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26 | A la plage
J'avais entre 23 et 24 ans, quand un couple d'amis hétéro, le même par lequel j'ai rencontré plus tard Nicolas (Chapitre 20), m'a invité dans leur maison près de la mer pour les vacances. C'est ainsi qu'en ce fameux mois d'août, je me suis retrouvé une semaine loin de Lille et loin, surtout, de ma nouvelle passion : Me faire déchirer le cul par de parfait inconnu. Allais-je pouvoir m'en passer ?
Souvenez-vous, à l'époque, je venais de rompre avec celui qui avait été mon compagnon depuis cinq ans et, sexuellement, je m'étais découvert très passif "anal" grâce à mon nouveau pote DJ (Chapitre 7).
Arrivé en gare, mes amis m'attendaient avec impatience. À voir leur visage souriant, j'ai compris qu'ils étaient contents de me voir et c'était réciproque.
Nous sommes restés aux alentours de la gare pour se balader et manger un morceau au restaurant avant de prendre la voiture pour regagner leur petite maison.
Installé dans la chambre d'invités, je descends les aider à préparer le repas pour le soir. J'aimais ce rythme lent et amical que cette vie, loin de la ville, permettait.
La nuit, j'ai eu beaucoup de mal à trouver le sommeil. Le "Fantom" (Chapitre 1) m'avait envoyé un SMS dans la soirée me disant : "Amène-moi ton cul que je te le bouffe et te le remplisse." A contrecœur, j'ai dû décliner sa proposition en lui expliquant que j'étais parti pour une semaine en vacances.
L'envie de me faire mettre ne me quittait plus et je ne pensais plus qu'à mon cul qui suintait de désir. Si bien que le matin, je les ai abandonnés, après le petit déjeuner, sans même me doucher, pour aller courir sur la plage. Bien-sûr, en bon bâtard, j'avais enfilé un jockstrap sous mon short.
A peine sorti de chez eux, j'ai couru vers la plage en espérant calmer mes ardeurs.
Je courais en appréciant la fraîcheur du matin et le paysage qui défilait devant moi. J'avais beau essayer de ne pas y penser, l'envie de sodomie m'envahissait. Je commençais sérieusement à me sentir comme possédé. Je faisais de l'œil à tous les mecs que je croisais. Au bout d'une demi-heure, je me suis renseigné à me balader sur la plage avant de rejoindre mes amis. Pour cela, j'ai ôté mes baskets. Je marchais au bord de l'eau, les baskets à la main, quand j'ai décidé de m'aventurer dans les dunes qui se trouvaient un peu plus loin.
Et me voici crapahutant dans les dunes. Au détour d'un sillon, j'ai vu un mec allongé sur le dos, une jambe repliée vers lui. Sans trop savoir pourquoi, je l'observais discrètement. Il devait avoir la quarantaine et semblait mince. Il n'était vêtu que d'un slip de bain bleu électrique qui lui moulait le paquet qui semblait être prometteur. Le soleil scintillait sur sa peau bronzée et les poils bruns qui la recouvraient. Ses yeux étaient cachés derrière des lunettes de soleil noire.
Perdu dans mes pensées, je n'avais pas fait attention que son visage s'était tourné vers moi. Quand nos regards se sont croisés, je me suis senti gêné mais étrangement excité. Il m'a souri et a plongé la main dans son slip pour se caresser le sexe. Instinctivement, je passais ma langue sur mes lèvres. Il continuait à se caresser l'entrejambe et a sorti son bel engin bandé de son carcan qui, visiblement, l'étouffer.
Mes yeux fixés cette grosse queue gonflée de désir avec gourmandise. Je sentais ma rondelle palpiter de désir. Puis dans un élan irréfléchi, je me suis approché et, tout en retirant mon short, me suis mis à quatre devant ce mâle en rut pour lui présenter mon cul.
Il ne lui a pas fallu longtemps pour comprendre ce dont j'avais besoin. Sans un seul mot, il s'est présenté derrière moi puis a commencé à me bouffer le cul timidement puis goulument, en me le caressant et me le fessant. J'étais aux anges et en espérais pas autant pour mon premier jour de vacances chez mes amis.
Entre deux coups de langue, il crachait sur mon trou que je sentais se dilater. Il s'est mis à le doigter avant de recommencer sa dégustation anale. Je mouillais énormément du gland qui dégoulinait sur le sable. Il a voulu, ensuite, s'emparer de ma queue qui pendait entre mes cuisses pour la mettre en bouche. Il me pompait avec délectation mais malgré cela, je continuais à bander mou.
"Ça ne te plaît pas ?" M'a-t-il demandé en cessant sa fellation.
"Euh... Si... C'est juste que je suis très anal depuis peu et que je ne prends mon pied qu'en me faisant enculer. Quand c'est comme ça, ma queue ne sert à rien." Ai-je répondu, un peu gêné, mais avec une certaine excitation dans la voix.
"Ah ! Tu es une femelle. Fallait le dire." A-t-il dit avant de reprendre son anulingus.
Celui-ci était bien plus vigoureux que précédemment et bien plus pénétrant.
En se redressant pour lâcher sa grosse queue lourdement sur mon cul, il m'a dit : "T'as vraiment un bon p'tit cul, p'tite salope. J'vais te féconder comme la pute que tu es."
Sur ces mots, il place son gland sur mon trou et tente une percée après avoir cracher un gros mollard sur celui-ci. Il tapotait ma rondelle à l'aide de son gland et est entré progressivement en moi. Je n'ai pu m'empêcher de grogner de plaisir.
"Hum ! Ça te plaît ma p'tite salope. Et ça ? Ça te plaît aussi ?" M'a-t-il demandé en faisant de petits vas-et-viens dans mon cul, agripper fermement à mes hanches.
"Oui !" Ai-je répondu dans un cri de jouissance.
Ma réponse a eu pour conséquence l'accélération de ses coups de bites. Je me suis complètement soumis à sa queue. Il avait l'ascendance sur moi et j'adorais ça. J'étais littéralement détendu sur le sable et le laissais me besogner sans retenue. Il se défoulait en moi en me traitant comme une chienne. Ce que, à ce moment précis, j'étais, la rondelle autour de sa bite.
"Putain ! Je vais venir." A-t-il crié en se vidant les couilles en moi.
Il a ensuite déculé et a ajouté : "Toi t'es une vraie femelle. T'adore te faire défoncer la chatte, ça se voit."
Je me suis relevé, les jambes flageolantes, et est ramassé mon short.
"Je ne t'ai jamais vu ici. Tu es en vacances ?" M'a-t-il demandé alors que j'enfilais mon short.
"Oui. Pour une semaine." Ai-je répondu encore sous le coup de l'excitation.
"Cool. Je suis là tous les matins. Je peux espérais te revoir ici demain matin ?"
"Oh que oui. T'es là vers quelle heure ?"
"8h, ça te va ?"
"Ouais, t'inquiète, je dirais à mes amis que je vais aller courir."
"P'tite pute." A-t-il conclu en m'embrassant.
Je suis rentré, le cul dégoulinant de sperme et suis aller me doucher sans, bien entendu, dire à mes amis que je venais de me faire éclater le boule dans les dunes.
Le lendemain matin, nous avons été directement à l'essentiel et après qu'il m'ait rempli le cul, comme il l'avait fait la veille, nous avons discuter un peu.
Il m'a dit être marié avec une femme mais que ça ne l'empêchait pas de baiser des p'tites putes comme moi. Il profitait d'être en congés pour venir prendre du bon temps ici. Sa femme travaillait car elle n'avait pas pu prendre ses congés en même temps que lui, ce qui l'arrangeait.
Quant à moi, je lui ai raconté ma rencontre avec mon pote DJ, de mon besoin, presque viscérale, de me faire casser le cul. De mes plans. Du fait que je recevais chez moi les actifs, porte entrouverte, à quatre pattes sur mon lit, prêt à m'en prendre plein le cul.
Il m'écoutait, silencieusement, en s'humectant les lèvres. Puis en se branlant sa queue qui grossissait à vu d'œil à chacun de mes mots, il m'est grimpé dessus, me forçant à m'allonger sur le sable frais.
"Retoune-toi p'tite pute." Ce que j'ai fait. "Par ta faute, je bande à nouveau comme un salopard, je vais devoir d'éclater ton bon p'tit cul." A-t-il ajouté en me perforant violemment le cul.
Il m'a sauté sauvagement en enfouant mon visage dans le sable plusieurs minutes avant de m'inonder, une nouvelle fois, mon intérieur.
Durant tout mon séjour, nous nous sommes retrouvés le matin pour qui puisse utiliser mon cul pour se vider les couilles à sa guise.
Un de ces fameux matin, un mec bedonnant d'une cinquantaine d'années, nous matait en se branlant, maladroitement, à travers son bermuda.
"Je parie qu'il aimerait goûter à ton cul aussi ce vieux pervers." M'a dit mon baiseur en riant alors qu'il était en train de me casser le boule. "Tu peux mater vieux pervers, mais tu ne peux pas toucher." A-t-il ajouté en accélérant ses coups de bite.
Mais quand le lendemain, le voyeur était un beau mec d'une trentaine d'années...
"Hey ! Approche, n'est pas peur." L'a-t-il invité alors qu'il avait, comme tous les matins précédents, sa queue dans mon cul. "Sors ta queue que je te la suce." Lui a-t-il demandé en continuant à me défoncer.
Son invité a donc sorti sa queue et la lui a fourrée dans la bouche après m'avoir chevauché. Il suçait ce beau mâle et me casser le cul à grand coup de bite.
Quelques minutes après, mon baiseur s'est raidi au fond de mon cul et me féconde comme il l'avait toujours fait.
"Putain. Quelle salope. Je peux la fourrer ?" À demandé, excité son invité alors qu'il était encore en moi. Un silence demeure quand il est revienu à la charge. "Allez, s'te plaît."
"Hey p'tite pute ! T'es partant pour qu'il te baise à son tour ?" M'a demandé mon baiseur en déculant.
"Oui. Qu'il me défonce." Ai-je répondu avec enthousiasme en tendant d'avantage mon cul.
"Bah tu vas discuter. Il en as un grosse ce salop. Un bon 20 cm, non ?"
"22, sans avoir me vanter." A dit ce beau mec en se plaçant à genoux derrière moi. "Quel cul de salope." A-t-il ajouté mon nouvel amant de passage en me fessant.
Il a très vite écarté mes fesses pour cracher sur mon trou, qu'il caresse avec son gland avant de me pénétrer entièrement. J'ai gémi d'extase et ai apprécié ses longs coups de bassin sur mon cul. Je sentais son énorme queue me fouillait, voir même ravageait, l'intérieur. Une quantité impressionnante de mouille coulait de ma bite à demi-molle.
*C'est qu'elle prend son pied ma salope." A dit mon ami-baiseur de vacances en me matant en train de me faire défoncer par un autre.
L'autre, lui, se servait de mon cul comme un vrai bon actif. Il me bourrait encore et encore. Après de longues minutes de jouissance anale, ce nouveau casseur de cul me le rempli à son tour.
Il s'est rhabillé et est reparti en remerciant mon ami-baiseur pour mon cul de salope.
Merci de m'avoir lu. J'espère que ce nouveau souvenir vous plaira. N'hésitez pas à m'écrire à l'adresse ci-dessous pour me donner votre avis ou tout simplement pour discuter.
Le Cul jouissif
dialogaylille@outlook.fr