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Enfin le PREP | 01

Très jeune, j’ai été attiré par les mecs, leurs corps fermes, et cette bosse, plus ou moins grosse qui se dessinait entre leur jambes. Je n’étais pas vraiment efféminé mais nettement moins viril que mes potes.

Les filles ne m’attiraient pas du tout, j’aimais ni leurs seins ni leur corps, mais en revanche, je me régalais de contempler les garçons dans les vestiaires, d’abord au collège et ensuite au lycée, discrètement bien sur…

Mais que c’est beau un homme… !!!

C’est un copain de terminale qui m’a enfin dépucelé et fait connaitre les plaisirs au masculin. Par chance, ou peut-être par malchance, il était doté d’un sexe énorme, mais vraiment énorme, même pour notre âge, et ses rares tentatives avec des filles s’étaient toutes soldées par un échec, fuyant dès lors qu’elles avaient pu voir la taille de « l’engin ».

J’avais pu voir ce morceau démesuré, dans les douches après les cours de sport, qui pendait, au repos, presque jusqu’à mi-cuisse, même s’il se cachait le plus souvent, comprenant l’appréhension des filles, mais qui me fascinait aussi, tout en éprouvant la même crainte face… A ça… !!!

Un soir où ses parents n’étaient pas là, il m’a invité chez lui, pour partager jeux et moments sympas. A l’époque, pas d’Internet, les consoles commençaient à peine à émerger, et des parties de cartes endiablées ont commencé. Je ne pouvais pas m’empêcher de mater cette énorme bosse dans son short, pourtant au repos, et bien sûr, il s’en est aperçu. Plus mes regards se portaient, sur son entrejambe, plus ça grossissait, prenant une ampleur… Inimaginable.

« Et si on continuait dans ma chambre, Marc… On sera plus à l’aise, mes parents ne rentreront que demain soir. »

« Bonne idée… !!! »

« On pourra faire un Monopoly, ou un Pouilleux … » avec un clin d’œil.

Un peu inquiet quand même, je ne savais pas trop ce qui allait se passer… J’en avais très envie, mais très peur à la fois, après tout, ce n’était qu’une soirée entre deux potes. Mais il était pas con le Nicolas, et il avait remarqué que je reluquais sa bite en lousdé dans les vestiaires… On a pris le jeu et on s’est installés sur son lit. Il faisait super chaud, et très vite, on s’est retrouvé, moi en slip genre Kangourou, et lui en caleçon ample de l’époque, d’où tout dépassait, dont une énorme touffe de poils pubiens, bien drue, qui continuait jusqu’à son nombril. On a même pas eu le temps d’ouvrir la boite, que déjà, il bandait comme un âne… Un truc de Ouf… !!!

« Tu vois le problème, Marc… Que veux-tu que je fasse avec ça… !!! »

« Mais, c’est énorme Nicolas… !!! »

« Oui, vraiment…  Tout le monde a peur quand je suis bandé à fond »

« Ma foi…  J’avoue, je comprends… Mais c’est superbe… !!! »

« Marc, je sais que tu as déjà sucé des bites, tu veux pas essayer avec la mienne ? »

Tout en me demandant comme il avait pu apprendre ça, je ne l’avais fait que 2 fois, j’ai approché ma main de cette énorme poutre, qui grossissait encore, dégageant une forte odeur de mâle en rut. Trop excité, mes lèvres se sont approchées du gland que j’ai pu prendre en bouche, un peu moins gros que le reste, et aussi, une petite partie, de sa longueur. C’était hallucinant, Je le suçais du mieux que je pouvais, montant et descendant sur ce Pal, caressant aussi ses grosses couilles hyper pleines, pendantes et velues, lorsqu’il a appuyé sur ma tête, pour déverser de longs jets de sperme sur ma langue. Nicolas avait enfin connu le plaisir, autrement qu’en se branlant. A 18 ans, on a des forces et sa barre conservait toute sa dureté. Il m’a très vite débarrassé de mon slip, s’intéressant à ma fente qu’il a commencé à caresser, puis à l’ouvrir d’un doigt tournant, pendant qu’il se vidait pour la deuxième fois dans ma bouche.

Je n’avais jamais encore été enculé, même si j’en avais très envie depuis longtemps, mais là, avec lui, l’opération me pensait impossible. Jamais mon trou vierge ne pourrait supporter un tel calibre, j’aurais été déchiré. Je n’ai jamais mesuré sa bite, mes multiples expériences par la suite m’ont permis d’en faire la comparaison avec un célèbre Rocco, bien connu, qu’il dépassait allègrement, atteignant sans doute les 30 cm et d’une épaisseur… Indescriptible.

Il s’est levé pour se rendre à la salle de bains, sans doute pour un nettoyage de son fabuleux organe. Ce n’était pas vraiment le cas, et il est revenu, triomphant, un tube entre les mains, de la Vaseline, le gel de l’époque, dont il m’a copieusement tartiné le trou, aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur.

« Non Nicolas…. N’y pense même pas… !!! » En écartant bien les cuisses toutefois pour le laisser faire, l’envie de connaitre le plaisir de me faire prendre était trop forte.

« Juste le bout… Pour savoir comment ça fait de pénétrer… !!! »

« OK, mais pas plus alors… !!! »

Il s’est approché de mon orifice, son sexe bien enduit ce cette crème magique, et a commencé à frotter son gland sur mon anus, qui s’ouvrait peu à peu. Il me voyait surexcité par ses mouvements, prêt à l’accueillir, et d’un coup, il a introduit une partie de son membre dans moi. J’avais l’impression d’être écartelé, ouvert en deux, hurlant ma douleur, couverte par ses mains, ce qui ne l’empêchait pas de poursuivre sa pénétration gigantesque. Lorsque j’ai pu supporter, on va dire la moitié, je pense, il a repris les va et viens, s’enfonçant davantage à chaque fois, jusqu’à exploser dans moi. Nicolas n’était plus puceau, et moi non plus… !!!

Tous les deux fous d’avoir connu ensemble le plaisir, nous avons remis ça plusieurs fois dans la nuit et dans la journée aussi, jusqu’au retour de ses parents. Il était infatigable, déversant en moi des quantités de sperme inimaginables, à croire que ses couilles étaient une véritable usine à foutre, en production continue.

Notre relation, plus que discrète a duré quelques années quand même. Nous n’étions pas vraiment amoureux l’un de l’autre, mais il me plaisait et je restais le seul qu’il pouvait baiser, m’ayant foré, en quelques semaines, une chatte qui parvenait à le supporter en totalité. Il était devenu un véritable obsédé sexuel et moi, totalement accro à sa bite qu’il m’enfournait à chaque fois qu’il en avait l’occasion me remplissant de son abondant et si suave nectar de mâle, chez lui, au Lycée, au Parc, et autre…

A l’époque, les protections actuelles n’avaient pas lieu d’être et il n’y avait pas la barrière du plastique entre son sceptre majestueux et mon réceptacle de son plaisir.

Il a malheureusement dû quitter la région, suite à une mutation de son père, mais nous sommes toujours restés en contact, actuellement encore, échangeant toujours une partie de nos vies, moi celle d’homo assumé, lui celle « d’hétéro » en manque perpétuel, son épouse se refusant très souvent à lui, je vous en laisse deviner la raison.

Les années ont passé, le préservatif devenant une condition sine qua non à tout rapport sexuel, barrière que je n’ai que très rarement franchie, sauf tests récents de part et d’autre… Et encore… !!!

Mais l’image de Nicolas se déversant en moi avec son énorme bite et ses couilles toujours archi pleines me taraudait, pour moi, le summum de l’acte sexuel était atteint lorsque le mâle vidait toute sa semence au fond de moi… C’est tellement beau un homme qui jouit avec force pour féconder la femelle au plus profond de son orifice, de contempler la crispation sur son visage viril et ses mains qui tirent sur les hanches pour que son membre atteigne à grands coups, sa jouissance. Instinct animal commandé par le cerveau reptilien.

Je vais passer sur les nombreuses aventures que j’ai pu avoir pendant toutes ces années, sans jamais atteindre le plaisir extrême, la fécondation.

Evidemment, ayant été dépucelé par un sexe hors normes, mes goûts me portaient davantage vers des calibres plus que conséquents, bien souvent noirs et arabes.

Un soir, je suis allé au Dépôt, à Paris, davantage pour satisfaire mon côté voyeur que pour me faire baiser, l’endroit était réputé pour être plutôt banché Bareback. J’ai maté un mec, un peu plus jeune que moi, disons, la quarantaine avancée, en train de se faire défoncer à cru par je ne sais combien de bites, toutes plus grosses les unes que les autres, même en double aussi, se faisant remplir à chaque fois.

Je me doutais qu’il devait être bien plombé, et qu’il s’en foutait, mais quand même… !!!

Une heure après, j’étais au bar, me rafraîchissant d’un thé glacé, lorsque je l’ai vu arriver et occuper le siège à côté de moi, rincé par une bonne douche.

« Ça t’a plu de me voir me faire démonter comme ça, ne me dis pas le contraire, je t’ai vu mater. »

« J’avoue, j’ai adoré, moi aussi j’aime trop sentir le sperme me remplir, mais c’est tellement risqué… »

« Je peux te poser une question ? » Avec un regard rieur…

« Tu es séronégatif ? »

« Oui, je vérifie ça régulièrement, pourquoi ? »

« Et tu adores te faire remplir au jus… !!! »

Sans trop savoir pourquoi, je lui ai raconté mon histoire avec Nicolas, son énorme membre, ses éjacs phénoménales dont il m’abreuvait, tant en bouche, mais surtout au fond de ma chatte, ce qu’il préférait et qui me manquait tant. Après tout, je ne connaissais pas du tout ce mec, et ça me faisait du bien de vider ce que j’avais sur le cœur depuis si longtemps, à un parfait inconnu, sachant qu’il l’y aurait aucune suite.

Il est parti d’un énorme éclat de rire, tout en me prenant la main…

« Tu es con mec, ou quoi ? »

« Ma foi, je dois l’être… Excuse-moi de t’avoir raconté cette histoire… Au fait, moi, c’est Marc, et toi ? »

« Moi c’est Daniel… Et tu penses que je me fais remplir autant sans risques ? »

« Oui, je suis franc, c’est ce que je pense vraiment, j’adore le foutre, mais pas au prix de ma vie. »

« Dis-moi Marc, tu connais pas le PREP ? »

« Non, c’est quoi ce truc ? » C’est vrai que c’était encore très peu répandu à l’époque.

Il m’a expliqué longuement ce qu’était ce traitement, délivré qu’à l’hôpital pour le moment, et réservé aux personnes séronégatives qui s’adonnaient à des rapports multiples, sans protection. Il était très efficace contre la contamination au VIH, peu contraignant, sans effets secondaires, avec juste 2 comprimés à prendre 48 heures au préalable à toute relation non protégée, et à continuer chaque jour, si les rapports étaient quotidiens. Le risque était quasi nul, même si un séropositif te baisait, le PREP faisait barrière et empêchait toute contamination.

« Tu en penses quoi ? Ça te branche ? Tu pourrais en profiter un max… !!! »

« C’est sur que ça me branche, mais comment faire ? »

« Si tu es d’accord, je prends un RV pour toi avec mon médecin à l’hosto et je vais avec toi dès que j’ai une date. »

« Suis partant à fond….  OK… !!! »

« Par contre, je suis pas sûr que tout soit bien remboursé, c’est assez cher, tu as une bonne mutuelle ? »

« T’inquiète pas pour ça Daniel »

Deux jours après, il m’a appelé. On avait un RV la semaine prochaine avec son toubib. Il fallait juste que je fasse une nouvelle sérologie HIV avant d’y aller.

Le PREP… Enfin ce qui avait pouvoir me redonner le plaisir total qui me manquait tant !!!

CalinChaud

tarbespouzac06@live.fr

Suite de l'histoire

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