Un plan psychologique

Une première...

Bonjour à tous les lecteurs de Cyrillo et merci à Cyrillo lui-même pour ce super site.

Je suis lecteur de vos histoires depuis un moment et aujourd'hui, je me décide à partager une aventure... La dernière à vrais dire. Elle date d'avant-hier.

Je me présente rapidement. Je suis Alcide, un bear de 40 ans. 1m88, 90 kg, châtain clair aux yeux bleus, assez belle geule parait-il, poilu sans excès, barbe et cheveux courts.

J'ai longtemps été actif, voir dominateur et mon physique massif attire plutôt les petits passifs soumis, mais, au fil du temps, je me suis vu devenir plus passif et après quelques années je suis devenu très soumis, de plus en plus attiré par les mâles dominants et en particulier les jeunes machos, plus petits et moins balaises que moi, mais capable de me soumettre par leur mental alors que je pourrais les retourner d'un simple claque.... Ça, ça m'excite grave.

Depuis j'ai été soumis plusieurs fois, attaché, bâillonné, cagoulé... Mais là, c'était différent.

L'histoire commence bêtement sur grindr. Comme j'habite à la campagne, c'est rare de voir un mec à moins de 20 km sur cette appli, à part les quelques papy du coin ou des mecs trop coincés pour même envoyer une photo... En cherchant plus loin, je tombe sur un profil " Queue épaisse " sans photo et sans plus de détails que l'âge : 27 ans.

Comme j'étais un peu en chien depuis un moment, j'aborde avec les banalités d'usage et le mec s'avère plutôt bien collé à mes envies. Dominateur, aimant les chiennes dociles et cherchant à se faire lécher la queue et... Les pieds ! Et, oui, ça c'est grave mon truc. Je kiffe les pieds des mecs.

On discute un peu plusieurs jours de suite, on échange quelques photos hot, mais à chaque fois il y'a un truc qui cloche. Le mec ne reçoit pas, ne se déplace pas, est pressé, doit partir bosser... Bref, ça sent le mytho trop beau pour être vrai.

Quelque temps passe, je le vois toujours en ligne, mais rien de concret à part la promesse d'une " queue épaisse " à vénérer qui ne vient jamais. Jusqu'au jour où je dois me rendre dans la grande ville du coin pour le boulot et en regardant grindr sur la route, je vois sa distance réduire. 10 km puis 5, puis 2... Et enfin 500 m. Le hasard m'avait amené tout près du mâle alpha... Je le contacte.

Encore un plan galère ?

Je le vouvoie et l'appelle maitre depuis les conversations que nous avons eues sur grindr.
Je tente " Bonjour Maître, je suis tout près de vous. J'aimerais pouvoir lécher vos pieds et votre queue. "
Il me répond " OK, mais pas avant midi et seulement si je suis seul ".

Il est 9h30, j'attends et je fais ce que j'ai à faire quand il m'envoie un message à 11h30 pour me dire que c'est mort. Du coup je lui envoie une photo de mon cul et lui dis " bien maitre, je comprends. Si vous changez d'avis je suis à disposition, prêt à être à vos pieds pour vous satisfaire avec ma bouche de chienne docile.

Ça à dû le convaincre parce que 5 mn après, je reçois sa géoloc avec un message : "grouille-toi, viens faire ta pute, j'ai pas beaucoup de temps".

Ni une ni deux, comme j'étais en voiture, je lance le gps et en moins de 10 minutes je suis à 30 m du mâle alpha.... J'envoie un message pour l'informer.

"Je suis arrivé maitre"

"Ok, fais vite j'ai pas le temps et sois discret, c'est pas chez moi. Je te vois, j'ouvre la porte".
En effet, de l'autre côté de la rue je vois une silhouette dans l'entrebâillement de la porte d'un pavillon. J'y vais et rentre direct.

Une fois à l'intérieur il me tire vers le salon et me dis "fous-toi à poil !"
Je m'exécute sans dire un mot et en profite pour le regarder, car je n'avais eu que des photos de sa bite jusqu'à maintenant.

Plutôt beau mec, environ 1m75, ni gros ni mince, châtain clair, barbe courte et bien taillée clair, les yeux très clairs, mais le regard sombre. Il a un visage très jeune, pas du tout l'image du mâle dominant. Bien sapé, pantalon de costume gris et chemise blanche ajustés, chaussures de ville.... Plutôt école de commerce que racaille de banlieue.

Après avoir enlevé ma chemise, je retire mon pantalon en manquant de me casser la gueule, car je suis encore debout, tandis que lui matte son portable sans vraiment me calculer....

Je reste debout comme un con en slip et chaussettes, j'ai déjà une tache de mouille, car je suis très excité. Il lève les yeux sur moi et me dis seulement "j'ai dit à poil" et retourne à son portable.
J'enlève mon slip, attends quelques secondes et tout en tapant sur le clavier de son téléphone il me lance "Les chaussettes aussi" cette fois sans même regarder vers moi.

Je m'exécute en équilibre précaire et me retrouve donc entièrement à poil debout comme un con à côté de lui totalement habillé qui semble chatter sur son téléphone...
Sans toujours me regarder, il me lance "mets-toi à quatre pattes"
Je m'exécute en tentant un "oui maitre" qu'il sembla apprécier puisqu'il lâcha enfin son téléphone des yeux pour se diriger vers moi.

"Baisse la tête"

Toujours à quatre pattes, je prends soudain conscience de ma position très humiliante en réalisant que mon cul nu est bien offert au vent frais qui passe par la fenêtre ouverte. Heureusement, elle donne sur un jardin, et pas sur un voisin. Je baisse la tête entre mes bras comme exigé par mon nouveau maitre.
Il m'enjambe pour passer de l'autre coté et me tire un grande claque sur le cul qui me fait sursauter. Il se dirige vers un pouf et s'affale dessus puis retire ses chaussures.

"Viens lécher"

J'avance à quatre pattes vers ses pieds et commence à lécher ses chaussettes fines habillées. Il se laisse faire et reprend son portable. Après quelque seconde à lécher la chaussette droite, il pousse ma tête avec le pied droit, assez violemment pour m'amener au pied gauche et me maintient la tête avec en me disant "vas-y, lèche bien, comme une pute.... Tu kiffes mes pieds ?"
Je réponds "oui" et me prends une monumentale tarte dans la gueule.

"oui qui ?"
"oui maitre"

Et là, je me prends un crachat sur la gueule et un deuxième sur le dos.
Il décide alors d'enlever ses chaussettes et de me faire lécher ses pieds.

Pendant que je nettoie bien ses ieps, il se redresse un peu et me refout une claque sur le cul que je n'ai pas vue venir puis se réinstalle et dégrafe son pantalon pour sortir sa queue. Je lève les yeux pour mater l'engin, mais je me reprends une tarte suivie d'un mollard.

"T'occupes et lèches mes pieds, salope"

Déçu, mais très excité, je bouffe ses orteils, lèche la plante des pieds la gueule collée au sol comme une bonne petite chienne. Je suis tellement excité que je sens que je mouille abondamment de la queue. Je dirige ma main vers ma tige pour vérifier et je me prends une nouvelle mandale.

"Tu te touches pas, salope. Redresse-toi et mets les mains dans le dos"

Je m'exécute et à peine redressé, je reprends un combo tarte et mollard dans la gueule.
J'ai en effet bien mouillé et j'ai laissé une petite flaque sur le sol sous ma bite. Il regarde ma queue et constate l'humidité. Par réflexe, je mets ma main pour essuyer un peu. Réaction immédiate de claque dans la gueule.

"Nettoie tes doigts"

Il me fait lécher ma propre mouille !

Je lèche mes doigts puis il pose son doigt juste au-dessus de la petite flaque et me dis "lèche-la"
Me voilà donc à quatre pattes en train de lécher ma mouille sur le sol.

Quand il juge que le ménage est fait, il me fait redresser, les mains dans le dos, mais cette fois, il m'ordonne de fermer les yeux. Je reste quelques secondes et j'entends qu'il se branle. Je reste à genoux, a poil, les mains dans le dos et les yeux fermés à attendre en écoutant ses bruits de branle quand je reprends trois baffes qui me font vraiment sursauter puis une claque bien maitrisée venant par en dessous sur mes couilles bien tendues pas l'excitation.

Toujours les yeux clos, il retape mes couilles et me pince violemment les tétons en attendant suffisamment ente chaque action pour que je ne puisse pas voir venir. À chaque cri, il retape plus fort, mais je prends sur moi.

"Tu veux ma bite ?"
"Oui maitre"
"T'es sûr ?"
"Oui maitre, je veux votre bite s'il vous plait"
"Je ne sais pas si je vais te la donner, sale chienne"

Il me fait quémander et m'oblige à lui dire que je suis une bonne pute, une chienne docile à dispo, un bouffeur de panard.... Puis il me dit d'ouvrir les yeux.

Il enlève son pantalon dévoilant ses cuisses légèrement couvertes de poils blonds et un slip rouge à ceinture blanche de marque déformé par sa tige bien raide.

Il se rassoit sur le pouf et passe l'élastique de son slip sous ses grosses couilles dévoilant la queue épaisse promise. Il n'avait pas menti. Une belle queue, pas très longue, mais bien large entourée de poils blond bien taillés surmontant de bonnes couilles rondes et lourdes.

Je suis toujours à genoux quand il me fait signe d'approcher avec son doigt. Je me dirige vers sa bite à quatre pattes et approche mon visage de son gland bien gonflé. Quand j'ouvre la bouche pour la sucer il me dit "stop". Je m'arrête net à deux millimètres de l'objet de mes désirs. Il me laisse un peu mariner puis me dis "sens".

Je renifle cette grosse queue qui sent bon le savon et le mâle pendant un long moment, attendant de nouveaux ordres. C'est alors qu'il m'attrape violemment par la nuque pour bloquer ma tête et me biffle. Une fois de plus je n'ai pas vu venir. Sa tige est tellement dure et lourde que les coups sur mes pommettes me font vraiment mal. À un moment j'ai même peur qu'il me laisse une marque tellement il frappe fort sa bite sur ma gueule.

Après quelques secondes de ce traitement, il me gratifie d'un crachat et me dis bouffe mes couilles.
Je les lui lèche du mieux que je peux. Je passe de grands coups de langue dessous puis les gobe une à une pour les sucer. De temps en temps il me bifle à nouveau puis commence à se branler.

Ma frustration d'être si près de son chibre, mais de ne pas avoir le droit d'y toucher est immense... Je fais tout pour être une bonne chienne afin de mériter sa tige dans ma bouche... Il se branle un peu pendant que je bouffe ses couilles et, quand je suis convaincu qu'il va vouloir se finir dans ma bouche, il me repousse et m'ordonne de me remettre à quatre pattes.

Retour à la case départ.

Il se branle sous mes yeux, me dit de garder mes mains au sol. Il se redresse et approche son chibre de ma bouche...

"T'es une bonne salope, toi !"

J'ouvre la bouche tandis qu'il approche sa bite en se branlant. Il pose une main sur ma tête et....

L'enfoiré. Il jouit sur mes mains posées au sol... Une quantité hallucinante !

Complètement déstabilisé et frustré, je reste à quatre pattes avec les mains baignant dans le foutre.
Il part quelques secondes, reviens avec du papier, s'essuie et sans me proposer de m'essuyer les mains il me dit : "rhabille toi"

Je me suis rhabillé avec les mains pleines de foutre en essayant de ne pas m'en foutre partout. Puis je suis reparti comme ça.

Arrivé à ma voiture j'ai léché mes doigts et je lui ai envoyé un message.

"Merci maitre, j'ai kiffé. La prochaine fois j'espère mériter votre bite."

Il a répondu "on verra"

J'ai joui dans mon slip en voiture sans même me toucher...

C'est la première fois que je fais un plan où je ne me touche pas et où je ne jouis pas à la fin... Bizarrement, j'ai kiffé.

Affaire à suivre...

@alcide_sulfurik