Je suis une salope soumise, une bonne chienne qui ne prend son pied que dans des plans très hard avec des mâles vicieux, pervers et dominateur. Je n'ai pas de tabou, j'accepte tous les trips, même les jeux crades.
Je m'appelle Akim, j'ai 20 ans physiquement, je fais 1,80 mètre pour 70 kilos, j'ai une belle gueule et je suis un adepte du piercing et des tatouages. Je me suis fais poser un anneau en or sur le sein droit et, dernièrement, un autre sur la peau du prépuce.
Ceci afin de montrer que je suis vraiment une bonne pute à tout faire. Je suis tatoué sur les avant bras ainsi que sur les pectoraux.
Quand à mes cheveux, j'ai le crane entièrement rasé. Ce fut l'une des exigences de Da-jon : crane sans le moindre tif et fion sans le moindre poil. C'est ainsi qu'il me voulait.
J'ai connu Da-jon par l'intermédiaire des petites annonces d'une revue hard.
Ce médecin militaire de cinquante ans, à la retraite, recherchait un mec comme moi. J'avoue avoir toujours eu une attirance pour les hommes murs.
De plus, Da-jon avait un corps bien noire, il pesait 95 kilos pour 1,80 mètre, il possédait une bite de 20 par 5,
Et un corps velu : un look qui me convenait parfaitement. On s'est écrit, on s'est téléphoné... Da-jon aimait les mises en scènes, monter un scénario. Il s'est tout de suite comporté en mâle autoritaire avec moi.
Au téléphone, il me parlait durement, il m'insultait, m'humiliait comme s'il était devant moi. Il m'a interdit de le tutoyer. Je devais terminer mes phrases par :''oui mon capitaine'' ou'' non mon capitaine'', tandis qui lui me traitait de bleu bite, de trou du cul ou de sac à merde.
Il voulait une ''vrai pute'' pour un ''plan punition'' et camp disciplinaire''. Da-jon n'habitait pas a Paris mais à quelque kilomètre de Rouen, ce qui explique que je n'ai pu le rencontrer qu'un mois plus tard. Nous avions convenu que je passerai un week-end entier chez lui et que je ne lui refuserai rien.
Je me suis présenté à lui comme il me l'avait ordonné : crane rasé et trou du cul soigneusement épilé. Lui portait une longue blouse blanche. Il habitait une maison isolée entourée d'un immense jardin et il m'a immédiatement entraîné pour me faire subir une visite médicale.
Il me dicta des ordres brefs d'un ton sec : ''a poil, troufion, et fissa !'' Allez, retire-moi vite ce slip et écarte tes fesses pour l'inspection de la raie ! " " Je suis resté plusieurs minutes, debout devant lui, le corps penché vers l'avant, tenant mes fesses bien ouvertes pour lui exhiber ma rondelle. J'avais froid. Nous étions en novembre et son local n'était pas chauffé.
Malgré cela, je bandais comme un âne. Tout en matant ma raie, Da-jon me posait des questions.
Il voulait savoir si je me faisais enculer souvent, ce qui m'excitait le plus avec les mecs, combien mesurait la plus grosse pine que j'avais prises dans le fion...
D'un coup ? J'ai reçu un violent coup de ceinturon dans la raie du cul et j'ai entendu ? Dans mon dos : Ne bouge pas, pédé ! Reste comme ça, morue ! Sans broncher ''j'ai reçu un second coup, encore plus violent, et Da-jon a ajouté : '' je vais te montrer comment on les punit, ici, les grosses putes à mecs de ton espèce ! Les coups ont continué, bien ajustés dans la raie et sur mon trou du cul.
De sa voix sévère. Da-jon m'ordonna d'écarteler mes fesses tant que je pouvais. Je n'avais pas le droit de me plaindre, ni de gémir, sinon il frappait plus fort.
Par moment, le cuir venait claquer sur mes couilles, m'obligeant à serrer les dents pour ne pas crier de douleur. Dans mon dos, j'entendais :
-tiens, salope ! Pute ! Chienne ! Grosse pédale ! Je vais t'apprendre la discipline, sac à foutre.''
Un moment plus tard, Da-jon me faisait installer sur une table gynécologique, mes pieds dans les étriers. Ce fut une visite médicale très poussée durant laquelle il s'est amusé à m'écraser les burnes et la bite entre ses doigts, à tirer sur mes anneaux, à pincer et à travailler le bout de mes seins et à me doigter le cul puis à me goder.
Il m'ordonnait ensuite de lécher et de sucer tout ce qui m'était passé dans le rectum. Quand à moi, j'étais de plus en plus excité, excité par la personnalité de Da-jon, par son regard froid et sévère, par sa voix autoritaire et par sa voix autoritaire et par tout ce qu'il me faisait subir.
Soudain, il s'est écrier : ''garde à vous ! Exécution !'' je lai ai obéi et je me suis retrouvé face à lui, la bite raide et tendue comme un piquet. 'Je vois que tu bandes toujours, sale pédé ! on va voir si tu l'auras toujours raide, d'ici un petit moment'', m'a lancé Da-jon.Il m'a donné l'ordre de la suivre au jardin. Avant de sortir, il a retiré sa blouse et est apparu en treillis, rangers, gros ceinturon...
Je me suis retrouvé dehors, sous un temps maussade, complètement à poil. Il avait du pleuvoir la veille, et Da-jon m'a fait ramper, à plat ventre dans la boue. Jugeant que n'allait pas assez vite, il m'administrait des coups de rangers au cul pour me forcer à être plus rapide sur le parcours qu'il me faisait suivre : ''mieux que ça, pédale ! Crapahute, fils de pute !'' se servant d'une cravache d'équitation, il m'a obligé à m'appliquer puis à me redresser et à faire plusieurs fois le tour de sa piscine en courant, à ramper encore dans la boue, à revenir devant lui et à faire des pompes tout en léchant ses godasse, puis courir encore autour de la piscine...Il a corsé le jeu en me plantant un gode dans le cul. J'ai du ramper dans la boue avec et faire de nouvelle pompes.
Je n'avais plus de forces quand il a ouvert sa braguette, et là, je l'ai vu extraire sa grosse pine avec le gland rouge et décalotté. Elle était à demi bandée et Da-jon m'a obligé à respirer son odeur forte :'' sens-la bien ! Tu me la laveras tout à l'heure à la langue !''
Tout en promenant son gland sous mon nez, je le sentis forcer et, d'un coup, il m'a pissé dessus, inondant mon visage. ''Ouvre la bouche !'' m'a-t-il ordonné. J'ai du le pomper, lécher son gland, ses couilles, le prendre à fond dans ma bouche, lui bouffer le cul.
J'avais des courbatures sur tout le corps, les genoux meurtris. Mais je me suis remis à bander !
''Je vais te tirer dans la boue comme une grosse truie !!'', m'a annoncé Da-jon tout en me faisant mettre à quatre pattes dans une grosse flaque d'eau boueuse.
Avec sa cravache, il m'à forcé à creuser les reins et à cambrer les fesses, je n'ai eu droit à aucun lubrifiant sinon celui de la capote. Lui avait les genoux sur un endroit plus sec et il s'est mis à appuyer sur mon trou du cul avec son gland. Il s'est enfoncé par à-coup en m'insultant et en me promettant des moments encore plus pervers. Sa bite épaisse me brûlait en se frayant un passage entre mes fesses. Il m'ordonna de bien m'ouvrir sur sa pine, de ''pousser avec mon cul'' et, une fois planté jusqu'à la garde, il s'est mis à me défoncer de toutes ses forces.
En moins de deux heures, j'avais déjà vécu pas mal de choses avec lui mais c'était loin d'être fini. Durant tout ce week-end, j'ai subi d'autres dégueulasserie de la part de Da-jon : j'ai été offert à deux types, deux anciens militaires, eux aussi, j'ai passé la nuit dans une sorte de cachot, j'ai été attaché à de nombreuses reprises, puni corrigé, j'ai du encore ramper dans la boue, faire des pompes...
Et aujourd'hui, il m'arrive encore d'aller passer un week-end du coté de Rouen, rien que pour obéir et me soumettre à Da-jon en imaginant le même scénario.
Nico76500
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