Épisode précédent
Mercredi 16h30 :
La journée n'en finit pas, j'en ai marre du boulot, je veux rentrer chez moi !!! Rentrer pour me préparer... L'heure fatidique où je dois revoir Abdel approche à grands pas et je sens stress et excitations monter en moi. Excitation rien qu'en pensant au morceau de viande qui pend entre ses cuisses musclées, enfermé dans un boxer Armani ou G-Star, le tout recouvert d'un jogging Lacoste blanc... Bon allez je me calme, c'est pas le moment de choper la gaule devant les collègues de boulot.
Mercredi 18h45 :
Allez hop, j'ai viré mon pantalon, ma chemise, mon calbut, c'est bon je suis prêt à rentrer sous la douche chaude qui va me faire un bien fou. En ouvrant la porte de la douche, un épais panache de vapeur envahit ma petite salle de bains, tiens ça me rappelle la sauna! Je me glisse sous l'eau chaude tout en prenant soin de refermer rapidement derrière moi la porte vitrée. Quel bonheur, le pommeau de douche crache sur ma peau jet d'eau brûlant. Je ferme les yeux et me délecte de ce moment. Je commence à me savonner tout en pensant à mon petit rebeu. Que fait-il en ce moment ? Est-il également sous une douche quelques part ? Dehors dans un parc à traîner avec les potes du quartier ? Ou............ Non non, je ne veux pas y penser, de toute façon je ne veux pas savoir ce qu'il est en train de faire en ce moment, je veux juste le voir tout à l'heure. Je continue à me savonner et arrive sur mon sexe qui, sans que je m'en rende compte, a gonflé considérablement. Le voilà qui pointe sa tête vers le haut, fièrement. Mes mains glissantes de mousse de savon passent dessus, ce qui provoquent un frisson qui me parcours le corps. Puis elle passent encore et repassent à nouveau, triturant mes 20 cm. érigés fièrement. Je commence à me branler, doucement, avec l'excitation accumulée depuis notre rencontre, je sais que je vais cracher rapidement, alors autant que ça soit tout seul sous la douche que tout à l'heure avec lui ! Je me branle de plus en vite, j'ai presque du mal à respirer avec la chaleur qu'il fait dans la cabine de douche, puis tout à coup c'est l'explosion, je recouvre la paroi vitrée de foutre chaud. Wh... ça fait trop du bien, j'en suis presque étourdi. Je me savonne à nouveau, bien obligé! Puis je sors de cette douche torride. Vite, je suis pas en avance!
Mercredi 19h30 :
Installé derrière mon volant, je suis les directives et l'appelle donc sur son portable. Non vous ne rêvez pas, je ne sais même pas où je dois aller ni ce qui m'attend. Petit moment d'hésitation, c'est vrai que je ne sais rien du tout au final! Mais en repensant à son attitude lorsqu'on était au sauna trois jours plus tôt, ça ne peut pas être un faux plan, c'est sûr.
- "Wesh allo"
- "Salut, c'est Mike, ça va ?"
- "Nickel et toi. Bon c'est cool que t'appelles, j'pensais que t'allais me planter"
- "Ah bon mais pourquoi tu pensais ça ?"
- "Bah ché pas, c'est la première fois que j'donne un rencard à un keum..."
- "Ben tu vois, je t'appelle comme prévu, tu me donnes la suite du programme ?"
- "Yep, est ce que tu peux passer m'chercher sur le parking de Carrefour, chui avec mon cousin Kader tu verras il est tranquille, on pourrait aller manger un truc à KFC si ça te dit?"
Ohlalalala mais qu'est ce que c'est que ce plan foireux !?!?! V'la le cousin qui débarque maintenant, manquait plus que ça. "... tu verras il est tranquille..." ça veut dire quoi ?! Merde je suis en pleine hésitation, mon cerveau tourne à toute vitesse : que faire ? Raccrocher et rentrer chez moi bien sagement ou foncer tête baissée!?
- "Allo, t'es toujours là ? ça va ?"
Allez, c'est décidé, je fonce et j'aviserai si ça devient trop bizarre.
- " Ouais je suis là. Ok on fait comme ça, je serai sur le parking dans 10 minutes c'est bon".
- "Impec' on t'attend là"
Il raccroche. Pas un "j'ai hâte de te voir", pas même un "bisous", que dalle. Normal en même temps si y'a le cousin juste à côté. Je roule jusqu'au Carrefour comme prévu, un peu anxieux malgré tout. A cette heure-ci il n'y a plus énormément de monde, je mets pas longtemps à repérer mes deux lascars, joggings et casquettes vissées sur la tête, dans un coin du parking. Je me gare tout prêt d'eux et descends les saluer. Je suis accueilli, à ma grande surprise par un grand sourire de leur part, Abdel me serre la main tout en me faisant un clin d'oeil, puis c'est au tour de Kader, le fameux cousin qui, je constate est plus âgé mais non moins charmant. Il est très poli, me salue, me demande comment je vais et si leur proposition me convient. Pas de soucis de mon côté, même si je suis un peu déçu de pas me retrouver seul avec Abdel, mais j'imagine que c'est au programme un peu plus tard dans la soirée! Tout le monde a bouclé sa ceinture, c'est parti, direction le KFC. Alors qu'on s'en approche, Kader nous demande si on préfère par plutôt prendre les menus au drive et partir manger chez lui. Adbel accepte direct, sans me demander mon avis. Allez, je garde mon calme, tout va bien se passer.
Après tout c'est vrai qu'on sera plus tranquilles dans un appart. que sur les tables collées les unes au autres de "restaurant". De plus, Kader parle pas mal avec nous, il est plutôt sympa ce qui me rassure. Arrivés à la borne, on commande puis on avant au guichet suivant, c'est Abdel qui tend des billets à la caissière avant que j'aie le temps de réagir. Pour atteindre le guichet il est obligé de se pencher sur moi, je sens une de ses main prendre appui sur ma cuisse, très près de mon entre-jambe. J'espère que personne ne s'en rend compte, ni la caissière ni le cousin, sinon on est foutus... Une fois les sacs en papier kraft récupérés, on prend la direction de chez Kader. Pendant le trajet j'apprends qu'il a 25 ans et qu'après son apprentissage il a trouvé du boulot dans le bâtiment, ce qui lui a permis de quitter chez ses parents et prendre son petit appartement, où visiblement, il n'était pas peu fier de nous inviter... Nous ne mettons pas longtemps à arriver et je me gare au pied d'une tour d'une dizaine d'étages, d'autres immeubles similaires se trouvent à proximité. Ça respire pas le grand luxe mais c'est pas non plus la cité, c'est propre, pas de tags, etc...
- "Allez suivez-moi" lance Kader enchanté de notre présence.
Nous penons l'ascenseur, l'appartement se situe au 7ème étage.
- "Voilà, bienvenue chez moi Mike, toi tu connais p'tite baltringue" nous dit-il sur le ton de la plaisanterie.
L'appartement est assez spacieux, propre et assez bien rangé. Bien loin de l'idée que je m'en était faîte. Qu'est ce qu'on peut être cons parfois avec les préjugés! A peine entrés, on se déchausse, on pose les sacs sur la table basse et on s'installe confortablement. Abdel et moi sur le canapé et Kader sur un fauteuil.
- "Mike, tu fais comme chez toi, tu te mets à l'aise"
- "Merci Kader, c'est cool. Et merci pour l'invitation c'est sympa"
- "Pas de problème, Abdel m'a parlé de toi pas mal alors t'es le bienvenu ici"
- "Ah il t'a parlé de moi, d'accord... Ben merci encore..."
- "C'est bon man, stresse pas, on est très proches Adbel et moi, je suis le seul au courant pour lui et ça ne me dérange pas du tout, donc mettez-vous à l'aise, enfin, vous voyez ce que je veux dire..."
Bon, eh bien voilà une bonne chose de faite, plus besoin de craindre de faire une gaffe en la présence de Kader qui, je le trouve, le prend étonnamment bien. Mais après tout tant mieux, je me dis juste que mon p'tit con d'Abdel aurait quand même pu me mettre au courant. Bon c'est pas bien grave après tout. La télé allumée, nous mangeons nos hamburgers et ailes de poulet presque froides. C'est pas si mauvais que ça en fait! Le repas ne dure pas bien longtemps et Abdel me demande si ça m'intéresse qu'on mette un film de Bollywood. Tous les deux semblent ravis à cette idée. Je vais de surprises en surprises : deux rebeux fans de films à l'eau de rose de Bollywood... ça me fait rire intérieurement. Ne connaissant pas plus que ça j'accepte. Kader se lève mettre le DVD, se ré-installe et c'est parti pour la séance.
Je dois avouer que je fais plus attention à eux deux qu'au film. Ils sont là tous les deux, l'un en jogging blanc, l'autre en jogging rouge, chaussettes de tennis, les pieds posés sur la table basse, ils m'exciteraient preque tous les deux! Mais je me re-concentre vite fait, hors de question de jeter un oeil sur Kader. Petit à petit, Abdel se rapproche de moi, jusqu'à venir se nicher dans mes bras, un peu mal à l'aise par la présence de Kader, je l'enveloppe tout de même de mon bras gauche. Il est blotti contre moi, tout mignon, je le trouve craquant, il me regarde de ses deux grand yeux noisette, jette un coup d'oeil vers son cousin puis m'embrasse furtivement, sans bruit. Je passe par toutes les couleurs. Ok, Kader nous a dit de nous mettre à l'aise, mais faut quand même pas pousser !!! Visiblement on s'est pas fait remarquer, ouf. Il regarde à nouveau le film, mais j'aperçois tout de même son sourire qui ne le quitte pas. Le film est très long, mais l'histoire (d'amour évidemment) et plutôt bien faite, je ne m'ennuie pas. Soudain, alors qu'il est toujours affalé sur moi et qu'il se sert de mes jambes comme d'un oreiller, il change de position et croise ses bras sous son menton (il est allongé sur le ventre) et je sens une de ses mains s'immiscer entre mes cuisses, venant caresser mon paquet qui n'était déjà pas dans un état de repos total.
Toujours craintif que Kader s'en rende compte j'essaye de retenir un peu sa main, mais rien à faire, le petit con ne se laisse pas faire. Je capitule, de toute façon même si le cousin voit ça, qu'est ce que ça peut bien faire !? Il est déjà affalé sur moi depuis le début du film... Je sens ma queue grossir jusqu'à en avoir mal, je me sens très serré dans mon pantalon. Ses doigts fins sont en train de se battre avec les boutons de ma braguette. Non, c'est pas vrai, il va pas faire ça, il est quand même pas en train d'essayer de sortir ma queue !?!?! Eh bien si, et malgré la complexité de la situation et de nos positions respectives, il y arrive très bien. J'ai envie de soupirer lorsque ma bite se libère de sa prise de tissus, mais là ça craint vraiment, j'ai pas intérêt à faire de bruit. Je vois le corps d'Abdel se tortiller de temps à autre sur le canapé. Le salop doit bander comme un âne !!! De temps à autre Kader lance un regard vers nous, mais revient immédiatement sur l'écran de télé comme si de rien n'était, de toute façon il ne peut rien voir d'où il est. Abdel joue doucement avec ma bite, la caresse, mais est vite restreint dans ses mouvements...
Générique de fin, j'ai rien compris à la fin du film mais c'est pas bien grave. Kader se lève, et parti pisser, j'en profite pour remballer le matos, à contre coeur. Mais à pein revenu je le vois enfiler ses basket Nike.
- "Bon, les keums, je vais jusqu'à chez Nabil, c'est dans l'immeuble d'à-côté, faites comme chez vous, à tout à l'heure."
- "Salam, à tout à l'heure cousin."
Puis il quitte l'appartement. Nous voilà tous les deux tranquilles, mais j'ignore pour combien de temps, ce qui m'angoisse un peu. Je n'ai rein le temps de voir venir qu'Abdel est déjà en train de sortir ma bite à nouveau. Je le laisse faire, j'en ai trop envie. Il ouvre mon pantalon entièrement et je l'aide à le baisser jusqu'aux genoux, mon boxer suit le même trajet. Toujours allongé sur le ventre, il prend ma bite à pleine main et entame une branlette très excitante. Je pose ma tête en arrière sur le dossier du canapé et ferme les yeux, c'est trop bon. Au bout de quelques minutes, ma queue se retrouve au chaud dans la bouche d'Abdel. Il commence par me suçoter le gland et envoie de francs coups de langue sur mon frein. Puis il enfourne un peu plus profondément mon pieux dans la bouche et dans sa gorge, whaou quelle sensation. Je caresse ses cheveux en même temps mais mon bras droit s'égare sur son dos et atteint ses fesses que je caresses à travers le nylon de son jogging. Légèrement rebondies et bien musclées, elles sont comme je les adore. Il fait coulisser son jogging et son caleçon jusqu'à mi-cuisses, ce qui me donne libre accès à ses fesses et à sa rondelle. Il me suce à merveille et pendant ce temps-là je m'enduis les doigts de salive et commence à jouer avec sa rosette, il gémit et apprécie. Nous sommes déconnectés de la réalité, ma bite lui remplit la bouche tandis que je lui travaille le cul avec deux doigts qu'il encaisse sans problème. C'est bien sûr à ce moment là que la porte s'ouvre et que Kader entre dans la pièce. Tétanisés nous ne bougeons plus.
- "Oh merde, pardon les mecs, j'ai du revenir, Nabil n'est pas encore rentré, il m'appellera. Bon, faites comme si j'étais pas là, vous arrêtez pas en si bon chemin, ça serait dommage"
Il n'en faut pas plus à Abdel pour reprendre sa pipe et onduler du bassin pour me rappeler que mes doigts sont toujours enfouis en lui.
Du coin de l'oeil, j'observe Kader se rasseoir dans son fauteuil, rallumant la télé et faisant mine de la regarder. Je suis tellement excité d'avoir ma queue dans la bouche de son petit cousin que je referme les yeux et profite de l'instant. Lorsque je les ouvrent à nouveau, je vois Kader qui s'est tourné vers nous et qui se caresse le paquet qui semble prendre du volume. C'est pas vrai, qu'est ce qu'il nous fait celui-ci?!? Il s'aperçoit que je le mate et me souris en glissant la main à l'intérieur de son jogging et certainement de son caleçon par la même occasion. Il en ressort une bite géante, qui ne bande pas encore, mais même prise à plein main, elle retombe sur son poignet et s'étend sur son avant bras. Je ne peux quitter des yeux cet anaconda qui m'hypnotise, je pense que je n'ai jamais vu une aussi grosse bite de toute ma vie. Il continue à s'astiquer et le monstre prends des proportions inimaginables : 26cm sur 8, un truc de fou. Soudain il se lève, laissant tomber jogging et boxer à ses pieds et s'approche du canapé. Sa queue est à quelques centimètres de mes lèvres qui s'ouvrent toutes seules comme par magie.
- "Putain les mecs j'en peux plus vous êtes en train de m'exciter depuis tout à l'heure, j'ai pas de meuf depuis plusieurs semaines et la branlette j'en peux plus!!!"
Sans rien répondre, mes lèvres se referment sur sa teub chaude et légèrement odorante. Elle est propre, mais je me dis qu'il doit mouiller depuis un petit moment!! J'arrive à prendre un petit plus de la moitié de sa bite dans ma bouche, mais pas plus. ça ne semble pas lui poser de problème, il commence à soupirer et gémir. ça sent le mec qui a pas baisé depuis un moment. Abdel lâche ma queue luisante plein de sa bave et me rejoint. Sa langue rejoint la mienne autour de la bite de Kader qui râle de plus en plus. Tout le monde finit de se foutre à poil et Kader me dit que je suis bien gaulé pour un français. Je lui dit de me toucher la bite, mais il n'ose pas, il ne l'a jamais fait. Instinctivement, je lui chope la main et l'attire vers mon entre-jambe. Il fait mine de résister un peu mais je sens soudain ses doigts qui se referment autour de mon membre. J'adore la sensation de cette main vierge de toute autre bite à part la sienne sur la queue. Il ne réfléchit plus et commence à me branler tandis que je fais la même chose avec la sienne. Abdel avait le feu au cul et n'y tenant plus, demande à son cousin de s'asseoir sur son fauteuil, ce dernier s'exécute.
J'aide Abdel à monter sur lui et, petit à petit, l'énorme queue de Kader s'enfonce en lui, ils crient tous les deux ce qui m'excite d'une force indescriptible. Adbel monte et descend, sur la bite de son cousin, je me tiens tout prêt d'eux. Kader m'empoigne soudait la bite et la porte à sa bouche. Je me mets à genoux sur l'accoudoir du fauteuil. Nous sommes tous les trois en transe. Un peu plus tard, Adbel qui n'en a visiblement jamais assez, nous demande de tenter une double pénétration. Je suis sceptique mais vient me placer derrière lui. Je tâte un peu le terrain et sens sous mes doigts la bite de Kader qui pilonne le cul de mon p'tit rebeu. Après quelque contorsions pas très évidentes, j'arrive à coller ma queue contre celle de Kader et nous tentons de faire rentrer le tout dans l'intimité d'Abdel qui hurle, de mal et d'excitation. Mais la manoeuvre s'avère périlleuse et il est clair que le cul du petit jeune ne supportera pas nos deux membres en même temps. Je redescends alors mon bassin, ma bite frotte contre celle de Kader, mon gland glisse contre ses couilles pleines et vient se loger, par erreur, à l'entrée de son cul...
Pas de réaction, mais un grand soupire supplémentaire, j'enlève tout de même ma virilité de là, ne sachant pas ce qu'il veut. Puis j'approche ma bouche de ses boules que je gobe, il a l'air d'adorer. Ma langue va-et-vient sur les couilles tandis que juste au-dessus, Abdel continue à s'empaler sur son pieux. Ma langue continue son travail et ma tête se fraye un chemin jusqu'entre les cuisses musclées du bel arabe de 25 ans qu'il écarte au maximum. Ma langue atteint enfin son trou serré, je sens un frisson le parcourir et il ralentit le rythme de ses coups de bite, frottant au passage sa rondelle contre ma langue et mes lèvres. Soudain, de ses bras puissants il soulève Abdel et vient le déposer sur le canapé où il le met à quatre pattes, face au dossier. Se plaçant debout derrière son jeune cousin, il lui réintroduit assez violemment sa énorme queue dans le cul. Abdel crie tant que tant et je vois ça queue se balancer devant lui au rythme des coups de rein qu'il reçoit. Le spectacle est magnifique et je m'accroupis derrière Kader, décidé à lui montrer comme il est bon de se faire bouffer le cul. Il adapte son rythme de déhanché et me laisse pénétrer son intimité avec ma langue, je l'entends rugir de plaisir.
Par la même occasion, j'en profite pour attraper la queue d'Abdel qui pends à quelques centimètres devant moi et la branle frénétiquement ce qui le fait soupirer de plus belle. Au bout d'un moment, Kader me dit qu'il veut tout tester ce soir et me demande de me placer derrière lui. Un peu bloqué psychologiquement je pense, il n'arrive pas à dire mot pour mot ce qu'il veut essayer, mais je comprends tout de suite. Je me relève et vient loger mon pieux entre les fesses du beau rebeu, simulant quelques aller-retour telle une branlette espagnole, puis, je présente mon gland à l'entrée de son cul, je sens que ça va être serré, mais je force un petit peu, doucement. Kader semble se décontracter car son anus se dilate légèrement, laissant passer mon gland en lui, il gémit fort, je sais qu'il à mal mais ne dit rien, lentement, ma queue s'enfonce en lui, avec un petit moins de difficultés que ce que j'avais imaginé. J'en reviens pas, je lui ai mis mes 20 cm. en entier, mes couilles viennent claquer contre son cul. Kader est totalement pris en sandwich entre nous. On gueule tous les trois comme des bêtes, la situation est irréelle. Kader et Abdel se font ainsi limer le cul pendant plusieurs minutes, jusqu'à ce que je prévienne je je vais bientôt jouir. Alors, tout le monde se désemboîte, Abdel se laisse tomber sur le canapé face à nous et se saisit de nos deux membres. Elles ne sont pas entrées ensemble dans son cul !?
Eh bien elles iront dans sa bouche alors ! Debout côte à côte, on se fait sucer par Adbel qui y met tout son coeur. Je respire de plus en plus vite, signe que je vais bientôt jouir. Kader vient se placer derrière moi, collant son torse puissant contre mon dos, sa bite contre mes fesses et m'empoigne la bite de sa main droite tout en malaxant mes couilles de la gauche, tout ça juste en face du visage d'Abdel. Je me mets à crier, presque hurler que le premier jet traverse ma queue, sors par mon gland écarlate et vient s'écraser sur le visa d'Abdel, suivi de 5 autres jets puissants. Il a la bouche ouverte et n'en loupe pas une goutte. Je m'écroule à côté de lui sur canapé. Son cousin l'attrape par le bras et le relève, ils sont tous les deux face à moi et commencent à s'astiquer frénétiquement, leurs râles m'indiquent que la sauce est en train de monter et leurs cris atteignent mes oreilles en même temps que leurs giclées blanches atteignent mon torse et mon visage. Ils jouissent à eux deux ce que j'ai sorti tout seul quelques instants auparavant...
On s'écroule, vidés dans tous les sens du terme. Mais super heureux de cette aventure dont on ne se serait pas doutés quelques heures plus tôt. Ou plutôt "dont je ne ME serai pas douté quelques heures plus tôt"... C'était donc ça la surprise, Adbel avait tout expliqué à son cousin qui connaissait déjà et acceptait totalement sa sexualité. Connaissant son ouverture d'esprit et le sachant célibataire depuis un moment, il avait pris le pari de le chauffer et de finir en plan à trois, ce qu'il a parfaitement réussi.
Ce soir, je repart avec numéro de téléphone supplémentaire... ce qui n'est pas pour me déplaire après la soirée de dingue que je viens de passer. D'un commun accord on décide de se revoir prochainement tous les trois pour remettre le couvert et aussi tester de nouvelles choses... J'ai d'ailleurs un petit projet pour nous trois qu'ils ne sont pas prêts d'imaginer, mais je vais attendre quelques jours pour leur proposer cette sortie...
La suite très prochainement...
MJnavyman
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