Ça fait maintenant plusieurs mois que je travaille dans le supermarché du centre et j'ai déjà repéré quelques mecs que j'aimerais me taper.
Il y a d'abord le jeune en caisse, il a une bouille d'ange avec un corps assez fin mais son caleçon m'a l'air drôlement bien rempli.
Ensuite, un des gars en réserve avec des bras comme mes cuisses, un corps velu et une belle tête de daddy, quel régal pour les yeux.
Mais celui qui me tente le plus, c'est le boucher. En plus d'avoir un corps de dieu, il a le visage qui va avec. Sans parler de son cul bien rebondi et de son paquet proéminent. Bref, un vrai mâle.
Un samedi soir alors que je me changeais dans les vestiaires, je le vois arriver avec son petit sourire en coin. Il me fait un clin d'œil et me tourne le dos pour ouvrir son casier.
- Ça bosse comment de ton côté, me demande-t-il pour lancer la conversation.
- Comme d'hab, c'est calme et toi ?
- On a eu pas mal de monde pour des grillades et des saucisses, on sent que les beaux jours arrivent.
Quelle indécence de me parler de saucisse.
- C'est sur que c'est pas moi qui dirait non à une bonne chipo, je dis en rigolant.
Tout le monde sait que je suis ouvertement gay, je n'ai jamais essayé de le cacher.
- On m'a toujours dis que les mecs s'y prenaient mieux que les nanas, il me répond en pouffant.
- Tu veux comparer ?
Une fois de plus ma bouche à parlé plus vite que ma tête. J'essaye de rendre la remarque moins officielle en rigolant bêtement.
- Tu veux me sucer ?
Je me tourne vers lui pour le découvrir en caleçon, son corps, sculpté dans le marbre s'offre à moi comme un cadeau du ciel. Je bloque totalement, parcourant du regard chaque centimètre carré de sa peau matte. Les reliefs de ses muscles sont sublimés par la lumière du plafond, opérant un jeu d'ombre et de lumière fantastique. Sa journée de travaille apparaît dans sa sueur, qui point ça et la comme des cristaux. Sa respiration soulève ses pectoraux duveteux et puissants. Ses cuisses, parfaitement dessinées sont en adéquation avec le reste de son corps. Sa barbe de trois jours, ses sourcils epais, son regard perçant, sa mâchoire, ses lèvres, lui. Tout est beau, ordonné, bien à sa place. Il est une œuvre à lui tout seul.
- Oh mat, quand t'auras fini de me matter, tu fera attention à ton calbut, je crois qu'il essaye de t'envoyer un message.
Je sors subitement de ma rêverie et m'aperçois que je bande comme un âne. Ma respiration est rapide, mon cœur bat fort, trop fort. Je me retourne honteux.
- T'es en kiff sur moi, avoue.
Je ne dis rien, par peur et par gêne. Je tente de me calmer mais mon souffle ne fait que d'accélérer.
- Hey mat, tranquille.
Je sens une main se poser sur mon épaule, qui me fait sursauter. Je ne sais pas pourquoi je suis si tendu. J'ai espéré ce moment si souvent, me voilà devant le fait accompli et je tremble comme une feuille.
- Désolé, je suis vraiment désolé.
Je répète mes excuses sans savoir quoi dire de plus.
Il me prends par le bras et me tourne face à lui. Je ne bande plus, je n'ose même pas le regarder, je suis tétanisé sans même savoir la raison de cet état. D'un doigt, il me relève la tête, me forçant à le ragerder.
- Moi aussi je te regarde, m'avoue t il. Et depuis longtemps.
Mon cœur s'arrête, mon regard se fige. Comment ça il me regarde.
- Je sais qu'on dirait pas comme ça, mais moi aussi je suis gay et, putain ce que tu me plaît.
Il s'avance alors vers moi et m'embrasse. Doucement d'abord, puis plus sauvagement. Le temps que je comprenne ce qu'il se passe, un bruit résonne dans le couloir. Ill s'éloigne de moi et retourne devant son casier. Je fais de même. Un collègue entre, prends ses affaires et s'en va. Quelques secondes passes et j'entends mon appolon rigoler.
- Rejoins moi chez moi, ça sera plus tranquille.
Il termine de se rhabiller, me tape les fesses et s'en va.
Je ferme mon casier et rejoins ma voiture.
Il habite à 15 minutes environ de travail.
Après m'être garé, j'arrive devant sa porte d'entrée. Il m'ouvre avant que j'ai eu le temps de frapper et me tire par le bras. La porte claque et ses lèvres se posent directement sur les miennes. Cette fois ci, je me laisse aller et je lui rend son baiser. Il est doux et sauvage à la fois. Ses mais glissent le long de mon corps et les premières couches de vêtements disparaissent.
Rapidement, nous nous retrouvons en caleçon, collés l'un à l'autre, mêlant nos langues dans une valse bucale. Je laisse aller mes mains sur ses muscles, carressant ce corps qui m'a fait tant rêver. Une barre, puissante et dure se plaque contre mon bas ventre. Je lui embrasse le cou, puis les épaules, son torse. Je m'arrête sur ses tétons que je mordille. Je savoure chaque parcelle de son corps, profitant de son odeur et de sa sueur. Il sent le mâle. Je remonte à ses aisselles pour me délecter de son essence. Il bande ses muscles et je les tâtes, les lèches. Tandis que ma main droite est pendue à son biceps, la gauche trouve le chemin de son anatomie. J'empoigne son sexe, énorme et rigide. Il pulse sous les battements accélérés de son cœur. Je continue ma descente en laissant courir ma langue ou bon lui semble, se perdant dans la broussaille duveteuse de son ventre. Ses abdos son saillants, formant de balles bosses.
J'arrive finalement devant son sexe. Il sent l'homme, mélange de sueur, de testostérone et de sexe. Ma langue glisse le long de sa hampe et je plonge son membre dans ma bouche. Il pousse un râle de plaisir et effectue des vas et viens. Je ne parviens qu'à avaler la moitié de son membre tant il est important. Je m'effectuer à le satisfaire autant que possible. Il semble apprécier autant que moi. Il me relève soudainement, gémit, se cambre. Je comprends alors qu'il va jouir. Je replonge à temps pour récolter l'abondante semance. Plusieurs jets, puissants, odorants et chargés se déversent sur mon visage tandis qu'il laisser échapper un cri bestial, crispé. Les derniers jets finnisent sur ma langue.
- Oh putain, merde. Je voulais pas finir si vite.
- T'en fais pas, c'était une belle mise en bouche.
- Attend dix minutes et on reprends.
Il m'embrasse et me leche la joue pour récupérer sa semance.
Mooner
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