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Premier épisodeÉpisode précédent

Confiné chez mon Maître Cuir

3 | Routine

Le premier jour repris sur une note plus normale. Notre déjeuner fut tout à fait agréable et nous parlâmes de choses et d’autres comme deux amis qui avaient l’habitude de déjeuner ensemble, comme si nous n’avions pas passé ces premiers moments à baiser sauvagement, comme si je n’étais pas vêtu de cuir et mon maître pas dans le plus simple appareil.

Après avoir installé mes affaires, il apparu vite que nous ne pouvions véritablement nous détourner de notre vie normale éternellement. J’avais toujours des cours à suivre de mon université, même si tous mes professeurs n’avaient pas encore pris le pas de cette période étrange. Mon maître m’avais mis son ordinateur à disposition et je suivais des cours par correspondance. Heureusement, aucun professeur ne me demandait d’allumer ma caméra, je me demande quelle tête ils auraient fait en me voyant habillé ainsi.

De son côté, mon maître avaient quelques affaires à régler pour son travail, il devait appeler ses collègues pour organiser avec eux la fermeture forcée de son bar fétichiste. Rapidement, cependant, il n’eut plus grand-chose à faire alors il me déposa un baiser dans le cou et se plongea dans la lecture d’un livre sur son canapé (ais-je besoin d’en préciser la matière?). Il s’était rhabillé depuis le repas et portait joliment un tee shirt en lycra gris moulant faisant ressortir ses muscles ainsi qu’un splendide pantalon en cuir. De temps en temps, le cuir de son pantalon ou celui de mes vêtements crissait lorsqu’il se frottait à quelques chose. À chaque fois cela m’excitait et j’eus quelques problèmes à me concentrer sur mes cours.

Lorsque j’en eus fini de mes leçons. Je me levai et alla m’asseoir à côté de lui. Il se sortit de sa lecture et me sourit. Il déposa son livre sur une table de chevet et tapota le canapé juste à côté de lui.

– Viens ici Titus.

Je ne me fis pas prier. Je me décalai de quelques centimètres vers lui et m’allongeai en posant ma tête sur son pantalon de cuir. Il posa une main sur mon torse en cuir, une autre sur ma tête et me caressa mes cheveux.

– Alors Titus, comment ça s’est passé ?

– Difficile à suivre, mais j’ai un bon niveau alors ça aide.

– Tu es content d’être ici ?

– Oh oui maître ! J’ai l’impression de rêver !

– Haha tant mieux, je vois qu’on prend tous les deux du plaisir. Si ça doit durer deux semaines, autant qu’elles soient au mieux. Tu aimes porter du cuir ?

– Tellement !

– C’est désormais comme ça que tu seras vêtu.

– Génial

– Tu aimes ton nouveau statut de soumis ?

– Oh oui maître j’adore !

– Et à quel point es-tu prêt à te soumettre à moi ?

– Autant que tu le veux, comme tu m’as fait le dire tout à l’heure, soumis à ta volonté et à chacun de tes ordres.

– N’importe lequel ?

– Bah… après bien sûr je ne veux pas me mettre en danger ou me faire du mal, tu comprends ?

– Haha oui ne t’inquiète pas, je suis ton maître, pas ton tortionnaire ! Je ne te ferais jamais aucun mal et si tu as peur de quelque chose, dis le moi. Maintenant j’attends que tu m’obéisses et que tu te comporte comme la chienne que tu es. Tu as fais ça à merveille jusqu’à maintenant.

– Maître je ne suis ici que dans le but de t’obéir.

– C’est très bien. Fais comme chez toi ici, mets toi à l’aise. Mais n’oublie pas que je suis ton maître et que tu m’appartiens. Nous allons devoir nous occuper pendant ce confinement, mais nous n’allons pas pouvoir faire que nous amuser. Il n’empêche que même si nous ne baisons pas, je reste ton maître et supérieur. Toute la journée, du matin jusqu’au soir et dans le lit. Surtout dans le lit. Je vais m’occuper de toi. Bien m’occuper de toi. Crois moi, tu sortiras changé d’ici, à force de vivre 24h sur 24 sous ma domination. Je vais te dresser et tu vas m’obéir. Et tu vas aimer ça. Tu deviendras accro à ma bite, à mes ordres, accro au cuir plus que tu ne l’es déjà. Je vais détruire cet être innocent qui se cache malgré tout toujours en toi. Je vais le transformer en une bête de sexe et de cuir que tu ne pourras plus nier, à jamais. Tu deviendras comme moi, mais en soumis. Je doute qu’à la fin, lorsque tu repartiras chez toi, tu tiennes longtemps sans te précipiter chez un inconnu pour qu’il te baise comme moi je t’aurai baisé. Tu demanderas des bites à la chaîne, parfois deux en même temps, parfois trois. Une seule bite ne te suffira plus dans ton petit cul de chienne que tu seras devenu. Tu va déguster toutes les bites de paris. Et tu va commencer par la mienne.

J’étais fasciné par ce qu’il disait. Un peu apeuré mais fasciné. Le pouvoir de domination qu’il avait sur moi agissait efficacement. Sans me laisser le temps de répondre, il souleva ma tête, baissa sa braguette et me fis me retourner pour mettre ma bouche face à sa bite sortie. Tout comme la première fois, il m’enfonça sa bite dans la bouche et me bloqua la tête de ses mains. Je me mis à le sucer avec ardeur. Il devait avoir raison en soi, j’adorais ça. La bite était mon plat préféré. Il me força à le sucer dans cette position un certain temps. Puis il me demanda de me mettre à genoux sur le sol, et de le sucer ainsi devant lui, à mon rythme pour ne pas endolorir ma mâchoire. Lorsqu’il vit que je faisais ça bien, il se cala confortablement sur le canapé, repris son livre et continua la lecture.

Et cet ainsi que je passais ma fin d’après-midi sur les genoux devant lui à lui lécher avidement sa teub, mes mains sur le cuir de son pantalon. Je faisais des pauses parfois pour apaiser ma bouche et mes rotules, mais toujours rapidement je me remettais au travail.

Je continuai ainsi jusqu’à ce qu’il me dise d’arrêter, à peu près deux heures plus tard. Il posa son livre, à présent bien avancé, s’abaissa jusqu’à moi et m’embrassa goulûment. Puis il se releva, refit sa braguette et se dirigea vers la cuisine. Épuisé, je m’affalai sur le canapé.

– Ce soir on va manger du mou ! Je sens que tu n’as pas trop la force de croquer des trucs !

Il me regarda en riant, je ris aussi puis fermai les yeux pour faire une sieste.

Après le dîner, nous nous assîmes tous les deux sur son canapé pour regarder un film à la télévision. Nous étions comme un petit couple, collé l’un à l’autre, à nous faire des bisous de temps en temps. Drôle de couple tout de même, l’un recouvert de cuir, l’autre portant aussi un pantalon en cuir. Tout en regardant le film, je lui massait sa bite à travers son cuir. Lui me tâtait les tétons à travers le mien. C’était bon. C’était agréable d’être là à se détendre dans les bras l’un de l’autre.

Lorsque le film fut fini, et après nous être préparés, nous nous rendîmes dans sa chambre. Là il se déshabilla complètement et me dit de faire de même. Je retirai donc, un peu à regret le cuir qui m’avait habillé depuis ce début d’après-midi. Cela ne faisait même pas 12h que j’étais là mais j’avais déjà l’impression d’avoir vécu mille aventures. Je déposai au pied du lit la chemise, le pantalon et le jockstrap. Mon maître retira du lit le pardessus en cuir sur lequel il m’avait enculé tout à l’heure. En dessous, les draps étaient déjà faits, comme un lit normal. Il ajouta deux oreillers puis se glissa nu dedans.

– Viens ! Il ne fait pas froid la nuit alors pas besoin de vêtements haha ! Puis on va se réchauffer tous les deux.

Je le rejoignis donc dans son lit, nu moi aussi. Une fois allongé, il se rapprocha de moi et me pris dans ses bras. C’était la première fois que nous joignions nos corps nus l’un contre l’autre, c’était très agréable. Je sentais sa peau contre la mienne, ses jambes se mêlant aux miennes, ses lèvres délicatement posées sur ma joue. Mais surtout sa bite contre ma hanche. Il posa une main sur mon torse et ferma les yeux.

– Demain, si c’est toi qui te réveilles en premier, tu me fais une pipe jusqu’à ce que ça me réveille. Si je me réveille en premier… tu verras bien. En attendant, tourne sur le côté face au mur.

Je me tournai donc sur le côté, lui tournant le dos. Mais ce n’était pas mon dos qui l’intéressait, c’était mon cul. Je senti sa bite se coller contre ma raie et se frotter entre mes deux fesses. Ceci eut pour effet de réveiller ma bête à moi qui devint soudainement tout dur. La sienne aussi durcit puis quand il l’estima suffisamment épaisse, il présenta son gland devant mon entrée puis coulissa tranquillement dedans, tel un serpent rentrant en toute confiance dans sa tanière. Il poussa au plus profond, insensible à mes gémissements, puis repartit doucement dans l’autre sens. Il ne sorti pas sa bite en entier. D’ailleurs il ne resta pas longtemps à moitié sorti puisqu’il reparti à la charge immédiatement. Il poursuivi ses mouvements pendant un certain temps, passant son bras le long de mon torse jusque sous mon cou.

Sentir sa queue entrer et sortir en douceur et en continu de mes entrailles me procura un plaisir intense. Je me sentais comme complètement possédé par mon maître qui me tenait à sa merci, à la fois par sa bite à l’intérieur de moi que par son bras qui m’immobilisait. Encore une fois, je m’abandonnais au plaisir, laissant mon maître disposer de mon corps selon sa volonté.

Il ne chercha pas à faire de geste tendre particulier, ni de position particulièrement érotique. Non il voulait simplement m’élargir le trou avant de dormir. Simplement se branler dans mon cul, comme on se masturbe pour se détendre. J’étais son jouet de relaxation pré sommeil. J’acceptai ce rôle avec plaisir.

Il continua donc tout en douceur pendant de longues minutes puis il ralentit la cadence avant de tout à fait s’arrêter. Il était cependant encore en moi, je sentais son pénis dans mon intérieur. Il ne chercha pas à sortir, en fait il commençait à s’endormir dans cette position. Son pénis commençait à rétrécir, toujours dans mon orifice. Je décidai donc de me laisser m’endormir aussi. Finalement, au bout de quelques minutes, il se retourna et sortit de mon trou. Quant à moi je laissai le sommeil m’engourdir.

Lorsque je me réveillai le lendemain, je mis un certain temps à réaliser où j’étais. Je somnolai encore quelques instants jusqu’à ce que j’entende mon maître remuer à côté de moi. Il s’était réveillé. Je me souvins alors qu’il m’avait dit de le sucer si je me réveillait en premier ; mais avant que je ne puisse faire le moindre mouvement, il se jeta sur moi et me retourna sur le ventre. Il me prit mes deux mains et me les bloqua au dessus de ma tête, sans prendre en compte mon cri de surprise. Je senti tout à coup un morceau de chair chaud et phallique se cogner contre mon trou.

– Toc toc ! Fit joyeusement mon maître en accompagnant ces bruits de petits coup sur mon trou avec sa bite.

– Quoi ?

– Toc toc !

À nouveau il donna des coups de bite sur mon trou mais sans entrer dedans. J’étais à peine éveillé et je m’exprimais avec une voix endormie.

– Là tout de suite dès le matin ?

– C’est pour te réveiller Titus ! Mon soumis se doit d’être en pleine possession de ses moyens au sortir du lit !

– Euh… je suis moyennement chaud là.

– Bon d’accord, tant pis. Je ferai ça plus tard alors.

Il se leva et sortit de la chambre en chantonnant. Il était drôlement d’attaque pour un mercredi matin. Je décidai de me lever et de le suivre. Nous prîmes un petit déjeuner à poil puis lorsque nous eûmes fini il me demanda d’aller ramasser le jockstrap en cuir, de m’en vêtir puis de le rejoindre dans le salon. Je me rendis donc dans sa chambre, notre chambre en fait, où je retrouvai mes vêtements de la veille, dont le fameux jockstrap en cuir. Je l’enfilai avec douceur, profitant de la sensation qu’il me procurait à mesure que le cuir remontait le long de mes jambes. Lorsque mon pénis fut pleinement à l’abri dans sa petite cage de cuir, je ressorti de la chambre. Mon maître sorti au même moment de la pièce dressing. Il portait lui aussi comme unique vêtement un jockstrap en cuir noir, moulant son paquet.

– Eh bien Titus, regarde comme on est beaux.

Il s’approcha de moi, colla son corps contre le mien et m’embrassa. Sa langue entra dans ma bouche et dansa avec la mienne. Une de ses mains me caressait les épaules et le coup tandis que l’autre massait ma bite à travers le cuir. Je le massai de même. Quel plaisir ! Un cuir sous ma main, une queue sous ce cuir, et une langue humide dans ma bouche. Mais mon maître finit par rompre le tendre baiser. Il me prit par la main et m’emmena vers la partie de la pièce faisant office de salon.

– Bon allez, maintenant c’est l’heure du sport !

– Quoi vraiment ?

– Oui ! Nous allons rester enfermés pendant 2 semaines alors il faut pouvoir se dépenser. Et peut-être même que tu pourras prendre un peu de muscles ! Mais bon en deux semaines c’est un peu rapide.

– …

– Allez allez, de la motivation ! Mon soumis se doit de respecter son corps et de garder la forme ! Tous les jours nous allons nous entraîner !

Je fus un peu déprimé à l’idée de devoir faire du sport tous les matins, chose que je ne faisais jamais, mais je me pliai rapidement à la volonté de mon maître. Après tout, comme il l’avait dit, je suis son soumis toute la journée sans interruption. Et c’est ainsi que nous fîmes notre première séance de sport matinale, habitude qui allait durer tout le confinement. Il était bien plus athlétique que moi mais il m’encourageait avec douceur et patience, décidé à me faire progresser tel un coach et son élève. Il me traitait à chaque séance avec gentillesse et détermination, adaptant ses exercices à mes capacités, mais augmentant leur difficultés à mesure du temps afin que je devienne plus fort. Je n’avais pas l’habitude de faire du sport, mais il parvint à me faire aimer ça.

Après chaque séance, lorsque nous étions bien essoufflés et couvert de sueur, il prenait le temps de me féliciter puis il m’embrassait avec passion, collant nos corps moites sans se soucier des bonnes impressions, puis il me retournait en douceur, ouvrait son jockstrap et m’enculait sensuellement, veillant à ce que je prenne autant de plaisir que lui. Je le laissai glisser dans mon corps d’avant en arrière avec une extase tout aussi vive à chaque fois. C’était une agréable récompense après l’effort. Il m’enculait comme ça pendant quelques minutes après lesquelles nous allions tous les deux nous laver en même temps. Après cela, lorsque nous étions tous les deux habillés, lui normalement et moi dans mes vêtements de cuir, nous commencions notre routine quotidienne, moi devant mes cours, lui à ses occupations.

Le soir, nous nous couchions nus dans son lit. Il m’enculait encore une fois avec douceur avant que nous nous endormions. Au matin, je le suçais lorsque je me réveillais en premier, ou alors il m’enculait si c’était lui. Contrairement au premier jour, j’avais décidé de l’autoriser à me réveiller comme cela, et je ne regrettais absolument pas.

Notre routine se mit en place ainsi, presque machinalement. Nos avions nos habitudes et nous nous y tenions.

Mais bien sûr, notre confinement fut ponctué de nombreuses aventures sexuelles que mon maître m’offraient. Les deux semaines initiales furent prolongées en presque deux mois d’enfermement, de sexe, de domination, de dressage. Comme il me l’avait prédit le premier jour, je ne sortis pas indemne de cet expérience. Ni mon cul, ni mon corps, ni mon esprit. J’étais un jeune homme quelque peu innocent en entrant la première fois dans cet appartement, ayant connu quelques expériences sexuelles, attiré par le cuir mais n’en ayant jamais possédé. Lorsque j’en sortis, j’étais devenu quelqu’un d’autre. Une bête de sexe dont le cul était élargi continuellement, un amoureux du cuir et du latex, une chienne soumise à son maître. Oui vraiment, mon maître avait tenu sa promesse, il m’avait transformé au fil de nos baises.

Mais ces histoires méritent leur propre chapitre.

Nabe

nabe.divers@gmail.com

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