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Quand les trois jeunes furent un peu remis, et étendus en vrac à poil sur le lit double, Gabin et Miky s'amusèrent beaucoup des compliments enflammés de Seb sur cette partie ; Miky en particulier en fut l'objet : grâce à lui des années de fantasme de Seb s'étaient réalisées ! " Comme il obéissait bien, comme il prenait son pied à satisfaire, comme il se régalait d'un cul, d'une bite, du jus ! "
- Eh ben t'as plus qu'à faire des progrès en anglais ! lui dit malicieusement Miky.
- Et tu me donneras ton cul ?
- Bien sûr ! avec plaisir.
- Alors ça marche ! mais en attendant, tu me suceras quand même ?
- Mais oui ! t'es con ! t'inquiète pas. En plus ton sperme est super bon.
- Tu vas être accro !
- Il l'est déjà pas mal, je crois, corrigea Gabin en se marrant.
- T'en bouffe tous les jours, et plusieurs fois, alors ?
- Oui, j'adore vraiment ça.
- Le pied, putain !
- Le pied pour mes mâles et pour moi aussi : quand le jus brûlant me remplit la bouche, ça me fait un bien fou !
- Arrête, tu vas me faire rebander...
- Oh je demande pas mieux !
Seb eut l'image fugace de Miky vidant les couilles pleines de mecs faisant la queue pour le nourrir.
- On devrait se faire des partouzes, y a plein de gars qui attendent que de se faire vider...
- Genre qui ? demanda Gabin intrigué
- Bah, Ben et Rodrigue déjà (deux potes du basket), Nico... Matt... (potes de classe).
- Ouais, j'sais pas, dit Gabin, t'en penses quoi ?
- Ben c'est toi qui les connais, dit Miky, moi je dis pas non...
- Plus t'as de jus, mieux c'est, c'est ça ? continua-t-il avec un clin d'oeil.
- Euh, ouais !
- Imagine, quelques soirées de bonne baise, du jus bien frais..., rêvait Seb.
- Oui mais alors justement, du jus sans risque hein ? et puis je veux pas de laiderons.
- Bah oui bien sûr... et tu les voudrais comment ?
- Ben comme vous !
- Tu nous kiffes, hein, dit Gabin ne l'embrassant, p'tite chaudasse, va !
- Bon alors, sérieux ? on essaie de se faire ça ? insista Seb.
- Pour moi, ok, à ces conditions-là, conclut Miky, en regardant bien Gabin dans les yeux en signe de confiance.
Les trois bandaient ferme. Miky s'adossa au lit, et commença à se branler, et à se doigter. Les potes aussitôt se mirent à genoux, la bite à hauteur de bouche, qu'ils limèrent à tour de rôle. Mais Gabin dut répondre au tel : Rodrigue justement. Seb continua seul, et quand il vit les yeux révulsés de Miky qui s'aspergeait le ventre, il lui garnit la bouche d'une troisième dose, avec la sensation d'avoir vraiment les couilles aspirées et vidées. Il prit le temps, vu que Gabin était occupé, de dire à Miky à quel point il avait kiffé, et qu'il comptait bien sur sa bouche régulièrement, et promettait de faire ce qu'il fallait pour goûter à son cul. Puis il se rhabilla, fit un signe et partit. Gabin leva les yeux au ciel pour signifier à Miky qu'il en avait pour un moment, et d'ailleurs il avait débandé. Miky partit se doucher.
C'est à la salle de bain que ses mâles le trouvèrent et profitèrent de sa nudité pour lui remplir les deux trous à tour de rôle, bien directs et bien virils, trop heureux de se " dégourdir la bite après le boulot ". Gabin, toujours au tel, entendit claquer, râler, couiner, et regarda sa bite se transformer en trique phénoménale. Miky finit à genoux et arrosé de jus, la bouche grande ouverte pour en récolter quand même. Il était bon pour une autre douche, serré contre ses hommes, apaisés par la vidange. Il eut le plaisir de tenir les deux bites qui se mirent à pisser sur la sienne etle temps d'une longue galoche à trois, il se vida la vessie également. Le projet d'une autre salle de bain commença à naître dans l'esprit des mâles.
Les deux jeunes furent désignés pour faire le repas, les aînés s'étant occupés des courses et du rangement. Gabin demanda confirmation à Miky qu'il s'était bien fait embrocher : affirmatif ; la bite du jeune soulevait le tissu de son short de sport. Le repas se passa bien, et la question d'une nouvelle salle de bain fut abordée : Gabin s'en fichait un peu, d'autant qu'il comprit qu'elle serait plus ou moins réservée à Miky pour ses " préparations ". Il fallait aménager au grenier l'emplacement au-dessus de l'ancienne, les mâles s'y mettraient de temps en temps. Puis les 4 se mirent devant la télé, et finalement Miky bossa un peu sur la table du salon, Gabin ne monta pas très tard, et son pompeur alla le rejoindre pour vérifier les cours et lui faire sa pipe du soir. C'est qu'il était encore bien chargé quand même !
En retrouvant ses mâles dans la chambre, Miky les découvrit nus et allongés côte à côte et bandant.
- Vous avez échangé vos cadeaux du soir ? demanda Jaco, souriant, les bras derrière la nuque.
- Oui, on s'est gâté ! répondit Miky en se mettant à poil.
- On a encore un cadeau pour toi..., dit Toni.
Miky se sentait bien sûr capables d'enchaîner avec deux autres grosses bites à sucer. Mais Jaco prit un petit paquet sur la table de chevet : " viens voir, bébé ". Il ouvrit et c'était un petit plug, avec pour base un rectangle épais et étroit pour épouser la ligne de la raie. " Toni a eu l'idée pour le petit problème de fuite qui t'énerve. " Miky était enthousiaste et lui roula un gros patin, puis ce fut l'essayage : Miky s'allongea et releva les pattes. Jaco suça le plug et Toni passa une bonne dose de salive sur le trou. Puis les mâles se couchèrent de part et d'autre, Jaco embrassait son jeune amant tout en enfonçant lentement le plug, Toni lui suçait un téton en le branlant d'une main. Le plug fut mis en place, et Jaco s'amusa à le tirer sans le sortir pour exciter la rondelle. Résultat très concluant ! entre les deux langues qui travaillaient pour lui, la main qui le branlait et l'autre qui jouait avec le plug, Miky s'abandonna au plaisir, une main sur chaque tête, et il délira, délira, quand Jaco se mit à le baiser vraiment avec le plug. Son cul ne cessait plus de s'ouvrir et il mouillait énormément. Les mâles avaient le barreau douloureux en le sentant s'animer comme une femelle... il fallait " continuer le test ", alors Toni arrêta de branler, et Jaco ordonna à Miky de se mettre à terre à 4 pattes. Toni vint l'enculer tandis que Jaco se faisait pomper, et lui remplit le cul de jus ; puis ils tournèrent, et ce fut à Jaco de lâcher une bonne grosse dose supplémentaire, et de " mettre le bouchon ". Ils aidèrent Miky, tout étourdi par ces deux saillies viriles successives, à se relever et ils reprirent leur position et leurs activités préalables. Mais Miky bandait tellement, et Jaco lui disait de telles délicieuses saletés en l'embrassant, sur " son cul plein de foutre ", sur " sa fécondation pour la nuit ", que Toni n'eut pas à le branler longtemps. Jaco cessa d'appuyer sur le plug, et vint mettre sa paluche en creux sous le gland et une autre sur la bouche de Miky : celui-ci eut un orgasme foudroyant et Toni dut bien manipuler sa queue pour remplir la paume de Jaco sans en mettre ailleurs. Jaco aida Miky à redresser le torse et lui donna sa paume à vider à coups de langue. Les mâles purent admirer le spectacle, et les commentaires s'enchaînèrent : " Bois ton ptit lait mon ptit chat... quel gourmand... avec ça ta tuyauterie sera bien lustrée... du jus par les deux bouts pour la nuit ". Jaco l'embrassa dans les cheveux pendant qu'il léchait la paume vide et grande ouverte, puis les trois se couchèrent pour de bon, et dormir comme des bienheureux. Finies les taches de jus !
Miky se réveilla un peu groggy par ce mercredi très très rempli, seul au lit. Il avait toujours le plug et il était sec : un bouchon bien hermétique ! Il alla aux toilettes du premier et sortit le plug avec un petit cri, puis une cascade de foutre très liquide tomba dans la cuvette. Il remit plus facilement le plug en place, l'anneau bien graissé par le jus, et descendit en se disant qu'à peine vidé il allait se remplir par le haut cette fois. Ce fut chose faite un quart d'heure plus tard entre les cuisses de ses " papas ", qui inspectèrent la petite barrette noire entre ses fesses, dégageant le slip et se renseignant sur l'efficacité. Après le petit-déj et après la purge matinale de Gabin, Miky monta se vider d'une autre chose, moins plaisante, et sentit quand même que son cul avait été très sollicité... Il fut tenté, après sa douche, de partir à la fac avec le plug en place, puis renonça, et prit le bus pour aller pomper ses deux bites supplémentaires.
C'était au fond une journée comme les autres, agréables comme les autres, et juteuse. A en oublier le temps dégueulasse de fin novembre ! il était 15h et on pouvait croire que la nuit allait tomber. Accompagné de Sam et Pedro qu'il venait de soulager, il traversait l'esplanade pour quitter la fac. Soudain le ciel se déchira et le soleil d'automne apparut, doré et mouillé, et inonda la foule des étudiants qui se trouvait devant eux. Comme un radar détectant les silhouettes qui pouvaient l'intéresser, Miky fut attiré par une carrure parmi l'anonymat des jeunes gens. Un choc ! Un géant roux, monstrueusement balaise, venait dans le sens inverse. Bâti comme ses mâles voire plus, plus épais et charnu que Gabin, et surtout très roux à la peau très blanche à en voir le visage, illuminé par le soleil. Miky était habitué aux bruns à la peau un peu mate. Aussitôt, son regard scrutateur se mit en marche. Il devait faire 2m et un quintal ! Une bête ! Tenue de sport intégrale bleue et grise, avec une grosse veste marron par-dessus, une main dans une poche mais l'autre rougie par le froid, paluche gigantesque, qui tenait un sac par la bandoulière à l'épaule. Ce torse ! un triple XL à tous les coups ! Le sweat-shirt, flottant à la taille, moulait des pecs bombés hyper larges, il devait être sacrément taillé en V, et le pantalon de jogging moulait des cuisses ovales comme des ballons de rugby. Grosses tennis, un paquet volumineux qui balançait à l'entrejambe. Petite barbe dorée, yeux transperçant bleu très clair. Le coeur de Miky battait à se rompre. Ils étaient à 3m, Miky l'imaginait à poil, et sa rondelle lui envoya des pulsations électriques. Il interrompit Pedro qu'il n'écoutait plus depuis 20 secondes : " J'ai oublié un truc ! à mardi ! ", et il se retourna pour suivre en tout hâte le géant, car ses enjambées faisaient deux fois les siennes. Ils rentrèrent dans le bâtiment. La bête fit une pause, ôta sa veste : ce dos, putain ! et ce cul ! si les cuisses étaient ovales comme au rugby, les fesses, elles, étaient rondes et pleines comme des ballons de handball ! Et il se pencha pour rouler en boule sa veste dans son sac... Miky crut avoir un vertige à cette vision : un tel cul offert, les jambes immenses un peu écartées et fléchies... foncer à genoux et se ficher entre ces fesses... s'il était à poil, ce serait à couper le souffle, lui lécher la raie, toute blanche, lui téter le fion comme un affamé ! Miky restait comme un con à 10m, immobile dans le hall. Le géant se redressa et reprit sa route. Miky le suivit jusqu'à l'entrée du département d'anglais, non seulement il bandait mais il mouillait du cul. Et puis le grand dieu roux disparut dans une salle. Miky nota dans sa tête " jeudi 15h " et rentra dans un état de somnambulisme et d'excitation terribles. Tout le temps du trajet en bus, il se figura ce mec à poil le prenant au service de son plaisir et lui faisant déguster chaque parcelle de son corps merveilleux.
mike
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