Nous étions 3 amis du lycée, Laurent, Christophe, et moi Jérôme. Christophe était devenu mon beau-frère en se mariant avec ma soeur Corinne.
Je vivais avec Sonia depuis 6 ans. Nous avions la trentaine et Laurent nous invita à son mariage tardif, il venait juste de se mettre en ménage. Pour une obscure raison, ni Sonia, ni Corinne ne purent venir et nous nous sommes retrouvés tous les 3, compagnons habituels de fêtes et de beuveries dans un château qui nous accueillait, on devait être une petite centaine. La cérémonie se déroula comme d'habitude, rires, chants, jeux, et beaucoup de verres. Il était 6H du matin et nous avons réussi à nous retrouver tous les 3 seuls, bien éméchés, plus ou moins conscients. J'ai demandé à Laurent s'il allait arriver à honorer sa femme. Il me répondit sans sourciller que l'alcool ne l'empêchait pas de bander et qu'il avait pris un peu de réserve en ne baisant pas depuis plus d'une quinzaine de jours. Et sur ces entrefaites, il nous laissa pour son devoir conjugal. Nous nous sommes retrouvés donc juste Christophe et moi. Et je me rendis compte que celui-ci était dans un drôle d'état. Il me demanda d'ailleurs de le raccompagner dans sa chambre qui était dans une des ailes du château. Il titubait un peu et ses propos n'étaient pas clairs. En fait je n'aimais pas être bourré et j'avais appris à gérer l'alcool et faire plus ou moins croire que j'en avais bu autant que les autres si bien que j'avais les idées plus claires que lui. Arrivés dans la chambre, il faisait encore chaud, la journée avait été très lourde et pesante. Mon pote se déshabilla et se mit en boxer. Il m'invita à faire de même au moment où j'allais lui dire que j'allais rejoindre ma chambre. Il insista un peu. Nous nous connaissions très bien, avions été à la piscine, à la mer ensemble, colocataires 2 ans. On s'était vus nus à de multiples reprises. Il avait toujours été le plus sportif de nous, bien fichu et musclé, il commençait à avoir un début de ventre, mais ça allait. Moi j'étais brun poilu, un peu comme Romain Duris et plus grand que lui. Je m'exécutai et il me proposa une vodka du minibar. Je lui posai la question si c'était raisonnable, il me proposa alors de regarder un porno, car il avait remarqué en s'installant dans la chambre le matin qu'il y avait plusieurs canaux dédiés. Je lui fis remarquer que s'il en commandait par vod ça se saurait. Ça le fit rire et cela nous fit retourner en arrière, car nous avions regardé nos premières VHS ensemble, la bite comprimée dans nos pantalons, car nous n'osions pas montrer notre excitation. Il lança un film où 2 femmes faisaient l'amour entre elles puis étaient rejointes par un homme. Il semblait captivé. Mon regard ripa vers son boxer. Il n'y avait aucun relief. Il me questionna dans un état vaseux si ça me faisait de l'effet. J'avais beaucoup baisé dans ma jeunesse et le porno m'excitait peu sauf que je fus troublé par l'apparition à l'image d'un autre homme. Il " attaqua " l'autre homme qui était avec une femme en se mettant derrière lui puis en le pénétrant. Je n'avais jamais été sensible au porno homo, mais je m'étais toujours dit que je serais passé à l'acte le cas échéant, si une situation avait viré et que j'avais trouvé un partenaire à mon goût. Christophe semblait avoir retrouvé de la vigueur, il regardait avec plus d'attention. Il alluma une cigarette et me fit signe de la partager avec lui sur le lit. Le film était passé à autre chose, il commença à me parler de sa vie intime, de sa sexualité avec sa femme - ma soeur - ce qui ne me gênait pas. Ils avaient eu une fille qui avait 5 ans et il voulait un autre enfant, mais son désir n'était pas partagé. Il me dit que la routine ne le dérangeait pas tant qu'il gardait des fantasmes. Je parlai un peu de ma situation et je compris qu'il me dirigeait pour savoir assez précisément comment je faisais l'amour. Il me demanda si je bandais bien, tout le long de mes rapports, comment je me retirais, etc. Mon regard buta alors sur son boxer qui cette fois-ci avait un relief conséquent. En plaisantant, je lui demandai si c'était mon récit ou le film. Il me répondit les 2. Nous étions allongés côte à côte. Il me dit qu'il ne s'endormait pas. Puis il me tourna le dos en me disant qu'il n'était pas satisfait de sa vie sexuelle. Je me rapprochai de lui pour guetter ses confidences, j'étais juste derrière, nous étions en cuillère. Cela me donnait chaud. Il se mit à marmonner des choses cohérentes ou non, successivement, avec une voix de plus en basse. À un moment je me rendis compte que j'avais ses fesses musclées contre mon sexe et je sentis une érection monter. L'alcool supplémentaire qu'il avait pris semblait lui avoir fait perdre conscience de la situation. Je sentis qu'il se touchait puis se mit à se branler doucement. Il n'y eut plus un mot entre nous. L'écran de la chaine porno éclairait suffisamment pour que je le voie s'astiquer. Et mon érection redoubla. Il bougeait un peu ce qui me fit me mouvoir à mon tour par de légers mouvements de bassin qui m'excitaient carrément. Mais j'étais en train de me masturber contre le dos de mon meilleur pote, accessoirement beau-frère. Il avait les yeux fermés. Je baissai mon boxer comme lui l'avait fait. Ma bite libérée se dirigea rapidement dans sa raie humide. Je ne me sentais plus maitre de la situation. L'envie me saisissait. J'étais en train de me dire que je profitais de lui, mais c'était trop bon. Puis à un moment mon sexe durcit encore quand je compris que j'étais contre son oeillet. Je remuais doucement et je sentais celui-ci s'ouvrir, millimètre par millimètre. Puis Christophe bougea et mon gland entier entra en lui. Je retins le mouvement pour ne pas aller plus loin. Je n'avais jamais sodomisé personne. Je décidai de continuer à aller en lui et je glissai encore et encore, lentement, pour me sentir avec délice à l'intérieur d'un fourreau soyeux et serré. Je sentais le sperme monter en moi et je n'avais plus prise. Jamais cela ne m'était pas arrivé sans faire au minimum quelques va et vient. Ce fut lui qui commença alors à s'activer, et en cadence, quelques instants plus tard, je sentis la boule chaude monter en moi et exploser comme j'avais je ne l'avais ressenti. Pour couronner le tout, Christophe tourna sa tête et m'offrit ses lèvres pour échanger un baiser passionné. Je ne savais plus où j'étais. Mon sexe ne ramollissait pas. Il finit par sortir, encore dur, et je constatai que Christophe dormait. Je portai alors ma main à son cul et je passai doucement mon doigt sur sa rosette encore un peu ouverte. Je le glissai un peu vers l'intérieur puis le montai à mon nez. Mon doigt avait l'odeur du sperme. J'avais fait l'amour complètement. Je quittai la chambre discrètement et je partis avant de revoir mon ami.
Il me fallut du temps pour le revoir. Et il se débrouilla pour que nous soyons seuls. Pour recommencer dit-il...
Vincent
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