Premier épisode | Épisode précédent
Chapitre 4
Le soleil éclaire mon après-midi, et traverse les volets. Il fait chaud dans la chambre, je suis en nage. J'ouvre les yeux, le réveil affiche quatorze heure cinq. Rick est toujours avec moi dans le lit, cela me rassure. Je l'observe dormir, il est tellement mignon avec son petit sourire au coin des lèvres. Je me demande à quoi songe-t-il ? Pendant ce temps, de mon côté, je rêvasse. Et alors que, perdu dans mes pensées, il ouvre un oeil en ma direction. Il baille en faisant une grimace.
- Argh ! J'ai un putain de mal de tête ! J'ai dû abuser de l'alcool hier soir, non ?
- Euh... Tu ne te souviens plus du tout de ce qui s'est passé ? je lui demande, embarrassé.
Il fronce les sourcils et réfléchit un instant.
- Je me souviens du début de la soirée au Paradiz, ensuite c'est le trou noir. Enfin je me rappelle l'essentiel... C'est que tu m'as sucé comme un Dieu !
Je le fixe, choqué.
- Je te remercie du compliment. J'ai pris beaucoup de plaisir à m'occuper de toi. Pour être honnête, je n'ai jamais vu une queue aussi énorme. Tu as été gâté par Dame Nature.
Mes joues se mettent à chauffer et se teintent d'une couleur semblable à une braise de feu.
- Je suis conscient que la nature m'a bien doté, je suis extrêmement fier de la poutre que j'ai entre les jambes. Et encore, hier ce n'était qu'un avant-goût de ce qui t'attends aujourd'hui petite salope, me dit-il avec ses yeux qui sentent le cul.
Je commence à bander, et à mouiller dans mon jockstrap. Rick tient à faire une précision.
- Je te préviens tout de suite Aymeric, je ne suis pas gay mais hétéro. Hier je n'étais pas dans mon état normal. En revanche, j'ai pris beaucoup de plaisir à me faire sucer par toi. Je dois avouer qu'en ce moment, ça ne dérange pas de niquer avec des mecs dans ton genre. Personne n'est au courant, même pas mes potes ! Ce qui se passe entre nous, reste entre nous ! Pigé ?
Je bois ses paroles. J'ai l'impression de rêver. Mes yeux étincellent.
- Ne t'inquiète pas Rick, je serai muet comme une tombe. Tu peux me faire confiance. Mais assez discuté, passons aux choses sérieuses maintenant. J'ai cru comprendre que tu étais souffrant ?
Il me lance un regard interrogateur.
- J'ai une petite surprise pour toi ça devrait faire disparaître ton mal de tête.
Je retire le drap qui laisse apparaître sa bite tendue dans son boxer. Je me tourne vers lui, jouant avec les deux élastiques latéraux qui laissent ainsi mes fesses nues. La poche de soutien de mon jockstrap laisse transparaître mon sexe en érection. J'ai une envie folle de me faire baiser par lui. Il écarquille les yeux, sous le choc.
- Alors Rick ton cadeau te plaît ? dis-je avec la voix la plus détachée et sexy possible.
Il me claque le cul en guise de satisfaction. Je tressaille à son contact. Il retire son boxer en un seul geste rapide, écarte les jambes, et me lâche d'une voix salace en se caressant l'attribut :
- Viens me sucer petite pute. J'ai envie d'une bonne pipe avant que je te défonce le trou.
Je ne me fais pas prier. Ma langue court le long de son pénis et s'attarde sur son gland que ma langue humidifie ; sa verge sursaute. Je vais et je viens ainsi plusieurs fois, tandis que ma main lui caresse l'intérieur des cuisses. Je m'approche des testicules, que je sens frémir. Il a tellement envie que je les prenne dans mes mains, mais je ne fais que les effleurer pour l'exciter. On se regarde droit dans les yeux, la tension sexuelle entre nous est en train de monter d'un cran. Je fais doucement glisser son zob à l'intérieur de ma bouche tout en le caressant avec ma langue qui le protège de mes dents. Il se tortille, émet quelques petits gémissements. La main qu'il pose soudain sur mon épaule dit son excitation. Il a envie que j'aille plus vite.
- Une vraie bouche à pipe, continue salope !
Mes doigts glissent sur ses testicules. Il gémit à nouveau et j'accélère légèrement le mouvement de ma bouche. Je serre la base de son dard. Il est sur le point de jouir. Je retire ma bouche, lèche et caresse son ventre, ainsi que ses cuisses. J'attends qu'il réclame, qu'il mendie. Et je passe ma langue à nouveau sur son noeud, qui se soulève sur son passage. Puis je dépose un peu de salive dans mes mains et je l'empoigne doucement mais fermement, tandis que je lèche ses bourses avec gourmandise. Quand il pousse un petit gémissement pour manifester son plaisir, j'aspire son testicule dans ma bouche. Il pousse un grognement. J'aborde le second testicule que je fais languir avant de l'avaler. Je sais qu'il n'attend que cela. Il se tord à nouveau. Visiblement, il apprécie. Quant à moi, je suis trempé d'excitation. J'approche mes lèvres des siennes. Il évite d'abord mes baisers, mais tandis que ma main va et vient sur son gourdin, il ne peut résister au désir et m'embrasse à pleine bouche. Il est à nouveau très excité et ma langue descend le long de son corps, d'une main je taquine aussi la pointe de ses pectoraux, dont il ignorait la sensibilité. Je le mordille en m'amusant avec ses poils pubiens. Son bâton est très dur. C'est alors que je le prends dans ma bouche en serrant toujours la base de son braquemard. Je joue avec sa teub que j'enfonce à l'intérieur de mes joues. Il gémit, il grogne. Il est de nouveau sur le point de jouir. Il est haletant. Je m'interromps et lui lance d'un air provocateur :
- Tu veux faire une petite pause ? Je peux m'arrêter si tu en ressens le besoin ?
Il me crache un gros mollard en pleine gueule. Wow ! Je ne m'attendais pas à ça de sa part.
- Ta gueule espèce de chienne ! Ne t'arrête pas. Continue à me pomper, je vais bientôt gicler !
Il me claque le cul fortement. Humm. Il veut que je continue, j'attends que la pression redescende un peu et prends à nouveau sa bite dans ma bouche. Il aime s'enfoncer dans la chair de mes joues, il frissonne et à nouveau, mes lèvres descendent le long de sa queue, j'avale son testicule droit puis le gauche, il grogne de plaisir. Je lèche son scrotum et remonte jusqu'à son gland sur lequel je fais glisser ma langue tandis que désormais ma main caresse ses bourses prêtes à exploser. Je fais rebondir son membre sur ma langue, il frémit, marquant son excitation de me voir ainsi offert à lui. Je fais doucement glisser sa verge dans ma bouche, caressant ses testicules, puis après avoir léché son gland si tendu, j'enfonce son morceau au plus profond de ma gorge. Il touche presque mes amygdales et j'ai l'impression qu'il est enfoui dans mes entrailles à ce moment-là. J'accélère le mouvement ; il est tellement excité qu'il plaque ma tête contre son engin, il ne maîtrise plus son corps pris de soubresauts. Il me regarde comme pour m'implorer, et je serre délicatement ses testicules. Il gicle tout son sperme dans ma bouche. J'avale sa semence douce et sucrée, et caresse doucereusement ses abdos d'acier. Il me regarde avec amusement.
- Qu'est-ce qui te fais rire comme ça ?
Je l'observe d'une moue interrogative.
- Tu dois être magicien, car bizarrement mon mal de crâne a complètement disparu.
Il me fait un petit clin d'oeil. Je souris, fièrement.
- Je crève de soif. Tu peux me ramener de l'eau Aymeric, s'te plaît !
- Tes désirs sont des ordres ! je lui susurre.
- Je me désaltère pour reprendre des forces et après je m'attaque à ton cul comme il le mérite.
Je vais rapidement dans la cuisine, j'ouvre le frigo, et prends une bouteille d'eau. Je profite pour faire un détour dans la salle de bain, pour y récupérer un préservatif ainsi que du gel lubrifiant. Je m'empresse de lui emmener la bouteille d'eau, je pose subtilement la capote et le tube de gel sur le lit. Il me vide les trois quarts de la bouteille, et me tend le reste de flotte. L'eau fraîche apaise ma gorge sèche. Rick se lève précipitamment du lit, ce qui me fait sursauter tout à coup.
- A ton tour de jouir ! allez fou-toi à quatre pattes sur le lit ! Dépêche-toi sale pute ! Pas de pitié, pas de tendresse ! Ça va être Bagdad dans tes petites fesses ! gronde-t-il d'une voix menaçante.
Des frissons me parcourent l'échine. Je déglutis difficilement ma salive...
Flok
Autres histoires de l'auteur :