Premier épisode
2 | Il a osé un pari, il a gagné
Un zéro pour lui
Il semble perdre son aplomb, rougir, mon silence lui fait perdre son assurance.
Je reprends la parole : « oui ! je crois bien que l’on a un deal ! » je lui tends la main, un peu théâtralement.
Il la prend, avec enthousiasme et de nouveau avec son joli sourire de vainqueur.
Sa main est chaude douce et ferme.
En lui relâchant la main, je lui propose si il veut un verre pour fêter ça.
Il me répond avec un sourire coquin allumeur désarmant « après si tu veux bien »
Il me fait rire. Je m’apprête à lui demander comme il voit cela, mais il me devance, se lève et me dit « on y va ? j’habite au-dessus » et il rit devant mon étonnement.
Je jette un billet sur la table pour payer, et le suis.
L’entrée de l’immeuble d’angle est dans la rue perpendiculaire.
Je le suis, je cartographie sa silhouette. Ce mec est une bombe. Il me grille en se retournant. « Toujours ok ? » me demande t’il en me dévorant des yeux.
Il rentre dans l’immeuble.
Il fait, par contraste du soleil extérieur, presque noir.
Je le suis, il fait un code, pousse la porte, s’efface pour me laisser passer et me dit « c’est au deuxième gauche ».
Je m’efface pour le laisser prendre l’escalier, il me fait petite révérence : « j’aime bien mater aussi ». Je souris et monte jusqu’au palier.
Je sens son regard.
Arrivé au palier, je m’efface et lui désigne l’envolée de marches menant au premier.
Il sourit et monte les dernières marches en décomposant bien le mouvement, il a un cul à damner un saint. Pas possible qu’il soit vierge.
Je le suis, il ouvre sa porte.
J’entre.
Mon tel vibre.
Fernando, mon pote de baise, « tu ne relèves pas le défi ? ou tu acceptes enfin de passer à la casserole ? »
Mathieu me regarde. Amusé, je lui lis le message.
Il sourit, me mets la main au pacson, me soupèse, prend mesure de l’emplacement de mes boules et de ma queue déjà enflée. Il en teste l’envergure, la fermeté, l’érection naissante.
Puis, il se love sur mon flanc, approche ses lèvres de mon oreille.
« Je m’occupe de ton plaisir, toi de ton défi ? ça te va ? »
Je passe main autour de son bassin le colle à moi, une raideur pèse sur ma hanche, il bande. Je lui roule pelle. Il semble hésiter, surpris, puis enthousiaste sa langue entre en jeu. Il embrasse bien. Peu mieux faire, mais l’envie est là.
Déjà sa main ouvre ma braguette et se glisse empoigner mon boxer. Soupeser mes couilles semble lui faire de l’effet. Il les tient. Il se les approprie. Son pouce caressant la racine de ma queue qui par accoups prend sa pleine mesure.
Manifestement, il aime me tenir les boules et sentir leur chaleur irradier sa paume de main et sentir les pulsations érectiles de ma queue.
Avec mon tel je photographie sa main exploratrice dans ma braguette et l’envoie à Fernando.
Mathieu sourit.
Fernando répond par un smiley tirant la langue. Mathieu jette un coup d’œil et s’attaque à ma ceinture, écarte ma braguette, extirpe ma queue raide et passe délicatement, presque dévotement, mes couilles par-dessus l’élastique de mon boxer et il s’agenouille avant de regarder ma queue en l’effleurant, la soupesant, malaxant d’une main plus ferme mon sac de couilles.
Puis il se penche, pose son nez à la base de ma queue et de mes couilles… il me respire.
Humpf, son souffle chaud m’excite.
Je regarde autour de moi, me voilà adossé à un mur d’entrée d’un petit appartement, le pantalon sur les genoux, les couilles retenant l’élastique de mon CK, ma teub raide chatouillée par sa tignasse, son nez dans ma toison, sa main faisant rouler mes boules.
Je reprends une photo et l’envoie à Fernando.
Mathieu vient de riper son nez sur toute la longueur de ma tige et d’un coup de langue baveux vient de faire connaissance avec mon gland… juste en dessous, là ou la peau est la plus fine.
Puis, avec méthode et selon une planification manifestement déjà éprouvée, il entame lent avalage de mon sabre. Je bute au fond de sa gorge.
Il reflue baveusement, et puis reprend en sens inverse sa fellation.
Il va plus loin.
En trois mouvements, il semble au maximum de ses capacités et j’ai bien encore 3 centimètres dehors, là ou je suis le plus épais. Et là, d’un doux mouvement de tête et de mâchoires, tel un boa, il force et rentre les derniers centimètres. Il a le nez dans mon pubis. Son menton contre mes baloches.
C’est clair, il n’est pas puceau de ce côté-là.
Il entame lent et ample va et vient.
Sans les mains, qu’il garde poser sur mes cuisses… comme si j’allais m’échapper.
Et il amplifie va et vient.
Manifestement sa gorge se calibre à ma queue et je ne sens ni dents, ni résistances à entrer sortir.
Il bave bien, juste ce qu’il faut pour rendre presque impalpable la sensation.
J’ai lourds soubresauts d’excitation, il recrache ma queue.. semble s’amuser de ses accoups et du bout des lèvres vient suçoter mon gland, avant de l’ignorer et de me faire chapelet de petits bisous en remontant vers ma racine, jusqu’à venir lécher, goulument, mes couilles !
Il les pourlèche, les fait rouler sa langue et des lèvres salivées.
Puis repart en petites léchouilles vers mon gland, qu’il aspire, salive avant de reprendre une fellation, vorace, humide, dévouée et endurante.
Il cherche et trouve mes points de réaction.
Je lui choppe le crane.
L’oblige à lâcher mon dard luisant. D’un coup de langue et avec regard allumeur, il met fin au fil de bave reliant ses lèvres à ma queue.
Il m’empoigne la queue fermement et la masturbe d’un lent mouvement faciliter par sa salive.
Je me penche lui roule pelle. Il sent ma bite, le sex, la baise. Son baiser est moins hésitant, plus profond. Il se lâche.
Une sonnerie, je me redresse, Mathieu reprend spontanément sa fellation.
Je dérouille mon portable, un appel video. Fermando est en train d’essayer de m’appeler. Je décroche. Je vois sa queue courbée en train de subir une pipe d’un mec typé pakistanais.
Salaud, il baise son commis.
J’inverse la cam et lui permet de voir Mathieu à l’ouvrage.
Fernando : « Ce soir, le premier qui envoie une pic prouvant qu’il vient de baiser gagne le droit de donner un gage à l’autre ».
Je mate la video en direct de mon pote.
Je choppe la nuque de Mathieu, avance entravé par mon pantalon et lui cale la tête contre le mur et j’entame sous l’objectif, un limage ample, puissant, dominateur de sa gorge. Mathieu semble assumer et passer à la vitesse supérieure en m’empoignant les burnes et de l’autre main faire un anneau à la base de ma queue.
Il a compris l’enjeu.
C’est un compétiteur.
Fernando accélère aussi et veut forcer la gorge de son commis qui tousse et recrache la teub pour reprendre son souffle.
Mathieu me serre plus fort et avec un sens de propriété qui m’étonne, mes boules d’une manière si convaincante que je sens la sauce pulser déjà vers la sortie.
Mathieu se laisse marteler le gosier et semble même appeler à ce que je mitraille sa glotte.
Fernando râle et renfourne sa saucisse dans la bouche réticente du commis.
Je me retire un peu pour que la première salve soit visible. Mathieu comprend et c’est lèvres entrouvertes qu’il reçoit ma semence, ce que ma caméra filme bien net.. Mais c’est bouche ouverte et langue tendue qu’il capte la seconde et les suivantes et d’un savant coup de tête qu’il reprend la moitié de ma trique en bouche, et ce, en mode aspirateur.
Je gémis, terrassé par Mathieu et presque accessoirement par la victoire du défi, car je vois Fernando tenir son commis par la mèche au-dessus de sa queue qu’il branle à toute vitesse pour tenter de jouir au finish.
Je filme Mathieu m’extirper ma jouissance et je remarque qu’il semble y prendre un plaisir assumé. Il en ronronnerait presque.
Fernando éjacule sur la face piteuse de son commis. Il est mauvais joueur.
Il me dit « t’as gagné » et il raccroche.
Je me rends compte que je suis essoufflé… le torse luisant.. et la queue toujours biberonnée par Mathieu, qui me regarde d’un regard bleu aussi victorieux que si c’est lui qui avait gagné.
Je me recule, le force à lâcher mon dard et en lui tenant le menton, je le redresse jusqu’à ce qu’il soit à nouveau debout.
Je réfléchis à comment le remercier d’avoir contribué à ma victoire même si je n’ai pas été très gentleman en lui martelant le gosier comme un bourrin et avant que j’ai eu le temps de dire quoique ce soit il me roule une pelle en me choppant la nuque d’un main tendrement ferme.
Une vraie pelle. Profonde, passionnée, pas hésitante ou timide comme au début. Une pelle de vainqueur, de mec certain de lui, une pelle de conquérant.
Je kiffe et lui répond, nos langues bataillent gentiment.
Je constate que si ses lèvres sentent ma bite et la fellation, mon sperme n’est plus là. Il m’a bu, avalé.
Pour un puceau du cul, je trouve qu’il est de ce côté-là, bien déluré.
Mais, là, présentement il me serre dans ses bras.. manifestement heureux de partager MA victoire, celui d’avoir baisé avant Fernando.
Notre baiser s’éternise au-delà de ce qui est convenu avec un plan cul. C’est clair mais si mon partenaire de défi semble ignorer les usages, il me les fait oublier aussi. Putain ce que j’aime l’embrasser ce petit con.
Nos lèvres se séparent.
Tout fier de lui, il me dit « putain j’adore tes baisers, on ne m’a jamais embrassé comme ça ».
Et là tout fier, il me regarde dans les yeux, tout pétillant et content de lui, le bassin appuyé contre ma teub demi molle baveuse, il me tient par les hanches… il semble attendre une réponse.
Je biaise en lui roulant nouvelle pelle, ce qui semble le ravir comme réponse.
Puis, je reprends mon rôle de vieux briscard. D’une tape sur sa fesse je lui montre que la récrée est finie. Je le repousse gentiment. Je constate une large auréole sur devant gauche de son futal.. son regard suit le mien. Il s’excuse peunaud.. « j’ai jouis sans me toucher… quand tu as jouis ».
Je n’en reviens pas.
Après un court silence, je reprends le contrôle « donc on est bon pour une petite douche ».
Jfrancois60
jfrancois60@aol.com
Autres histoires de l'auteur :
