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Dans le train de nuit

A 18 ans, un soir, je devais prenre le train de nuit pour rentrer chez moi en vacances. J'étais interne dans un lycée. Petit et menu, timide, j'étais un peu le jouet du dortoir. Les gars écartaient le rideau, quand je prenais ma douche, d'autres quand je me brossais les dents, passaient derrière moi en me mettant la main au cul, ou en me tiraient le pyjama vers le bas pour me déculotter devant les autres. J'étais un peu honteux, mais, quelque part en moi, excité.

 La veille du départ en vacances, ils m'ont fait subir le truc le plus cochon qu'ils m'aient jamais fait. On était dans une salle de classe, sans surveillant, celui-ci étant déjà parti lui-même en vacances. Les trois plus costauds me sont tombés dessus et m'ont installé sur le bureau du surveillant, à genoux, les fesses tournées vers le restant de la classe. L'un d'eux m'a pris la tête et l'a frottée contre sa braguette. J'ai eu peur qu'il ne me demande de sucer, mais il m'a simplement tenu comme ça. J'ai senti un des deux autres me débraguetter. Je me débattais, mais ils étaient trop costauds pour moi. Une fois débraguetté, ils m'ont baissé le pantalon, et j'avais le cul bien exposé aux regards de toute la classe, sous mon slip. Un d'eux a passé son doigt sous mon slip pour le glisser vers la raie de mes fesses. J'entendais des sifflements et des encouragements, derrière moi. En jetant un coup d'oeil, j'ai vu, sous une table, un mec qui s'était sorti la bite pour se branler en matant mon cul.

Le mec a fini par retirer son doigt, et j'ai pensé que cétait fini, quand ils m'ont baissé le slip me mettant cul nu sous les cris appréciateurs de certains. Puis l'un d'eux m'a écarté les fesses exhibant ainsi la rondelle de mon petit trou à tous les mecs. Puis l'un d'eux a mouillé son doigt de salive et me l'a enfoncé dans le cul, en faisant des mouvements de va et vient. C'était le délire dans la classe, derrière moi. J'étais persuadé que, pour l'étape suivante, ils allaient m'enculer en public. Ils n'ont pas osé, et m'ont relâché. Je me suis reculotté et ai quitté la classe, rouge de honte.

Le soir, il n'y avait plus grand monde, la pluspart étaient partis. J'allais dans une petite ville, à la campagne, et je devais attendre mon train pour le lendemain soir. Dans mon lit, en repensant à ce qu'ils m'avaient fait subir, je me suis mis à bander. C'était plus fort que moi, je me suis branlé en revivant dans ma tête ce qui s'était passé, et je n'ai joui qu'en imaginant être enculé devant toute la classe...

Le lendemain matin, en préparant mes bagages, je me suis aperçu qu'ils m'avaient dérobé tous mes slips. J'allais devoir rentrer chez moi sans slip sous mon pantalon. Comme la journée était très chaude, j'ai quand même décidé de mettre un short d'été, léger. J'ai vérifié en faisant quelques mouvements, que même sans slip, rien de dépassait du short. J'ai trainé toute la journée dans le lycée. J'ai croisé deux fois des mecs d'une autre classe qui, connaissant ma réputation, m'ont passé la main aux fesses. Mais, en fin d'apres midi, dans un couloir désert, j'ai retrouvé un autre tpye qui avait assisté au spectacle de la veille. Il me plaqua contre le mur, et glissa un doigt sous le bas de mon short. Comme je n'avais pas de slip, son doigt a vite trouvé le chemin de ma rondelle, et il a renté son doigt, à sec. Ca faisait mal, et j'ai réussi à me dégager.

Je pus enfin partir à la gare. J'arrive à la gare pour trouver mon train, un petit qui ne comportait que trois wagons. Il était envahi de soldats partant en permission. Je finis par trouver un compartiment de 6 places, avec seulement trois soldats dedans, et je demandais poliment la permission de m'installer avec eux. Le train démarre et la nuit commence à tomber. Mon voisin feuilletait une revue porno. Je commence à mater les photos, et je sens qu'il me laisse faire bien volontiers. Malheureusement, il n'y avait que des gouines, donc je me désinteresse vite. Je vois alors mon voisin hocher la tête avec un clin d'oeil au soldat assis en face de moi.

Je sors dans le couloir fumer une cigarette, baisse la vitre et m'accoude au rebord. Dans cette position mon cul était un peu arqué vers l'intérieur du train. Deux des soldats sortent du compartiment, et en passant derrière moi, je sens leurs mains passer vaguement contre mes fesses. J'avais tellement l'habitude qu'on me passe la main au cul, que je le remarque à peine. Mais tout à coup je réalise, que le tissu de mon short étant fin, ils ont du sentir que je ne portais pas de slip. Je rougis un peu. Après avoir fait quelques pas, ils viennent s'accouder à côté de moi et commencent à discuter. On menait tous des vies " en collectivité ", et ils font allusion aux jeux possibles dans les dortoirs des lycées.. comme des casernes. Je marmonne vaguement, que oui, il arrive qu'on s'amuse sans autre précision.

Et tout d'un coup, je sens une main remonter le long de ma cuisse, passer sous mon short et palper le bas d'une de mes fesses. Comme à chaque fois, je suis partagé entre la pulsion de repousser la main et le désir de laisser faire. Je ne bouge pas, et l'autre mec me glisse la main sous le short par devant, et me trouve en train de bander. Ils retirent leurs mains, et me repoussent dans le compartiment, en prenant soin de fermer les rideaux derrière eux. Celui qui était resté assis dans le compartiment avait remarqué que je m'étais laissé tripoter. Il ouvre sa braguette et sort sa bite en érection. Un soldat me pousse la tête vers la bite et je me penche pour la sucer. Le soldat s'asseoit alors derriere moi, et me prends par les hanches pour positionner mon cul en face de lui. Il me baisse son short, en disant aux autres qu'en me tripotant, il avait remarqué que ce petit salaud ( moi ! ) ne portait pas de slip. Il sort sa queue, met de la salive, et cherche à me la mettre dans le cul.

Malgré tout ce qu'on m'avait fair subir j'étais encore puceau, et je gueule que ca fait mal. Le soldat abandonne alors ses tentatives de pénétration, se penche fouiller dans son sac, et ressort un tube de pommade. Il en tartine mon trou et sa bite et me pénètre, cette fois ci en douceur. Ca fait mal, mais ca passe. Et me sachant puceau, il lime mon cul très doucement. Bientôt je sens plus de plaisir que de douleur. Quand il a eu éjaculé, celui que je suçais me prends par les hanches, me retourne et m'asseoit sur lui en enfilant sa bite dans mon cul. Je suis surpris de ne presque plus sentir de douleur.

Au bout d'un moment, on entend du bruit dans le couloir, et on réalise que c'était le contrôleur. Je me redresse, le soldat qui me baisait, éjacule, je remonte mon short et m'asseois. En contrôlant mes billets, le contrôleur jette un regard surpris à mon short de travers et à un pan de ma chemise, hors du short. Puis il repart. Le dernier soldat déclare alors que c'était à son tour de me baiser. Un des autres soldats sort dans le couloir faire le guet, le dernier soldat m'allonge sur le ventre sur la banquette, et se met à m'enculer. A un moment, en relevant un peu la tête, je vois, par l'interstice du rideau, le soldat parler avec .. le contrôleur.

Et les deux rentrent dans le compartiment, le contrôleur me matant d'un air excité, en train de me faire baiser. Dès que le soldat a eu fini, le contrôleur prend sa place. Quatrième bite en peu de temps pour mon dépucelage ! Heureusement j'étais bien lubrifié par le sperme que j'avais dans le cul, et le contrôleur avait une petite bite. Quand il est parti , les trois soldats se sont installés dans une position plus confortable, et ont commencé à sommeiller. Je me suis discrètement branlé et ai joui très vite.

Le lendemain matin, en aprochant de ma gare, je saisis mon sac et vit avec craintes deux soldats en faire autant. Nous nous sommes retrouvés tous les trois seuls sur le quai. Un des soldats m'a alors pris mon sac et s'est mis à fouiller dedans. Il a trouvé mes papiers d'identité, avec mon adresse, et m'a dit qu'il connaissait bien le coin, et qu'ils viendraient me rendre une petite visite vers les trois heures de l'apres midi. J'ai tourné en rond dans la ferme toute la matinée, me demandant si, oui ou non, .. Bien sur à 3h l'envie l'avait emporté et je suis sorti me promener aux alentours.

Je tombai vite sur les deux soldats, qui me prenant chacun par un bras me proposèrent un tour en forêt. Je leur dis connaître une vieille grange où nous serions plus tranquilles. Ils me lachèrent alors. Une fois dans la grange, la porte bien refermée, ils se jetèrent sur la paille, en me regardant d'un air narquois. J'enlevais short et slip, et saisis un tube de pommade que j'avais emporté avec moi et m'en enduisis la rondelle. Je leur lançai le tube, et me retournai, penché main aux genoux, mon cul tourné vers eux. Le premier entra sans difficulté. Je me trouvais doué, dépucelé dans la nuit, d'accepter aussi facilement une bite dès l'apres midi.

Mon enculeur se retira assez vite, sans avoir joui, et me fis mettre, toujours penché en avant, un pied par terre, l'autre sur un tabouret, un peu à l'écart. J'avais ainsi mes fesses bien écartées et ma rondelle bien visible. Il fit signe à son camarade de venir m'enfiler, et s'agenouilla, en se branlant doucement pour mater le spectacle de la bite se son copain, entrant et sortant de mon petit trou. Quand son copain eût éjaculé, il me fit mettre allongé sur le dos, genoux repliés sous le menton, et demanda à son pote de venir me soulever par les hanches. Une fois agenouillé, ma rondelle était juste à sa portée, et il m'encula jusqu'à éjaculation.

En sortant de la grange ils me donnèrent rendez vous le lendemain à la même heure. Toujours partagé entre la honte et l'envie, je finis par donner mon accord d'une voix timide. Alors l'un des deux me chuchota à l'oreille que son copain aimait beaucoup se faire baiser, et que donc, si j'en avais envie.. Et je suis rentré tout guilleret en pensant que le lendemain, j'allais pour la ptemière fois, enfiler ma bite dans le cul d'un mec.

Hotman7512

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