Bi actif 2 | Histoire Gay

De Bi actif à la pute d'un maître chanteur -02

1ère séance bi actif à la pute d'un maitre chanteur

Je prends une voiture sans écriteau du boulot, je vais au lieu de rendez-vous direct sans me changer, car je suis juste en teaming. Arrivé sur place je me gare au point Gps envoyé, l'endroit est en campagne au bord d'une route assez passante, il y a déjà une voiture de garée mon maitre chanteur est déjà là. J'ouvre le coffre de la caisse je vire mes chooses mon fut mon teeshirt, je mets le débardeur, je regarde la route rien à l'horizon, je vire mon calbut et enfile mon short mets mes tennis et je ferme le coffre. De l'autre côté de la route il y a un chemin, je vois un mec il me siffle je traverse. En m'approchant je découvre que c'est l'un de mes voisins gays, on habite un petit hameau de 12 maisons, on se dit bonjour, mais sans plus. D'un coup j'ai le sang qui monte en moi, mais je ne dis rien il a l'air tellement sûr de lui. J'approche il me dit : " ne t'emballe pas tu sais qui je suis maintenant, mais ça ne change rien au DEAL, si tu ne me respectes pas ou si tu n'es plus OK avec le DEAL on arrête tout et je diffuse nos convers et tes photos de manière anonyme, car je te rappelle que c'était un faux profil. D'ailleurs j'ai supprimé notre conversation tu ne pourras pas prouver la fin de l'histoire, et pour mon couple t'inquiet si tu lui dis quoi que ce soit il voudra aussi te baiser et tu en sortiras encore plus perdant. " Je me reprends et je veux lui faire comprendre que je suis OK avec le DEAL " Bien maitre je suis à votre dispo ! "

Plus je serais coopératif plus vite ce sera terminé. " Bien, tiens le short retourne à ta caisse l'enfiler je te laisse deux minutes " je prends le short, c'est un truc de course à pied il est tellement petit que je ne sais même pas ce qu'il peut cacher, il doit faire 10 cm en hauteur. Je retraverse ouvre le coffre, un rapide coup d'oeil j'attends qu'une voiture passe et j'enlève le short et mets le shorty, je place bien mes couilles et ma teube pour que ça ne dépasse pas. Je vois le maitre sourire face au spectacle, je ferme mon coffre et retraverse. Arrivé devant le Maitre il me dit " pas de blabla inutile on est pas là pour faire cosette, tu obéis c'est tout ! Suis-moi ! ", il marche en suivant le chemin, il escalade un bloc de béton qui barre un chemin, nous arrivons dans un endroit que je ne connais pas, il y a une route goudronnée, l'endroit est complètement à l'abandon, il me dit que c'est une ancienne base militaire, il y a quelque ancien Hangard en béton, et une route de 2.5KM avec une entrée et une sortie à chaque extrémité. Il s'arrête et me dit " Tu vas faire 50 pompes, tu feras ça au début de chaque rendez-vous pour avoir les muscles bien saillants. ".

Je me mets direct en position pompe et je fais les 50 demandées, je m'applique bien à descendre bas, car il me regarde. Une fois terminé je me redresse. Il me dit " Maintenant, à poil et main derrière la tête, jambes légèrement écartées. " Je m'exécute, une fois les mains derrière la tête il commence à me tâter le torse les cuisses, les couilles, les bras, il me fait tirer la langue ouvrir la bouche il met des doigts dedans, je me laisse faire. Ensuite il passe à l'arrière me plote bien, le dos, les cuisses, le cul, il me demande de me pencher il joue avec mon trou, il enfonce un doigt pour vérifier la propreté, ça fait mal, car il n'a pas mis de lubrifiant. Avec lui je me sens vraiment comme si j'étais un bout de viande, je suis un objet, je n'ai pas de pensée, je suis juste son jouet... cette sensation est étrange, mais assez excitante même si j'ai vraiment peur de la suite. Il revient face à moi et me dis " tu planques tes affaires derrière ce buisson, tu vas courir jusqu'à un bâtiment tagué avec une porte en métal tu me diras ce qu'il y a tagué au-dessus de la porte, puis tu reviens en courant ici tu prendras ce chemine et entrera dans le blockhaus par le trou, une fois à l'intérieur tu te mets à quatre pattes cul cambré et tu attends. Attention pendant la course les mains au-dessus de la taille interdiction de cacher quoi que ce soit. Allez go t'y va ", il me matte partir le suis légèrement pour avoir plus de perspective. Je suis flippé de croiser quelqu'un, mais c'est excitant de courir à poil, je suis assez exhibe.

Au bous de 5 minutes je vois le bâtiment, je vois que le TAG c'est " VIVES JACKIE ET MICHEL ", sur le chemin qui continu au loin je vois deux personnes qui marche, elles sont trop loin pour voir que je suis à poil, je me grouille à revenir. Je flippe grave ce lieu n'est pas si tranquille que ça, mais bon j'obéis je reste au milieu de la route goudronnée et je ne me cache pas pour pas qu'il puisse me reprocher quoi que ce soit, mais en me rapprochant de l'entrée je me rend compte qu'il n'est plus sur la route, je suis les chemins qu'il m'a dits, je trouve l'entrée et rentre dans le bâtiment, il avait allumé une lampe torche je ne voyais pas grand-chose à part la serviette qu'il avait mise au sol, je me mets à 4 pattes et relève le cul comme il m'a demandé. " Le logo c'était VIVE JACKIE ET MICHEL " " Bien tu t'appliques, tu fais une bonne petite pute ! ", " tu vas lécher mes chaussures " je trouve ça deg, " allez petite pute fais ton travail " je me mets à lécher ses chaussures avec dégout, je touche la chaussure qu'avec le boude ma langue, je sens alors une main me plaquer contre la chaussure " lèche, salope " je me mets à bien lui lécher les pompes " Enlève mes chouses et mes chaussettes et lèches mes pieds " je m'exécute heureusement ce mec à le pied propre. Je soulève son pied lui lèche la plante, je lèche les doigts " suce-moi les doigts " je prends les doigts de pied en bouche et les suces. " Maintenant, redresse-toi il me met des bracelets en cuire sur les poignets et me les attaches dans le dos, je flippe grave il me met un collier et rejoint la chaine qui attaches les bracelets des poignets au collier, mes poignets sont contres mes omoplates je n'ai plus aucune défense.

C'est grave flippant, mais mon maitre chanteur maitrise bien, je sais qu'il va continuer à m'humilier et à abuser de moi, mais je sais qu'il ne me mettra pas en danger. "Je vais te faire travailler la douleur, si tu beugles de trop je te bâillonne, mais si je te bâillonne je serais plus sévère alors essaye de la fermer" il pose des pinces sur mes seins relier par une chaine. Ça fait super mal je couine un peu. Il me demande de me mettre à genou et de mettre la tête au sol, puis de cambrer mon cul. Il me dit qu'il va me donner 50 fessées, mais qu'il faut que je cambre le cul sinon la fessée ne sera pas décomptées et que je fasse le décompte. Waw il me fout des bonnes dérouillées, ce n'est pas de la fessée de PD ^^. J'essaye de me concentrer pour ne pas crier, il tape vraiment fort, arrivé à 15 j'ai la fesse en feu.

À la 19ème j'ai lâché un cri, il s'arrête 5 secondes pour me dire "celle-là elle ne compte pas tu reprends ton décompte à 19" je reprends à 19 sans protester, car je sais que je vais dérouiller encore plus. À 25 il change de fesse, oufff j'ai trouvé une technique quand il dépasse les 10 je serre bien les dents et ensuite je dis le décompte, ça m'évite de crier. Je ne sens plus les pinces tellement mon cul me fait mal. "Redresse ta tête reste accroupis, tu vas prendre ma queue en bouche et je vais te pisser, tu vas tout boire, et pas la peine de protester tu n'as pas le choix !" Degueux, je me mets accroupis il me pisse dans la bouche et je bois j'ai l'impression que c'est interminable, s'en suit une baise de ma gueule, il ne lésine pas sur les coups de reins et prend ma gorge jusqu'au fond. J'ai l'impression que je vais étouffer. Ses mains sont derrière ma tête, il jute reste dans ma couche et dit avale tout. J'obéis j'espère qu'il est sein. Il ressort sa queue il appuie pour faire sortir les dernières goutes. Bon au final la première séance, a été assez courte, me disais-je... il m'aida à me redresser. Puis à ma surprise il sortit un martinet, et m'a demandé de ne pas broncher il me tapa sur le torse le dos les cuisses, il a touché la chaine des pinces que j'avais sur les seins ce qui me procura une douleur intense. Je brayai il m'attrapa par les couilles tira dessus, me les claquas avec sa main.

Je criais et commençais à larmoyer. "Pitié je ne suis pas habitué ! Ça fait trop mal" il arrêta sorti un bâillon, me le mit. Puis recommença à me travailler les couilles, les baffes étaient plus fortes. Ensuite il me remit la tête au sol et me donna de bons coups de cravache sur le cul et le dos, je sentais les morsures ça faisait super mal. Il me releva enleva le bâillon me demanda d'ouvrir la gueule et me cracha dedans, je du avaler... Il fit ça deux trois fois de suite. Il retira les pinces sur mes seins j'étais vraiment endolori, puis il se mit à les travailler aux doigts. Il me refit mettre à genou la tête au sol, il mit du gel sur ses doigts je savais que j'allais avoir le droit....

La dose de gel n'était pas énorme il en avait juste mis sur ses doigts et pas sur mon cul. Il m'enfonça sans ménagement un doigt puis rapidement deux, j'étais serré et pas très à l'aise "il me dit respire bien fort ça te fera moins mal, t'inquiet mon but ce n'est pas que tu prennes ton pied !" et il se marra. Il enfonça un 3ème doigt puis commença à frotter ça bite, il mit un peu de gel dessus et enfonça sans ménagement, j'eus l'impression de me faire déchirer. Il me burinait j'avais envie de chialer, je faisais des grandes respi, je savais que je ne pouvais pas l'arrêter et que quoi que je dise ou fasse, il ne m'écouterait pas. "Putin il est trop bon ton trou, dire que je serais sans doute le seul à l'utiliser... essaye de serrer ton cul" j'essayais "bien c'est ça c'est kifant continu à serrer"
Je m'applique je me dis qu'il aura fini plus vite, mais ça dure je commence à fatiguer, ça fait de moins en moins mal, mais ça frotte un peu je ne dois pas avoir assez de lubrifiant. Il accélère comme un taré, mais ne jouit toujours pas. La sensation de douleur diminue et j'aime assez cette situation attaché et larvé à la merci de mon maitre chanteur. Après plusieurs accélérations je vois qu'il a comme des spasmes, il a juté dans mon cul.

Une fois terminé, il me détache, et me dit d'aller me rhabiller. Je sens mon cul et mon dos encore en feu. Je rechope mes fringues derrière le buisson, je vois que j'ai pas mal de traces sur le corps, il faudra que je trouve une excuse pour ne pas être à poil devant ma femme sur les prochains jours. Le maitre arrive avec son sac, il me dit passe devant on se recontacte par Watshap. J'ouvre le coffre me desap, me rhabille en tenu de boulot, le gars continu de me mater dans sa caisse. Je rentre chez moi, arrivé à la maison je contacte des potes pour organiser un paintball le samedi, ça me fera une excuse, d'ici là je vais trainer en marcel.