Le copain de l'internat
Quand je suis entré au lycée, mes parents m'ont mis à l'internat.
Personnellement, je n'y voyais pas trop d'objections : une vaste chambrée unique,
Avec une trente jeune corps masculins à mater tous les jours, ça me va tous a fait.
Le garçon à coté de mon lit s'appelle David, il est aussi mignon que timide. Les premiers jours, on se parle à peine.
Mais je l'observe sous les douches communes, et discrètement, le matin, j'aperçois les gouttes d'eau qui perlent sur sa peau, ses muscles fins qui jouent avec mousse du savon, et quelquefois son sexe tendu encore par les rêves nocturnes...
Je m'enhardis un peu et semaines après semaines, j'arrive à vaincre son tempérament farouche et à gagner sa confiance.
Le soir, il vient se blottir contre moi, et nous discutons jusqu'à l'extinction des feux.
J'entre même dans ses confidences : nous sommes puceaux tous les deux. Il m'avoue un jour qu'il aimerait bien se faire sucer par une fille, mais qu'il n'oserait jamais lui demander cela.
Je sens le sang affluer à mes tempes. Le silence se prolonge.
J'hésite encore. J'ai les oreilles qui bourdonnent. Et je lui dis tout bas : "'Si tu veux, je peux te le faire.'' David demeure immobile, puis très calme, se lève sans répondre er retourne à son lit.
Pendant les deux jours qui suivent, il m'évite manifestement, et moi, par peur du scandale, je n'ose pas lui adresser la parole. Face aux autres copains d'internat, j'essaie de dissimuler mon malaise tant bien que mal.
Le troisième soir, à la cantine, je rejoins la table ou David avec quelque pote, prend son diner. Je suis à sa gauche, ma jambe touche la sienne, doucement, puis de manière insistante. Brusquement, sans attendre ses potes et profitant du brouhaha général, il s'en va et me dit tout bas : "'Ce soir, minuit, dans les douches.''
Je n'ose y croire. Je ne suis pas sur d'avoir bien entendu, et surtout bien compris. Je redoute les faux espoirs, et j'attends, impatient, l'heure fixée. Un peu avant minuit, n'y tenant plus, je feins d'aller vers les toilettes et je me dirige subrepticement vers les douches.
Les minutes s'égrènent, paresseuses, je tremble dans la nuit, de froid et de nervosité.
Furtivement, David s'approche de moi, et me regarde, sans un mot dire, droit dans les yeux toujours timides brillent ce soir d'un éclat presque méchant. Il avance la main, et la pose contre ma nuque. La pression qu'il exerce m'oblige à me pencher.
Je m'exécute. Je me mets à genoux, et je vois, devant mes lèvres assoiffées, sa bite en érection qu'il tient de sa main libre.
Elle est belle, longue, droite et son gland mouillé rougeoie dans le noir.
David enfonce brusquement son sexe dans ma bouche bée. Il semble résolu, et l'enfonce jusqu'au bout. Parfois, il la retire et en frappe mon visage. Quand je croise son regard, j'y voie comme une haine qui le rend encore plus beau. Et brusquement, il prend de sa main gauche mon menton, et gicle, sur mon visage, en répandant avec tendresse son jus brulant sur mon front, sur mes joues, sur mes lèvres.
Soudain, j'entends derrière moi un bruit suspect, Je me retourne effrayer, et toujours à genoux, je vois Stéphane, le chef de la chambrée, un mec assez vulgaire, mais de loin le plus baraqué et le mieux bâti de tout l'internat.
D'une voix sourde, il me lance :'' Tu crois que je n'ai pas compris votre petit manège. T'es une vraie salope. Tu mérite une punition. Allez, à quatre pattes, ou je te dénonce à tous les mecs de l'internat.''Aussi effrayé qu'excité, j'obéis à ses ordres. Je le sens derrière moi qui baisse son pyjama, et me crache à la raie un jet de salive.
Inquiet du traitement qu'il me réserve, je tourne la tête. J e vois alors un chibre lourd et épais qui se rapproche de mon fion.
Un petit gémissement, peur ou désir, monte de ma gorge. Et Stéphane, aussitôt :'' David, tu m'aides.
Tu lui fourres ton pieu dans la gueule, et tu l'empêches de crier cette salope'' Alors David, tout sourire, se rapproche et met sa bite une nouvelle fois dans ma bouche. En même temps, je sens le sexe de Stéphane qui s'enfonce en moi, délicatement en fait, et avec souplesse. Il s'arrête parfois, pour me laisser souffler, puis il reprend son dur labeur, avec maitrise et énergie à la fois. La douleur se transforme enfin plaisir, et Stéphane m'attrape le sexe qu'il branle au rythme des mouvements de son bassin.
Ainsi, je n'ai aucun mal à m'offrir largement. Il me ramone copieusement, me branle à la même vitesse, tandis que David me défonce les gencives. Cela dure un bon quart d'heure, les plus belles minutes de ma vie. Stéphane, manifestement, sait s'y prendre pour profiter du cul de ses camarades de chambrée.
Il ne cesse de me branler, et parfois, il me caresse le cou. J'aimerai le voir derrière mon dos.
Puis, je l'entends qui me dit doucement : "'Oui, c'est bon...''Je sens le foutre qui me remplit le cul, et je décharge aussitôt une belle rasade. David, pour ne pas être en reste, gicle encore, mais cette fois dans ma bouche, avec une évidence satisfaction. Alors, se dégageant brusquement, Stéphane s'en va et lance d'un ton rogue :''Ca ira comme punition pour cette fois, mais si je t'y reprends, tu verras ce qui t'attend....
Mes sa lui a tellement plus qu'il a recommencé tous les jours sous la douche.
Nico
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