Premier épisode
2 | Le cercle
Pendant le mois qui suit, après l’épisode esthéticienne que je passe volontairement de vous raconter car il n’y a rien de spécial à en redire, Eric a fini par venir habiter chez moi. Il a été aux petits soins avec moi et très affectueux. J’ai continué à m’occuper de ma ferme comme si de rien n’était mais mes ouvriers avait compris pour moi et Eric. Soit c’est moi qui faisait à manger le soir ou lui. Comme il est courtier en assurance, il ne va que deux à trois fois par semaine au bureau ce qui lui facilite la vie. Nous avons réaménagé la chambre principale avec un dressing et un coin salon. Il a acheté un sling que nous avons fixé aux poutres de la chambre. Il est revenu avec des jouets et quelques plug. Un jour alors que nous venions de jouir, il m’a mis un plug de bonne taille. Quand je lui ai demandé pourquoi.
Eric : Je dois te préparer à une visite dans notre cercle et tu devras servir les maîtres du cercle. Ils sont bien mieux membrés que moi et je ne veux pas qu’il te fasse mal. Je t’avais prévenu que ce genre de chose pourrait se produire.
Moi : Oui mais je n’avais pas bien compris et tu ne m’en as jamais plus parlé. Je n’ai pas envie de ce genre de plan, ça me fait peur.
Eric : Si nous ne faisons pas ça, nous sommes mort. Tu as compris de toute façon tu es à moi et tu feras ce que je te dis.
Moi : Oui mon homme. Embrasse-moi et fais- moi la promesse de me protégé ce jour-là.
Eric : Je ferais ce que je pourrais pour te protégé.
La semaine suivante, le samedi soir nous étions en route pour un domaine dans le nord de la France, Eric conduisait. Lorsque nous sommes arrivés j’étais très nerveux.
Eric : Du calme c’est une soirée comme les autres et si un maître veut te baiser ce sera en chambre et seul avec lui ou avec moi. Ce sera toujours avec capote sauf moi.
Moi : J’ai peur
Il ne dit rien d’autre. Nous sommes entrés et il y avait une trentaine de personnes. Des serveurs nous ont servi du champagne et il y avait des amuses bouches. Bref une soirée classique. Eric m'a présenté à plusieurs personnes.
Eric : Écoute, les maîtres ont une chevalière comme la mienne au doigt. Tu leur doit obéissance comme à moi les autres tu ne leur cède pas compris.
Moi : Reste près de moi s’il te plait.
Eric : Je vais devoir m’absenter un instant, je dois rendre des comptes au maître principal de notre cercle.
Il s’est absenté et après avoir repris une coupe de champagne, je me suis éloigné pour aller sur une terrasse qui était ouverte. Il faisait bon et la vue sur un lac était magnifique. Il faisait pleine lune. J’étais dans mes pensées quand j’ai senti une main sur mon cul. J’en ai sursauté.
Le maître : Jean-Marc c’est bien cela ?
Je me suis retourné et j’ai vu devant moi un mec 1m90 mince et musclé blond et les yeux d’un bleu à faire fondre.
Moi : Oui c’est bien cela.
Le maître : Il paraît que tu as fait pas mal de progrès et que ton cul est devenu bien accueillant.
Moi : Je ne sais pas il faut demander à mon homme.
Le maître : Viens avec moi, je vais vérifier tes talents.
Comme il a une chevalière, même si cela ne me plait pas, je n’ai pas le choix. Nous sommes montées dans une grande chambre. La porte à peine refermée. Il me foutait à poil sans ménagement et lui aussi.
Le maître : À genoux et fais-moi bander bien dur ensuite je te défonce. Tu vas bien me servir j’ai les couilles bien pleine.
Quand j’ai vu l’engin semi bander je n’étais pas rassuré. Elle devait faire dans les 25 cm et bien large, circoncise. Je l’ai sucé du mieux que j’ai pu. Sur ce temps comme Eric m’avait bien appris à me cambrer un maximum quand je suce afin d’avoir accès à mon cul avec ces mains le maître jouait avec ces doigts sur mon anus à renfort de salive. Quand il a estimé que j’étais près, il m’a fait mettre à quatre pattes sur le lit et m’a enfilé d’un coup après avoir enfilé une capote. J’en pousse un cri de douleur et surtout parce que je ne m’attendais pas à être pris d’une traite.
Le maître : Souffre en silence !
Il m’a détruit le cul énergiquement pendant au moins vingt minutes avant de jouir de me filer une fessée bien sentie. Je n’en pouvais plus. Je n’avais même pas vu que la porte de la chambre était ouverte et que d’autre maître nous observait en se branlant.
Le maître : T’es une bonne pute mais va falloir apprendre à donner du plaisir à tes maîtres et à prendre ton pieds aussi.
Moi : Merci maître et désolé de ne pas avoir réussi à ma mission. C’est une première pour moi pardonné moi.
Le maître : Tu es pardonné mais on verra à l’usure. Au suivant de ces messieurs.
Je n’ai pas eu le temps de dire quoi que ce soit que j’avais un deuxième maître capoté dans mon fondement. Il a été plus doux et j’ai fini par me détendre et gémir aussi. Du coin de l’œil j’ai vu le premier maître parlé avec Eric en aparté. Eric me regardait soucieux et inquiet. Au total j’ai été utilisé par huit maîtres ce soir-là dans divers positions dont je ne me souviens plus. J’ai fini par être couché dans le grand lit par Eric qui avant m'a fait boire quelque chose. Je n’ai pas tardé à dormir. Au matin, après une bonne douche et un lavement, Eric m’a ramené à la ferme dans un silence presque complet. Juste un.
Eric : Je suis fière de toi bébé, te voici accepter dans le cercle comme soumis et vide couille. A partir de maintenant tu porteras le collier que voici. C’est pour montrer au maîtres que tu es un vide-couille.
Moi : J’ai fait mon possible pour ne pas te décevoir mais j’ai mal partout.
Eric : Tu as mal au cul ?
Moi : Non mais je me toujours sens bien ouvert.
Eric : Ce va revenir à la normal et je t’ai fait boire un produit pour que tu n’aies pas mal à ce niveau.
Ensuite le calme complet. Arrivé chez moi j’ai eu ordre de me reposer jusqu’au lendemain. La semaine à repris et nous sommes revenus à un niveau de vie normal les semaines suivantes. J’ai engagé un intendant sur conseil d’Éric pour m’aider et développer mon entreprise. Effectivement il fait un excellent boulot au point que je n’ai plus que ma comptabilité à faire.
Ptlapin
pascal_dinsart@yahoo.fr