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15 | Balade, "filature" et deux sodomies.
Cette histoire s'est déroulée alors que j'avais 25 ans.
Ce jour de mois d'août, je pris la décision d'aller me balader à la citadelle de Lille.
Comme il faisait chaud, avant de sortir, j'enfile un jockstrap, un petit short "ras des fesses" et un petit débardeur. Durant toute ma période de célibataire hyper passif, je ne mettais, progressivement, plus que des jockstraps.
Je me mis en route avec, pour seules affaires, un petit sac banane dans lequel se trouvait mes clés, mes papiers et mon fidèle compagnon, mon poppers.
Arrivé à la citadelle, je me baladais, en matant les mecs. Porter un jockstrap sous mon petit short commençait à m'émoustiller et, d'une balade anodine, la "chasse" à la queue s'imposa.
J'avais chaud. Je continuais à errer quand je vis un mec d'une beauté insolente sortir des buissons. Il devait être un peu plus âgé que moi, à peine 30 ans peut-être. Cheveux châtain clair bouclés, vêtu d'un jogging en molleton et d'un tee-shirt. Je pouvais aisément deviner une carrure sportive sous ses vêtements.
Nos regards se croisèrent et il se dirigea vers la sortie du parc.
A ce moment précis, j'ai eu l'envie irrésistible de le suivre. En pleine "filature", je ne pouvais m'empêcher de vouloir lui offrir mon cul. Je le suivais tout en inhalant mon poppers que je tenais fermement dans la main. J'étais comme possédé. Mon cul était bouillant, je sentais ma rondelle palpiter de désirs.
De temps en temps, l'homme sur lequel j'avais projeté tous mes fantasmes, se retournait comme interrogatif sur ce jeune inconnu que semblait le suivre bien maladroitement. Dans une rue, non loin de la citadelle, ce bel étalon entre dans un immeuble typique du quartier Vauban. Je m'y approchais, le cœur battant. La porte de l'immeuble était restée contre.
Un millier de questions me traversa l'esprit. Du genre : "Que faire ?" "Entrer ?" "Qu'est-ce qui m'attend derrière cette porte ?"
Malgré cela, je poussais la porte et m'introduisais dans l'immeuble non sans fébrilité. L'envie de me faire foutre était visiblement plus forte que ma peur.
Une main me chopa violemment par le col de mon débardeur pour me plaquer contre le mur du hall d'entrée. Un avant-bras puissant me bloquait, positionné puissamment sur le torse, et la porte d'entrée se claqua soudainement.
"Pourquoi tu me suis petit bâtard ? Tu cherches quoi ?" Dit celui que j'avais suivi jusque chez lui.
Saisi, je restais muet en le regardant apeuré.
"Joue pas à celui qui ne comprends pas ce qui lui arrive. Tu me suis depuis dix minutes et tu pensais que je n'allais pas réagir ?" Ajouta-t-il.
Là, je compris que j'avais été beaucoup trop loin. J'avais peur. Aucun mot ne parvenait à sortir. Je demeurais incroyablement silencieux.
"Ecoute. C'est simple. Je viens de me faire sucer dans les buissons mais cette pute n'a pas voulu que je l'encule. Je suis resté sur ma faim et je suis sûr que tu m'as suivi parce que tu as chaud au cul." Dit-il énervé.
J'opinais de la tête. Son avant-bras lâcha la pression et son autre main se posa sur l'une de mes fesses.
"Je veux te l'entendre dire." Susurra-t-il à mon oreille.
"Défonce-moi le cul." Répondis-je plus serein après qu'il ait lâché son emprise.
Il me retourna d'un coup sec et amena mes mains vers le haut du mur. Instinctivement, je cambrais le dos afin de lui présenter mon cul. Il s'accroupit et me caressa les fesses à travers mon petit short.
"Tu as un petit cul bien sympathique, bâtard." Dit-il en baissant mon short. "Putain, je n'y crois pas, tu cherchais bien à te faire casser le cul, toi. Tu as même pensé à enfiler un jockstrap." Ajouta-t-il en me fessant.
Il huma mon cul et se mit à le couvrir de baisers.
"J'adore ton cul, c'est dément." Dit-il en passant l'intégralité de son visage sur mes fesses nues de toute pilosité.
Son nez caressait la raie de ma croupe. Il se mit, délicatement, à écarter mes fesses pour découvrir mon oignon qu'il n'attendit pas à lécher avec la pointe de sa langue.
Je portai mon poppers aux nez pour en inhaler une grande quantité.
"File-moi ton poppers bâtard." Me demanda-t-il.
Il s'en enivre à son tour puis après me l'avoir remis en main, il écarta à nouveau mes fesses et me bouffe frénétiquement le cul.
J'appréciais son anulingus un bon moment quand il se redressa pour me foutre son énorme queue dans le cul sans m'avoir prévenu, m'avoir agrippé les hanches, m'obligeant ainsi à me cambrer davantage.
Je gémis de plaisir et repris du poppers. Sa queue coulissait dans mon anus avec vigueur. Au bout de quelques minutes, il ralentit sa défonce énergique et délaissa mes hanches. Il faisait sortir et entrer sa bite lentement. En plein extase, je vis furtivement dans la légère pénombre du hall d'entrée, ce qui me semblait être des flashs. Quelques secondes plus tard, il saisit une nouvelle fois mes hanches et me pilonna comme un véritable bourrin.
Soudain, une porte claque. Des pas dans les escaliers. Je pris peur et voulu me redresser quand il m'en a fermement empêché en continuant son cassage de cul.
"Reste là. J’en n'ai pas fini avec ton cul. J'ai envoyé des photos de ton cul de bâtard quand je le baiser à mon mec pour qu'il en profite aussi." Dit-il en me maintenant solidement en position.
"Et bah mon salop. Qu'est-ce que tu as ramassé ?" Résonna une voix d'homme dans la cage d'escaliers.
Je tournai la tête vers cet inconnu et aperçu un homme bien plus âgé que mon baiseur, entre 55 ans et 60 ans peut-être. Il était vêtu d'un short en nylon et d'un tee-shirt informe. Il n'était pas très beau, voir laid, un physique quelconque, un peu grassouillet. " Lui ? Son mec ?" Me dis-je étonné par ce contraste manifeste.
"Oh. Mais ce n'est pas moi qui l'ai amené. Il m'a suivi depuis la citadelle ce bâtard. Et comme tu vois, il aime s'en prendre plein le cul. Je le finis et tu pourras prendre ma place." Répondit-il à son mec en continuant à me défoncer le cul.
Quoi ? Prendre sa place ? Mais non, il est laid et vieux. Je ne voulais pas ça dans mon cul. Seulement, avais-je le choix ? Son mec me baisait sous ses yeux après tout. De plus, il avait déjà sorti sa queue qu'il branlait en regardant son mec prendre son pied en me défonçant. Queue qui semblait être d'une taille plus que satisfaisante pour le passif que j'étais.
Je sentais mon baiseur y aller plus fort en me traitant de bâtard. Puis, dans un dernier coup de rein, il m'inonda l'intérieur. Il décula et dit à son mec de prendre sa place. Lui, allait prendre une douche.
Son mec s'approcha. Je restais immobile, dans la position de bâtard dans laquelle le précédent m'avait laissé. Je ne voulais qu'une chose, qu'il fasse ce qu'il avait à faire rapidement et rentrer chez moi. Il posa ses mains sur mes fesses pour les caresser.
J'appréciais, elles étaient chaudes. Il me tâta le cul. Il ne parlait pas. Il se contentait de toucher mes fesses et ma rondelle suintante du sperme de son mec.
Il s'accroupit puis lécha le foutre de son mec qui sortait de mon anus. Il se délectait de ce jus fraîchement éjaculé. Sentir sa langue s'aventurer dans mon trou, cherchant à récupérer la moindre goutte de foutre qui s'en échappait, m'excita.
J'inhalais comme un malade le poppers que je gardais sous la narine.
Il se redressa et me mis d'un coup sa bite afin de me défoncer violemment. Il était en transe. Aucun mot ne sortait de sa bouche. Il se défoulait sur mon cul tel un boxeur sur son punching-ball. Il me cassait littéralement le cul.
Était-ce parce-que son mec avait pris son pied avec ce même cul ? Était-ce de la jalousie ? Je n'en savais rien mais je jouissais du cul et c'était la seule chose qui m'importait.
Puis, les mains crispées sur mes hanches, à son tour il me remplit les entrailles.
Il sortit de mon cul et remonta son short. Ce que je fis également. Et, toujours sans un seul mot, il ouvrit la porte d'entrée de l'immeuble comme pour m'inviter à partir.
Jamais plus je ne les ai revus, ni même croisés. Pourtant l'envie de me balader près de chez eux m'avait très souvent traversée l'esprit mais je n'ai jamais osé.
J'espère que cette nouvelle aventure vous ait plu. Me replonger dans mes anciens souvenirs, attise de plus en plus mon envie de redevenir passif. Mon cul, aujourd'hui, est tel un champ mis en jachère depuis plus de 15 ans, sans labourage ni même semence.
D'autres histoires réelles arriveront bientôt.
Le Cul jouissif
dialogaylille@outlook.fr