Ma passion pour les bidasses est énorme, c'est vrai qu'ils me font craquer. En jean's, en survêt, en treillis, peu importe, les voir, cheveux courts, belle gueule, couilles pleines me fout une gaule du tonnerre dans mon boxer, j'en deviens malade d'envie et suis prêt à tous leurs caprices, à toutes leurs envies sexuelles pour les satisfaire.
Pour cette raison, les militaires sont les mecs que je drague en priorité, même si ce n'est pas facile, il m'est arrivé quelques bons coups et aujourd'hui, c'est une belle soirée d'été que je souhaite vous raconter. En cette soirée de fin juillet, j'étais allé rejoindre des potes à une terrasse de bistrot, discussion autour de quelque verre pour profiter des vacances et du temps agréable à cette époque. Vers 23 heures, on s'est séparés, les copains et les copines voulaient sortir en boite, mais je n'avais pas envie, j'ai décidé de rentrer chez moi, à pied pour profiter de cette nuit douce. Je marchais doucement pensif, quand en face de moi sur le même trottoir apparut un bidasse.
Quand il passa à ma hauteur je le dévisageai sans vergogne. Il était si beau que mon sexe donna des signes de consentement. Je me retournai pour le suivre des yeux, il fit de même, et pour lier conversation, il me demanda si j'avais du feu.
Je ne fume pas, mais j'ai toujours un briquet avec moi, car souvent il me porte chance pour ce genre d'approche. Il me proposa une cigarette, que je refusai, alors il me demanda pourquoi j'avais un briquet. Je me contentai de sourire à sa question. Je lui demandai ce qu'il faisait là, il me répondit qu'il attendait son train, mais qu'il aimait se promener. Je lui proposai de venir boire un pot chez moi à deux pas d'ici, mais il refusa catégoriquement. Je pris ce refus comme une grosse claque dans la gueule, car déjà je m'étais fait plein de bonnes idées. Je lui tendis la main pour lui dire au revoir et je m'éloignai.
Très déçu. Au bout de quelques mètres, j'entendis des pas qui se pressaient pour me rattraper, c'était lui qui avait envie de faire encore un bout de chemin avec moi. En traversant le petit square très peu fréquenté la nuit, nous nous sommes assis sur un banc pour faire une pause, car son sac étant très lourd, il commençait à avoir mal au dos. Il a fumé une cigarette, avant de me demander pourquoi je voulais qu'il vienne chez moi.
Juste pour boire quelque chose ! Ecoute, je ne suis pas fou, dans tes yeux j'ai tout de suite vu, ce que tu attendais de moi. Tu as envie de mon cul, et moi j'aimerais bien être sucé. La folie des bidasses, je connais, alors décide-toi.
Je posais de suite ma main sur son sexe, que je sentis frémir. Je me suis mis à genoux devant lui, et après avoir dégrafé sa braguette.
J'en ai sorti un magnifique rouleau de chair, doux et chaud, que je portai de suite à la bouche. Ce n'étais pas la première fois que je suçais un garçon, mais celui-là, avait un autre gout. La chair de lune éclairait son bas-ventre ; je pouvais voir sa toison chatoyante et odorante qui me chatouillait les narines. Il était planté devant moi, le visage tourné vers le ciel, pendant que de ses deux mains il me pétrissait le cuir chevelu.
Ses gémissements en disaient long sur ma manière de sucer.
Quand j'ai senti que ses couilles devenaient plus dures, j'ai resserré ma bouche autour de sa verge, et plusieurs jets de sperme sont venus chatouiller mon palais. Nous nous sommes déplacés dans l'herbe et je me suis retrouvé à quatre pattes, lui à genoux derrière moi, sa queue commença une pénétration en douceur. Ma rondelle céda à cette intrusion, je forçais pour lui permettre de rentrer plus profond en moi.
Mon visage reposait sur mes avant bras, je me donnais sans façon, avec excitation. D'une main il s'empara de mon sexe qui bandait très fort, il fit coulisser deux doigts tout le long, comme pour me décalotter. Je n'y tenais plus, alors j'ai donné un coup de reins en arrière pour lui faire comprendre qu'il fallait qu'il me défonce à grands coups de boutoir, jusqu'a ce que je hurle de plaisir comme une bête.
Nous étions aussi déchaînes l'un que l'autre. Je sentais son haleine chaude sur ma nuque, sa main n'avait pas lâché ma queue, et j'aurais payé cher pour faire une photo, ou un bout de film de nos ébats au clair de lune. Nos ébats ont duré jusqu'à la dernière minute. David, puisqu'il m'a crié son nom, est parti prendre son train, tandis que je remettais de l'ordre dans ma tenue.
Au loin j'ai entendu le train qui démarrait avec mon David que je n'ai jamais revu. Je le regrette amèrement, et souvent je traîne dans le hall de la gare avec l'espoir, qui sait, de le revoir.
Nicolas76500
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