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21 | De meilleur pote à baiseur, il n'y a qu'un plan
Il faut que je vous parle de mon meilleur pote de l'époque. Nous nous connaissions du temps où j'étais en couple avec mon premier copain, il y a plus environ 25 ans. (voir chapitre 7).
Lors de notre séparation, tout naturellement nos amis ont choisi chacun leur camp. Si tant est qu'il fallait en choisir un.
Gregory, lui, est resté ami avec moi. Nous avions toujours eu un complicité qui irritait mon mec. Un simple regard nous suffisait à comprendre l'autre. Nous avions nos fous rires et, parfois, un langage qui nous était propre.
Après la rupture, j'étais heureux de l'avoir à mes côtés. Je lui racontait sans aucune censure mes plans culs. Je l'avais même parfois surpris se replacer la queue pendant mes histoires de cul. Il s'en cachait et le niait farouchement, mais je savais ce que j'avais vu et cela me faisait rire.
Grégory était un mec quelconque, plutôt banal. Il n'était pas laid, mais il n'était pas spécialement beau non plus. Il était plus petit que moi, 1m60 contre 1m70 pour moi. Il avait un an de plus que moi (26 ans pour lui et 25 pour moi lors de l'aventure que je vais vous raconter ici). Il n'était pas très épais mais avait une bite disproportionnée par rapport à son petit gabarit. Il était gay et hyper actif. Il aimait se qualifier de vrai mec.
Il savait, plus que n'importe qui, que j'étais devenu qu'un cul à remplir depuis que je goûtais au joie du célibat.
Et bien qu'il soit actif, jamais, aucun de nous avions imaginé baiser ensemble même quand nous passions la nuit ensemble. Nous étions meilleurs potes et ce constat nous suffisait.
En tchatant, à la recherche d'une queue à me mettre dans le cul, un mec d'une trentaine d'années, plutôt beau gosse, sportif, même très sportif, je n'avais jamais vu d'aussi gros pectoraux, me contacta en ces termes : "Salut. Je te défonces le cul maintenant, chez moi. Mais, tu me suces. C'est non négociable." Il fallait bien que cela m'arrive un jour, n'être qu'un cul n'est pas suffisant pour certains mecs.
Je répondis que j'étais partant, même pour lui sucer la queue et je lui demandai son adresse.
Adresse donnée, mon baiseur ajouta quelques instructions : "Je te fais entrer dans l'immeuble, tu vas au troisième étage, tu entres dans l'appartement dont je laisserai la porte entrouverte, tu te fous entièrement à poil et tu m'attends sagement à genoux sur le tapis du salon."
Douché et fin prêt à m'en prendre plein le cul et, vraisemblablement, plein la gueule, je partis chez lui, poppers en poche.
Alors que je m'approchais de chez lui, plus mes pensées brûlées d'envies. Je n'étais plus qu'à une station de métro de chez lui. Je commençais à avoir chaud et terriblement envie de me sauter. Instinctivement, je sortis le poppers de ma poche, divissai son capuchon et le portai à mon nez sans même faire attention aux personnes qui m'entouraient.
Arrivé chez lui, je m'installai à genoux sur le tapis de son salon, le cul déjà bien chaud et la rondelle palpitante.
Au bout d'un petit moment, je le vis sortir de ce que j'imaginais être sa chambre. Nu et la bite d'un bon 20 cm déjà bandée, ce beau trentenaire d'un bon mètre 85 s'avança d'un pas rapide et assuré vers moi.
"Ouvre ta gueule petit bâtard." M'ordonna-t-il d'une voix suave et posée.
La bouche à peine ouverte, il m'enfourna sa grosse queue juste au fond de la gorge, ce qui me fit avoir un haut le cœur. Mais aussitôt plongée au fond de la gorge, il la coulissa vivement entre mes lèvres. Je tentai alors de prendre sa bite entre mes mains.
"Laisse-moi faire petit bâtard. Tu n'as qu'une bouche au milieu d'une belle gueule et qu'un cul pour accueillir ma queue. Je ne veux pas que tu fasses quoique ce soit." Me dit-il en continuant de me pilonner la gueule avec sa queue énorme.
Il jouait ainsi avec son énorme bite dans ma bouche quand son téléphone portable sonna.
"Ouais, allo." Y répondit-il en continuant à me baiser la gueule. [...] "Quoi ?" [...] "Ouais, si tu veux. Mais là je me fais un p'tit bâtard au cul magnifique." [...] "Attends, je lui demande."
Sur ces mots, il baissa la tête vers mon visage et me demanda : "J'ai un pote qui veut passer. T'es ok pour qu'il te défonce aussi le boule ?" Je hochai la tête pour lui donner mon accord tout en continuant à accueillir sa queue en bouche.
"Bon, il est ok ce bâtard. Tu peux venir lui casser le cul aussi." [...] "Quoi ?" [...] "Bah ouais, ok. Pas de problème. T'inquiète, je n'en aurai pas déjà fini avec ce bâtard. Ah dans une demi-heure." [...] "Mais ouais. Tu rentres comme ça, t'as le code façon. Bon allez, je te laisse, j'ai trop envie de lui déchirer le cul là."
Il raccrocha et jeta son téléphone portable sur le canapé.
"Bon, mon pote débarque dans 30 minutes pour te baiser le cul. Comme je tiens à bien en profiter avant, tu vas te foutre à quatre pattes pour me tendre ton beau cul de bâtard." Dit-il en retirant sa queue dégoulinante de salive et de précum de ma bouche.
Je me retournai et lui présentai mon cul fraichement rasé en cambrant le dos tel le bâtard en chaleur que j'étais.
"Putain de cul. Il est magnifique." Dit-il avant de s'agenouiller devant et de ma caresser les fesses en les écartant et en me titillant la rondelle, déjà bien dilatée par l'excitation et le poppers, avec l'index.
"Putain, tu mouilles bâtard."
Il n'a pas fallu bien longtemps pour que je me retrouve avec sa langue dans le cul. Il me bouffait le cul comme un véritable affamé et gémissait comme pour me prouver qu'il adorait dévorer mon cul.
Puis, dans un élan presque bestial, il se redressa pour m'introduire son énorme queue rougissante dans mon cul sans même m'en avertir, ce qui me fit pousser un cri de plaisir.
"Je sentais que tu n'attendais que ça mon beau bâtard." Dit-il en commençant à bouger son bassin alors que da bite était bien logé au fond de mon fondement.
Après sa "lambada" dans mon cul, il commença ses vas-et-viens. Sa queue coulissait doucement dans mon trou. Il aimait l'observer glisser doucement autour de ma rondelle. Sa main droite était posée sur ma fesse gauche qu'il écartait pour avoir une meilleure vue sur sa bite perforatrice.
Ensuite, il s'amusa à la sortir et rentrer lentement puis violemment. Je mouillais du trou tout en jouissant du cul. J'étais en chaleur et lui tendais mon cul.
La porte de son appartement s'ouvrit alors qu'il continuait à me baiser le cul tantôt lentement, tantôt violemment. Machinalement, je tourne la tête vers la porte, tout en appréciant la grosse queue de mon assaillant, et croise le regard de mon meilleur ami. Gregory était donc le pote de mon baiseur venu pour me remplir le cul. Il eût l'air aussi surpris que moi.
"Eh ! Mon p'tit Grégou. Viens mater ce cul de bâtard. Je t'ai attendu avant de le féconder." Cria alors mon baiseur avec enthousiasme.
J'eus juste le temps de faire un clin d'œil à Grégory qui a répondu avec un sourire qui ne laissait aucun doute sur la joie qu'il avait à l'idée de me casser le cul.
Il s'approcha de nous tout en se déshabillant.
"Grouille-toi Gregou. Je vais plus tenir. Ça fait une demi-heure que je te baise ce bâtard." Dit mon baiseur en accélérant ses coups de reins, les mains cramponnées à mes hanches.
"Ça va. Relax. Je suis déjà prêt à prendre ta place. Rempli moi ce beau cul que je m'y mette." Répondit Grégory en me fessant avant de se saisir de mes fesses afin de les écarter pour offrir à la bite de son pote, plus de profondeur.
Un râle rauque retentit dans tout l'appartement. Mon baiseur me remplit le cul en m'insultant de bon petit bâtard, de trou à foutre et de cul à bite.
"A toi mon p'tit Grégou." L'invita-t-il à prendre sa place après avoir déculé.
Gregory se plaça derrière moi et posa ses mains sur mes fesses.
"Tu vas déguster mon p'tit bâtard. J'ai une grosse bite mais Gregou, c'est un étalon." Cancana mon baiseur du jour.
Je savais que Grégory avait une queue de cheval pour l'avoir souvent vu. Seulement, jusqu'à présent, ce n'était que la bite de mon meilleur ami au repos. Là, j'allais goûter à cette queue sublime, longue et grosse.
Grégory me tâtait le cul en s'extasiant devant.
"Quel bon cul de bâtard. Putain, je vais te défoncer comme tu aimes l'être." Me dit-il en écartant mes deux belles fesses toutes rondes. "Et ce trou humide, suintant de foutre, je vais te le déchirer bâtard." Ajouta-t-il en me fessant le cul.
Ce salaud se servait de mes confidences pour m'exciter à mort. Il s'avait ce que j'aimais et il comptait bien s'en servir pour me rendre encore plus bâtard que je ne l'étais.
Ce qu'il avait parvenu à faire car je m'étais totalement abandonné. Je lui tendais mon cul comme un bâtard en manque de bite, le haut du corps entière écrasé contre ce fichu tapis. Le nez dans le poppers, je sentais ma rondelle palpiter de désir. Elle réclamait sa bite.
"Putain Gregou. Tu le mets au supplice là. Il en veut. Regarde comment il te donne son cul." Réagit mon précédent baiseur qui s'était confortablement installé, nu, sur le canapé.
Gregory se contentait de m'écarter les fesses pour admirer mon trou se dilater pour lui.
"Je sais. Je vais le baiser et le féconder ce bâtard. Mais avant, je l'entendre me le demander. Je veux qu'il réclame mes 22 cm" Répondit Grégory.
Le salaud. Il voulait que je le supplie de me baiser. Il savait que je ne pouvais pas refuser un bon 22 cm dans le cul.
"Défonce moi le cul. Mets moi tes 22 cm bien au fond. Je n'en peux plus. Je veux que tu me déchires le trou et que tu me remplisses de tout ton foutre." Dis-je, sachant, moi aussi, les mots qui l'excitaient.
Il claqua alors son énorme sexe sur mon cul, que je fis frétiller pour l'inviter à aller plus loin.
Sensible à mon appel, il glisse sa bite le long de ma raie puis titilla ma rondelle avec son gland. Il caressa ainsi longuement mon trou avec son gland en le faisant entrer et sortir aussitôt de temps en temps.
"Tu aimes ça hein ?" Me demanda-t-il en me voyant frissonner de plaisir.
Je n'eus pas le temps de lui répondre que mon baiseur devenu voyeur dit : "Mais putain. Oui il aime ça. Il n'en peut plus. T'as vu son trou ? C'est un trou béant. Alors putain, baise le ce bâtard."
"Fous la moi." Ajoutai-je, complètement soumis à son énorme queue.
Gregory me prit par les hanches et m'empala d'un coup de son sexe perforateur. Il me défonça le cul comme l'actif qu'il était. À ce moment-là, j'ai regretté de ne pas avoir goûté à sa queue bien avant et ai envie tous ses mecs qu'il avait pu baiser avant moi.
Notre voyeur, lui, se branler en matant Grégory se défouler dans mon cul.
Sa bite glissait en moi avec aisance et rapidité. Parfois, accidentellement, elle sortait mais très vite, elle reprenait sa place dans mon cul.
Puis, au bout de dix minutes, Grégory s'écroula sur moi et je sentis sa queue expulser une grande quantité de foutre en moi. J'étais aux anges, complètement gazé au poppers et comme saoul après cette jouissance anale et prostatique enivrante.
Gregory resta un petit moment en moi, affalé sur moi et me dit au creux de mon oreille : "Depuis le temps que je rêvais de t'éclater le cul..."
Soudain, notre voyeur se lève.
"Dégage Gregou. Grouille."
Gregory décula aussitôt et se releva. Notre voyeur prit aussitôt sa place et me pénétra à nouveau pour, dans un râle de soulagement, cracher le jus qu'il avait fait monter en se branlant.
Nous nous quittâmes et Grégory me suivit chez moi. Nous avons longuement discuté de l'évolution de notre relation. Nous avons décidé de rester ami comme nous l'avions toujours été, mais en y introduisant du cul. Cette nuit là, il a voulu rester dormir chez moi pour, comme il disait, regoûter à mon cul en prenant cette fois-ci tout son temps. C'est ainsi qu'il prit goût à me le bouffer et à me le baiser dès qu'il en trouvait l'occasion.
Il a voulu me baiser avec mon pote DJ.
Nos chemins se sont séparés lorsqu'il s'est trouvé un petit ami. Je ne l'avais plus jamais revu jusqu'à cette semaine, où je l'ai croisé en sortant du travail. Nous nous sommes tout de suite reconnus. Nous avons tout naturellement pris un verre ensemble cette fameuse fin d'après-midi.
La relation qui avait mis fin à notre amitié-cul n'avait même pas duré deux mois. Il n'avait jamais osé reprendre contact. Aujourd'hui, il est toujours célibataire et a été attristé que je sois marié. Il a même été très étonné que je sois devenu exclusivement actif. Il m'a dit que j'étais un bâtard et qu'un bâtard resterait toujours un bâtard. Que j'avais un cul pour que les mecs s'en servent.
Je lui ai donc avoué que j'étais frustré, que régulièrement mon cul suinté de mouille tellement j'avais envie de me faire prendre et que je me détestais d'être incapable de tromper mon mari rien qu'une fois.
Je lui ai aussi confié que j'écrivais mes mémoires sexuelles ici. Il a tout de suite demandé le lien.
Il m'a recontacté par mail pour me dire qu'il s'était branlé en lisant mes histoires plus d'une fois. Il a précisé se souvenir de certaines quand, à l'époque, je lui racontais tout. Il m'a demandé d'écrire sur notre amitié, en donnant son prénom réel, et sur la première fois qu'il a pu enfin me défoncer le cul et, sans détour, m'a demandé de lui envoyer une photo de mon cul. Après l'avoir reçu, il a dit que c'était un réel gâchis car mon cul n'avait pas changé et qu'il était fait pour être rempli.
Voilà, j'espère que cette nouvelle aventure vous a plu et qu'à toi aussi Grégory. J'ai beaucoup aimé me replonger de nos souvenirs.
A bientôt pour d'autres sodomies.
Le Cul jouissif
dialogaylille@outlook.fr