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Chapitre 6
Le lundi matin, je me réveille en retard. J'ai bien dormi mais je n'ai pas entendu mon réveil ... Je m'habille rapidement et descend et croise ma mère qui prend son café.
"Marc a du partir tôt aujourd'hui mais il m'a dit qu'il devrait te parler quand il rentrerai. Il avait l'air plutôt énervé. Je ne sais pas ce que tu as fait mais ça l'a vraiment mis hors de ses gonds."
J'acquiesce et me dépêche de partir à présent vraiment en retard.
Je commence vraiment à stresser. A il trouver le caleçon ? Si oui, comment va il réagir ?
Je passe ma journée à redouter le moment de rentrer à la maison et je ne prête pas attention à mes cours. Pour éviter le moment fatidique, je reste même a la bibliothèque après mes cours, sous prétexte de travail en retard.
Il est 19 h 30 quand je rentre à la maison et je suis vraiment anxieux à présent.
Je croise ma mère qui dit que Marc m'attend dans son bureau. Tout tremblant, je toque à la porte et j'entends "Entrez"
J'ouvre la porte et vois mon beau père qui travaille à son bureau le dos tourné à la porte. Je patiente ainsi 15 bonnes minutes avant qu'il ne se retourne et ne prenne à deux doigts le caleçon dans lequel je m'étais branlé la veille.
" - Qu'est ce que c'est que ça ?
- Ben c'est ton caleçon, j'imagine que tu as du juter dedans.
- Nous savons très bien tout les deux que je n'ai pas besoin de juter dans mon caleçon alors je me répète, qu'est ce que c'est que ça ?
- Je ... Je suis désolé, je vous ait entendu avec maman hier et ça m'a excité et quand vous êtes parti au restaurant, j'ai vu ton caleçon et il sentait tellement bon que je n'ai pas me retenir de juter dedans.
- Donc ce que tu es en train de me dire, c'est que tu es entré dans ma chambre sans permission, tu as pris une de mes affaires, toujours sans permission, et que tu as juté dedans comme un vulgaire animal. C'est bien ça ?
- Non, enfin ça ne s'est pas réellement passé comme ça ... enfin ... Oui.
- Tu sais, j'ai longtemps pensé à une punition adéquate. J'ai pensé à la fessée mais, tu es tellement excité quand je te touche que tu risquerait d'y prendre du plaisir. J'ai pensé que seul un chien pourrait faire ça alors j'ai décidé de traiter comme tel. Tu es privé d'éjaculation pendant deux semaines. Et pour être sûr que tu ne te masturbera pas, j'ai pensé à quelque chose. Déshabille toi. Maintenant."
Je m'exécute et il sort un petit objet de sa poche. Ce sont des fils de fer entremêlés mais je ne saurai dire à quoi ça sert. Il se lève et insère cet étrange objet sur ma bite. Lorsqu'il clipse le cadenas, j'ai soudain un mauvais pressentiment.
" - Qu'est ce que c'est ?
- C'est une cage de chasteté. Ça empêche aux délinquants dans ton genre de bander. Regarde je te montre."
Il rapproche alors ses lèvres des miennes et m'embrasse. Je commence alors à être excité et me dis que cette cage, ce n'est pas si dérangeant. Mais alors que je commence à bander, la cage m'empêche de bander et ça me fait mal. Je ne peux m'empêcher de grimacer.
"Tu vois le principe ? Allez maintenant rhabille toi et sort."
Je m'exécute et sort de la pièce. La cage sur ma bite provoque une sensation vraiment étrange mais pour l'instant ça va. Je me suis branlé hier, je vais bien pouvoir tenir deux semaines ...
Si seulement j'avais su ...
Dès le soir, mon calvaire commença. Après le repas, je me suis couché tôt pour être en forme pour le lendemain. Cependant aussitôt que j'ai fermé les yeux, j'entends mes parents baiser dans la chambre d'à côté. Mais là c'est encore plus fort que d'habitude. Ils ont du oublier de fermer la porte. Je me lève alors pour fermer leur porte et vois Marc qui baise ma mère les yeux bandés en levrette dans ma direction et sur la porte un mot est marqué " Tu peux regarder si tu veux "
Marc me souris. Alors que je m'apprête à fermer la porte, je vois Marc qui fait non de la tête toujours en souriant. Je quitte donc leur chambre et me couche excité par leurs ébats qui ne semblent pas s'arrêter.
Les deux semaines ont été je pense les pires de ma vie. Marc semblait avoir convaincu ma mère de se laisser bander les yeux ce qui lui permettait de la baiser n'importe où, surtout si j'étais là. Le pire a été la veille d'un important examen où Marc a baisé contre ma porte. Non seulement j'entendais leurs bruits mais aussi la porte portée par leurs ébats. Ces deux semaines là, j'ai été excité à peu près tout le temps. Surtout que Marc, en plus de baiser ma mère, me demandais de le sucer. Pendant quelques minutes, il me baisais la bouche et ne pouvant pas bander, je subissais sa bite.
Finalement le jour de la délivrance est arrivé. J'ai attendu que ma mère soit parti pour une balade avec une de ces amies pour aller toquer à la porte de la chambre de Marc.
"Entrez"
Il était en train de lire, sur son lit et portait ses lunettes, dont il n'avait besoin que pour lire. Je le trouvais encore plus beau.
" - Qu'est ce que tu veux ?
- Ça y est, je crois que ça fait deux semaines ...
- Tu crois ou tu es sûr ?
- Je suis sûr. J'ai compté chaque jour ces deux dernières semaines.
- Et donc ?
- Je suis désolé Marc. Je ne me branlerai plus jamais dans tes caleçons."
Il sort alors une clé de sa table de nuit et me demanda d'approcher. Je monte alors sur le lit et me place à côté de lui. Il enfonce alors la clé et m'enlève la cage. À peine à il enlevé la cage que je me mis à bander. Pour la première fois, il met ma queue dans sa bouche et je ne peux m'empêcher de jouir. Il crache sur le matelas.
"Dis donc, c'est la première fois que je fais jouir quelq'un comme ça aussi vite"
Toujours aussi excité, je descends son pantalon et commence à lui sucer la bite comme affamé par ces deux semaines d'abstinence. Il me laisse faire et me regarde toujours allongé. C'est tellement bon, je m'applique sur le gland puis prends sa bite dans ma bouche et pour la première fois, j'arrive à l'entrer entièrement dans ma bouche. Je l'entends pousser un gémissement. Après 5 bonnes minutes, je lui demande si je peux m'asseoir sur sa bite. Il accepte, je me déshabille et me place sur sa bite. Elle rentre facilement et je commence des mouvements de vas et viens de plus en plus rapides mais je sens qu'il veut prendre le relais. Il m'attrape et me retourne. Je suis alors sur le dos et il m'enfonce d'un coup sa bite. Je suis aux anges. Il m'embrasse et me dis que ça lui avait manqué de me baiser comme ça. A nouveau je jouis mais reste complètement excité.
"Vas y plus fort papa, s'il te plaît"
Il commence alors à me baiser sauvagement pendant 15 bonnes minutes. Il jouit alors enfin en moi et je le suis en explosant de plaisir. Le lit est alors complètement recouvert de sperme et de transpiration. On continue à s'embrasser puis il me dis de prendre un bain car j'en ai bien besoin.
Je quitte la chambre et me lance un bain. Quand ma mère rentra, un peu plus tard, je l'entends dire "Oh mon dieu, tu as changé les draps, quel amour " et je ne peux m'empêcher de sourire.
A suivre
Dites moi ce que vous en avez pensé ...
Antoine
antoine.mia78@gmail.com
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