Retour à la maison après avoir raccompagné chez lui mon patron. Il est tard, tout est désert dans cette partie de Massy, il pleut un peu.
Un grand black attend un improbable bus sous arrêt, il lève le pouce, je m'arrête, il a l'air étonné, je descends ma vitre, qu'est-ce qu'il me raconte?
Je ne comprends rien de c'qu'il essaye de me dire, il est un peu bourré ?
En tout cas quel beau mec !
- "Allez ! Monte, j't'accompagne ! " Il hésite "Mais monte quand même !"
J'ai vaguement compris où il veut aller, ça me déroute un peu, mais qu'importe ! Putain ! Qu'est-ce qu'il est bavard ! Dommage que je ne comprenne pas grand-chose a se qu'il me dit !
C'est qu'il m'ferait bander, c'salaud, tellement y l'est beau. J'me touche un peu le paquet. Tiens donc, il en fait autant, est-ce que j'ai la putain d'chance d'être tombé sur un gay ?
Je mets, comme par hasard ma paluche sur sa cuisse. Ouais! Ouais! Il prend ma main et me la met, direct, sur son paquet à lui. Oh, mais c'est du sérieux. Du très sérieux même ! Et le voilà qui me passe la main sous la chemise pendant que je conduis. On traverse un quartier d'entreprises, désert à cette heure. Je gare illico la voiture dans un parking.
Arrêt du moteur et extinction des phares J'ai toujours sa main sur la poitrine, il me malaxe le pec gauche, il n'y va pas de main morte. A merde! Il m'excite à mort ce salaud.
Humm...Humm, on se roule une sacrée pelle, sa langue de salopard de merde, m'explore la gueule, ah! Bordel, c'est bon, c'est Bonn... Humm.
Il continue de me palper le sein et avec son autre main, il va fourrager dans mon slip, j'suis tellement excité qu'il va m'faire juter rien qu'en touchant mon noeud, oh le con! Oh le salaud! Il me branle les burnes tout en continuant de me nettoyer les molaires avec sa grosse langue musculeuse. Il a libéré mes 19cm de bite en béton qui se cogne contre le volant. Je prends l'initiative et je fais basculer le siège en arrière, il me tombe dessus, mais on est gêné par ce putain de volant, trois coups de rein et on se vautre sur la banquette arrière, on n'arrête pas de se manger la gueule, à mon tour d'explorer son entrejambe. Je défais à l'aveuglette les boutons de la braguette de son 501; y a du monde à l'intérieur, du monde qui frappe à la porte; une forte odeur de mâle monte jusqu'à mes narines; ça y est, je sors son truc, j'ai la matraque en main, monstrueuse, épaisse et chaude; mes 19cm font pâle figure à côté de cet engin de Seigneur. On roule l'un sur l'autre, j'ai le dessus, il est allongé sur la banquette, je glisse vers son entrejambe et fourre ma gueule dans son paquet; Ahh! L'odeur, c'est bon, c'est puissant, sa queue est énorme mais il ne bande pas complètement; Oh le salaud, il s'arrange pour me travailler les tétons, je lui passe la main sous les fesses et je commence à le doigter, je lui lèche ses grosses couilles tour à tour; il a l'air d'aimer, son morceau se raidit.
Ahhhhhhh! Ah le con !
Il s'y connaît pour tâter les points sensibles. Ahhhhhhhh ! Il en veut à mes tétons. Oh putain il va me le payer !
Comment on en est arrivés là, je ne sais pas, il ne nous reste plus que nos slips, et on se demande pourquoi, car tout le matos est à l'air, il est confortablement assis sur la banquette, et moi, j'ai les jambes sur la lunette arrière et la tête entre ses jambes, ma queue dans sa bouche et, ma foi, il s'en occupe très bien.
Hummm....hummmm...... hummmm... hummmm s'il continue comme ça je ne vais pas tarder à juter!
J'lui suce le bout d'la sienne, en lui masturbant la hampe d'une main, et en lui malaxant ses grosses burnes de l'autre. Ah, je ne vous dis pas l'odeur, les gars, c'est super !
Ah merde! Ça monte, ça monte, jvais jouir ! Lui aussi, Ahhh! Ahhhhhh! Ahhhhhh Ahhhhhh...
J'en ai plein la gueule et lui aussi le salaud ! Ah la bonne crème de mec, la bonne jute qui pue bien la jute, bouffe moi ça, bouffe, bouffe!
Il enlève son slip cradingue, s'essuie la raie du cul avec, et tout le sperme que j'lui ai collé, c'est le mot, collé dans la tronche, et en rigolant m'oblige à le manger.
"Ça pue, hein? Ça pue fort le mec, t'aimes ça? Allez, mange!"
Je lui attrape le manche et recommence à le masturber; il fait pareil avec mon zob, on est face à face et on se mange à nouveau le museau.
Si quelqu'un passait, il ne perdrait pas son temps en nous matant! Mais, un coup d'oeil, non personne. On est des pros, vraiment, des pros de la branlette, ça sue là dedans et ça schlingue le mâle! Il y a d'la buée sur la fenêtre.
Han! Han! Han! Han! Han! Han! Han!
- "J'te traye ton gros pis, tu vas m'le donner ton lait de mec, mon gars, tu vas m'le donner !"
Han! Han! Han! Han! Han!.......
- "Viens gamin, jute-moi dans les mains, jute, jute, donne-la ta bonne jujute !"
J'l'astique comme un malade, j'le pompe à mort, et il me rend le même service avec la même énergie; nos queues vont gicler, elles vont gicler, l'une contre l'autre, c'est lui qui les masturbe ensemble dans sa grosse paluche, tige contre tige, gland contre gland. Ah! Ça vient pour moi Ah ...Ah...Ah ...-- Ah Ah Ah Ahhhhhhhhhh....
Bordel! Il y en a partout, on est gluants, merdeux, puants; on a de la salive et du sperme plein la gueule, plein la queue, et on est contents.
"Ah! Gars, c'était drôlement bon! Pas vrai ?"
"Sûr que c'était bon, t'es le roi d'la bite, le roi d'la baise! "
"T'as une belle bite aussi, et tu m'plais, tu sais!"
On se rhabille vite fait, on est prêts à se quitter
Lui: "ça t'dirait d'venir chez moi boire un coup ?"
- "O.K, je téléphone a mes parents pour qu'on ne s'inquiète pas"
J'empoigne mon téléphone, ah merde, il est, lui aussi, gluant de foutre; ça nous fait marrer.
J'appelle: "Maman, j'ai rencontré un copain, je rentrerai un peu plus tard, bonsoir"
-" ils sont cool, tes parents, passe-moi ton machin, il faut que je file un coup de phone moi aussi"
Il appelle ses copains ou sa copine, je ne sais pas; il parle une langue que je ne comprends pas.
Il ne nous faut pas longtemps pour arriver chez lui. Une dizaine de minutes peut-être; il n'arrête pas de se tripoter et de me tripoter pendant le trajet; il m'oblige à sentir ses doigts qui ont recueilli toutes ses odeurs.
"D'où j'les sors mes doigts, hein? D'où j 'les sors ?"
" Tu viens de te toucher le gland"
"Et maintenant, hein? Et maintenant ?"
"De ton cul"
J'ai du mal à conduire, il m'enfonce presque les doigts dans le nez tout en fourrageant de l'autre main dans ma braguette pour y tripoter mon manche.
Mais on arrive devant une petite maison, une vieille baraque, isolée à la lisière de la forêt.
On descend de la bagnole, Aristide se colle derrière moi, me poussant littéralement dans la baraque, sa main ne décolle pas de mon cul et il continue tout en avançant, à me faire sentir et à me faire sucer ses doigts puissamment odorants. C'est sous pression qu'il me fait monter devant lui un escalier assez raide qui débouche dans une petite pièce où trois autres blacks presqu'à poil sur des matelas à même le sol matent un porno sur une télé... Compris! C'était plus ou moins un guet-apens, je crois que ça va être ma fête, et je ne m'en plains pas, bien au contraire ! Dès que j'arrive, les trois mecs se lèvent et m'entourent de très près, me mangent la gueule à tour de rôle, me forcent à toucher leurs paquets, me palpent les pectoraux et le cul. On m'enlève chemise, pantalon, slip; me voilà debout, à poil, serré par quatre mâles en rut qui ne pensent qu'à baiser.
Ah! Putain qu'est-ce qu'il embrasse bien celui-là !
Ah Ah Ah Ahhhh... Je viens de me faire défoncer par un engin géant qui est en train de me rentrer dans le cul, c'est terrible. Pourtant, j'ai de l'expérience, il pousse encore, "jusqu'où tu vas aller humhum..." Je n'ai pas pu finir ma question qu'on enfourne un mastard poisseux au fond de la gorge, Ah, j'étouffe! Il faut que je suce, que je pompe, cette super queue qui m'envahit. Hum hummm hum, j'essaye de la recracher pour prendre un peu d'air, il me la remet illico, me baise la gueule comme un malade pendant que l'autre, derrière, me lime le cul sans aucune précaution. Sa grosse teub, dure comme du béton, entre et sort impitoyablement de mon cul, écartelé par la monstruosité de l'engin. En même temps, je bande comme un taureau, violemment sucé par le troisième mec qui n'économise ni sa langue ni sa salive. On est tous maintenant allongés, ou assis, sur le matelas. Aristide, ce salaud, me passe sa bite, comme un pinceau, sur les yeux, sous le nez; il s'attaque à nouveau à mes tétons, il les fait bander à force de pincements, torsions, suçons...Pendant que son copain me suce la tige, lui me tripote les burnes, il me les tord, me les presse dans ses grosses mains; il masturbe la base de la queue de son copain, queue qui me lime vigoureusement le cul.
Ah ! Bordel! Il m'inonde le cul. Ah! Ce mec, en jouissant, le mec qui me lime depuis un quart d'heure, en jouissant il devient fou, Ah Ah Ah! Il accélère encore le rythme, Ahh!! J'en prends encore une bonne giclée Ahhh! Mais il va me transpercer, ce con Ahhhhhh!
Il sort son pieu de mon cul, je dégouline de sperme, Aristide vient lécher cette bonne jute... Mon enculeur me présente impérieusement sa queue à nettoyer; je recrache le zob que je suis en train de sucer pour m'attaquer à celui dont je viens de subir les assauts, pas question de flancher, le gars sait ce qu'il veut. Mon cul ne reste pas longtemps inoccupé, je crois bien que le gros zob que j'ai lubrifié avec ma langue et ma salive va forcer l'entrée.
Ah! Ah! Le gros gland est passé.
La pénétration est grandement facilitée par tout le foutre qui remplit mon cul défoncé.
Oh Putain! Il y va de bon coeur! C'est plus de la baise, c'est de la gymnastique, son piston fonctionne mécaniquement, obstinément, il me bouscule la prostate sans ménagement et me claque vigoureusement les fesses, presque à chaque va et vient.
La température a monté de plusieurs degrés dans la pièce, puissant cocktail d'odeurs de mec.
Oh Bordel! Je lâche la purée dans la bouche de mon suceur, ouais ouais ouis. Je lui remplis la gueule de mon sperme; il aime, il pompe, il avale tout, et je lui envoie tout de suite une deuxième série de giclées bien épaisses. Ah! Putain comme c'est bon!
Et puis je prends ma dose moi aussi, la queue que je nettoie, m'explose à la gueule, pendant que celle qui me lime le cul m'inonde à nouveau d'un torrent de sperme. Il y en a partout; on fume : la sueur, le sperme, emplissent d'odeurs viriles la petite pièce où on vient de s'éclater à mort!
Répandus sur les matelas tachés, on se repose un peu, on prend des forces. Aristide m'oblige gentiment à lui sucer les orteils; voilà des sucettes qui ont du goût! Les trois autres gars sont allés chercher des bouteilles de champagnes. Les bouchons sautent, les bouteilles passent de main en main. L'un des gars remet une DVD porno gay: à mon avis, dans pas longtemps, ça va redevenir chaud!
Nico76500
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