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Bonjour à tous,
Fin septembre, les cours on repris, le temps se dégrade peu à peu. Cela fait deux semaines que je n'ai pas de nouvelle d'Adam : il est partis sur Paris pour travailler.
Avant son départ, j'ai du le vider. Il m'avait demandé de prendre une chambre d'hôtel au formule 1, pas tres loin de Poitiers. Ce soir la, il m'avait défoncé dans les moindres recoins de la petite pièces, et c'était vidé sur moi et dans moi plusieurs fois.
Au lieu de me laver, j'ai eut le droit qu'à une douche dorée. Son jet était puissant.
Avec le début de la fac, et les premiers moment d'indépendance, je n'ai pas eut le temps n'y l'envie peut être (qui pourrait passer Apres Adam) de baiser. Ce n'est pas l'envie qui m'en manqué, mon cul criait famine apres deux mois à me faire ramoner 3 à 4 fois par semaine.
Cet après midi la, le temps c'était adoucis, le soleil montrait son visage. Je me baladais dans le centre ville de Poitiers quand j'ai décidé de m'acheter de nouvelle chaussures, des Stan Smith plutot en vogue à cette époque.
En rentrant à Foot Locker, je me dirigeais vers le rayon chaussures. Le vendeur, bien que mignon était plus occupé à regarder son téléphone que de m'admirer.
Alors que je regardais les différents coloris, je remarqua un homme, trentenaire, cheveux châtains et cours. Son t-shirt lui moulait ses pecs et son jogging adidas lui moulait le cul et le paquet. Je lâchais mon intérêts pour les chaussures afin de le reporter sur lui.
La chaîne qu'il portait autour du coup lui donne un air viril. Il essayait des Nike air blanche, qui bien que grosse, renforcé son côté mal Alpha.
Je pris un modele au hasard, et alla m'asseoir près de lui, sans le lâcher du regard. Ses bras étaient gros, ils semblaient puissants. Il se releva pour tester la confortabilite des chaussures. Son mouvement dégagé quelque chose d'animal. Ses épaules roulaient.
Il me regarda, une fois, puis deux, puis trois avant de se rassoir. Il enleva ses shoes pour remettre son anciennes paires, bien défoncé.
"Je vais essayé se t-shirt je pense" me dit il, avec un clin d'oeil.
Il se dirigeait vers la cabine, et se retourna avant d'y pénétrer. Son regard était transpercent, comme s'il ne me laissait pas le choix. Je jeta un coup d'oeil au vendeur, il était toujours absorber par le téléphone.
Je pris un article à la hâte, et m'engouffra dans la cabine. Il était la, assis, les jambes écartés.
"Il me va comment alors ?"
Je fondais devant cet homme, en écoutant cette voix.
"Bien, il te va bien"
"Et toi ? Tu va essayais quoi ?"
Je lui montrais le short rouge que j'avais pris.
"Essais le" cela sonnait plus comme un ordre qu'un conseil.
J'enlevais mon pantalon, et l'enfila.
Je faisais mine de me regarder dans la glace, bombant et cambrant mon cul pour l'aguicher.
"Un bon petit cul de pute ça"
Ces mots m'avaient fait rougir, je sentais des picotements sur les joues. Mon cul se réveilla, et se mis à mouiller.
Il était resté assis, et me tournais dans tout les sens, comme s'il souhaitais vraiment voir comment m'alle ce short.
"Enlevé le" ce que je fis. Il claqua des doigts, et mon montra son paquet qui avait bien enflé.
Je me mis à quatre pattes, et sortis le monstre de ce survet. Il ne portait pas de caleçon. Pendant que je m'occupais de son penis, faisant de long mouvement de bouche, il retira mon caleçon, et tripota mon trou.
Cette position bloqué ma tete sur son penis, et je m'efforcaus avec ma langue de le sucer correctement.
Il me mis une petite claque sur les fesses, puissante et violente mais insonore. Il prit ma tete, la bloqua avec ses bras musclé, et me baisa la bouche dans les règles de l'art.
"Debout"
Il enleva sa chaussure et sa chaussette, qu'il enfonça profondément dans ma bouche. Elle dégageait une odeur de transpiration.
"Comme tu fera pas de bruit pendant que je te féconde"
Il tapota son gland sur mon trou, puis enfonça ses doigts dans ma bouche, repoussant la chaussettes sale.
Il rentra d'un coup, ce qui me fit lâcher un cri ettoufé.
"Tu la sens bien là"
J'avais mal, comme si mon anus s'arrache. Il commença par des petits mouvements, restant bien à l'intérieur. Je mordais dans cette chaussettes, des larmes commençaient à couler.
Il sorta, laissant mon trou béant, vide. Puis il rentra brusquement, je voulais crier, mais rien ne sortais. Il fit Ca quelques fois avant que sa main ne me tienne par le bas du ventre, pendant que l'autre cambre appuyait sur le bas du dos pour me cambre.
Ses mouvements sont devenue de plus en plus rapide, et de plus en plus fort. Mon plaisir augmenta ausdi.
Je le regardais par la glace me défoncer. Ses doigts retournèrent dans ma bouche pour enfoncer cette chaussettes, et il attrapa son collier dans sa bouche.
Je sentais l'élastique de son pantalon sur mes cuisses, le petit cordon les fouettant au rythme de ses coups de reins.
Il s'enfonça complètement, et resta longuement comme ça. Il ne laissait échapper aucun gémissement. Il prit ma bite dans sa main, et recommença les mouvements. Il ne me branlait pas, mais avec ses coups de butoir, mon corps allait d'avant en arrière ce qui eut le même effet.
Je sentais la jouissance venir. Ses mouvements devenaient de plus en plus rapide. Son gland se gonfla, et je sentis ses jets à l'intérieur de moi. Je venait dans sa main.
Il me fit mettre à genoux, me força à laver son penis, et m'enfonca ses doigts remplis de sperme dans la bouche. Il remit son pantalon et sorta.
Je me rabilla rapidement, et sortis à mon tour. Il était à la caisse, m'attendant.
"C'est lui qui pais piur les chaussures."
Je sortis ma CB, et acheta les Nike, encore sous le charme de cette bite. J'avais l'impression d'être qu'une sous merde, uniquement la piur des besoins.
Il prit le sac, et s'en alla. Je me retrouvais bêta devant le vendeur. Je venais de réaliser ce qu'il s'était passé.
Quand je suis sortis, le soleil m'ebouillidsa. Il était la, adossé au arcades.
"Tiens le ticket de caisse, tu peux en avoir besoin". Et dans un mercu, il partis, roulant des épaules, et marchant comme une racaille.
Je me sentais laisé, honteux. J'allais chiffonner le papier, quand j'aperçu son numéro de téléphone.
Je regarda dans sa direction, il s'était arrêté, et me fit un clin d'oeil avant de disparaître dans la foule.
Ne vous inquiétez pas, Adam reviendra vite ;)
Slut
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