Lorsque j'avais 18 ans et je m'appelle Nicolas et mon frère 20 ans s'appelle Ludovic, ont faisait des petits jeux sexuels ensemble.
Nous découvrions notre sexualité et on se cherchait un peu.
Pourtant jusque là, je n'avais encore jamais eu de pensée homosexuelle, ça me rebuté même.
Je vivais dans la même chambre que mon frère, et entre mecs il était normal qu'on parle de filles et de sexe
- Et Sandra, comment tu la trouves ? Me demanda-t-il lors d'une énième discussion sur les filles.
- Une bombe. Tous mes potes veulent se la faire.
- Ouais pareil... Tu sais que... Je me suis même masturbé en pensant à elle. Rigola-t-il.
- Sérieux ?
- Ouais... Enfin ça reste entre nous hein !
Ne - T'inquiète pas, frangin. Et... tu fais ça souvent ?
- Quoi ? Me masturber en pensant à elle ?
- Non, te branler tout court. Demandai-je curieux.
- Ouais, parfois pendant que tu dors ou quand je suis seul à la maison, haha !
- Quand je dors ?!
- Ben ouais... D'façon, je sais que tu le fais aussi ! Un soir, je t'ai entendu.
Je rougis, il était vrai que je me branlais souvent la nuit. Je ne répondis rien, il continuait :
- Je paris que j'éjacule plus que toi, hehe.
- Alors ça m'étonnerait. Sandra me fait couler des litres.
On rigola ensemble, puis il reprit d'un ton à demi sérieux :
- Non, mais vraiment, tu veux comparer ?
J'hésitais une seconde. Après tout, c'était mon frère, il avait déjà vu mon sexe.
- Ouais, d'accord
On se mit au dessus de nos couvertures respectives et on commençait notre petite affaire. Ça faisait très bizarre. Ça me gênait même un peu, mais avec ça, ce mêlait une pointe de plaisir.
On se jetait des coups d'oeil parfois, en rigolant. Je me demandais même à quoi penser mon frère. Moi, je pensais à Sandra.
Puis, je sentais que j'allais venir :
- Moi, ça y est...
- Ok, va-y je te regarde.
Je rougis légèrement, mais avec la chaleur de mon corps, cela ne se remarqua pas.
J'éjaculais en deux gros jets sur mon ventre pour finir avec une troisième et un quatrième mais plus petite.
- Ouais, pas mal. A moi !
Mon frère avait l'air si à l'aise. Il avait attendu que ce soit moi qui jouisse en premier.
Son éjaculation a lui était moins grosse, son sperme moins épais mais venait en plus grosse quantité. Il avait eu 8 jets mais du volume de mon dernier jet. Il gagnait haut la main.
- J'avoue, tu éjacules plus.
- Après, ça dépend de l'excitation aussi. Là, j'étais assez chaud...
Sur le coup, je n'avais pas compris la remarque de mon frère
Nous n'avions plus reparlé de ça, mais une semaine plus tard, nous étions au lit, mon frère me dit :
- Nouveau défi : celui qui éjacule le plus loin !
J'avais été un peu déçu de ma dernière défaite et je savais que pour ce jeu là j'avais toutes mes chances, c'est pourquoi j'acceptais avec enthousiasme.
- Par contre cette fois, me dit mon frère, va falloir se mettre debout.
C'est-ce qu'on fit. Je fus un peu surpris lorsque Ludo enleva son t-shirt et son caleçon.
- Je me mets à poil hein, on est entre frangin de toute façon.
Je fis la même chose. Je remarquais à ce moment là que nos sexes étaient assez différents. La sienne était plus longue mais plus fine, j'avais un plus gros diamètre et un plus gros gland que lui.
On commença à se masturber comme la fois précédente. L'excitation monta vite.
En fait, je ne pensais même plus à Sandra, mais juste à ce qui se passait dans la pièce.
Mon frère écarta légèrement les jambes et s'abaissa : il allait éjaculer !
- Je commence parce que là je tiens plus... ah !
Il lâcha un râle, quelques gouttes coulèrent de son urètre puis un long jet y sortit. Il était à 1m environ, il s'étalait sur 20cm au moins. Puis il eut plusieurs autres jets mais ceux-ci allèrent beaucoup moins là.
Entendre mon propre frère se déverser sur le parquet augmenta mon excitation et avant qu'il n'eut fini, je dis :
- A mon tour là !!
Je me baissai un peu, et bascula la tête en arrière tellement l'orgasme me submergeait.
Une longue et grosse décharge jaillit. Elle dépassa celle de mon frère de 50 cm. J'avais gagné !
Mais sûrement le moment, je m'en fichais : je vidais le reste de mes couilles, c'est-à-dire 7 autres jets.
Ludo était surpris.
- Ah ouais ! Là, tu m'as battu autant en distance quand quantité. Bien joué !
Je souris, j'étais fier de moi. J'étais fier d'avoir montré à mon frère que j'étais un homme
Je n'avais qu'une envie, c'était de recommencer ! Mais j'ai dû attendre trois jours avant que mon frère propose à nouveau :
- Hé, l'autre fois tu m'as battu à plate couture. Je veux ma revanche !
- Pas de problème, j'ai les bourses pleines, haha !
- Ok, on y va.
Il se leva et ce fut presque naturellement qu'on se déshabilla. On aurait dit qu'une routine s'était installée. La nuit précédente, une idée m'avait traversé l'esprit : j'avais imaginé que mon frère et moi nous nous masturbions l'un l'autre. Je m'étais même surpris à avoir une érection en y pensant.
Ca m'avait fait très bizarre. J'étais pourtant toujours hétéro ! Je bandais toujours autant en pensant à Sandra et sa grosse poitrine.
Je ne savais toutefois pas comment mon frère allait prendre mon idée. Je me suis lancé, au hasard :
- J'ai une idée. Tu sais que la masturbation, c'est comme les chatouilles : tu ressens beaucoup plus les effets quand c'est quelqu'un d'autre qui te la prodigue.
Je m'étais senti quand même obligé d'argumenter.
- Euh ouais, où tu veux en venir ?
- Bah, je me disais que si on se la faisait à l'un et à l'autre, on jouirait plus fort et donc on verrait vraiment nos capacités...
Il réfléchit une seconde.
- Ouais, ça me parait un bon plan ! Et... Comment on s'organise ? Je veux dire, on se l'a fait en même tout, ou chacun son tour.
- En même temps ! Ca ferait trop bizarre chacun son tour.
- Ouais, j'avoue...
Il posa dès l'instant suivant sa main sur mon sexe. Ca m'avait surpris qu'il soit aussi direct. Je sentais maintenant sa main chaude qui m'entourait le gland.
J'hésitais à le prendre dans ma main, il me regarde et m'engueula presque :
- Ouais mais bon, si tu triches en me la faisant mal ce n'est pas la peine !
- Nan, c'est bon, t'inquiète pas.
Il m'avait un peu brusqué, mais ça avait marché, je pris son sexe au milieu. Je fis mine d'avancer et dans le mouvement, j'avais ma main jusqu'à lui effleurer le gland. J'avais remarqué qu'il avait eu un léger spasme. Mon frère était donc très sensible, plus que moi en tout cas. J'eus un sourire discret.
On commença nos caresses en même temps. Nous allions à la même vitesse.
Mon frère aimait faire presser son pouce sur mon gland. Il venait le masser quelques secondes puis repartait dans son mouvement. Quant à moi, j'aimais presser à l'endroit juste entre son pénis et ses testicules. Je pensais ainsi le faire jouir plus vite.
Ce nouveau défi dura plus longtemps que les autres. On n'avait pas envie de jouir tout de suite, on voulait que le plaisir dure.
Mais après un quart d'heure, on tenait plus. Que ce soit lui ou moi, nous étions à notre limite.
On se regarda sans échanger un mot, et on se fit signe de la tête.
La seule fois où je mettais déverser à ce point, c'était lorsque j'avais reçu ma première fellation. Je ne comptais même plus le nombre de jets que mon frère et moi avions. Ca coulait à flot ! En fait, nos deux spermes se mélangeaient par terre.
Une petite flaque s'était créée. Ludo et moi nous nous regardions et nous fumes prit d'un fou rire.
- On va dire que c'est ex-æquo, dit-il.
- Bien d'accord... Mais va falloir nettoyer tout ça, parce que si les parents voient ça...
- C'est clair, ils vont croire que la toiture a fuit.
Mon frère se chargea du nettoyage. Moi, j'étais couché dans mon lit, complètement vidé. Et je ne tardai pas à trouver sommeil
Nous avons continué nos petits jeux pendant quelques temps. Je ne savais pas pour mon frère, mais j'adorais ça. C'était devenu notre petite coutume du soir, et nous le faisions chaque jour.
Un jour, en pleine masturbation collective, Ludo me dit :
- Peut-être on pourrait corser un peu le truc...
- C'est-à-dire ?
- Et bien, tu m'as dis un jour que tu n'avais jamais éjaculé aussi fort que lorsque tu t'étais fais sucer par Sylvie.
- D'accord ! Dis-je avec un peu trop d'enthousiasme. J'ai eu peur sur le coup qu'il pense que je n'attendais que ça
Ce que je ne savais pas c'est que mon trop grand enthousiasme allait être un déclencheur chez Ludo. Comme si je lui avais confirmé que j'aimais ça.
Cette masturbation fraternelle dura beaucoup plus longtemps que les autres.
- Ah et j'ai un autre truc aussi, me dit-il.
Je lui demandai ce que c'était, mais il ne me répondit pas tout de suite.
Il me plaça sur le lit en position accroupi, j'étais comme une fille qui fait pipi dans les buissons. Mon frère s'agenouilla et grâce à la hauteur du lit, sa tête arrivait tout juste à mon sexe.
Je bandais vraiment fort. Je n'allais sûrement pas tenir longtemps.
Il s'occupa d'abord de mes testicules, elles pendaient et il n'hésita pas à les caresser, les malaxer et à les lécher. Avions-nous dépassé le stade du jeu ? Ou pour Ludo ce n'était encore qu'un autre défi. Je me posais un millier de questions.
Il me suçait de tout mon long. Le bougre insistait même sur le gland. Il souriait quand il entendait que je ne pouvais pas me retenir de gémir. Il cracha sur mon pubis, qui lui servait de lubrifiant et commença une lente masturbation.
Puis son doigt glissa vers mes couilles et continua vers mon anus. Il m'introduisit un doigt tout en me suçant. Je pouvais sentir son doigt fouiller dans mon trou. Il pressait contre ma prostate. Il en mit en suite un deuxième pour la stimuler encore plus. C'est là que je n'ai pas su tenir.
- Je vais tout lâcher !
Il intensifia le mouvement de ses doigts, mais il avait arrêté de me sucer. Il me branlait alors à vive allure. Malgré le plaisir intense que cela me procurait, j'étais un peu déçu de ne pas pouvoir éjaculer dans sa bouche. Toutefois, mon éjaculation était impressionnante.
J'étais au bord du lit, toujours dans la même position, et je me déversais les couilles sur le parquet. Je vidais ma prostate de tout le sperme blanc et épais qu'elle avait produit. Mon frère affichait un sourire de satisfaction, il était fier de m'avoir fait jouir autant.
- Ca va être un vrai défi de pas ça ! Dit mon frère. Faut voir comment tu t'occupes de moi...
Je rougissais presque. Les pensées de mon frère envers ce que nous faisons étaient très confuses.
J'avais eu l'idée de me mettre couché sur le dos, avec la tête qui dépasse du rebord du lit. Je regardais mon frère dans les yeux et ouvrit grand ma bouche
Son érection augmenta. Il l'a mise lentement dans ma bouche. Je suçai d'abord le gland, j'aspirai comme pour en retirer son précieux nectar.
J'allais de plus en plus loin. Lorsqu'il était arrivé au fond de ma bouche, lorsqu'il passa ma glotte, j'ai eu quelques reflexes de vomissement mais qui heureusement s'atténuèrent très vite. J'étais à présent à la moitié de sa queue.
En même temps, mes mains jouaient avec ses testicules. Je les faisais rouler, je les prenais une par une, etc.
Je pensais m'arrêter là, n'ayant bientôt plus d'air, mais mon frère en décida autrement. Il alla au plus loin qu'il put et commença ses mouvements. Il me baisait la gorge. Cela faisait un peu mal au début, il fallait que ma gorge se fasse à sa grosse verge. Je sortais par moment ma langue et lui léchai le pubis. C'était à son tour de gémir. Il allait de plus en plus rapidement. Une larme coula à mes yeux. Mais je ne voulais pas qu'il s'arrête. Le fait de savoir qu'il prenait son pied m'excitait énormément. J'avais de nouveau eu la trique.
Lorsque je n'avais plus du tout d'air, je tapotais contre sa jambe et il l'a retira de ma gorge. Pendant que je reprenais ma respiration, il me dit :
- C'était trop bon. Je te le ferai un jour. Maintenant occupe toi de ma prostate comme j'ai fais pour toi.
J'étais toujours couché, il écarta ses jambes au dessus de ma tête. J'avais une vue parfaite sur son petit trou, ses couilles et sa queue. Il me prit soudain une envie de lui lécher son anus. A priori, il avait l'air propre, alors sans réfléchir, je le pris par ses jambes et commençai à lui bouffer le cul. Ma langue lui nettoyer son trou, parfois elle y entrait. Parfois, elle le lui tapotait comme une pique qui voulait entrer.
Il se masturbait en même temps, et gémissait beaucoup. J'ai même eu peur que les parents nous entendent.
Il ne tarda pas à jouir mais sur moi ! Ses longs jets de semence furent projetés tout le long de mon corps. C'était chaud.
- Désolé, frangin ! Je n'ai pas su me retenir tes coups de langue m'ont achevé.
- C'est pas très grave. Par contre, je remarque que j'ai encore gagné !
- Ca c'est grâce à mes doigts qui t'ont stimulé la prostate. La prochaine fois, tu me feras la même chose et tu verras comment je vais éjaculer !
Quand il dit ça, cela me donnait l'impression qu'il l'avait déjà vécu. Je me suis même demandé si mon frère avait déjà eu un rapport homosexuel autre qu'avec moi
Nos petits jeux durèrent encore Plusieurs semaines. Nous nous sucions, nous nous doigtions, nous nous masturbions et nous éjaculions ensemble mais ça s'arrêtait là.
Je n'avais jamais enculé mon frère, mais si l'envie ne m'en manquait pas. Mais quelque chose me retenait. Le fait que ce soit un homme sans doute.
Enfin, tout ça c'était avant mon anniversaire...
Je me rappelle bien, c'était un jeudi. C'était mon anniversaire et comme tout jeudi j'ai quand même dû aller à l'école.
Mais vers 13h00, je reçu un SMS de mon frère : " Sèche les cours, j'ai une belle surprise pour toi à la maison ! "
Je me demandais vraiment ce qu'allait être cette surprise. Aurait-ce un rapport avec nos jeux ? Je me punissais mentalement d'avoir pensé ça. Cela ne devait être qu'un cadeau normal et il voulait passer l'après-midi avec son frère. Ou encore, ce serait une fête familiale surprise.
Des dizaines d'idées de ce genre me traversèrent l'esprit tout le long de la route.
De retour chez moi, je passais par derrière pour atterrir directement dans la cuisine. Je criai le nom de mon frère, pas de réponse. J'allais voir dans le salon et la salle à manger personne.
Je montai donc à l'étage. La porte de notre chambre était entrouverte. Je poussai la porte, et vis Ludo nu comme un ver en train de s'astiquer.
- Qu'est-ce que tu fous?!
- Je prépare ton cadeau.
- Quoi ?
Il bascula en arrière, écarta ses fesses et me montra son trou du cul.
- Bon anniversaire, frangin. Voilà ton cadeau, et t'as intérêt à le prendre bien fort parce que je tiens plus.
Je lâchai mon sac à terre sous l'effet de la surprise et en un quart de seconde une érection monstre déformait mon pantalon.
J'avais à peine abaissé mon pantalon que mon frère se rua sur ma queue et la goba. Il me suçait la pine comme s'il n'avait plus eu à manger depuis des jours.
- Mais... Dis-je avec difficulté tellement le plaisir s'intensifiait, mais si les parents... arrivent ?!
Il s'arrêta un instant.
- Ils reviennent du boulot qu'à 18h, on a 4h devant nous. 4h où je serais ta pute.
Ce qu'il disait m'excitait incroyablement, je lui pris sa tête et le força à me sucer bien au fond de sa gorge. Je pouvais sentir sa langue fouillait mon scrotum. Ma bite était maintenant reluisante de salive.
Il me fit m'allonger sur le lit et je dû levé mes jambes. Il me bouffa le troufion. C'était super bon. Cette langue, ce muscle si puissant, qui parcourait l'endroit le plus nerveux de mon cul. Il me branlait en même temps.
Son pouce venait me caresser les couilles. Je n'avais jamais vu mon frère dans un tel état.
- Je ne t'ai jamais vu comme ça.
- Je tiens plus, Nico, faut que je te le dise : J'adore ta bite. J'en boufferai tous les jours si c'était possible. Je la veux au plus profond de moi. Et ce sperme, toute cette semence que tu produis, je le veux au fond de mes entrailles et je veux en avaler des litres !!
Tellement c'était bon, je me mordis les lèvres pour retenir mon éjaculation. Ludo me mit un doigt, puis un deuxième et ensuite un troisième, il fouillait mon cul avec vigueur.
- Je vais bientôt éjaculer si tu continues comme ça.
- Lève-toi !
Il me fit me lever et me suça tout en me masturbant avec ses deux mains. Mon gland était rouge tellement il frottait. Je ne pouvais plus me contenir. Mais encore une fois, il se retira pour que je ne puisse pas jouir dans sa bouche. Je déchargeais tout mon foutre sur le parquet.
Pendant une seconde, je repensais à toutes les éjaculations que j'avais eu sur ce parquet.
Ensuite, mon frère s'abaissa et lécha le sperme par terre. Il aspirait, il léchait. Il ne voulait pas en perdre une goutte, il se comporter comme une pute.
Ne - T'inquiète pas, Ludo. On a encore 3h30 de baise. Du sperme, tu vas en bouffer ! Retourne-toi maintenant que je prépare ton petit cul.
Il s'exécuta. Moi, je lui crachai sur l'anus et lui léchais. Une légère odeur acre se faisait sentir, mais cela n'avait aucune sorte d'importance.
La salive, lubrifiant naturel, commençait à faire son effet : je pouvais écarter le trou de mon frère de quelques centimètres avec mes deux pouces. Je léchai le bord en faisant des mouvements de 360° avec ma langue. Mon frère gémissait vraiment fort. Puis, je lui introduis directement quatre doigts.
- Putain, j'ai envie de te rentrer tout mon bras...
- Essaye déjà juste la main.
- Tu te sens prêt ? Lui demandai-je.
- Oui, va-y, frérot !
Je lui rentre donc toute ma main dans le cul, au début il crie mais je ne m'arrête pas. Ensuite, il apprécie fortement :
- Olala, c'est trop bon ! J'adore quand tu me défonces le cul ainsi !
Pour satisfaire ses désirs, je bouge mon poing dans son cul. J'appuie fort sur sa prostate, tellement qu'il éjacule sans le vouloir, le sperme sort tout seul sans qu'il n'ait à faire quelque chose. Un long filet de sperme coule de son urètre jusqu'au parquet. Je n'arrête pas mon mouvement et je sens son colon se contracter sur ma main, sa prostate rejetant encore plus de sperme : il jouit ! Je fais jouir mon frère avec mon poing ! Ma trique est revenue et je suis de nouveau prêt. Je lui dit de léché son sperme qu'il a mis sur le parquet et il s'exécute sans se plaindre.
A peine ai-je retiré ma main que je lui enfourne ma bite. Son cul, maintenant bien dilaté, peut supporter mes grands coups de reins. Je sens mon gland qui racle ses parois. Nos paires de couilles se touchent à chaque va et vient. De ma main gauche, je le masturbe, ce qui a pour effet de lui faire juter le reste de son sperme. De mon autre main, celle avec qui je l'ai fisté, je lui dis de lécher mes doigts. Il s'exécute sans se plaindre.
- T'aime le goût de ton propre cul hein, salaud.
Je le prends en levrette, ainsi que dans d'autres positions sorties tout droit de films pornos. Je ne tarde pas à vouloir jouir une deuxième fois. Je le défonce jusqu'à ce que je ne tienne plus puis je lui repeins son colon avec mon foutre. La jouissance était plus intense que la première mais moins abondante.
On transpirait de partout, j'étais affalé sur lui, ma bite qui commençait à débander encore en lui. Je caressais son dos reluisant de la sueur. Je jette un coup d'oeil au parquet : ma première éjaculation commence à sécher, mon frère a la tête dans la sienne.
Il est 16h30, il ne nous reste qu'une demi-heure avant que nos parents reviennent. Je sors mon engin de son trou et le sperme coule. Je n'hésite pas à aller lui prendre avec ma langue et je lui crache dessus.
Il veut m'offrir une dernière fellation avant que les parents ne reviennent. Je me mets sur ma chaise de bureau, j'écarte les jambes, il vient se loger entre elles et commence à me nettoyer le sexe. Il avait l'air d'adoré son goût. Il aspirait tellement fort que les muscles de mes parties génitales se contractaient.
Avec son ongle, il chatouillait mon gland, juste à l'entrée de l'urètre. Puis pendant qu'il me gobe en entier, je sens la sève monter. Je ne tiens plus, et je me décharge dans sa bouche cette fois. Il me branle bien de tout mon long pour faire venir le plus de sperme possible. Il avala tout et souriait fièrement.
- Putain ce que c'était bon, Ludo ! Dis-je exténué.
- J'ai adoré. J'espère que tu m'offriras la même chose pour mon anniversaire !
- Ouais, t'inquiète pas, on remettra ça !
- Dans trois mois alors... Dit-il légèrement déçu
Mais il n'a pas fallut attendre trois mois pour qu'on recommence notre baise sauvage. En fait, dès que nos parents étaient absent, mon frère et moi en profitions pour baiser, faire jouir l'autre jusqu'à ce qu'il ne puisse plus et mon frère et moi on c'est mis a l'uro, il aime bien ma pisse,, il en perd jamais une goûte. Nous passions parfois notre journée complète à faire ça, nous ne répondions ni au téléphone ni à la porte. Tout ce qui nous importait était ce plaisir intense que j'ai trouvé dans ma relation incestueuse avec mon frère.
Nico76500
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