Premier épisode | Épisode précedent
Note
Merci à mes fidèles lecteurs pour leurs messages. Ça me fait toujours autant plaisir. Je sais que la chronologie de mes récits ne correspond pas à la numérotation des chapitres, mais je les écrit lorsqu'un souvenir refait surface. Merci pour votre compréhension.
Brève présentation. Je la fais courte car vous commencez à me connaître. Je suis un beau mec (c'est ce qu'on dit) d'un peu plus de 40 ans, plutôt sportif, 1m70 pour 58kg, queue de 19 cm et beau petit cul rasé. Passif frustré car je vis en couple depuis plus de 15 ans avec un réel passif. Je suis donc uniquement actif depuis que je suis avec lui. Voilà pourquoi je partage mes plans cul passés sous forme de récits, ici. Ils sont tous réels. J'avais alors une vingtaine d'années.
Chapitre 8 | Culot ou déculotté au passage piétons
Ce jour-là, en rentrant chez moi après le travail, je me connecte à mon messenger (qui, à l'époque était fourni par MSN, rien à voir avec le messenger Facebook d'aujourd'hui) et trouve un message du Fantom (chapitre 1) .
"- Salut. Viens chez moi ce soir vers 21h30. Je suis seul pour la semaine. Je veux te bouffer le cul et te le remplir."
- Ok."
En attendant, je mange un morceau, tchatte un peu et prend une douche.
21h20, je me mets en route, mon petit cul dans mon jockstrap, vêtu uniquement d'un jogging noir, casquette vissée sur la tête. Mon Poppers dans l'une des poches de mon pantalon. Je vous rappelle que je vivais, à l'époque, à deux pas de chez le Fantom. C'était le printemps, il faisait frais mais pas au point d'enfiler un blouson.
Arrivé au bas de son immeuble, je sonne.
"- C'est moi.
- Monte vite."
Il a l'air chaud. Je vais prendre cher. Je prends l'ascenseur et sniffe mon poppers durant la montée. Puis je longe le couloir sombre qui mène vers son appartement qu'il avait laissé ouvert pour moi.
J'entre et, comme toujours, sans dire un mot, je libère mon cul, m'installe à genoux sur son canapé, appuyé contre le dossier, et je cambre le dos afin de lui présenter mon petit cul de bâtard.
Il s'accroupit face à mon boule qu'il adore bouffer longuement. Il écarte mes fesses pour contempler mon trou.
"- C'est fou comme j'adore ton cul. J'ai toujours envie de le bouffer.
- Vas-y. Gêne toi pas. Sers toi."
Et sur ces mots, il me lèche la rondelle avec délicatesse. Il me titille l'oignon du bout de la langue. A chaque fois qu'il me bouffait le cul, j'avais cette étrange impression qu'il embrassait mon trou. Une bonne galoche qu'il adorait offrir à mon cul. Moi, je kiffe, le nez dans le poppers. Il y va, maintenant, à grand coup de langue pour finir par me fouiller l'anus avec délectation. Son anulingus a bien duré une vingtaine de minutes. Eh oui, quand je vous dis qu'il aimait ça.
Après cela, il se redresse, se saisit de mes hanches et me fout sa queue, direct dans le cul. Oui, comme il me le bouffait très longuement à chaque fois qu'il voulait me fourrer, il pouvait aisément se passer de gel. Il me préparait le cul divinement bien. Cul qui, en plus, mouillait naturellement. Il est donc en moi et commence à me défoncer avec tendresse (il aime mon cul, ne l'oubliez pas) puis de manière plus énergique avant de me remplir le cul. Il décule
"- Tu peux rester un peu dans cette position ?
- Ok, si tu veux.
- J'aime trop ton cul." me dit-il en me le caressant.
Puis à nouveau, il se met à le bouffer. Il ne me l'avait jamais fait juste après m'avoir baisé. Il me le bouffe et me le suce. Il aspire mon oignon entre ses deux lèvres tout en pénétrant sa langue en moi. Elle va et vient dans mon cul. Il adore le fouiller et essaie d'aller au plus profond.
Et, comme la première fois, il se redresse et me la remet bien au fond. Il me baise une seconde fois pour jouir très rapidement. Une seconde giclée de sperme vient tapisser les parois de mon antre. Il décule, à nouveau.
"- Reste dormir ici ce soir, s'il te plaît. Je veux profiter de ton cul toute la nuit.
- Désolé, il faut que je rentre."
Nous nous quittons donc vers 22h45. J'emprunte sa rue qui rejoint la mienne, pensant, rapidement, rentrer chez moi. Il fait sombre, mais j'adore ça, puis l'idée d'être en jockstrap sous mon jogging, avec le cul bien rempli, m'excite. Ma casquette me donne un petit côté racaille.
J'arrive à un feu rouge. Bien qu'il soit près de 23h, il y avait de la circulation et quelques badauds au loin. J'entends des pas plus ou moins rapides résonner derrière moi. Je me retourne et aperçois, au loin, éclairé par les quelques lampadaires qui jonchaient la rue, un grand type d'une quarantaine d'années, ou peut-être un peu moins, moulé dans sa tenue de joggeur, bonnet sur la tête.
Je me surprends à voir des pensées lubriques... Merde. J'ai envie qu'il me baise, maintenant. C'est malin ! Je suis complètement dérangé. En plus, je viens de me faire défoncer deux fois par le Fantom. Ah, rien à faire, je suis trop chaud. J'ai trop envie de jouer, une fois de plus, le bon petit bâtard à queues. Et quand c'est comme ça, la raison n'est plus. Mon cul décide à ma place.
Alors, je libère mes fesses en baissant mon jogging et reste planté là à attendre au passage piétons. Je me demande juste s'il sera réceptif ou non à mon invitation et si oui, j'espère qu'il sera actif. Je l'entends s'approcher, toujours en petites foulées. Je sniffe mon poppers juste par habitude. Mon cœur bat à la chamade. J'ai peur de la réaction que ce joggeur pourrait avoir en voyant un parfait inconnu, cul à l'air à un passage piétons. Mais l'envie de me faire enculer est trop forte. Des voitures passent. Puis, une main me frôle les fesses. Il continue, malgré tout, son chemin mais se retourne un instant en me regardant. Je lui fais signe de me suivre tout en me dirigeant contre un mur à l'abri derrière un arbuste. Arbuste que j'avais repéré depuis mon arrivée dans le quartier en bon petit bâtard que je suis. Je plaque mes mains contre le mur, j'écarte un peu les jambes et je tends bien le cul. Le joggeur finit par me rejoindre et me met une main au cul.
"- Salut... Putain, t'as un beau cul toi.
- Baise moi.
- Tu me suces ?
- Non, tu me défonces, c'est tout.
- T'as du gel ?
- Mets la moi direct, il est prêt."
Il se positionne alors derrière moi, crache dans sa main, se lubrifie la queue et, comme je lui ai demandé, me la met direct.
Oh putain, il a une queue énorme. En plus, il me défonce sauvagement en s'écroulant sur moi et m'entoure la taille de ses longs bras musclés. J'étais à sa merci. Sa queue me ravage la rondelle et la prostate. J'adorais ça. Une bonne baise sauvage avec un parfait inconnu comme je les aimais.
"- Mais c'est vrai, ma salope, que ton cul était prêt. Tu te promènes souvent comme ça pour te faire défoncer le cul par n'importe qui ? me susurre-t-il à l'oreille.
- Aaaah... Non. Aaaah... C'est que je viens juste de me faire sauter par un ami. Aaaah... Il a joui... aaah... deux fois en moi. Aaaah... Défonce-moi.
- C'est sympa d'être ami avec toi. Attends, je vais te remplir à mon tour."
Il se redresse, m'oblige à me cambrer davantage, me prend par les hanches et me défonce le cul encore plus fort, comme excité d'avoir appris qu'il passait après un autre mec. A chaque coup de bite, sa queue semble prendre de l'ampleur. Elle ne cesse de grossir tout en me pilonnant le cul.
Puis, à nouveau, il s'écroule sur moi, mord la veste de mon jogging, comme pour ne pas crier, et jouit. Une énorme quantité de foutre, à en croire les soubresauts que mon anus qui enserrait sa bite a ressenti, se loge au fond de mon cul. Il se retire et range sa grosse queue dans son legging noir.
"- C'était excellent. J'ai aimé me vider les couilles en toi. Je cours souvent dans le coin. On pourra remettre ça...
- Sans problème. A bientôt alors.
- A bientôt. Salut."
Je suis rentré chez moi complètement vanner et rempli comme j'aime l'être.
Je n'ai plus jamais croisé le joggeur. Avait-il honte en rentrant chez lui d'avoir baiser un parfait inconnu contre un mur ou n'avons-nous, tout simplement, pas eu la chance de nous revoir ? Je ne le saurai jamais.
Et voilà, un autre pan de ma vie en tant que passif immortalisé ici. J'espère que ce récit vous a également plu. En l'écrivant, un autre souvenir m'est apparu. Il fera l'objet d'un nouveau chapitre dans lequel E et M du troisième chapitre reviendront.
Le Cul jouissif
dialogaylille@outlook.fr