Je bossais dans une usine ou on fabriquait des pièces auto, rien de bien glorieux mais il fallait tenir le rythme. Un travail à la chaîne ou les gestes se répétaient encore et encore. Moi ce qui me motivais ? Les mecs qui m'entouraient, tous plus sexy les uns que les autres, ce qui pouvait donner des idées à ceux qui ont une imagination débordante. Depuis que mes collègues connaissaient mon orientation sexuelle, ils me charriaient souvent. Ils me demandaient souvent de leur raconter mes histoires de cul et parfois je les grillais en pleine érection ça me faisais rire et c'était surement ce qui me valu le surnom de la petite salope de l'usine. Bien-sur je m'efforçais de garder cette réputation j'aimais bien les voir s'exciter comme des porcs. J'étais quelqu'un d'assez malin et j'avais souvent un temps d'avance sur eux, j'assurais mes arrières sans mauvais jeux de mots et je savais quand ils parlaient de moi j'avais pour réputation de toujours finir par obtenir ce que je voulais. Et ce que je voulais c'était baiser avec chacun d'entre eux, je voulais les tenir car j avais des petits comptes à régler avec certains. Le seul qui me faisait vraiment bander c'était Arnaud mon collègue, il avait 42 ans mais il en paraissait 35. hétéro brutal, il terrorisait tout le monde au boulot. C'était une brute épaisse et dépourvu de coeur ou de sentiment. Il était froid, ne parlait à personne sauf pour nous remettre les pendules a l'heure ou nous prendre la tête. Il avait un corps d'athlète, une musculature très développée, un torse poilu et une grosse bosse que j'avais pu mater une fois dans le vestiaire. On avait pour habitude de dire que c'était un ours et un ours rarement de bonne humeur. Et si il avait autant de pouvoir sur nous c'est que c'était notre chef d'équipe et il jubilait d'avoir le dessus. On était jamais assez rapide, jamais assez sérieux, il ne faisait que des reproches ça n'allait jamais a son goût. Mais malgré tout ça je craquais pour lui. Je ne l'aimais pas d'amour et je ne l'aimais pas tout cours d'ailleurs je voulais juste qu'il me baise. Qu'il me prenne dans le vestiaire, me retourne et me plaque contre le mur pour s'enfoncer en moi. Ce n'était qu'une envie et je ne savais ni comment ni pourquoi j'en était arrivé à fantasmer sur celui que je détestais de plus en plus chaque jour.
Ce soir là j'étais dans le vestiaire. La journée avait été longue et comme tout les jours je me déshabillais pour prendre une douche avant de rentrer chez moi. Aucun de nous n'était pudique et heureusement car les trois cabines de douche étaient placées les unes à côtés des autres et elles n'avaient pas de porte. Autrefois il y avait des rideaux, mais il y a longtemps qu'il ne restait que les tringles. Mes collègues avaient déjà quittés les lieux et j'étais seul. J'avais traîné sur mon téléphone un moment. J'étais seul ça c'est ce que je croyais. J'étais prêt a mettre un pied dans le bac de douche quand la porte du vestiaire claqua. C'était Arnaud, j'avais oublié qu'il était là lui ! Il partait toujours un peu plus tard que nous. De toute façon il se mettait toujours à l'écart. J'étais enfin sous la douche, l'eau était réglée sous l'eau chaude au maximum et c'était agréable. Je me retourna pour essayer de mater discrètement Arnaud en train de se dessaper. Comme il se changeait rarement avec nous je ne connaissais pas trop ses habitudes je l'avais vu qu'une fois en caleçon. En me retournant je fus ravi de le trouver nu avec une serviette autour de la taille. Il allait prendre une douche et j'allais pouvoir le mater a poil. Quand il laissa tomber sa serviette, je me rendis compte qu'il avait une queue encore plus grosse que je l'avais imaginé. Une grosse queue comme on en voit dans les film porno. Une de celle qui vous défonce le cul quand elle vous pénètre. Je salivais d'avance de pouvoir jouer avec mais Arnaud était hétéro alors je n'avais pas vraiment ma chance mais je pouvais essayer. Il avait grillé que je le matais et me jeta un regard glacial :
- Qu'est ce que tu regarde ? Me lance t il avec sa voix grave
- Rien ... rien du tout ! Je baissa les yeux et me retourna lui présentant mon dos
- Tu me tourne le dos alors que je te parle ! C'est impoli ! me dit il fier de lui
il avait raison, mais il m'impressionnait et passait son temps à me parler sur un ton que je n'amais pas vraiment. Il avait peut être une dent contre moi.
- Si je te tourne le dos, c'est qu'a chaque fois que tu m'adresse la parole tu m'agresse... tu vois c'est pas pour rien qu'on te surnomme l'ours.
- Oui je sais, j'en ai écouté parler, mais je vous laisse m'appeler comme vous voulez votre avis m'importe peu.
Je n'avais pas encore eu de vrais discutions avec lui. C'était le chef alors quand on parlait c'était boulot mais là je sentais que le ton s'était apaisé :
- Je ne suis pas un ours tu sais ?
- En tout cas tu fais tout pour le paraître.
- Et toi ?
- Quoi moi ?
- J'ai entendu parler de toi ! me dit il avec un grand sourir.
- Ah oui ... et alors ... qu'a tu entendu dire ?
- Je ne sais pas, il paraît qu'on te surnomme la petite salope de l'usine.
- Ah on y vient. Il paraît oui et quoi d'autre ?
- Je sais pas il paraît que tu aime sucer et que tu es un bon passif.
- Dis donc toi ... tu m'as l'air bien renseigné pour quelqu'un qui ne sais pas
il se mit a rire. Je ne savais pas vraiment ou il voulais en venir avec cette discution. Lui qui ne parlait jamais semblait bien interressé de parler cul. Il reprit :
- Arrête de mater ma queue !
- Sinon quoi ?
- Tu es joueur toi ! Me dit il
- plus que tu ne peux te l'imaginer. Lui dis-je en passant ma langue sur mes lèvres.
- Je rêve ou tu me chauffe ?
Il l'avait à demi molle, mais je voyais bien que malgrès tout la situation commençait à l'exciter.
tu sais je suis hétéro mais tu m'as l'air d'être une bonne petite salope. Les rumeurs sont vrais et en pus t'es plutot bien foutu. Viens sous la douche avec moi je vais te déboiter.
J'étais loin d'imaginer que mon fantasme allait ce réaliser maintenant. J'y étais j'attendais ça depuis des mois et j'étais vraiment excité. Je l'avais déjà toute dure, pas très grande mais je me satisfaisais de mon 17 cm. Il entra le premier dans la cabine et je ne mit pas longtems a le suivre.
- Aller suce la ! Fais la monter ... montre moi ce dont tu es capable.
Sans pronocer un mots je m'executais. Je me mis à genouxet la prit entièrement dans ma bouche. Elle grossissait à vue d'oeil et je suffoquais, il avait l'air d'apprécier m'en mettre plein la bouche.
- tu suce bien ! Me dit il avec le sourir. Mais tu sais quoi je vais te la mettre ... Je vais te baiser comme une salope. Regarde comme tu l 'as fait dresser, tu l'as bien travaillée.
Il mit ses mains sous mes aisselles et me souleva d'un coup sec. A ce moment j'avais l'impression d'être tout léger alors que je faisais un bon 75 kg. Mes pieds ne touchaient plus le sol. J'avais décollé de quelques centimètre. Il me reposa à terre et me plaqua la tête contre le carrelage de la cabine de douche. J'avais le cul contre sa queue. Je me cambrais au maximum pour qu'il comprenne que cette reputation de salope me collait a la peau parce que je l'avais décidé. D'une main il me tenait la tête, me plaquant la joue contre le mur de la cabine et de l'autre il me lubrifiait le cul avec sa salive. J'etais au plus haut de mon excitation il ferait ce qu'il veut de moi, ce qu'il désir. Il frottait son gros gland contre mon trou comme pour me faire comprendre que j'allais prendre cher. Puis il se décida et enfonça sa queue sauvagement en moi. Je fus obligé de crier :
- C'est ça, voilà exprime toi petite salope ! Il m'insultait et devais prendre du plaisir a m'humilier.
Il avait placé son doigt dans ma boucheet m'écrasait toujours la tête avec sa paume. Ma jambe était posé sur le mitijeur ce qui ouvrait mon trou pour qu'il puisse me limer. Chaque coup de rein m'obligeais a me mettre sur la pointe de mon pied resté au sol. Ce qui était douloureux au début devenait un vrai plaisir partagé. Plus je criais, plus il l'enfonçait profondément. Je me branlais de plus en plus fort et de plus en plus vite. Il me déboitait comme il me l'avait promis. Il avait posé ses deux mains sur mes hanches et plus rien ne pouvait l'arrêter.
baise moi ! Lui dis-je emballé par mes pulsions sexuelles et mes envies que je ne contrôlaient plus.
Je vais jouir ! Murmura t il en fin de souffle entre deux respirations et deux coups de pieu.
Il se retira, me retourna et appuya sur ma tête pour me mettre à genoux. Il écrasa sa bite contre mon visage et dans un cri de bête il explosa sa semence sur moi. J'en avais partout. Je lèchais les filets de sperme qui coulaient sur mes lèvres quand il prit la parole :
Si jamais tu parle a quelqu'un de ce qui vient de se passer je m'occupe de toi c'est compris ?
Oui chef ! Lui dis-je d'un ton ironique.
Rigole mais fais attention
il venait de me menacer tout redevenait comme avant mais avec un petit plus, j'avais obtenu ce que je voulais et je pourrais faire pression sur mon chef on moment voulu...
Gantan
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