensuite, quelques verres plus tard, leur dire que ce serait un mec, un vrai " fou de la bite ", qui offrirait ses trous. Les yeux injectés de sang, et pas choqués du tout, les deux gars s'étaient marrés, tout en se massant l'entrejambe : Rodrigue était un maniaque de la sodo, et aurait bourré n'importe quel cul depuis qu'il y avait goûté : les filles ne disaient pas souvent oui ! Ben, lui, n'avait jamais essayé d'enculer une fille et se serait bien " fait la bite " sur un cul de mec qui ne demandait que ça.
Gabin envoya discrètement un texto pour s'assurer qu'ils n'avaient pas dit oui que sur le coup de l'alcool ; et les réponses furent encore enthousiastes. Restait donc à persuader au moins trois mecs de la classe, qui correspondaient au profil voulu par Miky : Nico et Matt, et Guillaume. Le temps de la récré, ils sondèrent : quand Guillaume lança qu'il " était pas pd ", Seb lui rappela qu'l avait pas dit non, en fin d'année, quand le gothique de L lui avait sucé la bite aux chiottes les deux derniers mois, et Gabin renchérit en disant qu'il lui semblait bien avoir vu sortir ce même suceur en marchant en canard peu après lui... Guillaume éclata de rire et admit qu'il lui avait bien cassé le cul : vu qu'il " les avait toujours pleines ", il ne disait pas non à un trou qui se présentait ; bref, il était partant. Seb dit à Nico et Matt qu'il savait qu'ils étaient puceaux, et que c'était pour eux l'occasion de s'entraîner. Gabin voulut savoir pourquoi ils n'avaient toujours pas niqué : Matt complexait à cause des deux forces de la nature qu'étaient ses frères aînés (pourtant il était très bien foutu lui-même), et Nico lui, trouvait qu'il avait une bite tordue. Les trois gars le regardèrent étonnés : oui, elle était courbée vers le bas. Ils éclatèrent de rire, non pour se moquer de sa bite, mais parce qu'il était bien con de croire que ça devait le complexer. Gabin lui proposa de faire à midi une photo de sa queue bandée, et d'attendre le commentaire de Miky. D'ailleurs, les trois en feraient. C'est ainsi que Miky reçut trois photos de Gabin : de belles bites (avec un stylo bic pour échelle !), deux à peu près semblables, un peu plus longues que le stylo, et la troisième, très dodue et toute courbée en effet, dont le gland dépassait très largement le capuchon. Quand Gabin demanda ce qu'il pensait de la troisième, Miky répondit qu'elle était très appétissante, et visiblement idéale pour les gorges profondes. Quand il montra le texto à Nico, une lumière sembla se répandre sur son visage : oh que oui, il allait la lui donner ! Et les cinq gars mangèrent ensemble, le barreau sous la table, discutant des désirs de Miky, qui en voulaient prioritairement dans la bouche et donnerait son cul à chacun en échange.
A la maison, Miky finit de manger en matant une dizaine de fois les photos, et la soif de jus se fit bien sentir. Il monta chercher les slips de la veille des jumeaux, qu'il sniffa longuement sur le lit : accoudé sur le ventre, il frottait sa bite sur le drap tout en faisant quelques exercices de contraction de la rondelle, les jambes bien écartées comme s'il se faisait encore emmancher. Quand il n'y tint plus, il se branla et en deux coups de poignet il remplit sa paume de jus, qu'il dégusta ensuite ; vivement ce soir ! Après avoir repassé un peu de crème sur sa rondelle, il s'endormit pour une petite sieste. Il trouva au réveil deux photos supplémentaires de queues : celles de Rodrigue et Ben, de morceaux de choix ! Il eut le sourire jusqu'au retour de Gabin, et bossa un peu en attendant.
Ce même lundi fut vécu très différemment par les jumeaux. Au taf de Jaco, l'ambiance était toujours aussi merdique, et toutes les heures, lui, Daniel et Jérémy entendaient gueuler et marmonner le chef, jamais content. C'est sur les différentes manières de lui péter la gueule que les trois collègues passèrent leur pause déjeuner à discuter... En revanche, pour Toni, la journée allait apporter de la nouveauté. Le patron présenta à l'équipe un apprenti de 18 ans, petit gabarit d'1m70 environ mais méchamment gaulé, avec un torse très large, un vrai V finissant sur une taille étroite, les cheveux châtain ras et un visage aussi jeune que viril. Toni ne put s'empêcher de constater que son jean moulait un petit cul tout rond, et des cuisses apparemment bien musclées. Il rit en lui-même : quelques semaines plus tôt, il n'aurait même pas détaillé un mec comme ça. Il perçut même derrière l'air timide du jeune gars des lèvres pulpeuses bien roses et un regard noisette troublant : quand ils se regardèrent, Toni reconnut quelque chose de Miky : comme une demande, et une soumission au plaisir déjà.
- Bon, les gars, je vous présente Thomas, un jeune bien motivé pour une fois : il habite à 60 bornes et va prendre le train très tôt rien que pour bosser avec nous. Il vient d'avoir son CAP après... on va dire qu'il a changé de voix hein...
Le chef lui tapa sur l'épaule. Le jeune hésitait entre regarder tout droit les mecs dans les yeux et regarder par terre, embarrassé.
- Ben c'est Thomas, oui, mais Tommy, j'préfère.
- Ca marche ! Eh ben, alors Tommy, c'est Toni qui va te servir de prof, ok ? C'est parfait ça !
Et il rit sur les deux noms si bien accordés. Tommy s'avança vers Toni, tendant la main, et Toni sentit une grosse décharge en lui serrant fortement. Regard troublant décidément et surtout... ses yeux trainaient... sur son paquet ! mais oui : le ptit jeune lorgnait sur la bosse qui bombait le bleu de travail ! Le chef les envoya au boulot, et une intéressante journée commença. Toni capta à plusieurs reprises le regard du jeune apprenti, sur son entrejambe, son cul, ses grosses mains... et même quand il le regardait dans les yeux parce que Toni lui expliquait quelque chose, ses yeux semblaient dire : oui je te regarde mais je t'écoute pas du tout, j'ai envie de baiser, j'ai envie que tu me baises ! Toni commençait bander sévère, mais sa bite, mal placée, faisait une forme carrément obscène, et le jeune lorgna, lorgna, au point que Toni le vit déglutir avec les yeux tout brillants. " Putain il a faim ce ptit ! " se dit-il, en pensant à Miky. Tommy disparut avant la pause du midi, et Toni, se demandant s'il n'était pas allé se branler, entra discrètement dans les toilettes où il y avait deux cabines et rendit l'oreille. Aucun doute : le bruit rythmé du tintement d'un ceinture, froissement de tissu : il se branlait ! Quelques hmmm les plus étouffés possibles, deux couinements rengorgés puis de longs soupirs... Mais alors que Toni s'apprêtait à disparaître, ce qu'il entendit, c'est un bruit mouillé, un coup de langue... un slurp ! putain il bouffait son jus ! et même, Toni entendit un faible gémissement de satisfaction... Avant de quitter les toilettes, il plongea ses mains dans ses poches, et manipula sa queue raide et brûlante pour la coller à son ventre, le gland au nombril : ouf ! Il se serait lui-même bien branlé, réalisant qu'il ne le faisait plus depuis que Miky se chargeait de le vider quand il en avait besoin. Il pensa donc à lui donner sa ration en rentrant et s'abstint de se purger.
Ce jeune Tommy, qui effectivement venait de savourer avidement son jus, était le benjamin des quatre enfants d'un ingénieur vivant à 60 km de là. 1m73, 70 kg, et aussi gay que puceau. Le père était un type atroce, violent : ses enfants avaient tous reçu des paires de claques, mais pas seulement : humiliations, punitions, ceinturons. Il faisait régner la terreur auprès d'une épouse complètement effacée, effrayée. A coups de discipline, il avait poussé ses trois premiers enfants vers des études supérieures après des résultats brillants. Mais pour Tommy, rien à faire : médiocre à l'école ; il avait eu beau le forcer à aller jusqu'en première S, le gamin ne foutait rien en réaction. Les coups n'y firent rien. Le père dut s'incliner : son fils ferait un CAP menuisier, et dès lors il méprisa son fils de toutes ses forces. Les autres enfants quittaient la maison pour la fac, et il aménagea au fond du garage une chambre pour Tommy, pour le voir le moins possible. Des claques au repas pour un oui pour un non. Le jeune n'attendait qu'une chose, se barrer, et un jour, aussi, mettre un bon coup de poing dans la gueule de ce salop.
C'est que dès le lycée, Tommy ne pensait qu'au cul, et il avait vite compris que seuls les mecs l'excitaient. Après des années de branlette en cachette, et de doigtage en vitesse, quand son père le relégua au fond du garage, il s'en donna à coeur joie. Quand il ne bossait pas les cours pour le CAP, il se musclait, et d'étranges manières parfois : ses fesses, il les contractait longuement tous les soirs, en baisant son matelas ; ses cuisses, elles avaient pris tout leur volume depuis qu'il s'empalait le cul sur l'un des montants du lit, qui se terminaient en épi de maïs. Il entretenait sa souplesse : très tôt il avait bu son foutre et avait adoré, et plus tard il s'était sucé lui-même, et continuait quotidiennement. Toute l'année de CAP se fut le même rituel : au réveil, autosuce et dégustation ; à 18h abdos, pompes, tractions, puis douche où il se lavait le cul et se doigtait à mort, repas expédié en 10mn pour ne pas voir la gueule de son père, et dès qu'il était de retour au garage, il déroulait une capote sur l'épi, graissait bien de gel ce gode improvisé et sa rondelle frémissante, et, un pied au sol, un pied sur le lit, jambe fléchie, il se branlait le cul, et ne se sentait bien que quand il était rempli ainsi, ou quand il avait son sperme en bouche. Il tournait d'un demi pour faire travailler l'autre cuisse, et finissait par jouir du cul, carrément accroupi sur le pieu et le lit, délirant et imaginant des bites à la chaîne qui le nourrissaient et l'enculaient, ou limant lui-même un bon ptit cul bien serré. Il était passif à 75% disons. Un peu calmé, il bossait ses cours, et avant de dormir, il retrouvait sa position contre la tête de lit avec les oreillers et se pompait la bite en se doigtant encore le cul, et ne dormait bien que quand il avait juté un max dans son gosier.
Autant dire que quand il fut pris au boulot de Toni, même avec la galère du transport, il se sentit comblé, de ne plus voir son père, d'être entouré de testostérone, et Toni lui fit un effet immédiat. Dans la minute, il voulut le pomper et sentir sa bite le combler ; mais il restait un blocage, celui de n'avoir jamais couché. Et tout en se branlant aux toilettes, il se voyait penché en avant sur l'établi et sévèrement pilonné par le plus beau gaillard qu'il ait jamais vu.
mike
Autres histoires de l'auteur : Famille recomposée | L'ami Mathieu | Correspondances
Défouloir pour homme marié | La communauté | À la fac