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Chapitre 8 |
Sa Famille
Les deux jours qui ont suivis étaient merveilleux… Promenades dans les calanques, ballades en mer, marché à Cassis, petit apéro au soleil d’une terrasse de café et j’en passe. Son formidable appétit sexuel s’était quelque peu assagi, restant toutefois intense, moins fréquent mais toujours, tout aussi empreint de sensualité, voire davantage. Son manque était comblé, et surtout, il se sentait rassuré, sachant que j’étais toujours disponible pour ses envies.
Le vendredi matin, alors qu’il m’apportait mon café au lit, je me suis jeté dans ses bras en pleurant comme une fontaine. Il a tout fait pour me calmer, des bisous, des caresses, me serrant fort contre lui, sans comprendre vraiment ce qu’il se passait.
« On doit rentrer à Nice demain…. Et je veux pas… »
« Tu sais, ma boite est fermée encore pour une semaine, et mon pote me laissera le cabanon autant que je le voudrais. »
« Très bien…. Je me prépare et tu m’emmènes à Cassis de suite… Ok ? »
J’adorais mes études et j’avais pris quand même quelques livres universitaires avec moi, d’Anglais et d’Allemand, avec mes notes de cours. Je consacrais quand même une ou deux heures par jour à mes révisions, ce que Claude respectait totalement, il trouvait toujours de quoi s’occuper pendant mes moments studieux.
D’une cabine téléphonique, j’avais quand même appelé mes parents une ou deux fois, pendant notre séjour, sans évoquer le sujet de Mamie, bien sûr, mais en les rassurant quant au bon déroulé de mes vacances. D’un pas déterminé, carte en main et insérée, j’ai composé leur numéro.
« Bonjour Maman. »
« Bonjour mon Chéri, tu nous reviens demain alors ? Tout s’est bien passé ? »
« Tellement bien, que nous restons une semaine de plus. »
« Mais…. Mais, c’était pas prévu comme ça, Marc, tu devais rentrer demain… !!! »
« Oui, et alors…. J’ai décidé de prolonger mes vacances jusqu’au bout. »
« Et tes révisions ? Ton travail ? La Fac… »
« J’ai tout pris avec moi, Maman, et je bosse tous les jours. »
« Non Marc… Tu rentres demain, c’est clair ? »
« Non… Ce qui est clair, c’est que j’ai 19 ans, que j’ai d’excellents résultats universitaires…et surtout… Surtout Maman…. Fais-toi à l’idée que tu n’as plus à m’imposer quoi que ce soit… !!! Est-ce que Moi, je suis clair maintenant… ??? »
« Non… Tu rentres demain… ok ? »
« Ah oui ? Tu vas m’envoyer les flics ? Je suis majeur et je passe des vacances avec mon oncle, ton frère, je te le rappelle… !!! »
« Mais… »
« Au revoir Maman, à la semaine prochaine. » Et je lui ai raccroché au nez.
Claude était à mes côtés dans cet endroit exigu, Il avait pu entendre, non seulement mes paroles, mais aussi plus difficilement les réponses de ma mère. Il m’a regardé d’un air contrit, affligé.
« Si je comprends bien, je dois te supporter encore une semaine de plus… !!! »
« Et oui… !!! Mais si ça te convient pas, tu peux m’envoyer chez Mamie… !!! »
Ce n’était évidemment qu’un jeu, l’énorme barre incrustée entre mes fesses pendant ma conversation avec ma mère, me montrait que ma décision, comment dire, ne le gênait pas vraiment. Avec juste mes simples caresses discrètes mais bien appuyées sur son membre, il a éjaculé dans son short. La cabine puait le foutre, et heureusement, les Kleenex dans ma poche ont partiellement épongé les dégâts.
Nous nous sommes installés sur la terrasse d’un café, face à la mer pour prendre un vrai petit déjeuner, Claude filant tout d’abord aux toilettes pour se nettoyer. D’un difficile commun accord, que je lui avais néanmoins imposé, j’avais refusé qu’il porte à nouveau cette horrible coque pendant nos vacances. Je voulais qu’il se sente libre, qu’il arrête d’être complexé et compressé par ce « truc immonde». Mais aussi, j’étais hyper fier de contempler son énorme membre évoluer librement, même si cela devait en choquer certains, hommes ou femmes, et sans doute… très envieux et jaloux.
Quelle merveilleuse époque où le portable n’existait pas, où ma mère n’avait aucun moyen de me joindre pour me harceler, sauf à venir sur place, ce qu’elle n’oserait jamais faire. Et si tel devait être le cas, je lui préparerais une surprise digne d’un chef, du genre de me régaler, devant ses yeux, d’une énorme barre de chocolat de 28 cm.
Nous en avions parlé Claude et moi la veille. Cette situation rocambolesque finalement, présentait par plusieurs côtés, des solutions très simples. Il y a quelques mois, aucun de nous ne connaissait nos liens familiaux, ou plutôt, comme s’ils étaient inexistants, nos liens de sang. Alors, tout bien réfléchi, c’était Leur problème… Pas le nôtre. Que Camille soit ma mère et la demi-sœur de Claude, que Juliette soit à la fois ma grand-mère et la mère de mon homme adoré, finalement, c’était à eux à faire leur choix, plus à nous… Il était fait depuis dès le début.
« Chéri d’Amour… J’ai mon cousin à Avignon, le fils du frère de mon père, et nous sommes très proches tous les deux, tu me permets de l’inviter ? »
« Je serais très fier et heureux de connaitre ta famille aussi, donc avec grand plaisir »
« Je crois qu’il en serait très content… »
« D’accord… Et je dois être quoi ? Un ami ? Ton neveu ? Ton amant ? »
« Les deux… Il sait pour nous… Il est comme mon frère et je n’ai pas pu m’empêcher de lui en parler »
« Bien…. Autant le savoir de suite. »
« Il est bi, et c’est avec lui que j’ai connu mes premiers plaisirs avec un homme. »
« Au moins la situation sera claire et je ne me sentirais pas mal à l’aise. »
Claude a appelé son cousin, et il devait nous rejoindre le lendemain. J’étais quand même super content de connaitre un membre de sa famille, qu’il m’offre cette confiance, rassuré du fait que Serge, son cousin savait que j’étais à la fois son neveu et son amant. Je pouvais alors faire sa connaissance sans aucune crainte, en restant naturel. Menu enfin élaboré, poisson bien sûr, courses effectuées, moi au fourneaux, vous saviez déjà que j’adorais cuisiner, Claude est parti chercher Serge à la gare de Cassis.
Une petite heure après, il est revenu avec son cousin, Black de chez Black, évidemment, sa mère était ivoirienne aussi, arborant un sourire sublime et une bouteille de Domaine d’Ott à la main. Je l’ai posée sur la table, le temps de lui faire deux bisous sonores sur les joues et je les ai laissé parler tous les deux. Claude, me voyant affairé en cuisine, avait préparé la table. Nous avons déjeuné d’une manière plus que conviviale, en famille. Serge était super beau mec, quand même pas autant que le mien, hyper agréable, et ce que je pouvais voir pendre entre ses cuisses, n’avait pas grand-chose à envier à mon homme. Si j’adorais mon mec, je pouvais quand même me satisfaire du plaisir des yeux.
Mon homme, en grand stratège qu’il était, avait obtenu du pêcheur de nous laisser une barque à notre disposition, dans la crique face au cabanon, charge à nous de lui donner nos prises, assez abondantes grâce au savoir-faire de Claude, en conservant toutefois, notre consommation personnelle. Et c’est après ce savoureux repas que nous avons effectué un promenade en mer, grand plaisir pour Serge. Evidemment, la palangrotte avait été jetée, ramenant quelques beaux maquereaux qu’il me tardait de mettre au grill.
Je voyais que Serge n’avait pas trop envie de rentrer à Avignon, qu’il aurait aimé poursuivre la soirée avec nous, voire le Weekend. Il avait demandé à quelle heure était le dernier train pour le retour, et son cousin lui avait répondu, avec un clin d’œil, qu’il était un peu tard, mais qu’il pouvait rester là pour celui du lendemain, avec un regard sur moi pour obtenir mon assentiment. Nous avons dégusté alors les produits de notre pêche, apprécié la soirée sur la terrasse, quand a surgi le problème du couchage. Le cabanon n’était quand même pas très grand, le canapé, loin d’être confortable pour y dormir.
« Chéri, notre lit est assez grand, non ? Nous pouvons le partager avec Serge pour cette nuit ? »
« Euh… oui…. Pourquoi pas… !!! »
« Tu vas te serrer un peu entre nous deux… »
Mon envie de faire l’amour, de me sentir prise par son pieu puissant était exacerbée, mais bon… Je m’en suis fait raison et je savais qu’il n’allait certainement pas tarder à reprendre ses droits de mâle dominant au départ de Serge. Claude s’est allongé en premier, revêtu d’un simple caleçon où tout débordait, poils et bite, exhibant son corps velu et odorant. Je l’ai rejoint, avec un petit slip et un T-shirt qu’il m’a très vite enlevé, Serge se déshabillant pendant ce temps, pour partager notre couche, en simple boxer, mais hyper moule bite. Certes, ce n’était pas mon Claude que je vénérais, mais je dois avouer qu’il était quand même… super beau mec. Moins poilu que son cousin, avec un corps presqu’aussi ferme, un paquet bien volumineux entre ses cuisses, dont la barre me paraissait, à demi-molle. Je n’arrivais pas à penser comment j’allais passer la nuit, sagement, entre ces deux monstres de virilité.
Au Lycée, Christian, obsédé par le sexe, m’avait quelquefois pris à deux, avec un de ses potes, tout aussi chaud, tout aussi membré que lui, et je l’avais avoué à Claude. Mais là, la situation, n’était pas la même, et j’ai commencé à somnoler, lové contre le corps viril de mon Chéri, dont le désir se faisait de plus en plus présent. Il avait baissé mon slip, son sexe bandé à mort cherchait mon orifice, dans lequel il s’est introduit d’un coup. J’étais défoncé par le pieu de mon mec, alors que son cousin « dormait » à quelques centimètres de nous. Je gémissais sous la puissance de ses assauts, lorsque j’ai senti une forte odeur de sexe, et un gland qui frottait mes lèvres.
« Suce-le mon Amour…. C’est mon cousin et il en a trop envie… »
« Mais, je suis à toi et rien qu’à toi… »
« Je le sais mon Ange, tu es à moi… Mais donne-lui du plaisir aussi, il en a trop envie »
Alors, j’ai ouvert ma bouche pour engloutir ce deuxième pieu d’ébène. Pendant toute la nuit, chacun d’eux a pris possession de mes orifices, à plusieurs reprises, aussi bien par Claude que par Serge. Je me retrouvais dans un état second tellement ma jouissance était forte, recevant tour à tour leur nectar dans ma bouche et dans ma chatte. Si l’appétit de Claude s’était un peu assagi pendant ces jours de vacances, tel n’était pas le cas de Serge qui pouvait s’enfoncer dans moi facilement, le passage avait été foré par son cousin depuis plusieurs semaines déjà. Cette « orgie » a duré toute la nuit, ils ont même tenté une double pénétration que je n’ai pas pu supporter, et au petit matin, j’ai pu enfin m’endormir, couvert et rempli de ce magnifique nectar de l’homme, qu’ils produisaient sans que la source ne semble se tarir.
Dans un demi-sommeil, j’ai entendu la 4L partir et je me suis laissé aller au repos, sans même prendre une douche, désireux de conserver leurs odeurs et leur suave substance sur moi.
CalinChaud
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