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Chapitre 7
Mais entre toutes ces baises intenses, il n'en était pas moins que mes examens approchaient. Je devenais de plus en plus stressé et passais mes journées à travailler. Pour la première fois depuis que j'habitais chez Marc, je me consacrais uniquement sur mon travail et j'essayais d'éviter Marc dans la mesure du possible pour rester le plus concentré possible. Même si il ne le montrait pas, je savais que ça l'agacait. Il avait pris l'habitude de taper sur la table à intervalles réguliers ce qui avait pour conséquence de me stresser encore plus. Il était vraiment excité en permanence et me le faisait sentir. Régulièrement, je trouvais des capotes remplies dans la poubelle de mon bureau. Je n'y prêtait pas attention mais ça avait tendance à me tendre également. Je ne me branlais plus, n'ayant absolument pas la tête à ça mais mon corps était bouillant et me le faisait sentir. Une nuit j'ai failli craquer et demander à Marc de venir dans mon chambre mais j'ai réussi à me retenir.
Mes épreuves étaient très fatigantes et exigeantes mais je suis finalement arrivé au bout. J'étais maintenant en vacances pour un mois avant la reprise du prochain semestre.
Le dernière épreuve ayant leur un lundi, j'allais avoir la maison pour moi tout seul la semaine car ma mère partait pour une formation et que Marc m'avait dit que la semaine allait être chargée.
Profitant de la liberté retrouvée, je ne me suis réveillé qu'à 15h le mardi. Je vois que j'ai un message de Marc qui ne date que de quelques minutes et qui me demande si je peux préparer du café car il va venir travailler avec son collègue Stéphane le reste de l'après-midi à la maison. J'ai déjà croisé ce fameux collègue et c'est comme mon beau-père une montagne de muscle. Il a quarante ans passés et entretient une belle barbe. Il est très beau mais sans comparaison avec Marc.
Je descends donc préparer du café encore en t-shirt et en caleçon, ma tenue préférée pour dormir. Marc et Stéphane arrivent et je vais pour remonter mais Marc me demande de leur servir le café. Je sers d'abord Stéphane et lorsque je me retourne pour servir Marc, j'entends un cri !
"- Mais putain ! tu peux pas faire attention ! Tu m'as mis du café partout !
En effet, la tasse de café s'est renversé sur la chemise de Stéphane.
- Mais ... enfin je ... ce ne peux pas être moi, enfin ... désolé."
Je me dépêche de prendre une serviette pour éponger le café et commença à déboutonner sa chemise.
" Je suis sincèrement désolé, je vais mettre tout de suite ta chemise à laver et t'apporter une des chemises de Marc le temps que la tienne soit lavée."
Après avoir déboutonné le dernier bouton, je reste un peu ébahi devant les pecs de Stéphane. Ils sont encore plus gros que ceux de Marc mais lui a le torse totalement imberbe. J'ai l'impression que cela fait ressortir encore plus ses abdos. J'ai l'impression de le voir sourire mais je me dépêche de prendre sa chemise et de la mettre dans le lave-linge. Mais comment ai je pu lui tâcher sa chemise ? Je n'ai pas touché sa tasse ... Bref, je vais ensuite voir si il reste à Marc des chemises propres mais toutes sont à laver.
"- Je suis désolé mais toutes les chemises de marque sont à laver. Tu vas devoir attendre un peu comme ça.
- Ce n'est pas très grave, me répond Stéphane.
- Si c'est grave ! dis Marc. Tu viens de bousiller notre après-midi de travail. Tu mérites une punition ! Stéphane, as-tu une idée ?
- Je pense qu'une fessée serait très efficace ... demande il à Marc. Qu'en penses-tu ?
- C'est toi qui voit. J'aurais été plus sévère mais c'est ta chemise qui est à laver."
Stéphane se lève de la table à manger et va s'asseoir dans un fauteuil dans le salon.
"- Approche. Marc a raison, tu as mal avait et plus tu nies la faute. Mais ce n'est pas grave, je vais te pardonner ... Mais avant ça, tu mérites d'être corrigé pour que cela ne se reproduise plus d'accord ?
Je sentais venant de lui la même aura de mâle alpha que venant de Marc.
- Je ... Oui c'est compris.
- Bien. Maintenant enlève ton caleçon et allongé toi sur mes genoux. Je veux que tu comptes les fessés. Tu as compris ?
- Oui.
- Oui qui ?
- Oui Stéphane.
- Non, quand on est puni, on dit oui monsieur. Est ce clair ?
- Oui monsieur."
Il me donne une première fessé. Il a claqué fort sur ma fesse gauche et j'ai suis un peu sonné.
- Tu ne comptes pas ? Bon alors je recommence ...
Il me tappe une seconde fois sur la fesse gauche, c'est fois je ne peux m'empêcher de hurler.
- Un monsieur !
- C'est bien, continue.
Clac !
- Deux monsieur !
Clac !
- Trois monsieur !
Clac !
- Quatre monsieur !
Clac !
- Cinq monsieur !
Je sens que ses fessées sont se plus en plus caressantes et s'approche de plus en plus de mon trou. Quand je dis finalement vingts monsieur, il est en train de me doigter. Je bande au maximum et ne cesse de me triturer pour pouvoir me toucher la bite.
"- Eh bien, tu m'avais dit que c'était une vraie salope ta fille mais elle est encore mieux en vrai !
- N'est ce pas ?"
Je n'avais pas vu mais Marc est à présent devant moi la bite sortie. Sans ménagement, il enfonce sa bite dans ma bouche.
"Putain ça m'avait manqué !"
Il me baise littéralement la bouche et ça me plaît tellement. Mais je sens que Stéphane en a marre de me doigter et me retourne pour que je vienne le sucer. Sa bite est légèrement plus petite et plus fine que celle de Marc et je parviens à l'enfoncer dans ma bouche en entier dès le début. Il laisse échapper un soupir de soulagement. De son côté Marc enfonce sa bite dans cul bien ouvert et commence le ramonage. Je peine à garder le chibre de Stéphane dans la bouche pendant que Marc me bourrine le cul. Marc finit par juter dans mon cul bien plus que d'habitude.
- A mon tour maintenant, dit Stéphane et me rapproche sur ses genoux pour que je vienne m'empaler sur son chibre.
- Non, toi tu mets une capote !
- J'espérais que tu allais oublier ...
Il déroule une capote sur sa bite qui n'a pas de mal à rentrer avec le jus de Marc comme lubrifiant. Ses grandes mains me caressent le torse, me dis pendant qu'il me pénètre le cul. Il allais m'embrasser quand Marc me détourne la tête pour que je vienne essuyer son chibre plein de jus. Je jouis de larges quantités de jus sur le torse de Stéphane pendant que lui remplit la capote. Je prends plaisir à essuyer tout le jus sur son torse.
- La prochaine fois, tu feras plus attention avec le café ...
J'attends votre avis avec impatiente
Antoine
antoine.mia78@gmail.com
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