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5 | Un trophée lopé
« Mais qu’est-ce que c’est encore que cet endroit ? »
Cela fait bien trois jours que je suis trimballé de partout, dans des endroits plus miteux et sombre les uns que les autres. Ça sent le vieux bois ici…
On m’a foutu dans une valise, dans un coffre de bagnole, une vieille couverture degueulasse et que sais-je!
Au moins mon argenterie brillante n’a pas été endommagée c’est déjà ça. Mais ce nabot qui a la bougeotte commence sérieusement à me filer le tournis. Au moins depuis hier ça n’a pas bougé, toujours sur cette vieille planche de chêne, dans ce vieux placard qui ne ferme pas. Cette putain de porte mal fermée ne trouve rien de mieux à faire que de vous empêcher de dormir! On entend la mer d’ici et on sent cette douce odeur d’iode. C’est rafraîchissant et plaisant parce que depuis qu’il m’a fourré ici, ça cogne! Il doit faire au moins trente degrés ici et encore avec ses deux mauvais ventilateurs qui tournent jour et nuit. Le peu de lumière du jour que j’aperçois dans l’entre bâillement de cette satanée lourde à l’air éblouissante. Mon argent pur brillerait a des dizaines de kilomètres avec une boule de feu pareil. Mais non, il m’a consigné ici et la seule chose que je puisse voir en détail depuis mon perchoir, c’est mon voleur, mon chapardeur, ce fumier de voyoux qui me fourre dans une armoire miteuse alors que j’aurais dû avoir une vitrine rien que pour moi chez mon champion de propriétaire, qui se fait degonder la porte de secours depuis ce matin. C’est déjà le quatrième et on est pas encore midi… enfin quatrième, le quatrième, le cinquième et le sixième ce sont apparemment donnés le mot puisqu’ils sont venues ensemble. On dirait un enfant au milieu de ces gabarits hors-norme tous ultra bodybuldés. Ça vient juste de commencer et il y en a un des trois qui l’encule déjà. Tu me diras, la place est faite depuis ce matin. Les deux autres se branlent tranquillement a côté en serrant les abdos. Il tape fort le bougre! Ça claque sur son cul a chaque coup de rein arrachant à mon voleur un cri étouffé à chaque rentrée dans ses entrailles. Ça a l’air d’exciter sérieusement les autres vu les engins durs et suintant qui se payent. Chaque coup de bite de leur pote leur file un peu plus la gueule. Ils l’insultent, du moins c’est une impression, je ne pige rien à la langue. Ah! Un deuxième l’attrape par les cheveux et lui colle sa grosse bite au fond des gencives ! Putain il a ramassé ! Il en a craché partout sous la pression du gland dans sa bouche. Il lui tient bien la tête pendant qu’il envoyées coup de mandrins dans sa gueule. Ça bave de partout et je crois bien que notre serpillère de voleur et au bord de l’étouffement. Ça sale gueule tourne au rouge, ses yeux vont sortir de leurs orbites… il essaye presque de lui rentrer les couilles avec. Bien fait saloperie! Et l’autre derrière qui lui pulvérise encore le fion. Il l’attrape lui aussi par les cheveux et éructant des trucs incompréhensibles.
Il y a du lubrifiant partout. Ça gicle depuis son cul on dirait une fontaine au printemps. J’ai l’impression de voir un morceau de papier cul se faire souiller par un malade de la gastro. Mon coton-tige de cambrioleur n’est plus qu’un vieux kleenex juteux au milieu de ces deux baraques. Ils vont lui tasser les vertèbres à force de la piner chacun a sens contraire. Il en arrive à avoir des poils de bite coincés entre les dents ce nigaud. Non mais regardez moi ça ! Une éponge pressée ! Tu l’essore, du foutre en coulerait !
La troisième marmule daigne enfin à faire quelques choses tiens… non mais ils vont me l’achever et je ne pourrais plus jamais rentrer chez moi! Je vais moisir ici avec une cadavre collant et gluant de jus de queues! Putain l’angoisse!
Mais qu’est-ce… oh tiens j’apprends des choses aujourd’hui, en tant que trophée argenté de la décennie je ne suis pas du tout au point sur les pratiques des humains… le troisième enfourche le truc qui sert de passif et tend son cul a l’enculeur derrière pour se faire bouffer l’oignon. Et il a l’air d’apprécier le salaud car la trique ne débande pas. C’est rigide, lourd et ça commence à goutter. Une légère bruine de liquide séminal ruisselle sur le dos du locataire des lieux qui est toujours en train de se faire compresser par les deux titans qui le prennent en sandwich. Les deux lui écartant le cul, le premier lascar trempé sa langue dans l’oeillet de son pote tout en pilonnant comme un sourd le trou du cul déjà béant de la lavette un étage plus bas. D’ailleurs il est bord de l’asphyxie, l’autre musclor vient de se mettre sur le dos et à relever les jambes bien en l’air. Il a agrippé les cheveux de la victime et lui a fourré le nez dans son cul. L’autre lui lèche goulûment tout en subissant un flot de paroles graves venu du propriétaire du cul bientôt propre que je n’arrive pas à traduire. J’ai l’impression qu’il est de coutume que tout le monde bouffe le cul de tout le monde ici.
Il lui crache dans les poils de cul, lui lustre la rondelle comme on briquerait une Rolls-Royce. Tout en enculer leur jouet, le premier protagoniste glisse des doigts humides dans l’anus offert de son camarade de beuverie. Il lui en glisse un deuxième tiens… ce qui maintient bien dur le jonc visqueux et coulant. Il lui sort, il lui rentre les doigts pendant que l’autre dandine de la croupe à cheval sur leur victime. Un des larons était en train de faire goulûment bouffer ses couilles à la serpillière svelte et meurtrie par les assauts des trois bourrins. Il en avait les joues gonflées par les volumineuses testicules tout en se faisant biffler la gueule par la matraque encore en forme.
Putain ça sent la sueur! Et dire que je me plaignais de l’odeur de poussière et de moisi. Ça sent le male pas lavé et la salope souillé dans tout le logement. Heureusement que les fenêtres sont entrouvertes et que l’air frais de la côte aére un peu tout ça. Et cette odeur de gelée de pétrole qui empeste. L’autre cruche en train de se faire defoncer l’anus à grand renfort de vaseline nous envoie des effluves à chaque coup de tige qu’il ramasse dans les entrailles. Il suinte des liquides de partout ce sac à jus. Ça bave de la bouche, son cul transpire de lubrifiant, on s’est essuyé la bite dans ses cheveux et la moitié de son corps. Et il a l’air d’apprécier le salaud. Ses vertèbres ont dû plus bouger que sa volonté. Ses genoux ont l’air scellés dans le matelas, indelogeable meme avec l’autre derrière qui redouble d’effort dans son trou-du-cul. Les meubles en tremblent jusqu’ici. Le voilà qui laisse sa place à son collègue qu’il doigtait. Ah non, il ne laisse pas sa place, il laisse de la place. L’autre est en train de se cambrer comme une salope pour pouvoir insérer sa bite contre celle de son pote, lui remettant la lune juste sous le nez pour pouvoir la manger encore un peu. Une légère pression et le voilà lui aussi dans le cul de leur hôte. Les deux colosse se partage à présent l’espace restreint de l’anus accueillant lui déchirant le sphincter. Parole de trophée je ne pensais pas un truc pareil possible ! L’éponge a fourré à bien tenter de crier quelques choses quand la deuxième bite lui est rentrée dans le cul mais le troisième lui avait déjà enfoncé sa queue jusque dans la gorge et étouffé la moindre protestation faisant éclater de rire tout les parthouzeurs. La serpillière en pleurait comme du Rimmel tellement le gland frotter dans son œsophage.
Il en vomit presque sur l’engin.
Un putain de courant d’air claqua la porte de mon armoire prison , merde je rate tout! Je… ah ça y est elle s’est réouverte et en grand cette fois. Pile au moment où le battant me laisse champs libre pour le spectacle, les deux sodomiseurs se retirèrent en même temps de leur victime dans un bruit de succion visqueuse.
Whouaaa. Que dis-je une péninsule ! Un trou béant de la circonférence d’un aubergine prenait de plein fouet les courants d’air marin. Une main y serait rentré sans problème surtout que l’un des bourreau s’amusait à lui écarter le cul avec les deux mains. Ils éclatent de rire. Tu m’étonnes. Mais toujours cette langue dont je ne comprends rien. C’est rageant !
Un râle déchira la pièce. Le baiseur de bouche venait de tous lui envoyer derrière les molaires et hurlait exagérément à chaque giclée l’agrippant bien fermement par les cheveux pour qu’il n’en rate pas une goutte. Il en transpirait à grosse goutte, ça ruisselait à torrent sur ses tempes. Il s’était fait lustrer la bite à son paroxysme et le jet de foutre avait été d’une intensité remarquable. Chapeau l’artiste! Et l’autre cuvette a chiotte qui s’empressait d’avaler…
Derrière l’un des deux autre se remit à le besogner de plus belle depuis le bord du lit pendant que les deux piller des boissons fraîches dans le frigo. Ils perlaient des gouttes comme des poings les pauvres. Ils inversent. Le deuxième prend le relais, un coup toi un coup moi apparemment. C’est vrai que ceux-là n’ont pas encore envoyés la purée. Le dernier , bien vidé fait office de ravitaillement et de temps en temps suce un peu celui qui attend son tour pour enculer le jouet presque désarticulé. Rentabilité de temps, j’ai l’impression mon cher trophée que l’on a affaire à des prix. Ils seraient en argent qu’ils pourraient faire office de coupe de grand-prix tellement il y a de talent.
Ils arrivent à bout j’ai l’impression, ils lui giclent tous les deux sur le cul, rajoutant encore un peu plus de liquide sur les marques de fessées que son arrière-train a subit. Ils éclatèrent de rire dans leur langue et félicitèrent la baudruche coulante pour sa prestation en lui collant une petite claque autoritaire sur la joue. Mon hôte sourit , il a l’air fier de lui même s’il crache encore du foutre. Il y en a un qui le saisit au cou et qui le fait voler, ben merde, qu’est-ce qui ce passe? Il le mit à genoux, sur le carrelage entre les trois sportifs et lui tenant fermement le crâne pour le forcer à soucis son pote. Puis son autre pote, puis lui-même. Le voilà repartit pour refaire le vide-couilles de tout le monde! Les bites s’enchaînent au fond de sa bouche, les givrés rentrent avec une violence sans nom dans ses muqueuses avec des demi-molles assez volumineuses. Parfois ils rentrent d’eux par deux, lui étirant les joues comme un boa. Ils le biflent, retourne dans sa gorge, pose un cul sur sa gueule, lui crache dessus, l’étouffent encore… et l’autre qui prend tout sans broncher.
La tension monte encore d’un cran lorsque plus ou moins tous ensemble, il essorèrent le fond de sperme que leur couilles contenaient.
Ils frottaient leur gland sur la gueule sale et meurtrie de mon kidnappeur en insistant bien, pour les filets de sperme se collent bien sur sa face de pute. Et bien, spectacle terminé appara…
Qu’est ce qu’il fait lui? L’un d’eux m’aperçut au fond de mon placard et se jeta sur moi, m’attrapant par la hanse.
Mais lâchez-moi! Lâchez-moi ! Foutez- moi la paix bande de… ah non! Non! Non!
Il me posa par terre et guida la tête de mon voleur au-dessus de ma coupe. Pouahh entre ton odeur de chacal et ton haleine de foutre c’est un calvaire. Mais qu’est ce que je fous là bordel pouvait me laisser tranquille et jouer avec une casserole ou un rouleau à pâtisserie ? Et l’autre qui plonge littéralement la gueule dans ma coupelle. Aaaaah non! N… les trois autres commencèrent à lui pisser dessus, bien sûr la tronche et je servais de bassine à pisse. Moi, en argent massif, à me faire pisser dessus! Ils l’aspergeaient d’au moins un bon demi litre de pisse chacun. Ça schlingue sévèrement. Une horreur. Et l’autre au-dessus qui savoure. Un chiotte publique se mec. Je suis pleins de pisse à ras-bord et l’autre se fait plonger la tête dedans par un des ses amants. Ils l’ont humilié jusqu’au bout. Un déchet, un objet. Voilà qu’il le force à boire. D’ailleurs il prend tellement son pied qu’il vient d’éjaculer avec son petit sexe. Et putain encore sur moi!!! Mais laissez-moi tranquille !
Des shorts en jeans troués à peine remis, les trois compères repartirent de la bicoque en riant, ne prenant pas la peine de fermer la porte et laissant leur jouet nettoyer la pisse. Grande ouverte, l’entrée laissée place à une magnifique vue sur la côte de l’île grecque.
Jean Surin
jeansurin445@gmail.com
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