Match de foot -1
Bonjour, cette histoire est vraie et s'est déroulé en mars 2013.
En déplacement pour mon travail, je dois aller à Morlaix, je dors là-bas le soir et ensuite je vais à Brest. Je mets donc sur mon compte Facebook mard matin, "Direction Morlaix, match seul dans ma chambre sauf si vous connaissez des bars sympas". En effet, je n'allais pas rater PSG - Barça, mais voir un match seul dans une chambre d'hôtel, il n'y a rien de plus déprimant. Je reçois un message quelques minutes plus tard, c'est sylvain, mon pote avec qui j'ai eu plusieurs aventures il y a quelques temps qui me répond qu'il est lui aussi sur Morlaix et qu'on peut voir le match ensemble. Après avoir un peu discuté, on se rend compte qu'on sera dans le même hôtel, le rdv est donc pris pour manger ensemble et aller en ville pour voir le match dans un bar.
Le mardi soir, j'arrive vers 18h à l'hôtel, je prends ma chambre, petite douche, appel à ma femme pour dire que tout va bien et je descend au bar vers 19h. Sylvain est déjà là et nous mangeons ensemble dans le restaurant de l'hôtel, discutant boulot, de la famille, du match, etc. Le repas achevé, il est 20h, nous sommes à 15 minutes du centre ville et une tension sexuelle s'est peu à peu installée pendant le repas, de mon côté du moins, et je commence à avoir des envies peu avouables en public, envie d'embrasser son corps, de caresser ses bourses, de flatter son gland, son sexe dressé devant mes yeux, bref je veux du sexe entre hommes. A part lui, jamais je n'ai eu ce genre d'attouchements, et je ne sais pas pourquoi il me fait cet effet, mais je deviens dingue en sa présence. Sylvain me dit alors :
- j'ai un peu la flemme de reprendre la voiture, j'ai été 5h dedans aujourd'hui, ça te dit pas d'aller voir le match dans ta chambre ou dans la mienne ?
- pareil, j'ai plus trop envie de bouger, on peut aller dans la mienne si tu veux
On reste quelques temps encore dans la salle de restaurant, à parler, sans se presser, à rigoler, se dire qu'on se connaît depuis 20 ans maintenant que c'est bizarre de se retrouver là, pendant le boulot, etc. Bref, on discute de nous, de nos expériences, mais pas une fois on discute de notre secret, les soirées de branlettes, des pipes, des éjaculations communes qui ont rythmées notre adolescence et qui m'émoustille toujours autant dès que j'y pense.
20h30, nous montons dans ma chambre, prenons place sur le lit et on regarde la présentation du match, discutant de nos pronostics, etc. Le coup d'envoi est donné mais déjà je ne pense plus qu'à mon voisin, à son jean qui serre sa verge que je devine déjà réveillée, que j'espère prendre en bouche ce soir, au moment de sexe tendre et à la fois bestial dont j'ai envie. Machinalement, comme dans le bon vieux temps, je tend ma main vers son paquet et je le caresse à travers le tissu, guettant sa réaction. Il ne dit rien, ouvre son fute, le descend, enlève son caleçon et m'invite sans mot dire à prendre sa queue en main. Je fais directement sauter mes vêtements et me retrouve nu sur le lit, lui est en t-shirt. Je caresse lentement son sexe en regardant la télévision, les parisiens dominent les barcelonais et je m'en fous comme de ma première chemise, je crève d'envie de l'embrasser partout, de sucer ses tétons, de prendre ses couilles dans ma main et de sentir son foutre se répandre sur moi ou dans ma bouche, bref je deviens chienne en chaleur, sentiment que lui seul arrive à déclencher en moi, sans avoir à dire un seul mot ou à faire un seul geste.
Doucement, je le masturbe, il caresse mes testicules, les malaxe tendrement, m'électrise avec ses caresses. Je me penche sur son torse et commence à embrasser ses pectoraux, je m'arrête sur ses tétons, je les suce, les embrasse, les aspire, je bouffe ses seins comme un mort de faim. IL souffle fort, me caresse la tête, lui non plus ne regarde plus la télé, il a les yeux fermés. Je descends en embrassant chaque centimètre de peau, et arrive enfin à sa verge tendue vers le ciel. J'embrasse son pubis, prend son sexe dans la main, seulement pour l'enlever de mon chemin et m'occupe de tout sauf d'elle. Je suis maintenant à hauteur de ses couilles, peu poilues, je les lèche, les gobe, les caresse. Je suis allongé entre ses jambes, dos à la tv, je le regarde, il a la tête en arrière, la bouche entre-ouverte. Je descend entre ses couilles et son anus, lèche cet endroit sen!sible. Je meurs d'envie de lécher sa rondelle, mais le connaissant, il dira non et risque de couper ce moment intense pour uniquement se masturber, sans aller plus loin. Je passe ma langue sur ses couilles, redescend, fais des allers-retours, il gémit, doucement, et je remonte lécher sa verge de bas en haut, je fais tourner ma langue sur son gland, malaxe ses couilles. Je suis à genoux et doucement je le masturbe, une main sur sa queue, l'autre sur ses testicules. IL écarte un peu plus les jambes et je retourne lécher sous ses couilles, il soulève ses fesses et je me retrouve face à son oeillet, tout propre. Je m'aventure donc vers son orifice, lèche tout doucement l'entrée.
- vas-y, lèche-moi le cul, me dit-il
Je ne me fais pas prier et ma langue explore son anus pendant que ma main masturbe tout doucement sa queue dure comme de la pierre, qui tressaute à chaque coup de langue. Au bout de 3/4 minutes de ce traitement, je remonte et prend sa queue en bouche, je le regarde, il a les yeux ouverts, il me sourit :
- je vais jouir, attention
Comme une salope de première, je le branle doucement, le regardant droit dans les yeux, je vois son visage se crisper, et il lâche son foutre dans ma bouche, en longues rasades, que j'avale sans lâcher son regard. Puis son sexe ramollit et je le sors enfin de ma bouche.
Je remonte à ses côtés, je sais qu'il va simplement me branler mais je veux jouir entre ses doigts, c'est toujours mieux que dans ma main. A ma grande surprise, il descend, me lève les jambes et m'offre à son tour un anulingus, sa langue fouillant mon intimité sans retenue, je deviens fou, il m'introduit un doigt, s'agenouille entre mes jambes et me branle en me doigtant avec 2 doigts maintenant. Ma jouissance monte :
- laisse toi aller, je veux te voir gicler
Le sperme sort d'un coup, atteignant mon visage à 2 reprises, le reste de ma semence s'écrasant sur mon torse et sur ses doigts. Je suis exténué.
Nous restons allongé sur le lit, aucun but n'a été marqué, mais je n'ai pas suivi le match du tout. J'ai du sperme sur le visage, sur le torse, un goût de foutre dans la bouche, bref, je suis béat. Sylvain s'est glissé sous les draps, il est maintenant nu, Messi ouvre le score et je profite de la mi-temps pour aller prendre ma douche. Sylvain me rejoint, se collant contre mon dos, son sexe à nouveau en érection, il empoigne mon dard et fait glisser sa main lentement dessus, aidé par le gel douche. Je passe ma main sur mes fesses et attrape sa queue, je la caresse pendant qu'il fait des petits mouvements de bassin. Nous restons comme ça quelques temps puis je positionne son gland sur mon anus, il pousse doucement, je jouis dans sa main et je sens son sperme s'écraser sur mon trou, les dernières gouttes se frayant un chemin en moi, profitant des giclées précédentes qui font office de lubrifiant, le gland est maintenant entré dans mon corps. Je me recule doucement, son sexe encore dur est maintenant entièrement en moi.
Je ne sais pas trop quoi faire, le silence a envahi la pièce, la sodomie nous surprenant tous deux. JE commence a bouger, sentant encore la raideur de son membre, espérant qu'il ne débandera pas trop vite. Je sers mon sphincter autour de sa queue, faisant de petits allers-retours, les yeux fermés, profitant pleinement de ce moment inattendu. Mon dos est collé à son torse et seul mes reins ondulent, il ne bouge plus, seul son souffle m'indique qu'il apprécie le moment. Sa vigueur s'échappe petit à petit mais je le sens qui commence à bouger, il pousse pour rester au fond de mon cul. Il continue, je sers autant que je peux pour ne pas le laisser sortir, de peur de ne plus jamais le sentir en moi, et doucement, il recommence à bander, il pose ses mains sur mes hanches et amplifie ses mouvements.Il est maintenant totalement bandé et sa queue va et vient dans mon anus. Je me penche en avant, m'appuyant sur le mur au moment ou il me prend franchement, son pubis claquant sur mes fesses, son gland tapant inlassablement ma prostate.
Je suis sous la douche, l'eau chaude coulant sur mon dos, Sylvain m'encule et je gémis sans retenue, je me sens femme, libre, comblé. Il me baise comme je l'ai rêvé des dizaines de fois, tendrement puis bestialement, alternant les claques sur les fesses, les allers-retours lents et les sprints. Ayant éjaculé 2 fois déjà, il tient la distance et j'entends le match qui reprend. Il va jouir, son sexe palpite, je n'en peux plus, mon sperme sort sans que je me touche, je suis à deux doigts de tomber lorsque je sens son foutre se répandre en moi, une petite quantité, mais c'est chaud et si bon que j'ai l'impression de jouir une deuxième fois d'affilée ! 25 minutes sous la douche et nous sommes plus sales qu'en entrant. Nous nous lavons mutuellement, nous caressant, mais bizarrement, si j'aime le sucer, si j'ai adoré le sentir en moi, je n'ai aucune envie de l'embrasser.
Nous sommes séchés et retournons sous les draps, nus, pour voir la fin du match.
Je me blottis contre lui, ma main explore son pubis, son sexe est mou, je le caresse, le masturbe, il reprend du volume.
- non arrête, j'en peux plus, me dit-il, tu m'as vidé
Je me rallonge, sa main prend mon sexe et le branle
- toi par contre, tu as l'air encore en forme
il se baisse et m'offre une pipe de toute beauté, mettant 3 doigts dans mon cul, me regardant comme la dernière des chiennes en me suçotant le gland, faisant tourner sans cesse sa langue autour, je sens ma sève qui monte et lui remplis la bouche. Jamais il ne m'avait pompé jusqu'au bout, jamais il n'avait osé me donner du plaisir à moi seul, sans attendre de retour. Il se rhabilla, partit dormir dans sa chambre et nous nous sommes retrouvé le lendemain au petit dej :
- je crois qu'on a loupé un beau match hier soir, me dit-il en rigolant
- apparemment oui
Nous repartons vers nos familles, nos boulots, en espérant se retrouver rapidement dans un hôtel pendant un déplacement.
franck
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