Il y a quelques semaines, j'ai commencé une formation sur les métiers du digital en vue d'une reconversion professionnelle. La formation est en alternance, une semaine sur place, une semaine en distanciel.
La première semaine, j'ai pu rencontrer l'équipe de formation et les 15 autres participants. Après une brève mais essentielle présentation de l'équipe, vient notre tour. Étant premier sur la liste, je commence.
"- Salut, moi c'est Ludovic, j'ai 25 ans et j'habite en Moselle. J'ai choisi le digital afin de changer de voie et d'apprendre de nouvelles aptitudes. Je suis très polivalent et j'aime vraiment découvrir de nouveaux horizons."
Les autres se présentent. Il y a de tout, des jeunes, des moins jeunes. Quelques personnes âgées et surtout très peu de filles. Elles ne sont que deux. Ce n'est pas pour me déplaire, je préfère les mecs depuis bien longtemps.
Les premiers jours passent et je noué une amitié avec quelques un de mes camarades et surtout avec Benoît, le formateur suppléant. Il est surtout la pour venir en aide et supporter l'équipe principale. Il est surtout beau à tomber.
1m97, musclé, le torse velu, une barbe naissante et une voix de ténor. A côté, je paraît ridicule. 1m55 pour 48 kilos et pas un poil sur le corps. Un vrai poids plume.
"-Dis moi Ludovic, me dit Benoît en aparté, si ça te dis, je pourrais t'apprendre deux trois astuces pour améliorer tes performances, j'ai l'impression que tu apprends vite et que tu a faim de connaissance.
Il le dit ça en contractant ses abdominaux et termine par un clin d'œil.
-Je... On parle bien de la formation ?
- Haha, de quoi d'autre ?
- Ho, pardon, je... "
Je sens le rouge me monter aux joues, quel boulet je suis. Toujours réfléchir avant de parler.
- Après, rien ne nous a life de ne faire que la formation. Passe me voir ce week-end.
Il le donne une carte avec son adresse et son numéro de téléphone. Lorsque je la saisi, il glisse deux doigts sur ma main et la caresse doucement.
Je sens immédiatement le sang affluer à mon visage ainsi qu'à mon entre jambe. Je le regarde s'éloigner, essayant de ne pas trop le fixer.
Le reste de la semaine, il ne cesse de m'envoyer des regards et des sourires complices.
Vient finalement le samedi, ou je me rend, en milieu d'aprèm midi, chez Benoît.
Il m'accueille en short tee-shirt, cassant son aspect guindé du bureau.
- Parfait, je t'attendais. Tu veux boire quelque chose ?
- Non merci, c'est gentil.
- On va pouvoir s'y mettre alors, suis moi.
Il m'accompagne dans son salon ou son ordinateur est déjà prêt. Il me fait m'asseoir et se lance dans une explication complète des différents aspects du métier.
Apres quelques minutes, il se rapproche de moi et me laisse manipuler l'outil informatique. Il est debout à mes côté, j'ai son short à quelques centimètres de mon visage et je distingue très clairement une longue forme bomber le tissus. Il se redresse, change d'appui au niveau des pieds, laissant se balader le monstre qui se cache sous la fine couche. J'essaye de masquer mon trouble mais je ne parviens pas à contenir mon érection.
Voyant mon trouble, il me propose une petite pause et nous sert à boire. Chaque pas fait onduler son short, se balançant de droite à gauche, sans retenue.
Il s'assoit sur son canapé, moi sur un fauteuil en face et on trinque. Son short est détendu et laisse entrevoir ce qu'il s'y cache. Un monstre de chaire posé fièrement à côté de sa cuisse et ne demande qu'à être libéré. Je me liasse glisser sur le fauteuil, cherchant une vue plus dégagée,sans même prêter attention à ces paroles. Je ne remarque pas la bosse qui déforme mon jean, plutôt voyante dans ma position actuelle.
- Je vois que tu est à l'aise, c'est plaisant à voir.
Je le regarde, sans savoir quoi répondre. Il se lève, et se rapproche. Son short semble avoir doubler de volume. Il n'y a plus aucun doute sur la taille de son engin. Il se place en face de moi et me regarde droit dans les yeux.
- Montre moi ce que tu sais faire.
Dans plus attendre, je glisse ma main sous le tissu pour saisir son membre. Il est terriblement large, lourd et long. Je le caresse, l'embrasse à travers le tissus et fini par le libérer. Son short tombe à ses chevilles et je prend conscience du cadeau qui m'est fait. Une bite de plus de 20 centimètres, larde comme mon avant bras et supportée par deux lourdes couilles velues. Je la saisi, l'observe et le fait durcir. Une odeur de mâle en émane et je ne résiste pas plus longtemps. Mes lèvres viennent entourer sa bite. Elle est chaude, puissante et ne semble pas encore en totale érection. J'entame des vas et viens lengoureux, usant de mes charmes et de mon talent pour le satisfaire. Il gemit tendrement et se laisse aller. D'une main, j'accompagne mes mouvements de bouche et de l'autre je lui masse les couilles. Elles sont énormes, de la taille d'un kiwi chacune. Très vite, je peine à la prendre en bouche tant elle est large. Je le branle à deux mains tout en lechant sont
gland. Tout est démesuré chez lui. Il ôté son haut, dévoilant sa musculature velue. Il le saisit par les aisselles et me soulève pour me porter sur lui. Je m'accroche à son cou et il détache mon jean et le reste de mes vêtements pour me laisser nue, reposant sur son corps.
Il saisit d'une main un flacon de gel tout en me soutenant de l'autre par les fesses, me préparant d'un doigt bien entraîné. Je gémit de plaisir. Il me redresse et lubrifie sa bite d'une dose de gel avant d'étaler le reste sur mon trou. Il y passer un doigt, puis deux, puis trois.
Finalement, il s'assoit sur le fauteuil et me laisse faire de même sur sa bite. Elle rentre en moi comme dans un musée, avec douceur et puissance. Je laisse sortir un râle de plaisir. Je le sens s'introduire au plus profond, collé contre moi. Une fois bien installé, il entame ses vas et viens, d'abord doux puis plus virulents. Je ressens chaque partie de son anatomie de perforer, me dévorer. Tandis qu'il souffle comme une bête, je reprends mon massage sur ses couilles, énormes et pleines. Il me baise littéralement comme un dieu. Chaque coup de rein libère en moi une onde de plaisir.
Ses mouvements se font plus secs, plus percutants. Son souffle se transforme en râle. Mes gémissement en cri de bête.
Il le saisi les fesses, les écartes et s'enfonce au plus profond avant de beugler et de se contracter. De ma main, je sens la base de son sexe palpiter, innondant mon intérieur de son sperme chaud. Je le sens se déverser en moi.je contracte au maximum pour tout retenir. Il reprend en douceur ses aller retours et saisi mon sexe. Il se remet en action et semble aimer cet instant. Je l'accompagne autant que je peux avant d'exploser à mon tour. Je recouvre son torse d'un épaisse liquide blanc. Une dizaine de jets se répandent. Il continue de me pénétrer dans un rythme effréné. D'une main il récupère mes jets de sperme et les déposent dans ma bouche de l'autre il appuye sur mon cul pour rester bien à l'intérieur. Après plusieurs minutes à me pilonner, il me soulève, se retire et se met devant mon visage avant de le recouvrir d'une deuxième dose de sperme chaud et épais. Derrière, la première dose s'échappe en coulant le lange de ma cuisse. Il plonge son sexe dans ma
bouche et reste ainsi, soufflant, suant. Je le suce, profitant de cet instant suspendu. Sa bite réduit de taille, se ramolli mais reste toujours large et épaisse. J'en profite pour l'insérer au plus profond, la ou elle ne passait pas tout à l'heure.
Les minutes s'écoulent et il finit pas se retirer. Il le laisse le regarder, avec béatitude.
- Il va falloir que tu reste pour la suite du cours.
Depuis ce jour, je passe beaucoup de temps en formation privée.
Mooner
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