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Domination par Stéphane
mon futur mari
AVIS IMPORTANT AVANT LE DEBUT DU TEXTE. POUR CEUX QUI M ONT ENVOYER UN MAIL ENTRE LE 1.02.2017 ET LE 4.02.2017 MON COMPTE MAIL A ETE DETOURNER PENDANT CE LAPS DE TEMPS. DONC SI VOUS AVEZ RECU UN MAIL DE MA PARS CE N ETAIT PAS MOI ET JE N AI PAS RECU VOS MESSAGES. J EN SUIS NAVRE SORRY MAIS VOUS POUVEZ SOIT ME RENVOYER VOS MESSAGES ET JE VOUS REPONDRAIS. ENFIN STEPHANE OU MOI MERCI. MAINTENANT LA SUITE DE NOTRE HISTOIRE.
Mardi, après l'habituel rituel du matin à la maison, j'arrive au bureau. Les deux délégués sont là avec toutes leurs collections et ils sont occupés à les ranger sur la table de réunion. Claudia prend ma tablette, me tend le courrier et une tasse de café. Heureusement que j'ai mon sac sur l'épaule grâce à la bride, sinon, je ne sais pas comment je ferais. C'est Felipe qui arrive et voit mon embarra. Il prend mon sac et le monte dans mon bureau. Je vais saluer les deux mecs et leur dis que j'arrive dans un instant. Je monte dans mon bureau et prend mon ordinateur portable ainsi que mon dossier. La cliente arrive à son tour. Je la fait rentrer et nous discutons ensemble. D'abord réticente quant au projet de sous-vêtements hommes, quand je lui montre l'affiche réalisée par Sylvain, elle reste sur le cul et accepte l'idée. De plus, les deux délégués lui affirment que sur Liège, elle aurait l'exclusivité des produits avec Christian mais que celui-ci ne développait pas complètement la gamme ayant déjà beaucoup d'autres produits de luxe également en vente dans son magasin. L'affaire fut conclue avec la condition de vendre les sous-vêtements au prix minimum pratiqué par les marques. De plus elle aura un gros stock en dépôt avec tout le panel de tailles.
La cliente : C'est vous en photo sur les affiches ?
Moi : Oui, c'est pour l'exemple, nous avons d'autres modèles. Nous-nous sommes proposés par manque de temps pour réaliser votre projet.
La cliente : Si c'est possible, je voudrais bien que ce soit vous et les deux autres modèles pour la campagne publicitaire. Et un ou deux plus jeunes un peu plus fluets et plus efféminés pour les affiches de la collection et le catalogue produit que je peux distribuer à ma clientèle.
Moi : Pour l'affiche, il faut que je demande car nous sommes trois personnes connues sur liège. Moi ça ne me pose pas de problème mais je dois téléphoner et pour les deux jeunes, j'ai tout à fait ce qu'il vous faut. J'en ai deux à ma botte, façon de parler, et ça leur fera un peu d'argent. Vous permettez un instant ?
Je suis sorti et ai téléphoné à mon homme. D'abord réticent, il m'a donné son accord en disant que ce serait amusant de nous voir dans les abris-bus. Je lui dis que pour Désiré, il faudrait sûrement que je lui donne en plus de son salaire, une prime en nature. Mon homme de me répondre de faire ce qu'il me semble bon. J'ai ensuite eu Désiré au téléphone, il m'a donné son accord mais il était fort occupé et m'a demandé de venir lui expliquer au bar avant de rentrer. Jona ne me refusa pas le service, trop heureux de pouvoir s'exhiber. Dimitri, lui, me dit que ça ne l'intéressait pas et qu'il avait peur du regard des autres par la suite. Quand je lui ai dit qu'en plus du salaire, il aurait une grosse récompense et qu'il serait gâté, il a accepté. Je lui ferais l'amour avec Stéphane et le rendrait accro à nos queues. J'informais ma cliente et donna les tailles des cinq modèles, moi compris au deux délégués. Je leur demanda de me fournir gratuitement, le plus rapidement possible, toute la collection pour mes modèles. C'est la moindre des choses attendu que je vais augmenter leurs chiffres de ventes. J'aurais ce que je demande vendredi matin par livraison express. La cliente m'informa quel allait rénover son magasin en fonction et me demanda quand la campagne pouvait débuter. Une fois sur mon ordinateur, sur le site de JCD Decaux, la campagne peut démarrer au mois d'avril. Ça lui laisse un peu plus d'un mois, ce qui est juste pour elle mais elle accepte. Il est midi quand nous avons fini. Je lui fais signer le contrat que je le donne à Claudia. Je dois ensuite donner mes instructions à Sylvain, Felipe, lui, part au club. Je l'informe que je vais passer m'entraîner et me faire masser par Jona car j'ai une courbature dans le bas du dos. Je n'ai pas d'autre rendez ce jour, j'informe que je repasserais dans l'après-midi mais que je ne resterais pas. Il faut que j'aille voir Désiré. La cliente partie et les délégués aussi, je quitte ma société à mon tour et vais au club. Je ne travaille que ma musculation et un peu mes abdos mais mon dos me fait mal. Je passe voir Jona et lui explique. Il me masse avec beaucoup de professionnalisme. Nous parlons pendant ce temps.
Moi : Tu as des nouvelles de Marc ?
Jona : Oui. Sven est passé hier soir au club et ensuite à mon appartement. Dimitri et moi mangions ensemble, son père étant en réunion tardive, si tu comprends ce que je veux dire.
Moi : Ok et pour Marc ?
Jona : Il est toujours cloué au lit avec 38 de fièvre. L'antibiotique n'a pas l'air de fonctionner, le médecin doit passer aujourd'hui.
Moi : Comment se fait-il qu'il a laissé le bar pour venir ici ?
Jona : Je lui ai posé la question. Son frère le remplace deux heures chaque soir pour qu'ils viennent ici voir si tout va bien et se faire du bien avec moi. Marc étant inutilisable.
Moi : Si je comprends bien, tu lui sers de vides couilles.
Jona : Oui et non, hier nous étions deux. De toute façon avec Sven, c'est comme avec toi, il est très doux. Par contre, il est resté sur le cul quand Dimitri l'a appelé maître. J'ai dû le mettre au parfum et vous serez puni tous les deux. Sven m'a dit qu'il allait s'offrir le cul de Stéphane en punition. C'est un dominateur, mais il devait prévenir Sven de tout changement, c'est la moindre des choses.
Moi : Il peut toujours courir s'il veut le cul de mon homme. Je lui dirais tout à l'heure, il n'y a que moi qui peux mais Stéphane doit effectivement être puni, moi par contre, je dois être gracié car c'est Stéphane qui a géré.
Jona : Nous l'avons expliqué à Sven, il nous a dit qu'il se contenterait de te faire l'amour car je lui ai dit que tu aimais ça, plus qu'une baise.
Moi : Je te remercie mais je sais me défendre tout seul. Reste à ta place de soumis comme moi avec Stéphane sinon tu vas te créer des problèmes.
Il finit son massage par le dépôt de bande chaude sur mon dos et mes fesses.
Jona : Ça va hydrater ta peau. Elle me semble être dure et moins souple depuis ton traitement.
Moi : Oui je dois mettre une pommade mais j'ai oublié de passer à la pharmacie. Je dois en mettre une fois par jour pendant un mois.
Jona : Alors c'est moi qui vais te punir ! Je veux que tu m'amènes la pommade ici et que tu viennes te faire masser tous les jours avec. Tu ne toucheras plus à mon cul pendant ce temps.
Moi : Ne donne pas de punition que tu ne pourras pas tenir ! Mais j'accepte les massages journaliers. Tu masses mieux que mes deux hommes à la maison. L'ordonnance est dans mon sac, je vais te laisser de l'argent, tu iras toi-même à la pharmacie.
Je suis allé me rhabiller, je lui ai laissé l'ordonnance, de l'argent et je suis parti. Passage au bureau et ensuite direction le Bar de Sven. Arrivé sur place, Sven fut étonné de me voir. Nous avons bavardé au sujet de Dimitri et j'ai eu droit à une amnistie de sa part mais mon homme sera puni. Quand je lui dis qu'il peut tout faire avec lui sauf toucher à son cul, il râle mais me dit que c'est ok. Il va réfléchir, c'est plus un jeu qu'une punition mais bon. Désiré arrive et je lui explique la demande de ma cliente. Il me donne son accord rapidement. Alors que j'allais quitter le bar, il me demanda de venir dans sa loge voir un achat qu'il a fait pour Olivier. Avant de le suivre, je demande des nouvelles de Marc. Toujours cloué au lit et le médecin va le faire rentrer à l'hôpital demain matin pour un meilleur suivi. Donc il ne pourra pas compter sur lui ce week-end non plus. Nous lui donnerons un coup de main. Je le salue et préviens mon homme par téléphone de la nouvelle situation de Marc. Il me dit qu'il gère et que je dois le laisser faire. C'est bien mon intention. Arrivé dans la loge de Désiré, celui-ci me montre un écarteur de mâchoire qu'il a acheté pour Olivier.
Moi : Pourquoi as-tu acheté ça ?
Désiré : Quand Olivier me suce, ses dents touchent parfois ma queue et il me fait mal. Il t'arrive, mais c'est plus rare, que tu me mordes aussi.
Moi : Vu la longueur de ton engin et sa largeur, ça peut se comprendre mais je ne vois pas l'utilité de ce machin.
Désiré : Le vendeur m'a dit qu'avec ça, je n'aurais plus le problème.
Moi : Je demande à voir.
J'aurais mieux fait de me taire, il a descendu son pantalon de training et m'a montré sa queue.
Désiré : Bon on va faire le test, de toute façon tu ne repartiras pas d'ici avant de m'avoir vidé les couilles. Je sais que tu en a envie en plus.
Je me suis foutu à poil et lui aussi. Je me suis couché sur le dos la tête en arrière et il m'a placé l'écarteur de mâchoire. C'est étrange, ça fait un peu mal au départ mais après on s'y fait. Il m'a limé la bouche grande ouverte en fond de gorge pendant une quinzaine de minutes, j'ai bavé quelque chose de rare. Ensuite il me l'a retiré.
Désiré : C'est mieux ainsi, au moins je ne sentirais plus vos dents. Qu'en penses-tu ?
Moi : Un peu mal à la mâchoire mais ça va. Je préfère tout de même te sucer sans.
Il m'a alors embrassé, un petit moment de tendresse entre nous. Ensuite il m'a fait mettre à quatre pattes et a préparé mon trou avec sa langue et ses doigts. Je dois dire qu'à chaque fois, il me fait gémir comme une folle. Une fois qu'il a estimé que mon trou était prêt, il m'a pénétré en douceur et très lentement. N'y tenant plus, c'est moi qui ai d'un mouvement rentré plus dans mon cul. Ce qui m'a valu une fessée.
Désiré : Laisses-toi faire espèce de salope ! Je sais que tu aimes ma bite.
Moi : Oui, j'aime ta bite, baises-moi.
Il m'a poussé et forcé à me coucher sur le ventre et il s'est couché sur moi. Il m'a fait l'amour en douceur pendant une bonne demi-heure. J'ai gémi, j'ai couiné, j'étais au septième ciel sous sa queue. J'ai jouis du cul aussi et abondamment probablement, car j'ai senti couler quelque chose le long de mes couilles. J'ai fini par jouir sous moi sans me toucher ce qui a eu l'effet d'être rempli de son jus. Il y en a tellement qu'on croirait qu'il n'a pas baisé depuis des jours. Il s'est retiré et m'a présenté sa queue que j'ai nettoyé en bonne salope tout en le regardant dans les yeux.
Désiré : T'es vraiment une bonne salope. Il n'y a qu'avec toi que je prends un pied pareil, Olivier passe en second mais il est plus souple que toi. Je peux l'enculer en chandelle et il arrive à se sucer en même temps.
Moi : Niveau souplesse, c'est vrai que j'ai un petit problème mais bon, il faut que je bosse dessus. Il faut que j'aille à la toilette, tu m'as rempli à stock.
Désiré : Ça prouve l'effet que tu me fais.
Je me suis vidé sur le WC, il y a eu une quantité impressionnante de jus qui est sorti de mon cul. Je me suis nettoyé et l'ai embrassé. Alors qu'il mettait son costume de sorteur, je suis parti. De retour à la maison, il est 18h00 passé, un bref passage sous la douche et je me suis mis en tenue de soirée. Je me suis rendu dans le bureau pour embrasser mon homme qui faisait des papiers.
Stéphane : Ah tu es rentré, tu as l'accord de Désiré ?
Moi : Oui mais j'ai dû me sacrifier.
Stéphane : Ça ne m'étonne pas, de toute façon tu aimes sa queue comme la mienne. Viens ici et signes ça !
Moi : C'est quoi ?
Stéphane : T'occupes. Affaires de placements de nos avoirs respectifs en un pot commun. Signes !
Je me suis alors assis sur ses genoux et en me penchant, j'ai signé. J'ai eu l'effet escompté. Stéphane bande. Il m'a alors plié sur le bureau et après avoir baissé son pantalon et le mien, il m'a baisé virilement.
Stéphane : Serres ton cul, voilà mieux. Prends la queue de ton mec bien à fond, montres-moi que tu aimes ma queue.
Je me suis alors déchainé dessus en m'empalant complètement à chaque mouvement. Au bout d'un moment, il m'a retourné et pris mes jambes sur ses épaules. Il m'a pistonné, il n'y a pas d'autres mots. Il a fini par se crisper et à me féconder. Il a sorti sa queue et je l'ai nettoyé.
Stéphane : Tu es vraiment une salope mais je t'aime.
Moi : Je suis ta salope, je t'aime.
Nous-nous sommes rajustés et sommes descendus après un passage à la toilette pour moi, prendre un apéritif. Nous avons mangé et à 22h30, comme je m'endormais dans le divan, j'eu pour ordre d'aller me coucher !
Pattlg
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