Pourquoi débuter ainsi ?
Il y a une bonne dizaine d'années que je les connais ces deux hommes vivant en couple depuis plus de trente ans. Ernest a été marié et a deux filles... Un jour, il a rencontré Bruno plus jeune d'une vingtaine d'années, styliste de son métier et qui a toujours été très marqué dans son orientation sexuelle, voire de temps à autre un peu efféminé, alors coup de foudre... Depuis quelques années, j'habite dans le même immeuble qu'Ernest et Bruno et nous avons donc l'occasion de nous voir plus ou moins régulièrement.
Mais, il faut que je raconte comment j'ai connu Bruno. J'allais volontiers au pissoir se trouvant sur une belle terrasse très grande avec vue sur la ville et les alpes ; il était possible de rencontrer facilement des homos. Il fallait tout de même faire très attention. Tout cela se passait il y a 15/18 ans environ. On retrouvait assez souvent les mêmes types dont un assez mignon, plus âgé que moi, un corps très fin, imberbe, une très belle queue très longue et fine avec des couilles toutes rasées. Parfois, on s'enfilait dans une cabine pour se lécher l'un l'autre, mais il voulait se faire enfiler une queue bien dure et bien grosse ; c'était Bruno... On s'est trouvé plusieurs fois ensemble, mais plus du tout aux toilettes publiques ; il avait un petit atelier pour son métier et nous nous retrouvions dans ce local et nous avons passé des moments plus que sublimes. Il suçait fort bien avec beaucoup d'élégance, tout en caressant mes couilles, mon cul, mes tétons, quoi du rêve. Mais ce qu'il aimait le plus, c'était de se faire prendre, alors tant bien que mal, il se mettait en position afin que je puisse le baiser très facilement malgré la grosseur de ma queue. Au début avec préservatifs, puis sans car il voulait recevoir mon jus dans son très beau cul. Il est vrai qu'il avait une paire de fesses très belles et il savait les onduler avec grâce afin de mieux exciter son partenaire. Nous avons donc baisé plusieurs fois ensemble. Comme j'avais envie aussi d'avoir sa queue dans mon cul, il a accepté de m'enculer, mais j'admets que là, il manquait un peu d'expérience, mais c'était tout de même très bon de sentir sa bite bien chaude dans mon intérieur.
Un jour, je déménage dans mon appartement actuel, il y a donc dix ans et, ô surprise, une des premières personnes que je croise dans les couloirs, c'est... Bruno... qui habite dans cet immeuble. Nous avons éclaté de rire, mais très vite, j'ai commencé d'avoir quelques craintes : qu'allait-il se passer le connaissant pour un appétit sexuel non négligeable. Nous discutons deux mots avec Bruno et c'est à ce moment-là que j'apprends qu'il est en couple avec Ernest, donc deux homos, cela me rassure un peu. Assez vite, Bruno m'a invité chez lui pour me présenter Ernest, mais sans jamais rien dire de nos relations sexuelles. Ernest est un homme très distingué, très beau, un peu âgé, mais fort intéressant et d'une brillante culture.
Quelques jours après mon arrivée dans cet immeuble, Bruno vient sonner chez moi et me demande s'il peut entrer quelques minutes ; je ne peux pas le lui refuser, mais Ernest... Aucune crainte à avoir me dit Bruno, il est parti trois jours voir de la parenté dans le Jura français. Comme pour moi, c'était une période où j'étais seul, je n'avais rien qui me retenait pour une nouvelle relation sexuelle avec Bruno ; toutefois, je luis dis que ce n'est peut-être pas bien à l'égard d'Ernest. Sur ce, il me répond qu'entre eux, tout a été clair ; ils s'aiment, ils baisent ensemble, mais ils gardent une certaine liberté pour le cas où des petites aventure peuvent se passer. L'envie réciproque étant là, nous nous sommes accordés un moment de plaisir qui a été plus que merveilleux. Chez moi, il y avait un grand lit ce qui était donc plus agréable que dans l'atelier de Bruno... La baise fut longue et il y a eu plusieurs flots de liqueur de mâle. Le lendemain, Bruno est revenu et il a souhaité me faire l'amour et je crois qu'il a commencé à perdre son côté quasi passif. Dans son couple, Ernest a toujours été actif et il n'a jamais été question qu'il accepte une fois de se faire enculer. C'était un grand principe ; il a été marié, il était le mâle et quand bien même il est avec un homme depuis plus de trente ans, il veut garder ce côté macho qui lui va finalement si bien. J'aime voir ce mec très racé, tout en précisant qu'entre lui et moi, il ne s'est jamais rien passé. Il sait que je suis homo mais il reste très discret et ne pose jamais de question.s
Entre Bruno et moi, il n'était pas question de renoncer à nos rencontres. Aussi Bruno me faisait savoir quand il était disponible et je passais à son atelier ou bien il venait chez moi parce qu'Ernest était absent. Bruno voulait que j'aille une fois chez lui et faire l'amour dans son lit. Je n'ai pas pu répondre à sa demande ; en effet, je considérais ce lit comme étant un endroit conjugal et qu'il n'était pas très bien que je baise Bruno à cet endroit.
Nous avons passé quelques années ainsi, jusqu'au jour où Bruno a dû subir une intervention chirurgicale de la prostate qui a eu des conséquences fâcheuses pour lui, en ce sens qu'il ne peut plus bander et il ne peut plus recevoir une bite, un enculage lui faisant trop mal. Il en a été très triste, je le comprends et je n'ai plus jamais insisté sur un tel point. Tout récemment, il avait envie de me faire une fellation ; je lui ai donc donné ma bite dans sa belle bouche et il a tout avalé.
Leandro
Autres histoires de l'auteur : Ernest et Bruno | Un mec vraiment spécial