- Alors salope, t'aime jouer avec mes accessoires ? Hummm, je savais qu'ils te plairaient "
J'étais en train de me faire démonter le cul avec un gode vibrant énorme avec des petits picots sur toute la longueur, je hurlais de plaisir et de douleur et, surtout, je jouissais du cul comme jamais, mes jambes étaient en coton, tout mon ventre se contractait de l'intérieur comme s'il recevait des décharges électriques, j'avais des bouffées de chaleur et la chair de poule en même temps. Je voulais que François s'arrête mais j'en réclamais encore plus. Je ne me souvenais pas d'avoir ressenti un orgasme anal d'une telle puissance et aussi long. J'étais cramponné à la tête du lit, les poings serrés, ma bite mi molle se balançait et laissait couler mon jus en de longs jets. Pendant un temps, je n'ai plus maîtrisé mon corps.
Il a ressorti le gode et me l'a mis dans la bouche, il dégoulinait de mouille blanche et baveuse issue de mon orgasme qui me secouait encore. :
- Allez, suce ta mouille, ta chatte a joui comme celle d'une une chienne en chaleur.
Il a enfoncé sa queue qui m'a procuré un nouveau soubresaut d'orgasme, il a approché sa bouche de mon oreille, il l'a longuement léchée et gobée puis il m'a dit :
- Putain, t'encaisse trop bien ! Trois baises d'affilées et tu jouis comme ça, t'es une vraie salope, tu m'excite grave, t'as pas idée !
Jamais je n'aurais cru vivre une nuit aussi torride avec ce mec. François, beau gosse de 28 ans, baraqué, belle bite de 20 cm par 4 environ, m'avait imposé un deal que je ne pouvais pas vraiment refuser : il m'avait surpris en train de baiser avec Marc, mon maître de stage, dans le bureau du boss. En échange de son silence, je lui devais une nuit de baise.
Naïvement, j'avais pensé qu'après un coup, voire deux peut-être, il allait s'endormir heureux, vidé et repu ! Ben non, ce mec est un redoutable queutard, endurant, doué, inépuisable et très inventif ! Le coup à ne pas rater !
Il m'avait enfilé un plug à mon arrivée, m'avait baisé comme un dieu déjà deux fois et là, il avait sorti une petite mallette dans laquelle il y avait des plugs de toutes tailles, des godes divers et variés, des écarteurs, des pinces à seins. Je venais de me faire ravager le fondement avec un des godes, là, c'est sa bite qui avait pris le relai et qui me faisait à nouveau grimper au septième ciel. J'avais l'impression qu'il me transperçait le ventre, les précédentes baise et le passage du gode m'avaient sûrement irrité, demain j'aillais dérouiller mais pour l'instant, j'étais chaud comme la braise, j'en voulais, je cambrais mon cul au maximum, je le repoussais au moment où il s'enfonçait pour accentuer le mouvement, j'entendais ses couilles claquer fortement sur mes fesses, il me tenait fermement par les hanches. Là, je pouvais vraiment dire que je me faisais tirer, c'est ce que j'ai ressenti à ce moment et, même si c'était violent et douloureux, je n'aurais échangé ma place pour rien au monde.
Il m'a fait allonger sur le ventre, jambes serrées, il s'est allongé sur moi, sa queue s'est frayé un passage entre mes cuisses, ma raie et a retrouvé l'entrée de mon cul. Comme j'étais souillé par ma propre mouille, il a coulissé sans problème et s'est vite retrouvé en moi, bien au fond. Il s'est enfoncé au maximum et m'a dit :
- Sers ton cul à fond, je veux te défoncer comme une pucelle serrée
J'ai serré et il a commencé des va-et-vient de dingue, rapides, de toutes ses forces, il me balançait d'énormes coups de reins. Mon corps s'enfonçait dans le lit à chaque fois, je mordais l'oreiller à pleines dents pour étouffer mes cris, mes mains serraient à nouveau les barres de la tête de lit. Il avait posé ses mains de chaque côté de ma tête et me bourrinais sans arrêt. Je crois que mon cul jouissait à nouveau quand il s'est une nouvelle fois vidé les couilles en moi Je sentais son corps écrasé sur le mien, sa sueur se mêlait à la mienne, on respirait en cadence, essoufflés tous les deux et en train de redescendre de nos orgasmes.
Il s'est relevé difficilement, m'a embrassé dans le cou et m'a dit :
- Bouge pas, j'ai un truc pour toi..
Il est vite revenu, je n'avais pas bougé, j'ai senti un gel froid se poser sur mon trou. J'ai frémi, il m'a calmé d'une caresse sur le dos en me disant que c'était un gel qui allait me faire du bien et, surtout, me resserrer un peu. Je l'ai laissé faire, c'était très agréable. Quand il a eu fini, il m'a mis une petite tape sur les fesses et m'a dit de me relever pour venir boire et manger un peu. Il faisait nuit noire, il était 1h30.
On a marché côte à côte pour aller dans la salle à manger, il avait posé une de ses mains sur mon cul. Je lui ai dit qu'effectivement, son gel m'avait fait du bien. Il m'a regardé en souriant et m'a répondu :
- Ouais, c'est un gel médical, comme ça, quand je te rebaiserai plus tard, tu seras tout serré, presque un nouveau dépucelage.
J'allais donc me faire baiser encore ! Je ne savais pas si je devais m'en réjouir ou appréhender ce moment. Je crois que je me suis dit intérieurement : " YES !"
On a du boire un litre d'eau chacun tellement on avait soif ! Il a fait cuire des pâtes, des sucres lents pour gérer l'effort et être endurant.
On a quand même discuté, il fallait que j'en sache plus sur ce mec. Il m'a expliqué qu'il est bi depuis toujours vu qu'il a été dépucelé par un couple échangiste qui voulait se taper un jeune, il a immédiatement aimé baiser une chatte et un cul de mec! Là, il vit loin de sa famille, il était en couple avec une fille mais ils se sont séparés voilà 6 mois environ. Depuis, il s'éclate un peu en rencontrant des mecs et des meufs ici ou là. Du sexe, rien que du sexe mais beaucoup de sexe ! Voilà son crédo. Quand il nous a vus baiser avec Marc, il a su que je serais le prochain, il m'a dit n'avoir pensé qu'à mon cul depuis et que franchement, il n'était pas déçu !
On finit le repas et là, il me dit :
- Tu sais ce que j'aimerais faire ?
- Non ?
- Ben, te sauter comme Marc l'a fait, dans le bureau du boss. J'y pense depuis que je vous ai vu, quel fantasme !
- Ben, je sais pas trop, si on se fait pincer, ça peut nous coûter cher !
- Et alors ? T'as la trouille ?
C'est tout ce qu'il ne faut pas me dire ! On s'est fringués et on est partis. Ça allait être chaud. J'étais quand même un peu angoissé, je lui ai demandé s'il n'y avait pas de caméras, de vigiles, d'alarme. Sa seule réponse était : " J'sais pas, on verra !
On est arrivés, il était presque 3h 30 du matin. Il ouvre la porte d'entrée, on monte dans les bureaux sans un bruit, je guettais le moindre mouvement suspect, prêt à partir en courant, je suivais François mais, à un moment, je l'ai perdu, je me suis arrêté dans le couloir, tous mes sens étaient en alerte. Je ne voyais rien, n'entendais aucun bruit et ne ressentais aucun mouvement. Je me suis ressaisi et j'ai avancé vers le bureau du patron. La porte était fermée, je me suis souvenu de sa note de service disant que, suite à des intrusions dans son bureau en son absence, celui-ci resterait fermé. J'étais au fond du couloir, où pouvait être François ? Je ne pouvais pas l'appeler, l'angoisse me gagnait de plus en plus et là, sans que je n'entende rien venir, j'ai été plaqué violemment contre la porte, un corps me maintenait fermement et j'ai entendu :
- Alors petite pute, tu viens chercher ta dose dans le bureau du boss ? Hummm, je sens que t'as peur, tu trembles, ça m'excite ça
J'avais bien reconnu François mais il m'avait foutu la trouille et, effectivement, je tremblais. Il a déboutonné et baissé mon pantalon. Il m'a dit :
- Avant d'avoir ta récompense, va falloir payer de ta personne, écarte tes fesses et ferme ta gueule
Il s'est baissé, a craché sur mon trou, s'est relevé et m'a enfilé sa queue d'un coup. Quelle douleur ! Le gel m'avait bien resserré et il m'enfilait quasiment à sec le salaud. Je ne sais pas comment j'ai fait pour ne pas hurler mais il ne m'a pas laissé le temps de réagir, il m'a collé une de ses mains sur la bouche, l'autre s'est posée sur mon ventre et il m'a baisé contre la porte. J'ai vite mouillé et le plaisir est arrivé. J'entendais François murmurer :
" Putain, t'es trop bon, j'adore te baiser là, comme une pute, c'est trop le kiff. Toi aussi tu aimes, t'as vu comme tu mouilles,...
Il m'a sauté encore de longues minutes sans bruit, juste un souffle plus fort et son front collé à ma tête. Il s'est retiré sans jouir et a remonté mon pantalon. J'ai pensé qu'on allait partir, je me suis retourné vers la sortie, il m'a dit :
- Et tu vas où ? Le fantasme c'est le bureau du boss ! Devant la porte, c'était pas prévu, un bonus bien cool mais le deal, c'est dedans !
- T'es fou ! On a baisé au bureau, en plein couloir, c'était le pied, si tu veux, je te suce pour te finir mais là, faut partir
- Nan, on reste, je vais remplir ton cul t'inquiète mais je le ferai dedans, je sais où il y a une clé du bureau et tu vas aller la chercher ! "
Il m'indique le bureau de la secrétaire dans lequel il y a un tas de placards et, dans un tiroir, il y a tous les doubles des clés. Il me dit qu'il m'attend 5 minutes, pas plus, après il se tire et m'enferme à l'intérieur du bâtiment. Ça m'a excité comme un gamin qui doit relever un défi, j'ai couru dans le bureau, j'ai fouillé, pas plus de 3 minutes pour trouver la boîte des clés, je l'ouvre, je trouve la clé et je repars en courant. Il m'entend arriver, étouffe un rire et me dit :
- Putain mais t'es prêt à tout pour te faire sauter et doser !
Je lui donne la clé, il ouvre, on entre. J'avais vraiment peur. Une lueur venant des lampadaires de la rue plongeait le bureau dans une atmosphère très tamisée. François s'est assis dans le siège et m'a dit :
- Alors, tu viens t'occuper du boss ! Fous-toi à poil d'abord ! "
Je l'ai fait, il m'a demandé de passer sous le bureau pour venir lui tailler une pipe. Je n'avais jamais vécu un plan comme celui-ci, j'étais mort de trouille mais excité, j'ai avancé sous le bureau, j'ai caressé ses cuisses qu'il a écartées, j'ai embrassé sa queue à travers sa braguette et, d'un geste rageur, j'ai fait sauter les boutons en un clin d'oeil, je voulais sa bite. Il bandait toujours, je la prends en bouche et là, il appuie sur ma tête de toutes ses forces pour me bloquer en gorge profonde. J'ai cru étouffer, j'ai remonté mes mains sur sa poitrine en passant sous son T-shirt et j'ai pincé ses tétons de toutes mes forces, il a lâché son étreinte sur ma tête, j'ai pu ressortir pour respirer. Je l'ai sucé un moment, j'ai gobé ses couilles, il était chaud bouillant comme au premier coup de la soirée.
Il a reculé le siège, m'a fait signe de remonter. Il m'a assis sur le bureau, face à lui, il m'a embrassé et m'a relevé les jambes. Son gland s'est posé à l'entrée de mon trou et là, il m'a dit :
- Alors, comme ça, on se fait baiser devant ma porte et on croit s'en sortir comme ça ?
Sans que j'ai pu répondre, il a poussé d'un coup pour revenir en moi. Il m'a baisé encore plus fort qu'avant, il se défoulait et vivait son fantasme à fond. Moi, je me cramponnais sur le rebord du bureau. Il m'a fait lâcher prise pour m'allonger sur le bureau, il a passé ses avant-bras sous mes genoux et a repris ses va-et-vient. J'entendais le grincement du bureau comme je l'avais entendu avec Marc, nos souffles profonds et saccadés résonnaient dans la pièce. Malgré le risque, je prenais un pied d'enfer, je me suis branlé comme un fou, je suis vite monté et j'ai craché sur mon ventre, François, qui continuait à me baiser, a dit :
- Oh oui, c'est bon quand tu jouiiiiiiiiiis
Il est venu en moi sans arrêter d'aller et venir, il lui a fallu au moins deux minutes supplémentaires pour redescendre et se retirer :
- J'ai jamais vécu un truc pareil, j'ai cru que j'arrêterais pas de jouir !
Je me suis relevé, rhabillé pendant qu'il remettait de l'ordre sur le bureau et on est repartis. On a fermés, j'ai replacé la clé et on est descendus. Personne en vue, on s'est tirés comme deux voleurs arrivés dans la voiture, on a explosé d'un fou-rire irrépressible.
Il m'a dit que j'avais rempli mon contrat, il m'a ramené chez moi à 5h du matin, je suis rentré et me suis effondré direct sur mon lit, mort de fatigue.
Le réveil a sonné, ça m'a tué ! J'ai dû aller bosser en ayant des courbatures de dingue et mal au cul comme jamais, j'étais mort de fatigue, des cernes jusqu'au milieu des joues, une tête de déterré ! Quand j'ai vu François, j'y ai pas cru, un teint frais, même pas marqué ! Il est entré dans le bureau que j'occupais avec Marc, il discute d'un point précis et il me regarde et dit :
- Et ben, faut dormir la nuit mon petit. Tu dois être un grand chanceux toi pour avoir une tête pareille !
Il est parti en riant, j'avais un mal de crâne.....
J'espère que vous avez bien aimé, faîtes-moi part de vos remarques à denis.chassagnes@hotmail.com
D.C
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