Je m'appelle Valentin, surnom Val, classique. 23 ans, 1m83, 85 kilos, quelques muscles dessinés, châtain aux yeux verts.
Je prépare mon sac pour aller passer l'après midi sur la plage naturiste à deux minutes de chez moi. C'est rare qu'il y ait du monde alors j'en profite pour me mettre à nu sans les regards indiscrets. C'est encore très récent pour moi et je reste tout de même assez pudique, bien que j'essaie de me libérer un peu de ça. On est en juin 2019, les grands départs en vacance ne sont pas encore lancés alors je profite de la tranquillité du coin.
Je met mon sac sur l'épaule et je descend chercher mon vélo.
En moins de cinq minutes j'arrive à la plage. Apparemment il n'y a personne. Je suis un peu déçu au fond de moi même, l'idée de pouvoir mater des mecs librement me plaît bien. Je descend les quelques marches qui mènent au sable chaud. Le soleil est haut dans le ciel et la chaleur est assomante. Mais je dois prendre des couleurs. Je fais quelques pas vers un renfoncement dans la côte, un de mes endroits favoris. Comme une plage secrète, à l'abri du monde. En m'approchant, j'aperçois une serviette posée au sol. Je ne suis pas seul.
Allongé dessus, un black d'une trentaine d'années se repose. Il a l'air grand et est sacrément bien musclé. Je ralentis le pas pour profiter de la vue. Sa peau est brillante, couverte d'huile. Je sens ma bite gonfler, rien que de voir un mec comme ça m'excite. Plus j'avance, plus j' aperçois des détails. Il est vraiment bien foutu, ses abdos sont bien dessinés et ses pecs ressemblent à deux coussin que j'aimerais pouvoir malaxer. En arrivant à son niveau, je vois sa queue. Immense. Colossale. Je n'ai jamais rien vu de tel. Même au repos elle est plus large et plus longue que la mienne. Elle doit bien faire dans les 20 cm et 6 cm de largeur. Je suis à quelques mètres seulement. Je sens ma bite gonfler. Je la cache avec mon sac à dos. Il dors le bras posé sur le visage pour se cacher du soleil. Je n'arrive pas à défaire mon regard de ce monstre de chair. Ses couilles ont l'air aussi énormes que le reste. Je ralentis encore pour profiter de la vue. J'aimerais tellement y goûter et la sentir en moi. Je m'arrête quelques mètres plus loin pour garder un œil sur ce beau mâle. J'ettend ma serviette et je m'allonge sur le ventre. Mes yeux ne voient que lui et son anatomie surréaliste.
Je reste ainsi pendant plusieurs minutes à imaginer tout ce que je rêverais de faire avec lui. Mes fantasmes les plus fous prennent vie dans mon esprit. Il semble se réveiller et dégage son bras. Il se redresse, s'étire et me fait un signe de la main pour me saluer. Ses muscles brillent sous les rayons du soleil et ses bras sont encore plus énormes que tout à l'heure. Je lui fait signe à mon tour et continue de l'observer discrètement. Il se lève et m'offre une vue imparable sur son corps. Il est vraiment grand. Son chibre pend mollement entre ses larges cuisses. Une main viens secouer cette anatomie tant désiré et je bande encore plus fort.
-Je ne pensais pas voir quelqu'un d'autre aujourd'hui, dit-il.
Sa voix est grave et suave, bordel ce qu'il me plaît.
-Moi non plus, c'est mon petit coin secret,dis-je bêtement. Enfin c'était, il n'est plus secret maintenant.
Il rigole à cette blague nulle et s'avance vers moi. Son énorme verge se balance de droite à gauche et je ne sais plus où regarder.
- Tu viens souvent ici ?
- Pas vraiment et toi ?
- Deuxième fois et je trouve ça agréable.
- La vue est belle en plus.
Je viens vraiment de dire que la vue était belle en le regardant droit dans les couilles... Il me sourit et s'approche encore.
- J'avoue que le paysage est très sympathique, répondit-il en posant son regard sur mon corps. Je le vois regarder mon dos, mes fesses, mes jambes et de nouveau mon visage.
Il passe à moins d'un mètre de moi, sa bite est juste à quelques centimètres, si seulement.
Mais il continue son chemin et finit dans l'eau.
Je le regarde se refraichir. C'est tellement excitant.
- Tu ne te baignes pas ? Demande t-il.
Est ce que c'est une invitation ? Au point où j'en suis. Et comme qui dirait, qui ne tente rien n'a rien. Je me lève de ma serviette. Par miracle mon érections a pris fin. Je le rejoins dans l' eau et je vois ses yeux se poser sur chaque partie de mon corps.
- Tu est mignon, tu dois faire tourner des têtes.
- Pas toujours celles que j'aimerais, dis-je simplement.
L'eau m'arrivait à la taille tandis que lui était immergé jusqu'aux cuisses, laissant apparent son énorme verge. J'osais quelques coups d'œil qui ne semblait pas le déranger.
Lui aussi me regardait avec une certaine envie.
Je m'approche de lui et lui de moi. Il est là, à 20 centimètres de mon visage. Sa bite touche la mienne et tout s'emballe rapidement. Il me prends la main et la pose sur son corps. Je peux caresser sa peau, sentir ses muscles se contracter. L'excitation est au summum. Il s'avance encore un peu et m'embrasse. Ses lèvres sont douce, plus que ce que je pensais. Il m'embrasse avec passion et ses mains commencent une ballade sur mon corps. Son sexe est collé à ma cuisse, je parviens à sentir les pulsations de son sang. Mes mains glissent sur tout son corps pendant de longues secondes et je finis par aller saisir l'objet de mon désir. Je prends sa vergé en main. Elle est énorme et lourde. On retourne rapidement sur la plage et on s'enfonce un peu plus dans le semblant de grotte que crée la côte. A l'abri des regards, seuls. Je suis en extase devant sa bite. Elle fait la taille de mon avant bras. Il continue de m'embrasser, me caresse et saisi à son tour ma bite. Je descend doucement vers la sienne et fini par me retrouver face à son anaconda. Je le masturbe doucement et je sens qu'elle grossit. Je la pose sur mon visage, je la leche et finalement je la prends en bouche,du moins j'essaye. Elle est si large que je ne peux rentrer que le gland. Mais je le fais avec tellement de passion et d'envie. Ce n'est pas tout les jours que je pourrais jouer à ça. Je le suce autant que je peux et il semble aimer ça. Je tente d'en rentrer plus dans ma bouche mais il touche déjà le fond de ma gorge. Je continue pendant plusieurs minutes. De son côté, il s' occupe de préparer mon cul à recevoir sa bête. Je la vois finalement en errection totale. A vu d'œil, je dirais bien 26 centimètres et 7 de large. Un régale.
Il me tourne et pose sa verge sur mon cul. Bordel que j'ai hâte. Il prends son huile lubrifiant et me recouvre l'anus avec. Il en met également sur sa bite et se met face à mon trou. C'est maintenant. Il s'insère doucement. Son travail de préliminaire a bien servi car je le sens rentrer sans difficultés dans mon intimité. Centimètre par centimètre il me pénètre et semble aimer ça. Je sens sa bite se frayer un chemin et m'écarter le trou. Jamais je n'ai ressenti pareil émotion. Il continue de me déchirer en deux et finit par toucher le fond. Je lâche un râle de plaisir. Il commence les vas et vient et je hurle de plaisir. C'est un pur bonheur. Il le fait si bien. Sa bête glisse au fond de moi et se retire avant de revenir. Il me tiens par les épaules, je suis à quatre pattes devant lui et lui m'éclate avec délectation. Il accélère le rythme et je sens une bouffé de chaleur traverser mon corps. C'est bon putain !
Il continue pendant plusieurs minutes, il me baise comme un dieu. Il s'insère une nouvelle fois entièrement et une pulsation me traverse suivi d'un plaisir immense. Ma bite gonfle et pfopulse deux énorme jets de foutre eu sol. Je n'ai même pas eu besoin de me toucher.
- Je vais jouir aussi !
Il continue de me transpercer et se crispe avant de me pilonner une dernière fois avant de se retirer et de me tourner rapidement face à sa bite. J'ouvre grand la bouche et il enfoncé sa bite dans ma gorge pour y déverser une quantité folle de sperme en lâchant un cri de bête. Sept puissant jets de foutre qui me remplissent. Je me délecte de se nectar et je n'en laisse pas une goutte. Il est essoufflé, moi aussi. Il s'allonge à côté de moi, le corps huileux et sa bite encore énorme et dure posé sur mon corps.
Il m'embrasse une nouvelle fois et reste la, avec moi.
- Je crois que je vais venir ici plus souvent, dit-il enfin et écartant une mèche de mes cheveux.
Mooner
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