Salut les gars.
Nouvelle histoire qui date un peu mais j'avais oublié de la publier
Je suis Alcide, un grand type massif, look bear, châtain aux yeux clairs. Cette histoire remonte à quelques temps, avant le 1er confinement.
Quand je suis en déplacement pour le boulot, j’essayes de me trouver des petits plans bien cho et sans lendemain entre deux rendez vous.
Cette fois là, j’avais une pause de trois heures entre deux clients mais, en dehors des grandes villes, on trouve un peu moins facilement de plans culs. Mathématiquement, les candidats sont moins nombreux et le peu qui reste est souvent timide....
J'étais à ce moment près d’une ville moyenne de France ou les mecs sont tous «discrets».
j’étais grave en chien avec une putain d'envie de sucer de la teube.
Ça faisait deux heures que j’étais dans ma bagnole sur une aire de repos déserte pourtant sensée être le lieu de drague le plus fréquenté du coin et quasiment personne sur les applis de rencontre ou alors à plus de 30 bornes de moi.
Je voyais pourtant un profil vide pas trop loin, alors, comme je n’avais rien à perdre, j’envoie une photo et un message direct en évitant les [salut-ça-va-tu-cherches] pour gagner du temps :
[mec de passage, je veux pomper direct Now]
Pas de réponse pendant un moment mais, juste avant que je me décide à le bloquer pour faire de la place, le mec m’envoie une photo de son corps à poil.
Un mec fin à la peau matte, musclé léger mais sec et dessiné, imberbe sauf une fine toison bien taillée au dessus d’une belle bite ambrée, longue, plutôt fine et légèrement arquée vers le haut mais surtout bien raide avec un beau gland gonflé un peu plus clair.
Suit un message : [22a rebeu actif à louer]
Normalement, je n’accepte pas les plans tarifés.
Je ne suis pas un top model mais mon look plaît a certains et j’ai toujours trouvé de quoi m’amuser gratuitement.
Mais la, je suis Cho depuis trop longtemps, donc, sans trop y croire et plus par curiosité qu’autre chose, je demande combien il veut pour se faire sucer.
Il est trop gourmand pour moi, 50€…. Je n’ai jamais eu besoin de payer pour baiser jusqu’à maintenant et de toute façon, je ne les ai pas sur moi. C’est la fin du mois… je suis raide.
Je lui réponds
[ non, désolé, je n’ai pas cette somme.]
Lui : [ t’as combien ? ]
Moi pensant couper court à la conversation :
[ il me reste à peine 20 ]
Lui : [ viens pomper Now ] et il envoie sa geoloc.
Parfaitement inattendu !
Du coup, C’est ma libido qui prend les décisions. je démarre et je me rend sur place.
Une fois garé près de chez lui, je le préviens par message et il me donne les indications pour arriver à son appart’ dans une petite résidence HLM plutôt classe.
[tu rentre direct, tu enlèves tes shoes, tu pompe, pas de blabla]
Le mec est direct…. J’aime ça.
Cinq minutes après, je suis devant la porte de l'appartement qu’il à laissée entrouverte.
J'entre un peu a tatin car Il n’y à pas de lumière et les volets sont fermés.
Je laisse mon sac et ma veste par terre dans l’entrée avec mes pompes et me dirige vers la seule source de lumière : une télé allumée.
Il n’y à qu’une pièce en L avec un coin cuisine et une petite salle de bain. Très peu de meubles, pas de déco... . Juste une chicha et des feuilles à rouler au milieu de télécommandes posées sur une table basse, une console...quelques fringues... Spartiate.
L’appart est en bordel mais propre.
Sur la télé passe un film de cul hétéro.
Le mec que je n’avais pas encore vu, me dit
« viens la ».
Il était sur son canapé convertit en lit dans le retour caché du L de l’appart.
Je découvre un jeune prince arabe en djellaba blanche très fine et presque transparente, à moitié allongé en travers du lit, le dos calé sur une multitude de coussins les pieds nus posés au sol sur un tapis oriental.
Il est nu sous sa tunique, les jambes écartées et se caresse la bite déjà raide à travers le tissus. Son visage est doux mais j'ai l'impression qu'il se donne un genre macho pour donner le change.
Je m’approche et me mets à genoux au pied du lit. Il ne dit rien et regarde les meufs qui se font défoncer dans le film de boule. Je me dis qu’il doit faire partie de ces petits hétéros qui se font pomper par des mecs quand il sont en mal de meufs….
Il me dit : « fais toi plaiz »
Je caresse ses pieds nus et ses mollets légèrement poilus, glisse mes mains sous la djellaba, le long de ses cuisses fines et musclées. Je m’y attarde un peu avant d’explorer plus loin le haut de son corps ferme et lisse…
il tire sur le tissus qui le couvre encore pour me dégager le passage, libérant sa bite dressée vers le plafond au dessus de deux belles couilles rondes et rasées avant de croiser négligemment ses bras derrière sa tête.
Le petit prince se laisse faire en pacha.
Il est superbe dans la seule lumière bleutée de l’écran.
Je caresse son ventre, ses pectoraux, jusqu'à ses epaules... Tout est chaud lisse et doux. Je fais courir mes doigts autour de ses petits tétons sombres et bien dardés. Sa peau est douce et duveteuse par endroit. Il sent l’homme et la savonnette.
Au fil de mes caresses, mon visage est maintenant au dessus de sa verge tendue.
Je respire son odeur de jeune mâle.
Concentré sur son film, il ne semble pas me calculer.
Alors que je continue mes caresses pour faire durer l’instant, il pose une main sur ma tête et appuie fermement pour diriger ma bouche vers son membre.
J’ouvre la bouche naturellement et engouffre la jeune tige entièrement.
Il lâche un petit soupir et maintient sa pression sur ma nuque. Il m’impose une gorge profonde à la première bouchée…. Ce mec est incroyable !
Je tente de satisfaire à son exigence et retiens ma respiration jusqu’à ce qu’il relâche son emprise.
Il me libère et m’ordonne : « suce ! »
J’obeis et le pompe du mieux possible.
J’y mets tout mon savoir faire, jouant avec ma langue autour de son gland, serrant mes lèvres sur sa hampe pour lui donner une pipe serrée comme une chatte. J’alterne les mouvements lents et profonds avec des succions rapides. Parfois j’aspire son gland comme pour le faire gonfler encore plus.
Puis il reprend ma tête entre ses mains et commence à jouer du bassin. Il m’impose un rythme lent et ample pour me baiser la gueule. Je ne bouge plus et me comporte comme un sex toy à sa disposition..
Il lâche ma tête et m’ordonne alors de lui bouffer les couilles pendant qu’il se caresse lascivement la bite en se pinçant un téton.
Il me lâche alors : « tu kiffe les ieps ? »
Moi : « grave oui ! »
Lui : « alors vas y »
Me voilà allongé par terre en train de lécher ses beaux pieds qu’il à gardé au sol pendant qu’il se branle, cette fois énergiquement….
Je lèche ses pieds, puis les prends dans mes main pour les lever un et sucer les orteil un par un. Je lèche la plante, respire l'odeur musqué a pleins naseaux.
Tout a coup, Je comprends qu’il veut en finir et réussis à sortir ma bite de mon fute pour me branler à mon tour sans arrêter le lécher.
Sa respiration s'accélère et je sens son corps se tendre... Je me dis qu’il va sûrement jouir sur son ventre alors, pour ne rien gâcher, je lui demande de me donner son jus.
Lui : « tu le veux ou ? »
Moi : « sur la gueule stp »
Il se redresse juste ce qu’il faut pour s'assoir au bord du lit et que sa queue soit au dessus de ma tête pendant que je lèche ses orteils. Il reprend sa branle plus vivement.
Quelques secondes après, je l’entends souffler et j’ai juste le temps de quitter ses pieds et de me redresser pour pouvoir recevoir trois longs jets de foutre sur la gueule…..
Je m’astique alors à fond pendant qu’il se vide sur moi avec un gémissement contenu suivit de halètements virils.
Une fois purge, Il essuie un peu son zob sur mon visage, me colle deux trois biffles en le secouant pour évacuer les dernière goûtes puis se lève et se dirige vers la salle de bain sans en avoir rien à foutre de mon plaisir. De toute façon, je suis tellement excité que je jouis en moins d’une minute.
Je lâche mon jus sur le sol en regardant le corps long et fin du petit prince arabe se découpant en ombre chinoise à travers le tissus de la djellaba filtrant la lumière de la salle de bain et le regarde se laver la queue au lavabo.
Il ne m’a finalement pas demandé d’argent.
J’aurais put me tirer comme ça mais je lui ai quand même laissé mon billet de 20.
Ça les vaut et il m’a semblé qu’il en avait besoin.
Alcide Sulfurik
alcide.sulfurik.x@gmail.com
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