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5 | Le cercle et cheptel masculin 3
La semaine qui suivit, je me suis fait baiser par sept à huit maîtres par jour et j’ai dû baiser trois clients en fin de semaine. Les boys me donnant les cours du soir en domination et de m’apprendre l’exercice pour muscler mon anus. Pour ce faire, je me suis rendu au donjon et à ma grande surprise, j’ai pris du plaisir à dominer. Les exercices pour mon cul, c’est une autre paire de manches mais je me fais un défi de réussir pour satisfaire mon maître qui est absent pour deux semaines, affaire oblige. Je suis toujours cantonné le reste du temps dans ma chambre et cela devient très pesant. Je déprime même beaucoup. Les boys s’en aperçoivent mais ne disent rien. La troisième semaine idem et franchement, je n’en peux plus, je craque littéralement tous les soirs dans mon lit. Je ne mange de nouveau plus et j’ai des idées noires. En milieu de quatrième semaine, mercredi matin, on m’annonce que je vais être le centre d’une orgie dans ma chambre et que par conséquent je dois me reposer un maximum. Ce soir-là a été une soirée de trop pour moi. J’ai été baisé dans tous les sens, bouche et cul. J’ai pris des gifles, des fessées, du Poppers plein le nez, j’ai été attaché, détaché, bâillonné, goder pour finir par des doubles sodomies douloureuse pour moi car c'était la première fois. La soirée commence à 19.00 pour finir à trois heures du matin. Les boys m’ont lavé et massé. Ils ont dû me porter, je m’étais pisser dessus, mon cul en sang. Ils m’ont mis une crème cicatrisante et m’ont couchée. Je me suis sentie violée. Il y avait dans le coin pour manger de ma chambre, une corbeille de fruits avec un couteau pour les couper. Je l’ai pris vers 7.30 du matin et je me suis ouvert les veines dans la baignoire. C’est l’esclave qui m’a retrouvé inconscient dans la salle de bain une demi heure plus tard. Il à alerter les boys, qui ont fait venir le médecin attitré du domaine pour me soigner et me tirer d'affaires. C’est le maître qui me l’a dit lors de mon réveil dans ma chambre deux jours plus tard. J’avais un Baxter et mes mains attaché par sécurité avec des bandages aux poignets. Le maître était inquiet mais furibard aussi contre moi et aussi contre son intendant qui a autorisé l’orgie. Il a d’ailleurs été fouetté et est maintenant en vente. Ce n’est vraiment que quand j’ai repris conscience que j’ai pris une gifle magistrale avant un baiser amoureux et langoureux de mon maître. Il m’a détaché et a voulu avoir une explication. Quand je lui ai expliqué que je m’étais senti violé et pas protégé, j’avais voulu en finir n’en pouvant plus et étant à bout. Je n’ai plus vu le maître pendant un bon moment et on m’a foutu une paix royale. L’esclave m’a juste dit que mon calvaire était bientôt fini et m’a demandé de reprendre mes exercice pour mon anus, demande du maître. Dix jours après m’être remis de ma tentative de fuite ou suicide. Les boys sont entrés dans ma chambre, m’ont saisi debout de force et un mec après l'avoir désinfecté le bras m'a fait une piqûre. Dans la minute j’ai eu des vapeurs, je me suis senti mal et puis plus rien. Je me suis réveillé dans ma chambre à coucher dans ma ferme. Apparemment j’étais libre.
Ptlapin
pascal_dinsart@yahoo.fr
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