Premier épisode
Encore excité, relatif, de cet accueil officiel à l’aéroport je suis Rachid et son cousin vers le parking. Mon séjour au Maroc a bien commencé pour mon petit cul. Encore un peu douloureux par les assauts des employés. Une entrée en matière pour ce que je risque de subir. Avec mon corps efféminé tout lisse, je m’interroge sur l’accueil que je recevrai au village. Le harem attend ma venue me dit le cousin de Rachid. Les jeunes Européens sont très recherchés pour leurs peaux blanches et leur soumission. Rachid, assis à côté de moi à l’arrière du 4x4 me caresse les cuisses, sa main malaxe ma verge sous la djellaba relevée. Je lui parle du conseil du doc à l’aéroport. « Oui, il a raison, ici les hommes sont coupés et ton prépuce sera coupé par notre chef de village. Une cérémonie à laquelle les habitants sont conviés. Ton prépuce coupé sera glissé dans un repas de riz que le chef consommera comme preuve de sa domination sur toi. Par facilitÃ
© et pour que tu puisses servir de chèvre de suite, l’opération aura lieu à la fin de ton séjour. Comme un souvenir gardé » m’explique Rachid avec un sourire carnassier aux lèvres.
Pendant ce temps le paysage défile et Rabat est derrière nous. Nous sommes dans le désert, et quelques villages sont traversés. Dans l’un d’entre eux notre véhicule s’arrête devant une petite maison. Le cousin de Rachid se tourne vers moi : « mon oncle vit ici et comme surprise je vais te demander de t’offrir à lui. Il va adorer d’avoir un jeune amant venu d’Europe, pour changer. Cela ne te dérange pas ? Par Rachid et Mohammed je sais que tu aimes écarter les cuisses. » « D’accord, pas de souci, c’est toujours un plaisir de me donner par mes deux orifices » je lui réponds, avant de sortir de la voiture. Rachid me précède et entre dans une maison. Je l’entends parler en arabe à un homme. Et puis, le voici qui sort pour m’inviter à le suivre. Je rentre, tête baissée comme signe de soumission. Assis sur un tas de coussins un vieil homme me regarde entrer. Barbu, le vieillard me sourit et m’invite à approcher. « Plus près, viens » me dit-il.
J’obéis, je ne suis plus qu’à quelques centimètres de lui. Ses mains me soulèvent la djellaba pour dévoiler mon sexe. Son visage s’approche et sa bouche engloutit mon pénis. Un délice de sentir la chaleur m’envahir, avec cette langue qui tourne autour de mon gland. Le bruit de succion m’excite tandis que des doigts me caressent les fesses puis s’aventurent dans ma raie. Mon anus est forcé, sans douceur. Rachid, resté à la porte, regarde. Satisfait, vu sa queue en érection sous sa djellaba. Le vieil homme me caresse tout en me suçant. Une femme voilée s’approche de nous. Sans rien dire, elle me fait passer la djellaba par-dessus tête pour me dénuder. Je sens son regard sur mon corps mais j’ignore ce qu’elle ressent en voyant mon corps nu devant elle tandis que son maître me suce avec passion. Me voilà nu dans cette pièce, avec cet homme que je ne connais pas. Sa bouche se retire soudain de mon intimité, rendue un peu baveuse par le foutre lâché
durant la fellation. D’un geste, il m’invite à me tourner. Je m’exécute, avec le plaisir de sentir son regard sur mes petites fesses. Même si je suis trentenaire j’ai gardé un cul très appétissant, rond et tendre. Ses mains me fessent mes globes fessiers. Sans attendre son ordre, je me couche sur les coussins, les jambes ouvertes. Comme une invitation. Bien comprise par le vieillard, qui s’est déshabillé lui aussi. Cet homme âgé, au corps poilu de gris et de blanc, se couche sur moi. Un de plus dans mon expérience de petite salope.
Après quelques frottements contre mon dos son gland trouve mon orifice et s’introduit lentement. Son épaisseur me fait mal mais voir Rachid nous regarder en se masturbant me fait oublier la douleur de cette sodomie. Mon hôte râle de plaisir, m’encule dans de gros coups de bite. Nul doute, et sans me vanter, il apprécie mon corps bien blanc d’Européen. Entre ses mains, je ne suis qu’une poupée. Enfin, il jouit dans un cri qui me glace. Simultanément je sens un jet puissant frapper la paroi de mon anus. Le vieillard se retire et sans un mot quitte la pièce, me laissant nu, ma rondelle ouverte, témoin de cet accouplement passif. La servante revient et mate mon corps violé tandis que je reprends mon souffle. Toujours sans un mot, elle me lèche l’entre-fesses pour nettoyer le foutre de son maître. Sa langue pousse loin et s’introduit dans mon orifice encore ouvert. Je la laisse faire, si ce moment peut lui apporter un peu de plaisir à elle aussi. « Tu es beau, c
’est dommage pour toi de servir de chèvre à ces vieux invertis. Ton corps féminin ferait du bien à plus d’une femme du coin » me souffle-t-elle à l’oreille avant de se relever et de quitter la pièce. A suivre
Note : si je parle souvent d’amants nord-africains ce n’est pas par racisme mais plutôt par passion pour cette Afrique du Nord et cette sexualité partagée avec ses hôtes.
Colinot
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