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Le Prof d'Anglais
Le lendemain, à 8:00, je suis retourné au lycée, j'ai discuté avec des potes, et ensuite on est allé en cours. J'avais 2 heures d'Anglais, et c'était bien lourd car le prof n'avançait pas dans ses leçons, ce qui m'ennuyait profondément, mais là encore je pouvais observer à ma guise mon enseignant: il avait un physique assez banal, même si un peu musclé et avec des poils sortant de sa chemise bleue impeccable, alors qu'il portait un jean troué, et était toujours mal rasé malgré ses cheveux assez courts. Il avait un regard brun brûlant, qu'il te faisait tomber amoureux en un seul regard, même si je savais que je n'avais aucune chance puisqu'il était marié et père d'une petite fille. Bref j'ai passé le cours à le mater, tout en répondant à deux trois questions et en notant le cours pour ne pas trop avoir l'air trop appuyer. Au bout des deux heures, la sonnerie retentit, signe de délivrance, mais alors que j'allais partir, le prof m'arrêta et me demanda d'attendre que tous les élèves soient partis avant de fermer la porte. Après cela, il me dit sans autre forme d'introduction:
" - Mr P. m'a dit ce que tu lui avait fais subir. Tu sais que cela se rapproche dangereusement d'un viol. Heureusement pour toi, il était consentant, mais bon... il ne l'a pas exprimé clairement. Moi, par contre, je te le dis clairement... je veux sucer ta grosse bite."
Comme vous pouvez l'imaginez, je fus extrêmement surpris, et avant que je puisse dire la moindre chose, il s'était jeté sur ma braguette l'avait ouverte et léchait mon caleçon, sa grosse langue chaude et humide, glissante pleine d'appétit sur mon paquet. Il baissa alors brutalement mon slip et commença à me sucer, ses douces lèvres chaudes caressant ma verge, mon gland s'enfonçant vers sa gorge. Il s'était accroupi à mes pieds, ma bite apparaissant et disparaissant selon les envies du prof, son regard de braise observant mes réactions comme une pute voulant bien faire. Soudain, je regardai ma montre, sortit mon bâton de sa grotte de plaisir, rangea le matériel et partit en courant vers le prochain cours le laissant là, comme un con à genoux devant le vide. A 18h, fin de la journée, je courus dans les toilettes pour me soulager la vessie. Après avoir pisser, je partis me laver les mains et vis mon prof d'anglais entré.
"- T'es là ? S'il te plaît, donne moi ta bite à sucer, j'en peux plus, elle était trop bonne."
J'ouvris rapidement ma braguette, et sa tête vint s'enfoncer sur ma verge, pleine d'un appétit grandissant. Pris d'une pulsion, je décidai de défoncer sa gueule magnifique, je le lopais, ma bite traversant sa bouche pour se fracasser au fond de sa gorge, de plus en plus rapidement, de plus en plus violemment, mes mains serrant à fond son crâne de salope. Il me regarda alors de ses splendides yeux châtains s'emplissant de larmes, tout son visage rougissant de suffocation, mais ses lèvres de bonne pute s'élargissant en un sourire coquin. Alors je ne pus m'empêcher de cracher ma purée au fond de sa gorge. Je sortis alors ma verge de sa bouche, mais il n'était toujours pas rassasié, et me demanda de le prendre, de remplir son trou de balle de mon foutre. Dès lors que j'eus accepté, il se déshabilla, laissant tomber son pantalon et son slip, montrant un pauvre pénis d'à peine 10 cm en pleine érection, retirant sa chemise pour montrer un torse assez musclé. Je le retournai, puis le plaquai au mur puis enfonçai ma verge dans son cul bien serré, avant d'enfin le marteler de coup de butoir. Il gueula alors comme une grosse cochonne, ses beuglements graves et plaintifs résonant dans les chiottes, autant pour la sodomie bien hard, que pour sa pauvre crevette écrasé contre le mur. Je le pénétrais bien profondément ! Quelle joie d'enculer son prof, de le voir tout soumis à son propre plaisir ! Je culbutais de plus en plus vite son cul de vide couilles, il haletait, de la sueur perlait tout autant qu'une grimace de douleur et de honte, il haletait : han, han, hanhnnnhaanHAN. Au bout d'un temps, j'éjaculai dans son fondement, le remplissant de ma sauce, puis je pris de papier, forma une bonne grosse boule d' au moins 10 cm d'épaisseur et l'enfonça dans son fion lui tirant un long et gigantesque hurlement qui dût résonner dans tout l'établissement, puis le pris en photo avant de lui dire:
"- Tu gardes le papier dans ton gros boule de salope, pour que le sperme puisse te marquer comme ma pute personnelle ! OK ?
Oui ... lâcha t-il dans un souffle, tout en crachant un peu de sperme.
Je te préviens, si tu l'enlèves je te le ferrais regretter !
Je sortis des toilettes, puis partis prendre mon car (je sais, c'est la même fin, mais bon...).
Fossoyeurdesexe
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