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16 | Quatrièmes jour au domaine
Après une douche, Olivier s'est habillé d’un costume amené par l’esclave en même temps que mon déjeuner. Olivier est sorti par la porte de ma chambre.
L’esclave : Votre client est déjà là, je l’ai fait patienter, vous l’avez déjà eu, c’est un rapide. Ensuite je dois vous ouvrir la terrasse et vous êtes libre de mouvement. Vous devez juste enlever votre collier et mettre votre chevalière. Il y a un esclave attitré à la piscine pour vous servir.
Moi : OK merci, j’irais faire un tour à cheval, ensuite je profiterais de la piscine et du soleil.
L’esclave : Je ferais attelé votre jument. Le maître se doutait que vous voudriez faire du cheval. Il l’a fait venir ici. Bonne journée.
J’ai déjeuner et quand je me suis senti prêt, je l’ai signalé à l’interphone. Effectivement ça a été rapide, le même petit vieux que la dernière fois quinze minutes chrono. Je suis repasser par la douche et me suis habillé. J’ai retiré mon collier, mis ma chevalière et suis sorti sur ma terrasse. Au pied de celle-ci un palefrenier m'attendait avec ma jument. Quel plaisir de la voir, elle me manquait, une caresse pour lui montrer mon contentement de la voir. Je l’ai monté, une caresse sur son coup et je suis parti faire la même balade que la dernière fois. A la cabane de revente d’esclaves, il y en avait sept qui faisaient du sport à poil sous la surveillance de Eddy, le boys. Il m’a fait signe d’approcher avec mon cheval.
Eddy : Bonjour princesse, tu es enfin libre de circuler.
Moi : Oui apparemment mais je ne sais pas pour combien de temps.
Eddy : Ta jument c’est mon idée suggérée à ton maître. Du nerfs esclaves, c’est pas parce que je parle qu’il faut vous relâcher !
Moi : Merci pour ma jument. Il y en a combien en vente ?
Eddy : C’est sept ci. Attends- moi ici, je vais te montrer les autres endroits que tu n'as pas encore vu.
Il a pris son mobile et a demandé à être remplacé et que l’on lui amène un cheval. Dix minutes après, un boys que j’avais déjà vu arrive sur un cheval.Pour info, Il y en a deux pour le cheptel d’Aoun. Je les plains les pauvres, encore deux qui vont finir mutilé. Nous sommes partis avec Eddy. Dans la balade, nous avons été jusqu’à une petite maison. Nous avons attaché nos montures à un piquet prévu à cet effet. Une fois dans la maison.
Eddy : Ici c’est le centre de formation des futurs esclave du cheptel. Ton esclave Laurent est venu ici pour un petit stage avant d’être mis à ton service. Pour le moment il y en a huit. Attends, je les appelle.
Il a fait retentir une cloche et je les ai vu débouler à genoux face au sol. Tous entre 18 et 20 ans.
Eddy : Esclave, venez baiser les pieds de vos maître
Ils se sont mis à l’ouvrage. A l’oreille
Eddy : Si tu veux en tester un.
Moi : J’ai mal aux couilles et les burne vide suite au plan de hier, si tu vois ce que je veux dire.
Eddy : Le stimulant ne t’a pas aidé
Moi : Si, j’ai éjaculé six fois mais pour moi c’est une première
Eddy : Esclave retourner à vos exercices ! Viens on continue, on passe aux box. Laurent y est en stage pendant ta présence ici. Ordre deux mecs par jour et des doux. On n’a pas eu à le forcer, il a accepté de lui-même et est un des rares à être chouchouté. Nous avons respecté tes souhaits via ton intendant et pas de punition. Tu verras, il est bien épanoui ici et il mange à sa faim.
Moi : Merci d’avoir fait attention à lui, j’y tiens moi à ce gamin.
Arriver au box, seize en tout, bien insonorisés, tous équipés d’une caméra et d’un écran de contrôle. Ils sont tous au travail sauf celui de Laurent.
Eddy : Tu vois, il lie sur son lit. Il a demandé des revues de cuisine pour te faire encore de meilleurs repas. Il n’arrête pas de demander après toi.
J’entre et quand il me voit, il se jette sur moi et m’embrasse. Il pleure tellement il est heureux de me voir.
Moi : Et bien esclave c’est une manière d’accueillir son maître !
Laurent : Excusez moi maître, c’est l’émotion de vous revoir. Vous m’avez terriblement manqué. Je rêve de vous toutes les nuits. J’ai envie de vous, maître.
Moi : Pourtant on m’assure que ici tu es bien et que es comblé une à deux fois par jour.
Laurent : Ce n’est pas pareil qu’avec vous maître. Ici on me baise, j’aime quand vous me faites l’amour. C’est plus doux et j’aime sentir l’odeur de votre corps.
Eddy : Si ça ce n’est pas une belle preuve d’amour.
Moi : Il est libre, je peux en disposer ?
Eddy : Il est ton esclave, tu en fais ce que tu veux mais retour au box pour la nuit. Il a du boulot demain. Il est très demandé, vu sa belle petite gueule d’ange et son magnifique petit cul bien serré. Merci de lui avoir appris l’exercice avec le plug
Moi : Oui et à partir de fin de semaine prochaine, il faudra me refaire une piqûre de rappel.
Eddy : C’est prévu on n’a même fait une machine rien que pour ta rondelles.
Moi :Esclave met un maillot, un short et un t-shirt et viens avec moi. Eddy peux-tu nous amener à ma terrasse et demander à un palefrenier de reprendre ma jument. Après, nous irons à la piscine avec mon esclave.
Eddy : Bien princesse, les jumeaux et votre maître y sont déjà.
Nous sommes sortis et j’ai aidé Laurent à monter derrière moi sur ma selle. Il est tellement crevette et moi qui ne suis pas bien épais, il y a assez de place sur ma selle. Le trajet fut rapide. Une fois à la terrasse. J’ai laissé mon esclave à Eddy le temps de me changer. Direction la piscine. J’y ai retrouvé mon homme ainsi que les jumeaux. Il y avait Olivier sur un transat avec un esclave à ses pieds. De loin il m’a salué. J’ai présenté mon esclave aux jumeaux, ils ne sont pas restés insensibles à celui-ci. Ayant remarqué les jumeaux et voir un début d’érection.
Moi : Les jumeaux, si vous voulez lui faire l’amour, il n’y a pas de soucis. Je vous laisse ma chambre, il est clean vous aussi donc pas besoin de capote. Faites le jouir un max il le mérite et faite en sorte qu’il vous offre sa virginité. Je l’ai dépucelé mais il ne s’est jamais abandonné avec moi, même s' il vient de faire la plus belle déclaration d’amour de sa jeune vie. Si vous êtes d’accord mon maître de mari.
Karl : Tu l’as ma chérie
Moi : Esclave, suis les jumeaux, tu verras c’est des pro. Tu vas jouir avec eux comme jamais. Je te le garantis.
Laurent : Mais c’est de vous que j’ai envie maître.
Moi : Fait ce que je te dit, tu m’auras demain après midi si tu le désires et que tu es sage.
Je lui ai fait un bisou sur le front. Normalement je ne peux pas mais je vais expliquer le pourquoi après à Karl. Ils sont partis, les jumeaux mettent le petit en confiance.
Karl : Je peux avoir une explication !
Moi : Ne t’énerve pas et écoute s’il te plaît. Je l’ai mis dans les pattes des jumeaux car s' il est venu de son gré ici, c’est pour me retrouver. J’ai fait une erreur avec lui, je lui ai laissé trop de liberté et je lui ai fait l’amour au lieu de le baiser simplement. Tout à l’heure il m’a carrément dit qu’il m'aimait et comme c’est toi que j’aime.
Karl : Je vais le mettre en vente.
Moi : Non je lui ai promis qu’il serait libre de reprendre une vie normale après quand j’estimerais qu’il ne convient plus. Par contre, je veux qu’il refasse un stage complet par Eddy au centre de formation. Quand bien entendu, il aura fini de servir le cercle dans son box. Demande à Olivier si il serait d’accord pour lui faire l’amour avec ces frères dès que c’est possible.
Karl : OK ma chérie, comme tu as été très obéissante jusqu’à présent, je vais faire en sorte de satisfaire tes désirs. Laisse moi parler à Olivier.
Moi : Bien mon maître, je vais nager et me reposer dans le lit balinais, je t’y attends avec impatience ton corps me manque.
J’ai plongé dans la piscine, et me suis détendu, j’ai vu l’esclave apporter du champagne et trois coupes près du lit. Je vois revenir Karl avec Olivier.
Karl : Olivier est d’accord pour te rendre ce service à la condition que tu sois à lui toute la semaine prochaine. Corps et âme, tu devras être sa femme sur ce laps de temps. Même si cela ne me plaît pas, je te laisse le choix.
Moi : Si ça ne te convient pas, je ne le fais pas, je voulais juste donner un peu de plaisir à mon esclave.
Olivier : Je vais m’occuper de ton esclave, mais de lundi à mercredi comme prévu, tu seras à moi et tu me devra un très gros service. Ça te va ?
Moi : Si ça convient à mon maître, moi il n’y à pas de soucis.
Karl : Je n’y vois aucune objection.
Nous avons bu une coupe de champagne, ensuite je me suis lovée dans les bras de mon maître qui me manque pour le moment. Je m'endors sur lui une larme me coulant sur le visage. Il a senti que j’avais envie d’être auprès de lui et m’a encore serré plus fort contre son corps. Deux heures et demie plus tard, nous avons vu revenir les jumeaux ainsi que mon esclave ivre de bonheur et pas encore revenu sur terre.
Les jumeaux : Mission accomplie, il a eu son premier orgasme anal et a joui sans se toucher. Il a un petit cul d’enfer et bien serré. Merci maman.
J’ai été surpris qu’il m’appelle maman et troublé aussi, je ne m’y attendais pas du tout. Karl a pris le relais en voyant ma tête. Il s’est levé.
Karl : Alors tu as aimer esclave ?
Laurent : Oh que oui maître, je n’ai jamais pris un pied pareil. Merci maître.
Karl : Bon, maintenant tu vas te mettre à disposition du maître noir qui est sur l’autre lit en face. Laisse-toi faire, tu verras ce sera magique pour toi. Tu vas prendre ton pied comme jamais. Même si mes fils t’on ouvert la voix du plaisir avec lui et ses frères, tu vas en redemander. Pas besoin de capote avec lui, il est clean par contre avec ses frères capote obligatoires. Compris !
Laurent : Oui maître.
Karl : Mes fils, faites un câlin à votre mère pour la remercier.
Je n’ai pas eu le temps de dire ouf, que les gamins me sautaient dessus pour m’embrasser. Ils se sont couchés près de moi chacun d’un côté. J’ai observé mon esclave se présenter à Olivier. Il l’a fait monter sur le lit et à commencer à l’embrasser et le peloter. J’ai entendu mon esclave gémir par moments. A l’heure du repas on nous a servi pour moi une salade avec des scampi et crevettes grises et une très bonne vinaigrette. Karl et les jumeaux ont eu droit à de la viande grillée. Je pensais manger comme eux , mais explication de Karl. C’est pour me préparer à samedi, c’est plus facilement digestible comme repas. Bon OK. Olivier et Laurent ont mangé ensemble à une table éloignée. Mon esclave est tout sourire et discute avec son maître du moment. J’ai commencé à bailler et montré des signes de fatigue. Le vin aidant, je suis un peu beurrer. Karl s’en apercevant m'a pris pour aller nous coucher. Il y a eu un câlin mais pas de sexe ce qui pour une fois ne me fait pas de tord.
Ptlapin
pascal_dinsart@yahoo.fr