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Premier épisode

Tradition Grecque | 2

Voilà près de deux semaines que mes vacances à Arcachon ont commencé... et de quelle façon !
D’ennuyeuses leçons de rattrapage en grec ancien j’ai connu l’apprentissage sexuel dans les bras de Romain, mon bel éraste.
Bien entendu cette première leçon voilà une semaine ouvrait un chapitre nouveau. Assez naturellement, un rituel de cours s’était institué entre nous.

Après un ennuyeux week-end (que la compagnie des autres paraît fade après avoir connu un tel émerveillement), je reprenais mes cours le lundi suivant et une chaude habitude s’installa dès le premier jour entre Romain et moi-même.
Pour parfaire mon apprentissage, nous étudiions mes leçons (officielles) pendant une courte heure, puis nous passions aux travaux pratiques et physiques. Je goûtais chaque jour avec plus de gourmandise encore l’anatomie de Romain : ses lèvres, son corps, sa teube, ses couilles... il m’a enseigné les délices de la feuille de rose, la sensation exquise de sa raie sur ma langue, que je pratiquais innocemment, en pur passif, simplement pour le plaisir d’être soumis. J’adorais.
Il m’initia aux différentes positions par lesquelles il m’enculait, alternant à chaque fois le rythme, les lieux, me baisant dans tous les endroits possibles, sur la terrasse au risque d’être vus par les voisins d’une seconde à l’autre, dans la salle de bains, sur la cuvette des toilettes, sur la selle de mon vélo, même dans la cuisine, où j’eus l’honneur de me faire saillir contre le frigo. Je prenais mon pied en chevauchant sa queue, je me sentais alors comme une meuf sur son mec et ne résistais à aucune de ses demandes.
Plus délicieux encore, ses pieds. Romain avait remarqué que je matais et caressais souvent ses panards, sans oser aller plus loin. Des pieds grecs (ça ne s’invente pas !), beaux, bronzés et faisant un bon 43. Romain me montra comment faire et je les savourais, écrasant ma langue sur sa plante pour la remonter jusqu’aux orteils, suçant le plus gros pour le faire jouir encore plus fort.
Parfois Romain mêlait l’utile à l’agréable. Si je réussissais mes exercices de thème ou de déclinaisons, il m’offrait une partie de son corps pendant quelques minutes, histoire d’entretenir le désir jusqu’à la seconde partie de nos cours... le branler, le sucer, lui lécher le cul faisait partie du jeu, mais si je performais alors il m’offrait ses pieds...
À la fin de la semaine n’y tenant plus nous baisions, rien que baiser. Romain estimait mon niveau de grec plus que satisfaisant, comparant mon habileté à traduire aussi fine que ma langue à sucer son gland et recueillir chaque goutte du sperme qu’il pouvait faire gicler sur mon visage.
Je m’attachais à lui, d’un rapport très particulier. Pour le dernier jour, mes parents lui ont proposé de venir dîner à la maison. Je redoutais cette perspective tout en demeurant excité de devoir jouer la comédie en leur présence. L’après-midi de notre dernier cours fut intense, nous baisâmes furieusement. Alors que je chevauchais Romain comme une meuf, je lui proclamais ma soumission « Merci mon amour, tu m’as rendu tellement salope, tellement femelle, je ne veux que ça, baise-moi et dresse-moi encore ! ».
J’étais déglingue, mais cela transcendait mon éraste et le fit jouir abondamment dans mon cul.
Nous fîmes à nouveau l’amour trois fois, je lui vidais complètement les couilles et ne recueillais au terme de cet après-midi que quelques gouttes blanches de son gland.
Avant de nous quitter pour nous retrouver le soir à dîner, il m’offrit un plug. Nous n’avions pas eu le temps d’explorer aussi ces plaisirs annaux, mais il me demanda comme un dernier défi de le porter tout au long du dîner. Il me l’introduisit progressivement avant que je me rhabille. D’abord douloureuse, la sensation de cet objet de fantasme me fit bander, à mesure que mon trou s’habituait à l’épaisseur du plug, avant de se refermer sur lui et le garder au chaud. Je me sentais tellement pute de garder ça dans la chatte. Mais j’obéissais. Je le voulais.
L’air de rien je revenais chez moi, me douchais et me préparais. J’avais mis un chino bleu marine un peu moulant, histoire qu’un regard attentif puisse déceler la forme coupable de mon cul... et à quel point j’étais une petite vicieuse.
Ma mère me pressait de sortir « Dépêche-toi de venir, Romain est là avec son ami ! ».
Son « ami ! » ? Moi qui pensais le voir seul...
L’ « ami » en question était un collègue de son lycée venu le voir pour le we. Il s’appelait David et était prof d’EPS. Si je me représentais déjà ce qu’était un mec selon mon goût avec Romain, force est de reconnaître que son collègue aller encore au-delà... un mètre quatre-vingt-dix à l’aise, un teint halé que trahissaient de longues heures de sport en plein air, son visage était sec et ses traits étaient minces, de beaux yeux marrons et une calvitie naissante qui l’a conduit à se raser le crâne. Son corps était manifestement celui d’un athlète (David m’apprit qu’il avait fait de l’athlétisme à haut niveau, décathlon et saut à la perche notamment), moulé dans sa chemise je devinais des pecs saillants, des bras et des jambes musclés. Quant à ses pieds... je dirai un 44 voire 45. De quoi s’amuser.
Alors que le dîner se poursuivait, je faisais le service, en bon fils de famille. Si nos invités maîtrisaient l’art de converser avec mes parents sans donner l’air de s’ennuyer, je surprenais à la volée quelques regards et propos complices entre eux, alors qu’ils me regardaient en souriant, un peu l’air moqueur.
Je voyais clairement que leurs yeux se dirigeaient vers mes fesses et le plug qui s’y logeait. Cela me gênait et me mettait aussi en colère. David regardait dans cette direction chaque fois que je me levais et me tournais. J’enrageais et dans ma colère mon instinct de salope prit le dessus. Je me mis en tête de le provoquer. Après tout, s’il savait, c’est qu’ils devaient partager plus que des classes avec mon éraste.
Je prenais alors un malin plaisir à me dandiner un peu sur ma chaise, trouver tous les prétextes possibles pour me lever et tortiller du cul en allant vers la cuisine (mes parents lui tournant le dos, aucun risque d’être remarqué !). J’allais même jusqu’à faire tomber un couvert et prendre le temps de me pencher, mettant en valeur ce qui me trouait depuis plusieurs heures. L’évidence était telle qu’elle n’aurait échappé à aucun oeil qui aurait croisé la scène.
Le dessert arrivant Romain demanda les toilettes et à la demande de mon père je l’y conduisis. La tension était trop forte et j’avais envie de tout transgresser ce soir, quitte à lui tailler une pipe dans les chiottes, à quelques mètres de la table familiale ! Arrivés dans le couloir, je poussais à son oreille un petit gémissement et lui mettait la main au paquet. Romain m’arrêta net en m’empoignant fermement l’avant-bras.
« Non, pas ici », me dit-il, d’un ton qui ne souffrait aucune discussion.
J’étais frustré. Ma colère avait redoublé. Quel connard, après m’avoir autant excité, me laisser en plan et m’obliger à finir ce putain de repas qui n’en finissait pas !
Mon irritation m’ôta alors toute excitation. Ce plug me gênait plus maintenait qu’il ne me procurait du plaisir. Je revenais à table et pris sur moi de jouer la scène jusqu’au bout. Nous parlâmes de mes résultats et Romain me complimenta sur mon niveau de grec, parfaitement adéquat pour ma future année de prépa (le connard, il pouvait bien me lécher le cul, on l’a bien payé pour ces cours non ?). Le repas se finit vers minuit, sans même que Romain me proposa de venir passer le voir avant son départ dimanche. Il me dit au revoir avec son gusse sur le palier de l’entrée, sans que je ne puisse le raccompagner jusqu’à sa voiture et espérer lui arracher je ne sais quoi avant qu’il ne parte.
J’étais furieux, dépité et surtout frustré. Je n’avais pas eu toute ma dose de cul. Sa présence et sa demande incongrue de porter un plug m’avaient chauffé pour rien !
J’enlevais le tout avant de me coucher, sans pour autant avoir l’envie de le jeter. Je me mettais au lit en me disant que je conclurai la journée par une branlette lorsque mon téléphone vibra.
C’était Romain.
« Alors mon bel éromène, toujours chaud ? »
« Tu parles enfoiré, tu m’as planté, maintenant je fais quoi ? »
« Détends-toi, ce n’est que la première partie de la soirée. Remets-toi le plug dans le cul et rejoins-nous. Au bout de l’allée du père Ozil. »
Malgré mes dénégations et la peur de faire le mur, Romain fut ferme et me convainquit. Me barrer en pleine nuit pour me faire éclater le cul ajoutait encore plus de transgression et d’interdit. L’envie fut plus forte.
Dans la pénombre je me remettais un peu de gel et le plug qui me rendit à mon excitation du jour. Je me rhabillais légèrement : pas de sous-vêtement, juste un short en jean élimé et un t-shirt, avec un cardigan en laine fine (on reste à Arcachon quand même !).
Je m’assurais que mes parents dormaient et passais par la fenêtre. Aucune maison allumée dans le voisinage immédiat, je prenais avec mille précautions mon vélo et ne l’enfourchais qu’une fois dans la rue.
L’allée du père Ozil n’était pas très loin, la ville étant calme à cette heure je pédalais assez vite, armé de ma lumière, pour m’y retrouver. L’air frais, l’inconnu de ce qui allait venir et l’interdit que mon milieu jetait sur mes fantasmes finissaient de m’exciter. Je bandais librement, mon short imprimait une barre latérale qui, de conserve avec le plug, me serrait dans ce qui n’était plus qu’un bout de tissu tordu.
J’arrivais dans l’allée qui se finissait en cul-de-sac, devant une grille qui donnait sur un domaine forestier dont l’accès était interdit au public. J’envoyais rapidement un message à Romain, le souffle court, craignant d’éveiller les soupçons du voisinage.
« C’est quoi ton truc, il y a un portail ! «
« Ouvre-le imbécile, gare ton vélo derrière à l’abri et prend un sentier qui descend sur la droite ».
En effet la poignée céda et après un léger grincement je pénétrais dans cette forêt obscure. Je ne savais si ce sentiment d’appréhension était de la peur ou une forme de tension, celle qui précède l’acte sexuel que l’on attend.
Je garai mon vélo, refermai la grille et à l’aide de la lumière de poche de mon portable, j’identifiais un chemin sinuant sur la droite, en direction du contrebas.
J’avançais prudemment dans la pénombre alors qu’une main vient brusquement se poser sur ma nuque. Je n’ai pas eu le temps de réagir qu’une langue vient se loger dans ma bouche. J’écarquillai les yeux et passées quelques secondes de stupeur je reconnus le visage de David.

Puis d’autres mains vinrent se poser sur moi, caresser mon corps, mon paquet, mon cul... je me laissais faire avant de prendre le rythme des assauts buccaux de David. Ma bouche prenait la sienne en rythme et nous nous roulions une pelle d’enfer. Il se retirait de temps à autre, jouait avec sa langue pour mieux m’exciter et reprenait généreusement ma bouche.
Après quelques secondes il se tourna vers Romain qui me palpait pour le complimenter « Tu sais t’y prendre comme toujours. À première vue c’est une belle petite salope que nous avons là ! ».
Romain et David n’étaient pas seulement des potes de baise, ils partageaient les mêmes jeunes minets, ils les dressaient et s’éclataient avec eux. J’étais le numéro suivant et cette perspective me donnait envie de me surpasser. Cette première à trois conclurait mon apprentissage.
À mesure que David me galochait, Romain déboutonnait mon cardigan et ma chemise... je finissais torse nu, puis David se mit à genoux pour ôter mon petit short, me mettant à poil en quelques secondes.
Romain prit le relais de David dans ma bouche, alors que je sentis la délicieuse sensation de David qui commençait à me sucer. Puis il se redressa et nous nous roulâmes une pelle à trois. La sensation de leurs langues entremêlées était magique, elle finissait de me rendre définitivement salope à mes deux mâles.
Puis mes amants de ce soir me firent faire quelques pas et, à la lueur très claire de la pleine lune, je vis une couverture, avec un tube de gel posé dessus. Ces salauds avaient bien préparé leur coup.
J’ôtais mes tennis, mon short et me mis à genoux sur la couverture, alors que mes étalons enlevaient leurs fringues et se présentèrent à poil devant moi. Debout, cuisses écartées et sexe bandé.
Je connaissais bien celui de Romain, beau, doux, bien proportionné. La tige de David m’offrirait enfin l’occasion de sucer ce que j’appellerais une grosse bite. La sienne faisait bien 20-21 cm, elle était raide, très légèrement courbée et présentait un gland rond et luisant. Belles couilles rasées et, comme je l’avais deviné pendant le repas, un corps athlétique, dessiné, sec, de belles cuisses et un bon 45 de panards.
Sans dire un mot, je compris le langage corporel de mes profs. Je saisis leurs deux queues et me mis à les pomper alternativement. Cette séance de fellation était exquise, je suçais vigoureusement leurs verges, comparant leur grosseur, leur texture, leur goût.
« Putain elle suce comme une reine », s’exclama David.
Alors que je continuai mon pompage, Romain et David se roulaient de bonnes pelles de mecs, soupirant et gémissant sous les assauts de ma langue. Je leur léchais les couilles, reprenais leurs queues tout en les branlant et tétais leurs glands ensemble dans ma bouche.
Je bandais comme un fou et leur lançais des regards de pute suppliante.
David passa alors derrière moi et en bonne femelle je comprenais le message. Je me mis donc à quatre pattes, écartant bien mes cuisses et creusant mon dos pour mettre en avant ma croupe. David commença par ôter le plug et flatter ma chatte ouverte qu’il se mit à lécher amoureusement. Sa langue tapissait ma rondelle de salive pendant que je continuais à sucer (pour la quatrième fois de la journée) Romain.
Après avoir léché et baisé mon petit cul, David se cala derrière moi. Je sentis la sensation glacée et fugace du gel sur mon trou tandis qu’il se massait sa belle bite raide avec.

Je sentis son gland caresser ma chatte avant de doucement la pénétrer. Après quelques efforts il se glissa sans problème, m’arrachant un cri quand d’un seul coup de rein il me fit avaler ses 21 cm. Puis nous prîmes un rythme de baise, David m’enculant avec vigueur et moi suçant Romain. Par instants, David posait ses mains de part et d’autre et continuait de me baiser, son corps venait épouser mon dos et son visage se rapprochait du mien.
Nous nous partagions alors la queue et les couilles de Romain, nous langues et nos bouches affamées le dévorant littéralement.
Romain fut le premier à céder. Il se branla avec force et jouit sans retenir ses râles de plaisir dans cette forêt obscure. À force de l’avoir purgé dans la journée il ne gicla que quelques gouttelettes que je suis venu recueillir avec ma langue comme des reliques.
Galvanisé par l’orgasme de son partenaire, David m’encula de plus en plus fort. Il éructait comme une bête en furie, glissait sa langue sur moi comme un porc et j’adorais cela.
« Prends ça ma pute, tu es tellement beau avec ta petite gueule d’ange, on a envie de te violer. Je vais te baiser jusqu’au bout, de féconder ma belle ».
Il se retira brutalement et me retourna sur le dos. Je gémissais plus fort encore quand il me pénétra de nouveau. Ses bras musclés soutenaient mes jambes outrageusement écartées. Romain n’était pas en reste et s’accroupit au-dessus de moi pour m’offrir ses couilles à lécher.
Nous continuâmes à ce rythme d’enfer pendant de longues minutes. Les cris rauques de David répondaient à mes gémissements étouffés par les boules de Romain dans ma bouche. Mon sexe était raide et ne résistant plus au plaisir de mon trou écartelé je jouissais après m’être branlé. Le sperme est venu se répandre sur mon torse, que Romain lécha avidement sur les replis de mes jeunes muscles.
« Hmm du bon lait frais, ta sève est délicieuse mon beau », me complimenta-t-il, en se penchant pour la partager avec moi. Il se coucha à côté de moi pour assister à la fin de la saillie. Il passa son bras derrière ma nuque, caressant mes cheveux et m’embrassant tendrement sur le visage et les lèvres. C’était comme un geste de tendresse pour compenser la brutalité des coups de bite de son collègue.
« Là, ma douce, tu es tellement belle quand tu te fais prendre. Encaisse mon ange, David va bientôt honorer ta chatte de son lait ».
Sa prédiction se réalisa dans les instants qui suivirent. David intensifia ses efforts puis se raidit, le visage pétrifié par l’orgasme, serrant les dents pour jouir au maximum.
« Prends ça dans ton cul salope ! ». Je sentis alors les longues décharges de foutre se tasser au fond de moi, son sperme me fécondait, j’étais plus que jamais une bonne femelle à jus.
Après être resté une minute encore dans mon trou, il en extirpa sa queue et me la donna à lécher.
Puis nous restâmes allongés tous les trois un long moment, sous la lumière de la lune. Je les remerciais pour le plaisir que j’avais pris, les caressant sensuellement, me collant à eux en couinant encore comme si j’étais en manque. J’eus même l’audace de m’occuper des pieds de David, ma langue experte finissant par l’exciter à nouveau. À mesure que je le faisais grimper, profitant de ses panards il se remit à se branler et m’offrir en bouche sa deuxième giclée de la soirée. Je tétais comme un petit bâtard, la tête couchée sur son bas-ventre, la queue de mon amant glissée dans le gosier. Ce moment de détente passé nous nous relevâmes et nous rhabillâmes. Romain n’oublia pas, à ma demande et dans un dernier geste tendre, de m’empaler à nouveau avec le plug.

Romain et David me saluèrent par une dernière pelle, chacun leur tour.
Je demandais à Romain si nous aurions l’occasion de nous revoir, je demandais encore à être initié.
« Tu n’as plus besoin d’initiation maintenant, tu connais les bases du sexe entre mecs, mon enseignement est terminé. Maintenant il faut que tu profites à fond. Baise tant que tu peux, suce, encule et fais-toi enculer, expérimente tous les plaisirs qui s’offriront à toi : exhib, touzes, bisexualité, tout ce que ton instinct te dictera. Je repars demain avec David, si un jour tu repasses vers chez moi passe-moi un coup de fil ». Et il me remit on 06.
Les garçons s’en allèrent dans la direction opposée de l’entrée et je quittais les lieux par où j’étais entré. Le retour dans le silence des allées désertes, le vent frais caressant mon visage où demeuraient des traces de sperme séché finirent de me rasséréner. Mon cul me faisait mal, mais au fond cela me rendait fier de ma performance. J’étais heureux de ces instants magiques. Mon odyssée du sexe ne faisait que commencer.

Mathieu

stollimatt@yahoo.fr

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