Premier épisode | Épisode précedent
20 | Soirée à Lille et sortie à Paris
Cette histoire s'est déroulée lorsque j'avais 25 ans. Tout comme aujourd'hui, j'étais un petit brun d'1m70 pour 58kg, bite de 20 cm et beau petit cul rebondi soigneusement rasé.
Des amis, un couple d'hétéros, Marie et Jonathan (pas leur vrai prénom), m'avaient invité à une soirée pour laquelle nous serons une petite dizaine, dont un de leurs amis parisiens.
Arrivé à la soirée en bon dernier, dans un pantalon Chino beige moule cul, une chemise cintrée rose et, pour ne pas changer, en guise de sous-vêtement, un jockstrap, mes amis me présentèrent, rapidement, au peu de personnes que je ne connaissais pas encore, dont Nicolas (pas son vrai prénom), leur pote venu de Paris pour passer une semaine à Lille, chez eux.
Nicolas avait, à l'époque, un peu moins de trente ans. Il faisait environ 1m80, une carure de rugbyman et un charme indéniable avec ses petites bouclettes brunes, ses yeux verts et son sourire ravageur.
La soirée avait été très sympa et conviviale.
J'avais bien senti les regards insistants que Nicolas posaient sur moi et je répondais avec plaisir à ses sourires. Il écoutait avec attention chacune de mes paroles et riait volontiers à mes blagues.
Il était clair, dans mon esprit de gay en chaleur, qu'il avait craqué pour ma belle petite gueule et, je l'espérais, pour mon beau petit cul.
Cependant, je restais néanmoins très prudent durant toute la soirée afin de ne mettre mal à l'aise personne. D'autant plus que je ne savais pas s'il était gay, hétéro ou même en couple.
Vers 2h30 du matin, la fin de la soirée était arrivée et, ayant un peu trop bu, Jonathan m'invita à rester dormir chez eux.
"Non, non, je vais rentrer. T'inquiète." Dis-je, impatient de regagner mon lit.
Marie insista, à son tour, et refusa, tout net, que je parte de chez eux sans avoir dormi un minimum. Elle précisa que si, par malheur, en rentrant chez moi à pieds, en pleine nuit, il m'arrivait quelque chose, elle ne pourrait pas se le pardonner.
Ce que je trouvais lourd. D'autant plus que, régulièrement, je rentrais seul chez moi, la nuit, le plus souvent après m'être fait casser le cul dans les quatre coins de la métropole.
"Ouais, allez. Marie a raison. Reste ici cette nuit." Ajouta Jonathan. "Je suis sûr que Nico se fera un plaisir de partager le canapé lit avec toi." Continua-t-il.
A cet instant précis, leur proposition était devenue bien plus alléchante.
J'observais Nicolas qui me souriait tout en acquiessant de la tête. Son regard doux en disait long. Du moins, c'est ce que j'avais aimé croire.
"Bon ok. Vous avez gagné. Je reste." Capitulai-je. Non, innocemment car la perspective de dormir avec Nicolas me rendait fou bien qu'un peu nerveux.
En effet, un léger malaise me prit lorsque le jockstrap que je portais s'était rappelé à moi. Nombreuses questions me vinrent à l'esprit.
Si ce Nico n'était pas gay, je serais devenu, à ses yeux, après que je me sois dévoilé, un véritable détraqué.
Jonathan avait déplié le canapé-lit quant à Marie nous avait amené le linge de lit. Puis ils quittèrent la pièce pour regagner leur chambre, après avoir allumer la lampe près du canapé-lit pour éteindre l'éclairage du plafonnier. Une lumière tamisée enveloppa la pièce d'une douce chaleur. C'est ainsi que nous nous retrouvâmes, Nicolas et moi, seuls.
"Je suis content que tu aies accepté de rester dormir ici, avec moi." Dit Nicolas en commençant à faire le lit.
"Ils ne m'ont pas réellement laissé le choix. Ils sont un peu trop protecteurs avec moi." Répondis-je en l'aidant à tendre les draps.
"Je les comprends. On a envie de te protéger et prendre soin de toi."
"Tu sais, je ne suis si fragile que ça." Plasantai-je en enfournant les oreillers dans leur taie respective.
Je n'arrivais visiblement pas à voir les signaux qu'il me lançait.
Sûrement à cause de cette obsession concernant ce foutu jockstrap qu'il, forcément, verrait lorsque je me serais déshabillé pour me mettre au lit.
Mon indifférence l'avait obligé à être plus direct.
"Écoute. Pour être plus clair. Tu me plais. Même beaucoup. Oh oui, beaucoup trop. Ce qui me perturbe un peu pour tout t'avouer. Pas à cause du fait que j'ai très envie de toi, pas non plus à cause du fait que je sois déjà en couple car nous sommes un couple libre, mais parceque, tout simplement, tu me fais complètement craqué." Me déclara-t-il, les yeux plongés dans les miens.
"Tu me plais aussi et j'avoue que dormir avec toi me rendait nerveux. Je suis un peu plus détendu maintenant. Fébrile mais détendu. Et ça fait longtemps que tu es en couple ? Il a toujours été libre ou ça c'est fait progressivement ?" Reagis-je à sa déclaration en m'assayant au bord du lit.
"Ça fait trois ans. Au départ, nous étions du genre exclusif. Mais au fil des années, nous avons appris à séparer le sexe de notre relation amoureuse. Je me retrouve souvent seul car son métier l'oblige à voyager beaucoup. Il est Steward. Et pour tout te dire, je lui ai envoyé un message durant la soirée pour lui parler de toi. Et il m'a fortement encouragé, je cite, à te péter la rondelle. Ce sont ses mots, pas les miens. Seulement, je ne lui ai pas dit que tu me faisais carrément craquer. Alors, je pense que je vais rester prudent s'agissant de toi et me contenter d'amitié. Si ça te va bien sûr. (J'avais opiné de la tête.) Et toi alors ? Dis moi tout. Pas de mec ?"
"Je suis resté cinq ans en couple. Ça a commencé quand j'étais étudiant jusqu'à mes 23 ans. C'était mon tout premier mec et vivre seul était nouveau pour moi. Mais ce fut libérateur, dans tous les sens du terme."
"Ah ouais ?" Demanda-t-il, curieux et intrigué.
"Oui. Disons que je n'avais pas exploré tout mon potentiel sexuel." Riai-je.
"Carrément ? T'en a trop dit ou pas assez là."
Alors, je lui avais raconté ma rencontre avec mon Pote DJ (Chapitre 7), le bouffeur de cul qu'était le Fantom (Chapitre 1), puis mon trip de n'être pris que pour ce que j'étais : un cul à défoncer et à remplir. Que, pour le moment, je ne vivais que pour mon cul.
"Merde, comment veux-tu qu'après ça, je n'ai pas envie de te péter la rondelle, comme dit si bien mon homme." Répondit-il à mes histoires de cul, en se malaxant la queue que je devinais bien raide et de bonne taille à travers le tissu de son pantalon.
Sans réfléchir, je m'étais levé du canapé-lit et avais baissé rapidement mon pantalon en me cambrant pour lui présenter mon bon petit cul rasé et rebondi offert dans son jockstrap.
"Comme tu vois, il est prêt à se faire défoncer." Disai-je avec excitation.
Il avait alors glissé de son côté du canapé-lit jusqu'au mien pour se retrouver face à mon boule qu'il caressait tendrement.
"Putain, ce cul..." Murmura-t-il avant d'y déposer un baiser et d'en lécher la rondelle qu'il avait dévoilé en m'écartant les fesses.
Quel plaisir ça fut de sentir sa langue me lécher l'oignon avec délectation. Il avait ensuite commencé très rapidement à me fouiller le cul toujours avec l'aide de sa langue. Je l'avais entre-temps entendu se déshabiller maladroitement avec hâte.
"J'ai super envie de te prendre mais, fait chier, j'ai pas de capote, ni de gel." Fit-il entre deux lèches anales.
"J'adore me faire remplir le cul si tu veux. Puis, le gel, rare que je m'en serve. J'ai le trou naturellement lubrifié quand je suis super excité. Et là, je peux t'assurer que j'ai trop envie que tu me défonces le cul sans retenu."
À peine ces mots prononcés, nous entendîmes un bruit qui nous avait fait sursauté.
Après s'être assuré que personne n'était présent dans le couloir, Nicolas s'était couché dans le canapé-lit et m'avait demandé, voire ordonné, de l'y rejoindre. Ce que j'avais fait après m'être fini de me déshabiller entièrement en ne gardant que mon jockstrap.
Sous les couvertures, il me prit dans ses bras musclés et m'embrassa en égarant ses mains sur mes fesses. Plus il les malaxait, plus son baiser devenait fougueux. Et plus son baiser devenait fougueux, plus ses doigts s'aventuraient, éhontément, entre mes fesses.
Moi, je lui branlais son énorme queue baveuse et bandée. Elle semblait longue, épaisse et dure comme je les aimais.
Tout en continuant à m'embrasser, il se mit à me fouiller le trou avec ses doigts.
Je sentais ses doigts plonger allègrement dans mon cul. Je ne pouvais dire combien de doigts il avait introduit dans mon trou mais j'adorais les sentir y entrer et y sortir à rythme effréné. Je mouillais. Ses doigts devaient être imprégnés de ma mouille anale. Ils glissaient en moi avec facilité.
D'un coup, il cessa son baiser et sa fouille.
"Retourne-toi et donne moi ton cul que je te le défonce. Tu mouilles à t'en lubrifier le trou, j'ai jamais vu ça. C'est kiffant."
Je m'étais donc retourné et avais collé mon cul sur son énorme queue, façon "grosse cuillère, petite cuillère".
Au creux de mon oreille, il mr chuchota : "Maintenant, je vais te la mettre et je vais t'éclater le cul comme tu le mérites. Je ne veux pas t'entendre crier ni gémir. Tu n'es qu'un cul, un cul ne crit pas."
Et il avait alors exécuté sa promesse en s'enfonçant en moi sans même une once de tendresse.
J'étouffais mes gémissements de plaisir dans mon oreiller.
Nicolas me pilonait le cul sans ménagement sous les couvertures au milieu du salon de nos hébergeurs. Ses mains me caressaient tantôt le dos, tantôt les fesses. Sa grosse bite me ravageait l'intérieur et j'aimais ça. Je jouissais du cul. Entendre son bas ventre et ses couilles claquer sur mon cul dans le silence de ce salon tamisé me rendait dingue. Je ne voulais pas que cette baise s'arrête. Il avait très vite compris qui j'étais et à quoi je devais servir.
Soudain, la lumière du couloir s'alluma. Nicolas ralentissa ses va-et-vient comme pour essayer de ne pas faire de bruit.
"Vous ne dormez pas les gars ?" Demanda alors Jonathan, la tête dépassant entre l'entrebâillement de la porte.
J'étais tétanisé et n'osais plus remuer. Nicolas, lui, était resté en moi, la bite logée bien confortablement au fond de mon cul et lui répondit : "(Mon prénom) s'est très vite endormi. Je ne vais pas tarder à faire de même."
"Ok. J'ai eu peur de vous avoir réveillé en allant au toilettes. Bonne nuit."
Nicolas sortit de mon cul en répondant à son "bonne nuit" pour éteindre la lampe que nous avions laissé allumée.
A peine avait-il repris sa place derrière moi, qu'il me replanta sa queue dans mon cul pour continuer sa défonce anale.
Quelques minutes plus tard, il me murmura à l'oreille qu'il venait.
Et tout en me mordant l'épaule, tandis que sa bite crachait avec vigueur une énorme quantité de foutre, il m'avait agrippé violemment les hanches.
Nous étions restés ainsi un bon moment avant qu'il ne m'offre, en déculant, son aide pour me rafraîchir. Offre que j'avais gentiment décliné en lui expliquant que je n'avais aucun problème à garder le foutre de mes amants en moi.
Nous nous étions endormis dans la même position que nous avions eu pour baiser.
Le lendemain matin, nous entendîmes Jonathan et Marie préparer le petit-déjeuner dans la cuisine.
Nicolas m'avait alors caressé le cul et m'avait furtivement embrassé avant de se lever et s'habiller afin de les rejoindre. J'en avais fait de même en espérant ne pas souiller mon pantalon avec mon cul de bâtard puant le sexe.
Après cette fameuse nuit, Nicolas et moi nous sommes très souvent revus. Une belle amitié était née et, en prime, il pouvait disposer de mon cul comme il voulait.
Il venait toujours à Lille me voir. Il disait ne pas vouloir mélanger sa vie avec son mec à Paris et celle qu'il entretenait amicalement avec moi à Lille.
Seulement, un jour il me téléphona pour me proposer de venir passer le week-end chez lui. J'ai, bien entendu, accepté son invitation.
Arrivé chez lui, le vendredi soir, il me défonça violemment le cul avant de me proposer de sortir dans un bar.
Arrivés au bar, Nicolas semblait fanfaronner, tout fier d'être en ma compagnie. Il disait, et ce n'est que son impression, que tous les mecs me regardaient. Je pensais surtout qu'il aimait croire que tous les mecs n'avaient d'yeux que pour moi. Ça devait flatter son égo.
Quoiqu'il en soit, après un verre ou deux, il me dit à l'oreille : "Dis, tu me fais confiance ?" Ce à quoi j'avais répondu oui d'un hochement de tête. "Alors, laisse moi faire et surtout, ne dis pas un seul mot."
"Ok." Avais-je répondu, perplexe.
Je le vis alors faire signe à un mec se trouvant derrière nous, de s'approcher. Celui-ci s'exécuta, le sourire aux lèvres.
Il faisait à peu près de ma taille, il portait de longs cheveux châtains clairs ondulés, avait les yeux clairs et une carrure sportive mais était plutôt fin.
"Salut. Je te vois mater mon mec depuis toute à l'heure, il te plaît ?" Demanda de Nicolas à ce parfait inconnu .
"Euh... Ouais. Mais désolé, je pensais que vous n'étiez que des amis. Je veux pas d'embrouilles." Répondit-il maladroitement.
"Relaxe. Si tu le veux, je te le prête. Amène le dans les chiottes et défonces lui le cul. Il n'a ni le droit de parler, ni le droit d'embrasser, ni même celui de sucer." Dit Nicolas sérieusement. Je l' avais regardé, interrogatif même si la situation me faisait carrément mouiller. Il me fit un clin d'œil.
"Et je peux la remplir ta salope ?" Demanda avec assurance ce type qui j'allais, assurément, bientôt accueillir en moi.
"Ce n'est pas une salope mais un véritable bâtard. Et oui, tu peux le remplir. Mais, attention, à tout moment, s'il dit stop ou refuse, tu n'incistes pas"
Sur cette autorisation, ce mec me prit la main et m'entraîna jusqu'au toilettes où il m'avait fait entrer dans une cabine. Là, il me claqua face au mur et contre celui-ci, m'obligea à cambrer le dos. Il retira ensuite ma ceinture, degrafa la braguette de mon pantalon et le baissa hâtivement.
"Sympa le jock. T'as un de ces culs mon beau."
Il me plota les fesses et déboutonna son jean pour libérer sa queue. Il s'accroupit et me bouffa goulûment le fion avant de se redresser pour me foutre sa bite dans le cul. Littéralement, il se servait de mon cul comme d'une pompe à queue. Puis, sans retenue, il grogna bruyamment et m'innonda le trou.
Rempli et le trou béant, J'avais rejoint Nicolas qui me demanda si j'avais pris mon pied. Ce a quoi je lui avais répondu par l'affirmative en exigeant une explication quant à son petit jeu de mâle prêteur.
"Je vois bien que tu n'as pas conscience de ton pouvoir d'attraction. Nombreux sont les mecs ici qui te matent comme un gâteau à dévorer derrière une vitrine. Je sais ce que tu aimes. Ton cul est superbe et, franchement, si tu avais confiance en ton sex-appeal, tu te ferais sauter à chaque coin de rue. Là, je voulais te filer un coup de pouce et te prouver que tu peux te faire qui tu veux, quand tu veux. Puis jouer ton mec qui donne ton cul aux autres, ça me fait bander. Et, franchement, je ne t'ai pas choisi le plus moche non plus."
"C'est vrai. Et j'ai joui du cul, c'est le principal. À refaire."
"Carrément. Allez, fini ton verre. On rentre et je te défonce. Cette histoire m'a collé la gaule."
Cette nuit là, il m'avait défoncé le cul et tassé, par la même occasion, tout le foutre que j'avais gardé en moi.
Tout le week-end avait été semblable à ce vendredi soir. Il me choisissait toujours les plus beaux et, comme un rituel, il me remplissait le cul après eux.
Nous sommes très longtemps restés amis de cette façon et jouions à ce petit jeu de mâle prêteur dès que l'occasion se présentait. Jamais je n'ai rencontré son mec. Par contre, lui, a rencontré le mien une seule fois, ce qui, à mon grand regret, a mis fin à notre si particulière amitié. Il ne comprenait pas ce que je faisais avec lui et, encore moins, pourquoi j'avais accepté d'abandonner mon côté passif pour lui. Tout comme mon pote DJ et le Fantom, il m'avait prédit que je le regretterai. Ils n'avaient pas tort.
Cette amitié, aujourd'hui encore, je regrette qu'elle se soit terminée si abruptement. Et j'aurais aimé la conserver. Peut-être que lui aurait réussi à me baiser régulièrement dès mon mari était absent.
Voilà Pour ce nouveau pan de ma vie alors que je n'étais, quasiment, exclusivement passif anal, avant de rencontrer celui qui est maintenant mon mari depuis quinze ans. Pour lui, je suis devenu uniquement actif mais mon cul continue à suinter d'envie.
Je suis de plus en plus frustré et je ressens le besoin de m'en prendre une bonne dans le cul.
Les souvenirs se bousculent et beaucoup me reviennent en mémoire.
A très bientôt pour de nouvelles histoires passées.
Le Cul jouissif
dialogaylille@outlook.fr