Balade hard en province

Chapitre 5

Ce récit est entièrement réel et a eu lieu il y a peu. Seuls les noms des lieux et protagonistes ont été modifiés. Merci pour vos nombreux retours.

La journée suivante se passa en douceur, Max et moi étions devenu très complices et on passa la journée devant la télé. Mon cul ne s’était pas encore bien remis de la bite de Samir et Max me donna une crème « à effet garantie » :

- Avec ça tu vas pouvoir t’en reprendre une dès ce soir.

- Oh je compte bien que ce moment reste l’exception à la règle.

Le lendemain, alors que je rentrais chez moi, j’écrivis au puppy pour lui dire à quel point il m’avait excité. Celui-ci me répondit dans l’instant :

- Ton corps ne m’a pas quitté de la soirée, je t’ai cherché ensuite mais tu avais disparu. Je veux te revoir et vénérer ta queue ! Je ferai tout ce que tu veux…

- Ton maitre sera de la partie ? S’il m’autorise à profiter de toi alors okay.

- Il est en déplacement pour son boulot. Il me met à la dispo d’un mec ce soir mais je n’ai aucune info sur lui… ça te tente de venir aussi ? Mon maitre sera d’accord.

L’occasion était trop belle de pouvoir profiter à nouveau de ce jeune éphèbe et de me remettre dans mon rôle de mâle Alpha, ternis par Samir et sa grosse queue. J’acceptais alors son offre.

En fin d’après-midi, je repris la route pour la ville, plus en forme que jamais, ma queue ne tenait pas en place dans mon slip. Mon puppy me fit savoir que l’autre mec arrivait et me donna toutes les infos pour rejoindre sa chambre.

Arrivé devant l’immeuble, ma main trembla d’excitation en composant le code, je me regardais dans le miroir de l’ascenseur: mes cheveux blonds/roux en bordel et ma peau claire me faisaient passer pour un gars sage, le gendre idéal loin du pervers qui allait sortir de cette cabine. Dans le couloir de l’étage, mon coeur battait maintenant la chamade. L’excitation de l’instant mêlé à l’appréhension de l’inconnu me mettaient dans un état second. La porte était ouverte et j’entrais dans un couloir. Une lumière orangée accompagnée de bruits de succions provenaient de la porte en face. Je me déshabillais alors complètement et pénétrais, nu, dans la chambre.

Mon puppy était à genoux sur le lit, la bouche déjà bien occupée à sucer son invité à fond. Comme la dernière fois, il portait son masque de chiot rouge mais avait laissé tomber son harnais de cuir. Il portait pour l’occasion un jockstrap épais dont les élastiques faisaient ressortir ses fesses magnifiques et lisses. Dans cette position, son trou était serré et sans un poil. Il ne tourna pas la tête quand il m’entendit entrer mais remua légèrement son cul, comme un appel à la débauche qui mit aussitôt ma bite au garde à vous.

Le fameux invité était au delà de toutes mes espérances. Le mec était assis sur le lit, dos au mur, et se faisait pomper une longue queue circoncise. Ses deux bras reposaient derrière sa tête au teint halé, laissant voir des aisselles très poilues. Ses cheveux bruns en catogan allaient de paire avec une barbe brune agrémentée d’une fine moustache taillée qui faisait ressortir son visage gracieux et ses yeux bruns. L’homme, dans la trentaine, avait les yeux fermés et profitait de la bouche qui se donnait à fond sur sa queue. Son torse était très légèrement poilu. Sans être très musclé, son corps était entretenu et bardé de plusieurs tatouages disparates. Il se dégageait de lui un sentiment de puissance et une vraie présence qui envahissait la pièce tamisée.

Lorsqu’il ouvrit les yeux et m’aperçu pour la première fois, il émit un léger sourire du coin des lèvres, presque invisible. Son visage était inexpressif. Il posa sa main sur la tête du puppy et l’accompagna nonchalamment dans sa fellation.

Je vins me placer derrière mon puppy et plongeais la tête entre ces deux fesses pour lui manger le trou. Sa réaction ne se fit pas attendre et mon puppy émit un gémissement étouffé par la bite qu’il avait en bouche. Je léchais le pourtour de son trou serré, l’embrassait de mes lèvres et l’aspirais comme un clito. A présent, les gémissements du passif était régulier. Je poursuivis ma tâche et dardais son trou de ma langue, challengeant son ouverture. j’alternais entre les baisers aspirés, refermant légèrement son trou, et mes coups de langues de plus en plus prononcés dans son trou. A présent le puppy se donnait à fond sur la queue du trentenaire aux allures de surfeurs. Il faisait dans le même temps remuer son cul sur mes lèvres, m’incitant à continuer ma tâche.

Une main vint se poser sur mes cheveux, les ébouriffants et les caressants. Je fixais le surfeur, ma bouche toujours occupée sur le trou de notre passif. Le mec me regardait à présent, sa main toujours posée sur ma tête. Son visage n’émettait aucune expression pourtant son regard ne quittait pas le mien. Le puppy sentit qu’il se passait quelque chose et arrêta sa fellation. Il se redressa et essaya d’embrasser le trentenaire. Celui-ci lui claqua gentiment la joue et le tourna vers moi. Mon puppy bondit alors joyeusement sur moi et me roula une pelle d’enfer. Il se lova contre moi et prit ma queue en main pour la branler. Le trentenaire s’approcha de nous, laissant sa main glisser du cul du passif le long de sa colonne vers sa nuque. Sa main vint rejoindre la mienne sur l’épaule du puppy, ses doigts posés sur les miens. Son regard n’avait pas ciller. il approcha sa seconde main de mon cou et le caressa. Il prit mon menton entre deux doigts et le releva puis s’approcha, toujours en me fixant. Il était magnétique malgré son flegme apparent. il entrouvrit légèrement ses lèvres qu’il posa sur les miennes. Ses lèvres chaudes étaient douces, comme son baiser, sa langue venant laper la mienne délicatement. En rouvrant les yeux je vis que son regard, sans expression, continuait de me fixer.

Mon puppy prit nos deux queues et commença à les pomper à tour de rôle. Sa fellation me tira de ma torpeur, j’appuyais sur sa tête pour enfoncer encore mon chibre dans sa bouche, passant sa luette en une gorge profonde magistrale. Il me pompait avec passion. Assis sur mes talons, je savourais cette pipe, la tête en arrière, les yeux fermés, me concentrant sur les sensations. Le trentenaire à la peau halée caressait mon corps, l’explorant de ses doigts sans chercher à utiliser sa queue. Il effleura un téton, me provoquant un léger soupir. Ses lèvres vinrent se poser sur celui-ci, l’embrassant doucement, sa langue venant jouer avec sa pointe. J’étais au comble du plaisir, le temps n’existait plus et je m’adonnais tout entier.

Mon puppy prit la queue du surfeur halé en bouche et lui prodiga le même traitement. Celui-ci se laissait faire, tout en continuant de masser mes épaules, de serrer mes pecs et mes cuisses dans ses mains fortes, comme pour en apprécier la fermeté. Il approcha sa main de ma queue et la prit en main. La situation était excitante, je caressais les tétons de mon puppy qui reprit ses gémissements. Ma main descendit jusqu’à son paquet. Le tissu du jockstrap était trempé de mouille. Je ramassais la mouille gouttant de sa queue avec mes doigts et je les portais aux lèvres du surfeur. Pensant que celui-ci tournerait la tête, je fus surpris de voir qu’il se laissa faire. J’étalais la mouille de mon puppy sur ses lèvres et vins l’embrasser, passionnément, mélangeant nos salives à la mouille salée.

Je repris de la mouille coulant de son méat et l’étalais sur son trou déjà humidité par ma bouche. Je le doigtais doucement avec sa mouille. Mon puppy se jeta voracement sur ma queue, me pompant plus intensément encore que tout à l’heure. Je fis signe au surfeur en désignant le cul du puppy de mes yeux. Celui-ci compris et avec un demi-sourire vint se placer derrière mon chiot. Il porta ses lèvres sur le trou du puppy pendant quelques minutes puis revint m’embrasser avant de retourner à nouveau se placer derrière le puppy. Il cracha sur le trou du chiot qui remua son cul. Sa queue entra doucement dans le cul du puppy qui avait arrêté sa fellation. il avait à présent sa tête posée sur ma cuisse et léchait mes couilles. Je le caressait pour l’aider à faire passer la douleur de la queue. Le surfeur prit son temps, entrant centimètre par centimètre dans son cul. Arrivé au fond, il s’arrêta plusieurs minutes et caressa le dos du puppy. Celui-ci commença à se redresser et s’empaler seul sur la bite du surfeur tout en reprenant mon chibre en bouche.

Le surfeur y allait de grands mouvements amples, accompagnant les mouvements du passif qui bavait sur ma queue et mes couilles. Je relevais le puppy pour l’embrasser longuement. Les mouvements du trentenaire étaient longs et profonds, faisant gémir tout aussi longuement le passif. Je le pris au menton et le fixait à mon tour dans ses beaux yeux :

- Tu kiff ?

- J’adore, sa queue est incroyable, elle m’ouvre grave bien, sans douleurs.

- Tu vas en manger pour un moment salope.

- Merci d’être là bébé, j’ai tellement envie de toi. Je te kiffe.

Avant que j’ai pu répondre, le passif m’embrassa passionnément en poussant un gémissement bruyant : le surfeur venait d’accélérer la cadence, l’amplitude restait la même et il était proche de déculer à chaque mouvement mais ceux-ci étaient plus vifs et rapides. Le puppy encaissait bien et reprit sa pipe.

Le surfeur me fixait toujours avec ce sourire énigmatique sur les lèvres. Il prit ma nuque et me força à approcher ma tête de la sienne. Il plaça nos fronts l’un face à l’autre et accentua encore ses mouvements de bassins dans le cul du puppy, son regard plongé dans le miens. Le puppy n’était plus qu’un objet entre nous, un trou qui gémissait en s’étouffant sur ma queue. Je rompis le charme en tentant d’embrasser les lèvres du surfeur qui agrippa les hanches du passif et lui fit prendre un rythme d’enfer. Le chiot sorti ma queue de sa bouche pour gémir librement.

Après une dizaine de minutes à ce rythme, le beau trentenaire ralentie la cadence et me fit signe de prendre sa place. Je ne me fis pas prier et me positionnais derrière mon chiot. Celui-ci avait encore faim de bites et à peine eu-je mis mon gland à proximité de son trou qu’il s’emballa entièrement sur ma queue en gémissant fortement:

- Ça faisait trop longtemps que je la voulais.

- Elle passe toute seule.

Je prie quelques minutes pour apprécier la chaleur de son trou. Malgré le pilonage en règle qu’il avait subit, son trou restait serré et continuait de se contracter contre ma queue. J’accélérais la cadence et bougeait mon chibre dans son fondement dans plusieurs directions. Le surfeur avait ses deux mains sur la tête du passif, le forçant à avaler encore plus loin sa queue, s’étouffant sur elle. Il continuait de me fixer de son sourire étrange, caressant mon torse, mes tétons, ma nuque.

Il repoussa soudain la tête du puppy et vint se placer derrière moi. Sa queue se calant sous mes fesses, son gland contre mes couilles. Ses mains vinrent caresser mon dos en sueur, glissèrent sur mes bras et s’entrelacèrent dans mes doigts, déjà crochetés sur les hanches de mon chiot. Celui-ci ayant la bouche libre gémissait de plus belle. « Plus fort », « défonces moi stp maitre », « je t’aime t’es parfait ». Il vint placer sa tête dans un oreiller pour étouffer ses jappements. Le surfeur suivant mes mouvements de ses hanches aux rythmes de mes coups de bassins dans le cul du passif. Il ne cherchait pas à utiliser mon cul mais continuait de caresser mon corps, de le lécher, de le sentir. Finalement, le puppy sortie ma queue de son cul et se tourna pour m’embrasser et me prendre dans ses bras. Je me retrouvais en sandwich au milieu de deux corps sexy. Le puppy essaya à nouveau d’embrasser le surfeur qui ne l’aida pas, il se tourna alors vers ma bouche pour me rouler une pelle d’enfer.

Le passif me poussa soudain sur le lit. Sur le dos, il me saisit les poignets et vint s’asseoir sur moi en m’embrassant encore. Ma queue frottait contre son trou. Je sentis soudain une bouche chaude s’emparer d’elle. Le surfeur me suçait et diable qu’il suçait bien ! Il laissa couler un filet de bave sur ma queue puis fit s’assoir le passif sur elle. Celui-ci n’y alla pas de main morte et ne s’arrêta de s’asseoir que quand mon pubis frotta contre ses couilles. Il fermait les yeux pour apprécier, sans bouger. Le surfeur lui malaxait les épaules, le torse, caressant ses cuisses et le serrant contre lui. le passif laissa tout son corps échoir dans ses bras. Ma queue était un épieux et bien que ne bougeant pas dans ce cul serré, elle ne perdait pas en fermeté. Je commençais cependant quelques mouvements de va et viens dans son cul. Le passif vint alors se plaquer contre moi et m’embrasser passionnément :

« Baise moi à fond s’il te plait. Je te veux en moi, fécondes moi ».

Enflammé par ces mots susurrés, je saisis alors ses hanches et commençait à démonter son trou, devenant un automate limant sa chatte. Le surfeur se branlait doucement, admirant ma queue entrant et sortant de son trou, caressant mes jambes, mes couilles et mes pieds. Je ralentis la cadence le temps d’une pause. Mon puppy m’embrassant avec passion. Je sentis soudain ma queue se serrer contre les sphincters de mon chiot, quelque chose entrait dans son trou pendant que j’y étais. Le puppy commençait à japper, ses ongles enfoncées dans mes épaules : le surfeur faisait son chemin dans le trou du passif, se collant contre ma queue. Le passif tenta d’arrêter le mouvement mais excité par la situation, le surfeur plaqua sa nuque contre moi et je l’entourais de mes bras. Le beau trentenaire avait à présent la moitié de sa queue enfoncé et continuait de progresser lentement. Le passif ne parlait plus, son souffle était puissant contre moi. Finalement, après un dernier effort, je sentis ses couilles posées contre les miennes. Le surfeur me fixait à présent en souriant. Ses dents étaient blanches et son sourire narquois. Après de longues secondes durant lesquels le chiot souffla, il finit par bouger de lui-même sur les deux queues, se redressant légèrement. Le surfeur le maintenait contre lui, jouant de sa queue autant que le puppy jouait de son cul. La sensation était divine, être allongé, observer ces deux corps magnifiques s’offrants l’un à l’autre.

Le surfeur fit s’allonger le puppy contre moi et augmenta la cadence dans son cul. Ma queue frottait divinement contre la sienne dans un cul toujours aussi serré. Il avait agrippé mes mains et les serraient forts, les caressants en me regardant. Le puppy était maintenant complètement amorphe. Ses yeux étaient mi-clos, mi-révulsés tant il semblait prendre du plaisir et n’arrivait presque plus à émettre de sons. Soudain, dans un regain d’énergie, il accentua sa pression sur nos queues, forçant le surfeur à accélérer encore. Je pris le pli de bouger à contre mouvement du beau trentenaire, sentant sa queue sortir quand je rentrais la mienne et inversement, augmentant les frottements dans son cul serré. Le passif émit un long gémissement, tirant sur son jock. Je sentis alors plusieurs jets inonder mon ventre et mon pubis, s’écoulant en un flot continue et épais. Le puppy était partagé entre des gémissements proches des pleurs et le besoin de reprendre sa respiration. Son corps entier tremblait. Il conduisit nos deux queues hors de son cul et vint se lover contre moi:

- Ça va ?

- Oh que oui, je n’ai jamais ressenti ça ! J’ai juté sans me toucher !

- J’ai vu effectivement.

- Ce n’est pas fini, je veux votre jus à tous les deux sur moi.

Il se mis sur le dos, et attira le beau surfeur sur sa gauche, je restais sur sa droite, la queue tendue. Le chiot tripota alors l’arrière de son masque et le retira. Je vis alors apparaitre un visage d’ange, le puppy était un minet blond comme les blés aux yeux bleus cristallins et couvert de tâches de rousseurs qui le rajeunissait encore. Il nous sourit à tous les deux puis attira nos queues vers sa bouche fine pour nous pomper. Le beau surfeur aux allures de hippies caressa à nouveau mon torse en me fixant. Il attira à nouveau ma nuque vers lui et plaqua son front contre le miens son autre main caressant mon téton.

Voir un minet à l’aspect si innocent alterner entre nos deux queues était la goutte d’eau qui fit jaillir le geyser. Je me mis à gémir et souffler, le minet plaqua alors sa bite sur mon visage, caressant mes couilles. Je jutais plusieurs jets puissants sur la queue tendue du surfeur et sur le visage de mon minet souriant qui suçota mon gland pour finir de me vider. Le surfeur m’embrassa alors et dans un gémissement rauque, balança trois jets épais sur le visage du minet qui prit le reste des jets à venir en bouche. Il garda nos queues en mains et s’en servit pour étaler notre jus sur son visage. Il se releva alors et m’embrassa passionnément. Je ramassais le jus sur son visage et lui fis sucer mon doigt. Le surfeur en fit de même. Il me tendit un doigt plein d’un jus épais que je pris en bouche, léchant avec application son doigt, glissant ma langue tout autour et lui tirant un sourire mystérieux.

Le surfeur se leva et parti dans la pièce annexe d’où il actionna la douche. Le passif me prit alors dans ses bras :

- Merci, c’était vraiment top ! Vraiment…

- Merci à toi. Je ne t’avais jamais vu sans ton masque, je ne sais pas si tu devrais le remettre.

- C’est gentil, il me sert à être vraiment à fond dans le trip. Je baise rarement sans, je ne me lâche pas assez sans.

- Et ton maitre, c’est ton mec ?

- Non c’est seulement mon maitre, on a signé un contrat il a la main sur toute ma vie pendant un an. Je lui suis entièrement soumis, il appelle je suis là. Il me paye mes études et mon appart et en retour il a la main sur tout, mes papiers, mes comptes, il peut tout faire. J’aime être entièrement à lui mais je ne l’aime pas. Je mets toujours le masque quand je suis avec.

- Je vois. En tout cas si tu veux remettre ça, avec ou sans masque, je suis sur que l’autre mec sera d’accord avec moi.

- Avant que tu n’arrives, il était très investi mais après que tu sois entré dans la pièce, il n’avait plus d’yeux que pour toi. Je peux le comprendre.

- Navré, j’espère que ça n’a pas gâché le goût de sa queue malgré tout.

Le puppy éclata de rire et m’embrassa à nouveau. Je partis en lui promettant de se revoir, avec ou sans masque. Avant de partir, il me fit jurer de ne pas dire à son maitre qu’il l’avait ôté car cela lui est interdit, seule condition à ce qu’il puisse voir d’autres mecs en son absence.

Dans la glace de l’ascenseur, je fus surpris de me voir tout rouge et essoufflé. Le diable se cache parfois dans les têtes d’anges.

Alors que je quittais l’immeuble, profitant du crépuscule doux de la région, j’entendis une voix grave m’alpaguer dans mon dos :

- Eh ! Attends…

A priori ma vie vous plait et ça me fait plaisir de vous la raconter. N’hésitez pas à m’écrire (jeansaisrien109@gmail.com) et je vous raconterai la suite des aventures arrivées à un jeune de 28 ans qui n’a pas froid aux yeux !