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Premier épisode | Épisode précédent

Contes Brésiliens | 5

La cadette des enfants de Rosa, Julia, avait la peau encore plus claire que sa sœur Anna, avec toutefois des traits moins finement tracés. Elle ne manquait pas de charme, cependant, mais elle eut le malheur de plaire à un homme bien plus âgé qu’elle, et marié de surcroit. Il sut la séduire et elle céda au début bien volontiers à ses avances. C'est ainsi que Julia, à son tour, a eu un garçon, Hugo, né en 1942 et une fille, Térésa, née en 1945. Le père était un grand gaillard à  la peau d'ébène qui exerçait à la mairie de Natal des fonctions imprécises, mais dont il tirait un prestige considérable..., du moins dans sa cage d’escalier. L’homme était jaloux, cependant, et il prétendit rapidement garder sa jeune maitresse sous clé pour en abuser à sa convenance. Cela dura quelques années pendant lesquelles Julia devint de plus en plus malheureuse, régulièrement battue par son amant. Rosa se résolut à intervenir, et, tout en fumant de sa vieille pipe, lui fit savoir un beau jour qu'il devait se tenir désormais loin de sa fille. L'autre ne fit qu'en rire et le soir même battit l’infortunée comme plâtre, ce en quoi il eut tort, car dans la nuit il fut pris de coliques et dut être opéré d’urgence de l’appendicite. Mais l’hôpital de Natal, à cette époque, était un vrai mouroir et il trépassa bêtement sur le billard… Personne cette fois ne songea à menacer Rosa, dont la pipe, sans tarder, était revenue dormir sagement dans son étui blanc.
Après cela, toutefois, Julia, pour élever ses deux enfants n'avait de ressource que de travailler avec sa mère comme couturière. Elle était douée et elle acquit rapidement une grande réputation dans la fabrication des costumes de carnaval. Presque dix ans s'écoulèrent ainsi avant que Julia ne tombe follement amoureuse d'un ingénieur hollandais qui était venu travailler sur le chantier du nouvel aéroport. L'aventure ne dura qu'un été, et le bel étranger regagna bientôt Amsterdam sans savoir que Julia était enceinte. Elle accoucha au début de l'année 1954 d'un garçon aux yeux et aux cheveux clairs qu'on baptisa Bruno. Il eut pour parrain son demi-frère Hugo et pour marraine Susana, la femme de Livio, le frère aîné de Victor.

Les services privés d’Alessandro (1947)

Comme nous l’avons vu, Victor, le dernier fils d’Ernesto, avait été élevé par sa belle-mère Rosa qui lui avait donné toute l’affection d’une mère. De toute la tribu, Victor aura été de tout temps le plus proche et le plus affectueux avec elle, plus même que ses deux propres filles. Rosa, de son côté a toujours aimé passionnément son fils adoptif et le défendait contre vents et marées. Ernesto avait accepté que son dernier garçon aille vivre avec sa belle-mère, à condition qu’il vienne de temps en temps dormir chez lui, et cet arrangement avait paru très raisonnable à Rosa.
Victor en avril 1940, au mariage de son frère Livio, il comprit qu’il n’aurait pas la même sexualité que les autres. En l’honneur de la fête, à laquelle elle avait été invitée, mais où elle n’avait pas voulu rester au-delà de minuit, Rosa avait décidé de le laisser dormir chez son père. Dans la maison, tout le monde, à commencer par Ernesto, s’était retrouvé ivre au petit matin et Victor qui, vaincu par la fatigue, s’était assoupi au hasard vers 2 heures du matin dans le lit de son frère Tony, avait été réveillé brusquement lorsque celui-ci l’avait rejoint, à l’aube, titubant dans un état semi-comateux. Tony aimait bien son petit frère et l’avait laissé dormir là, s’allongeant simplement à ses côtés. Mais Victor, ensuite, n’avait fait aucun effort pour s’écarter alors que l’autre, dans son sommeil lourd, s’était collé contre lui. Il était resté de longues heures ainsi, le cœur battant de sentir dans le slip de son grand frère grossir une barre vibrante et chaude que le dormeur frottait sur ses fesses. Tony avait 23 ans cette année-là et tout le monde savait dans la famille que ce beau macho désinvolte avait mise enceinte une fille du voisinage, tout en couchant assidûment avec une de ses meilleures amies…
Même si il avait obscurément compris ce jour-là que ses goûts étaient un peu différents de ceux de ses frères, Victor  restait un petit garçon avide de découvrir les choses de la vie. Dans l’atmosphère un peu relâchée qui régnait chez son père Ernesto, ce n’était pas difficile. Il eut donc, vers 13 ans, ses premières relations sexuelles, avec la sœur d’un petit voisin qui avait à peu près son âge et avec lequel il avait déjà plusieurs fois joué à touche-pipi. La chose se fit à la satisfaction des deux intéressés, mais Victor, qui disait absolument tout à sa mère adoptive, confia par la suite à Rosa, ingénument, qu’il avait été un peu déçu et qu’il préférait finalement s’amuser avec le frère plutôt qu’avec la sœur…
Rosa fut très attentive à ces confidences inattendues. Elle posa plein de questions, et puis, un peu dépitée, elle s’en alla dans un coin pour fumer sa pipe… Mais cette fois-ci, rien ne se produisit et Victor ne changea pas. Il se fit même surprendre quelque temps plus tard, un soir où il était resté dormir chez son père, en pleine action avec le fameux petit voisin. Avec l’inconscience de leur âge, les deux gamins avaient cru bon d’aller se cacher dans un vieux transformateur électrique, dans lequel ils auraient bien pu se faire électrocuter. Une vieille dame qui les avait vus entrer là-dedans alerta Livio qui arrivait justement au volant de sa vieille guimbarde. Il alla les récupérer et les trouva tout nus, couchés par terre en train de se sucer la bite. Ernesto, furieux, flanqua ce jour-là à son fils une raclée mémorable, et, pour une fois, Rosa approuva.
Mais comment le « guérir » ? Rosa s’agita, lui fit prendre des bains d’herbes sacrées, convoqua les esprits… En pure perte. Au bout de quelques mois, elle finit par se résigner et le laissa vivre sa vie.
Quelques années plus tard, il eut une liaison secrète avec Armando, un bel homme de 45 ans au crâne chauve et aux épaules carrées, qui était l’entraineur de son équipe de foot. Le soir, après les matchs, ils se suçaient à tour de rôle, dans l’obscurité, derrière le parking réservé aux dirigeants du club. Très vite, ils voulurent aller plus loin et, un soir très tard, dans les vestiaires déserts, Victor offrit à Armando son petit cul vierge et se laissa sodomiser à deux reprises. Cette relation dura plusieurs mois, pendant lesquels ils firent l’amour avec ardeur, d’abord dans les vestiaires, puis à l’hôtel et finalement chez Armando.  Bien des années après, Victor avoua à quel point ce premier amant avait été décisif dans son apprentissage du sexe : tout en lui enseignant à fond toutes les gammes de la sodomie passive, l’entraineur s’appliqua consciencieusement à lui faire aussi découvrir comment se servir du gros membre qui lui pendait entre les cuisses, pour bien faire jouir son partenaire. Victor s’avéra être un élève doué, pas forcément très imaginatif ni pervers, mais solide, endurant et viril. Son corps d’adolescent se transformait rapidement et bientôt, dans ses séances de baise avec le bel Armando, c’est l’ainé qui, parfois, se faisait longuement et délicieusement sodomiser. Ils se donnaient ensemble tant de plaisir lors de ces séances d’entrainement d’un genre un peu particulier qu’ils se mirent à commettre des imprudences et faillirent, juste avant Noël, se faire surprendre en pleine baise par la femme d’Armando. Celle-ci, rentrée à l’improviste et surprenant son mari tout nu, seul dans le lit conjugal dévasté soupçonna bien avoir interrompu une relation adultère et avoir mis en fuite la personne avec laquelle son époux forniquait ; mais elle ne sut jamais qu’elle avait un rival et non pas une rivale. Effrayé, Armando décida toutefois peu après de rompre cette dangereuse liaison avec un teenager.

Depuis cette époque-là, Victor a multiplié les aventures masculines, aidé par un physique qui est rapidement devenu, à la grande fierté de sa mère adoptive Rosa, celui d’un athlète baraqué et puissant, sous l’effet d’une pratique sportive intensive.  Les longues heures passées avec ses copains à jouer au football et à nager dans la baie lui avaient taillé un corps magnifique, des épaules carrées et des biceps épais. Physiquement, il tenait davantage de sa mère que de son père Ernesto, avec une peau café au lait et des cheveux frisés. Au fur et à mesure que l’âge s’installera, sa forte pilosité de méridional ne fera que s’accentuer mais, dès la fin de l’adolescence, il se rasait deux fois par jour sous peine de voir bleuir sa jolie mâchoire carrée. Bref, c’était un beau garçon d’apparence virile et au caractère facile et doux. Ceci étant, malheureusement, les études, en revanche, n’étaient pas son fort et, à 19 ans, il se trouvait bien en peine de savoir ce qu’il ferait pour gagner sa vie. Il commença par des petits boulots, grâce souvent aux clientes du magasin de couture de sa mère adoptive. Il lui arriva bien aussi, il faut le dire, de se retrouver dans le lit d’une ou deux femmes un peu mures qui lui donnaient des billets en échange d’une nuit d’amour… Victor, bien que majoritairement attiré par ceux de son propre sexe était capable de remplir tout à fait correctement cet office.
C’est de cette manière d’ailleurs qu’il devint très intime, en avril 1947, avec une certaine Juana Aguilera qui avait eu recours à ses “services” très particuliers.  Elle en fut satisfaite. Et, comme elle avait les idées larges et qu’elle avait compris en parlant avec lui que son amant d’un soir ne répugnait pas, au contraire, à user de son physique avantageux avec d’autres hommes, elle eut l’idée curieuse de le présenter à son mari.  Alessandro Aguilera, propriétaire de plusieurs affaires dans le centre-ville de Natal : restaurants, bars, boites de nuit…, était un gros monsieur d’une cinquantaine d’années toujours bien habillé et d’une parfaite courtoisie. Il était très riche, de par sa famille. Son mariage avec Juana était une association amicale et tendre, même si Alessandro, bien plus âgé que son épouse, ne lui avait jamais caché ses profondes tendances homosexuelles. Il lui avait donné toute latitude pour mener sa vie à sa guise, dans la discrétion, et l’unique enfant du couple ressemblait de façon frappante au professeur de tennis que Juana avait eu pendant leur voyage de noces en Italie…
Compréhensive, à son tour, Juana ne dédaignait pas parfois d’aider son mari à trouver des partenaires pour assouvir sa sexualité, avec le souci de garantir le plus possible de discrétion et d’éviter qu’il ne tombe sur un maitre-chanteur ce qui s’était produit une dizaine d’années auparavant. Victor lui paraissait un candidat parfait et elle lui demanda quelques jours après leur première rencontre de venir chez elle lui livrer une robe qu’elle avait commandée chez sa mère adoptive. Il avait été dûment prévenu par ses soins, et,  lorsqu’il arriva il ne trouva pas étonnant d’être reçu par le mari qui lui expliqua que Juana avait dû s’absenter.
Les Aguilera vivaient dans une très belle villa dans les quartiers résidentiels de Natal. Victor portait ce jour-là une chemise blanche, dont l’échancrure laissait deviner les poils abondants de son torse velu et dont les manches étaient remontées sur ses bras aux muscles épais. Alessandro Aguilera le fit entrer dans un beau salon, qui donnait par une baie vitrée sur un jardin magnifique et le regarda tourner entre ses mains avec gaucherie le paquet qu’il était venu apporter.
-       Pose-le là, et viens t’asseoir un instant proposa-t-il, la gorge serrée.
Victor s’assit timidement sur le grand canapé blanc et regarda ce gros monsieur qui, de son côté le fixait en triturant nerveusement sa lourde chaine en or. Embarrassés, les deux protagonistes restèrent un long moment sans parler.
-       Veux-tu boire quelque chose ? un verre de porto ?
-       Oui, d’accord… un verre de porto.

La villa avait été prudemment vidée des serviteurs qui l’encombraient d’ordinaire. Alessandro fit un aller-retour à la cuisine et revint avec deux verres remplis du liquide couleur rubis, en posa un sur la table et, prenant son courage à deux mains, osa une caresse légère sur les cheveux frisés de Victor tout en lui tendant le deuxième. Le jeune homme but d’une traite et voulut ensuite se lever pour aller reposer le verre sur la table. Enhardi, Alessandro lui prit le verre des mains et profita de ce mouvement pour lui caresser le bras. Victor qui dominait le quinquagénaire d’une large tête se laissa faire sans un mot, puis, tout d’un coup se décida à passer à l’action. De ses grosses pognes, il attrapa la main finement manucurée d’Alessandro et la plaça d’autorité dans son entre-jambe. L’autre frémit de plaisir.
-       On pourrait aller dans ma chambre ?
-       Allons-y !
Alessandro ne se le fit pas dire deux fois et guida son jeune amant jusqu’à une grande chambre à l’étage, qui donnait elle aussi sur le jardin et dans laquelle la lumière entrait à flots. Ainsi, il put contempler dans toute sa juvénile splendeur le corps musclé dont il espérait les faveurs. Victor se déshabilla lentement, pour mieux donner à son admirateur le temps de découvrir les abdominaux puissants et les cuisses musclées qui étaient laissés à découvert par son petit slip noir. Alessandro, les yeux exorbités tomba à genoux et approcha son visage du petit slip qu’il se mit à embrasser avec dévotion, humant avec délice les odeurs chaudes qui s’en dégageaient. Il lécha les poils noirs qui s’en échappaient, remontant le long du ventre dur jusqu’au nombril. Là, il marqua une longue pause, taquinant de la langue les plis serrés qui n’étaient qu’à peine enfoncés dans cette surface musclée.
Pour cette première fois, les deux hommes ne firent pas durer très longtemps les préliminaires. Au bout de quelques minutes à peine, Alessandro, surexcité et littéralement bavant de désir, arracha à Victor son petit slip, exposant en pleine lumière le sexe violacé qui allait lui démonter le cul et les grosses couilles gonflées, pleines du jus dont il espérait se faire ensemencer. Alors, enlevant à son tour ses vêtements avec hâte, il se jeta à quatre pattes sur le lit et présenta ses grosses fesses blanches à son jeune amant.
-       Viens me prendre, je t’en supplie.
Sans se faire prier, Victor le chevaucha, introduisit son sexe massif dans le cul d’Alessandro pantelant et lui administra une enculade magistrale qui lui arracha de véritables hurlements. Sur son corps obèse et flasque, s’agitait un superbe jeune mâle à la plastique somptueuse, et dont la bite épaisse venait fouiller au plus profond de ses entrailles, déclenchant des orgasmes à la chaine. Victor était déterminé à donner à monsieur Aguilera un aperçu convaincant des talents dont il avait fait usage avec madame. Il réussit au-delà de toute espérance, et rendit le quinquagénaire littéralement addict de sa grosse queue. Longtemps après qu’il soit parti, Alessandro demeura sous l’empire du plaisir violent qu’il avait pris en se faisant défoncer par ce gamin qui y était allé avec toute la fougue et la brutalité de ses 19 ans. Son cul endolori lui rappelait sans cesse ces instants de folie au terme desquels il avait reçu avec délice les grosses rasades de foutre bien chaud que Victor lui avait balancé dans le ventre. Pendant plusieurs jours, il garda sur sa peau fragile les marques de l’étreinte vigoureuse qu’il avait subie et il ne laissa pas passer la semaine sans chercher à revoir son nouvel étalon.
Leur relation dura des années.
Dès l’année suivante, en 1948, Alessandro fit embaucher Victor comme vigile dans un bar-restaurant un peu interlope du centre-ville dont il était propriétaire, calle Oliviera. Il lui prit en location un bel appartement au 2ème étage au-dessus du restaurant et prit l’habitude de venir aussi souvent que son emploi du temps le permettait pour, comme il le disait lui-même “se faire bourrer comme une grosse truie”.  Tout cela dura des années pendant lesquelles, malgré les quelques liaisons féminines et surtout masculines que Victor s’autorisait, ou peut-être à cause d’elles, les liens entre les deux amants restèrent très étroits.  En atteignant la maturité, Victor était devenu de plus en plus gourmand de sexe, pour le plus grand bonheur de son vieil amant, qui gémissait sous ses coups de boutoirs et en redemandait, avidement. Chaque semaine, à l’approche du rendez-vous, Alessandro, impatient de se faire saillir comme une pouliche, se trémoussait par anticipation comme une chienne en chaleur en s’imaginant en train de souffrir, sous l’étreinte brutale du jeune mâle, la plus exquise des tortures. Les longs traits de sperme qu’il recevait dans le cul lui servaient, disait-il, d’élixir de jouvence. Un jour, au sortir d’une nuit d’amour inoubliable, où il s’était fait défoncer l’anus avec tant de vigueur qu’il avait dû demander grâce, Alessandro décida d’offrir à Victor en secret la majorité des parts du bar-restaurant dans lequel il travaillait. A trente ans, le jeune homme devint officiellement gérant du restaurant, faisant figure de personnalité au sein du petit monde de la calle Oliviera.
Depuis quelques années déjà, le souci de la discrétion les avait poussés à faire en sorte que leurs rencontres cessent d’avoir lieu dans l’appartement du 2ème étage, trop proche du restaurant et peu compatible avec les responsabilités familiales que Victor exerçait depuis peu. Désormais, ils se voyaient dans un petit studio près de l’avenida Cabràl, qui abritait leurs séances de baise, au rythme d’une à deux fois par semaine, en fonction de l’emploi du temps chargé d’Alessandro, récemment élu à la Chambre de commerce. A cette époque, Victor avait déjà commencé à coucher avec un jeune vendeur de voiture qui allait devenir un jour son compagnon attitré, mais Alessandro l’ignorait et surtout, ne semblait pas du tout près de se lasser de lui, tant leurs brutales séances de baise lui procuraient d’inoubliables orgasmes. Dans les tout derniers mois de leur relation, il alla même jusqu’à acheter  une petite maison dans un quartier plus excentré de la ville, vers Ponta Negra, où il lui était plus facile de se retirer avec son amant, dans une relative discrétion.

Le drame, d’ailleurs, se produisit dans cette maison.  C’était en septembre 1963, le jour de la fête nationale. Alessandro et Victor s’étaient retrouvés pour une intense séance de baise et le sexagénaire, son gros ventre tressautant et ballotant au rythme des coups de bite qu’il recevait, couvert comme il aimait par le corps chaud, musclé et viril de son partenaire, se faisait prendre avec brutalité. Il sentit l’orgasme monter dans ses reins, puis, tout à coup, une douleur terrible lui traversa la poitrine, et il s’effondra sans connaissance.
Il survécut quelques jours à l’infarctus qui venait de le frapper, parce que Victor, avec efficacité et sang-froid, le transporta lui-même à l’hôpital, sans attendre les pompiers, et lui fit administrer sans tarder les premiers secours. Juana le relaya rapidement et on crut qu’Alessandro en serait quitte pour une sévère alerte. Lui-même, par contre, était convaincu du contraire et mit en ordre ses affaires. Il avait raison : alors qu’il se trouvait encore à l’hôpital, deux semaines plus tard, un second infarctus se produisit, mais le personnel médical ne réagit pas à temps et Alessandro mourut ainsi à l’âge de 69 ans.

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