- Allo …. Oui, effectivement …. Vous savez que je dispose d’un site sur lequel vous pouvez prendre rendez-vous directement ? … Je comprends, quand voulez-vous venir ?
- Est-ce que ce mercredi c’est possible ?
- Je regarde … J’ai un créneau à 17 h. Vous serez mon dernier client
- Très bien, je prends
- A quel nom ? Laissez-moi également un numéro de téléphone
- Ricardo au 06….
- Très bien, à mercredi.
Je suis Giraud, je tiens un salon esthétique spécialisé pour les hommes, mais je reçois également les femmes. Je ne fonctionne que par rendez-vous pour assurer la discrétion. Ricardo est un nouveau client que je ne connais pas. Il avait une voix jeune mais un peu tremblotante pour demander une épilation complète. Je ne suis pas entré dans les détails, nous verrons bien ! je fais épilations, soins corps et visage, et massages bien-être. Dans ma sélection, je propose un massage naturiste où le client est entièrement nu et s’il le désire, je suis nu également. Ce massage a un certain succès auprès des gays mais pas seulement. C’est très relaxant de se faire masser tout nu, de se laisser aller, de relâcher toute une pression, même si parfois la pression monte à certains endroits. Je reste professionnel jusqu’à un certain point ! Quand je vois que le client réagit bien, je masse plus précisément le sexe qui ne tarde pas à envoyer un liquide appétissant !
Mercredi arrive, je me suis pris la matinée pour aller à la salle de sport et j’ai 3 clients l’après-midi. Le premier client est un sportif qui vient régulièrement pour se faire épiler les jambes et le torse. C’est un gaillard d’une trentaine d’années, brun avec de très beaux yeux marrons. L’épilation dure environ 45 minutes. Je lui propose de retirer quelques poils disgracieux entre les sourcils, ce qu’il accepte. Je me pose au-dessus de sa tête, j’ai une vision sur son entrejambe bien coincée dans son mini-slip. Quelques poils pubiens en dépassent. Je soigne ma mini-épilation et lui dit que ce n’est plus très à la mode de laisser passer des poils de son slip. Il me rétorque qu’il y pense et que sa copine voudrait qu’il se rase. Je lui dis que je pratique également l’épilation à cet endroit.
- La prochaine fois, sans doute. Je sais que si je me rase je vais devoir entretenir plus souvent
- C’est sûr et vous risquez quelques inflammations, mais c’est vous qui décidez.
Il reprend rendez-vous pour dans un mois, incluant l’épilation intime qui inclut le pubis, le sexe et la raie.
Mon deuxième client de l’après-midi vient pour un soin du visage et des mains. C’est un patron de PME qui vient lui aussi régulièrement. Il se met torse nu pour les soins et j’ai toujours flashé sur sa poitrine bien dessinée avec des tétons très bruns pointant au milieu d’une touffe de poils. La conversation s’engage sur les difficultés qu’il rencontre puis j’en arrive à parler de mon activité. Il est intéressé par une épilation mais craint la douleur. Je le rassure et lui propose de lui faire le torse à titre d’exemple. Il refuse pour cette fois, mais dis y penser. Il me rappelle le premier client de l’après-midi.
Petite pause et c’est Ricardo qui arrive. Un jeune homme d’une vingtaine d’années, assez grand, cheveux très courts, châtain foncé, barbe de trois jours, entretenue.
- Bonjour, Ricardo, n’est-ce-pas ?
- Oui, bonjour Monsieur
- Appelez-moi Giraud, ça ira très bien. Vous venez pour une épilation. Vous pouvez m’en dire plus ?
- Oui, je voudrais me faire épiler les jambes, le torse, les aisselles, le dos et…
- Epilation totale quoi, sauf les bras donc.
Ricardo relève une manche, il a les bras sont quasiment imberbes.
- La raison vous regarde mais c’est sportif ?
- En partie oui… (il hésite un moment) J’ai perdu un pari et je dois me faire épiler totalement.
- Ça repousse, mais vous verrez vous vous sentirez plus propre. Si vous voulez vous déshabiller, je vais commencer par le haut, puis je descendrai au fur et à mesure. Il y a un porte-manteau là… Ensuite, venez vous allonger sur la table, sur le dos.
Ricardo se dirige vers le porte-manteau et retire ses chaussures, son blouson, son tee-shirt et termine par son jean. Il a de très belles fesses, bien rondes qui remplissent son petit slip bleu ciel. Sa raie est bien dessinée à travers le slip.
- C’est la première fois, je pense que vous vous faites épiler. Je vais y aller lentement. J’ai le temps, vous êtes mon dernier client de la journée. Allongez-vous sur la table, tête vers le coussin. Mettez-vous à l’aise, soyez détendu…
Je le sens très tendu, sa bite dans le slip a l’air imposante. Une touffe de poils pubiens est visible au-dessus de l’élastique de son slip. Lorsqu’il est allongé, je replace ses jambes en les écartant légèrement. Ce jeune homme est assez poilu et ses poils sont longs.
- Je vais vous raser légèrement, ça tirera moins lors de l’épilation
Ricardo ne répond pas. Il a les bras sous la tête et les yeux fermés. Il est visiblement gêné par les caresses que je lui ai faites sur les jambes et je vois que sa bite a gonflé et que le gland sort légèrement de son slip.
- Détendez-vous, ne soyez pas gêné ! je suis spécialisé dans les soins pour homme. Si vous voulez être plus à l’aise, vous pouvez enlever le slip
- Heu… Comme vous voulez.
Avant qu’il revienne sur sa décision, je prends le slip par l’élastique et le descend pour le retirer. Sa bite explose, bien droite, décalottée, le gland très rouge. Il a une bite assez imposante en taille comme en largeur. Ses couilles sont elles aussi tendues. Je remarque qu’il doit les raser car il y a peu de poils dessus. Par contre, il y aura du travail sur son membre viril ! Je le vois qui ferme les yeux et tente de respirer plus lentement
- Je vais commencer par les aisselles. Je vais poser de la cire. N’hésitez pas à me dire si c’est trop chaud
- D’accord
Je nettoie à l’alcool ses aisselles puis je pose la première lanière de cire chaude.
- Ça va ?
- Oui
J’applique correctement et retire la cire d’un coup assez sec. Il relève la tête. J’applique ma main pour atténuer la douleur. Sa bite a légèrement débandé.
- Désolé, vous allez vous y habituer
Je reprends l’épilation, essayant de modérer mes gestes. Sa bite est redevenue molle et lui continue d’essayer de respirer lentement. Je lui pose une crème apaisante sur chaque aisselle puis je lui nettoie le torse et le ventre jusqu’au pubis. Je pose ensuite la cire sur la partie droite de son torse. Avec une bandelette, j’arrache vivement les poils. Il réagit mais je calme la douleur en posant ma main et en caressant légèrement. Quand je touche son téton, sa bite se redresse.
- Vous êtes sensible des tétons ?
- Un peu (gros soupir) mais faites ce que vous avez à faire…
J’attaque ensuite le bas du ventre. Lorsque je pose la cire, je le sens se contracter. J’effleure sa bite avec mes mains, je la sens bien dure.
- Je vais profiter de la bonne tenue de votre membre pour enlever les poils tout autour.
Quand j’ai terminé le bas du ventre, je m’attaque à sa bite, toujours raide puis à ses couilles. Là, c’est un endroit sensible, qui le fait réagir un peu plus vivement
- Il faut souffrir pour être beau…
- A ce point, c’est de la torture !
- Mais non, vous verrez ensuite, ce sera tout lisse et très agréable à caresser.
Je lui fais lever une jambe puis l’autre pour enlever les poils sous les couilles et dans les replis. Puis je m’attaque aux jambes.
- Vous voulez faire une pause, ou on continue
- Continuez, je vais m’en remettre.
Comme pour le reste du corps, je nettoie à l’alcool et pose des bandes de cire plus longue. J’enlève les poils disgracieux et rafraichit au fur et à mesure.
- Vos poils s’enlèvent très bien. Ce sera moins long…
Je lui fais soulever une jambe puis l’autre. Je m’applique sur les chevilles et lui demande si je dois faire les pieds où il y a quelques poils sur les orteils.
- Oui, faites-les aussi. Tant pis pour la souffrance !
- Vous êtes fort ! j’en ai vu me demander d’arrêter avant.
Les jambes faites, je passe du lait sur l’ensemble du corps. Je m’attarde un peu sur sa bite en érection, prête à exploser quand ma main la caresse…
- Très bien, vous allez vous mettre sur le ventre.
- Vous avez quelques poils sur le dos et sur les fesses, je les enlève aussi ?
- Oui, merci
Son dos n’est pas très poilu, et ne fait pas mal du tout, les fesses ne sont pas très sensibles elles non plus. Je termine par les jambes et Je lui demande si je dois faire l’interfessier.
- Quoi ?
- La raie du cul si vous préférez ?
- Ah ! excusez-moi. Ça fait mal ?
- Non, pas plus que le reste. Certains clients disent même que c’est plutôt agréable
- Bon, faites le.
Pour mon plaisir, je le fais mettre à quatre pattes en me montrant bien son cul. Ses couilles pendent et sa bite est bien droite. Je talque à nouveau en m’appliquant sur la raie, je la sens se contracter à chacun de mes passages. J’utilise de la cire à base de miel pour les parties plus sensibles et j’y mets donc directement la main pour retirer. Il réagit légèrement mais beaucoup moins que lorsque j’ai fait les jambes. Je l’enduis de crème sur le dos, les fesses et je n’oublie pas le cul qui à nouveau à des réflexes de contraction quand mon doigt tente une intrusion. Une petite tape sur les fesses pour lui dire que j’ai terminé. Il se remet sur le dos, allongé, la bite toujours au garde à vous.
- Evitez de vous raser, préférez l’épilation, les poils repoussent moins drus.
- Même pour les couilles ?
- Oui et ça les rend plus lisses. Pas tout de suite, mais dans quelques heures vous verrez…
- Voilà, Ricardo, c’est fini. Vous avez été un chef. Pour vous récompenser et comme c’est une première, je vous propose un petit massage relaxant, gratuit.
Ricardo est assis sur la table, prêt à s’en aller. Il réfléchit, regarde l’heure à la pendule
- Pourquoi pas
- Bien, je vais mettre une serviette propre sur la table et vous vous allongerez sur le ventre.
Je baisse la lumière, retire le haut pour être plus à l’aise. Je suis en jean et baskets.
- Si vous le voulez, je peux me mettre nu moi aussi pour que vous soyez moins gêné, peut-être.
- Ce n’est pas nécessaire, mais c’est vous qui voyez.
Je saute sur l’occasion pour me déshabiller et c’est à poil que j’entame mon massage. Je reste professionnel, même à poil ! je ne bande pas. Je commence mon massage par le bas du corps. Ce sont donc les pieds qui sont massés les premiers. Je relève la jambe, je m’applique sur chaque pied, entre les orteils, sur les chevilles puis je m’attaque aux mollets
- Ça va ? dis-je doucement
Un léger grognement pour réponse. Je continue mon massage. Je continue et remonte lentement vers les cuisses et les fesses. Je m’applique en appuyant mes mains huileuses sur ses fesses, les écartant légèrement puis de plus en plus et passant mes doigts au bord de son anus. Je l’entends soupirer. Ses couilles bien lisses sont à portée de mes mains et mon index titille son petit trou serré, je sens les sphincters se resserrer à chaque passage de mon doigt. J’y passe un bon moment puis je remonte vers les hanches. Je me mets sur le côté pour masser le dos. Sa main, hors de la table, frôle mon sexe resté en demi-érection jusque-là. Je continue de lui masser le dos, frôlant à chaque mouvement sa main qu’il ne retire pas. Je redresse mon sexe pour qu’il reste sur sa main, ce qui me facilite également les mouvements. Mon sexe se raidit, sentant sa main qui bouge le long de la hampe. A un moment, il me caresse les couilles, légèrement, lentement. Je n’y fais p
as trop attention et continue mon travail. Je me mets ensuite à hauteur de sa tête pour effectuer le massage des épaules et du cou. Mon sexe revient en mode repos quand je lui fais les bras puis les mains.
- Vous pouvez vous retourner, s’il vous plait
Ricardo se retourne sur la table et reste un moment assis, les mains sur son sexe pour le cacher
- Allongez-vous, je vais vous faire le ventre
Il hésite un moment, garde les mains sur le sexe et s’allonge, fermant les yeux. Je prends ses mains et les allonge près du corps. Son sexe est bandé, bien dur, vibrant tout seul. Ses couilles sont bien gonflées. Il a le gland décalotté, bien luisant. Du precum a dû s’échapper quand il était sur le ventre, si ce n’est du sperme. Je bâcle un peu les jambes, les ayant déjà bien massées avant et je m’attaque cette fois par le haut. Son torse est bien dur, à chaque passage de mes mains sur ses tétons, il soupire et je vois sa bite se redresser. Je passe donc un moment à lui masser le torse, titillant ses pointes de seins et même les tirant. Je n’ose pas y mettre la bouche, même si j’en meurs d’envie. Je descends progressivement vers mon sexe, ne m’attardant pas trop sur le ventre. Je masse son pubis, touchant à chaque instant son sexe. Je sens que l’explosion ne va pas tarder. Je prends l’initiative de masser les couilles et le bas de la verge et lÃ
, je reçois en plein visage une giclée de sperme. Il se redresse, tout rouge et voit l’état de mon visage
- Oh, excusez-moi, mais vous y êtes pour beaucoup
- Ne vous inquiétez pas, j’aime plutôt ça
Il me regarde en train de lécher son nectar autour de ma bouche.
- Relaxez-vous, je vais vous mettre une serviette chaude sur le corps.
Je récupère une longue serviette que je lui applique sur tout le corps. Je m’éloigne et vais prendre une douche sous laquelle je me branle en pensant à ce corps magique que je viens de masser. Je me rhabille et revient vers mon apollon. Il est toujours allongé, la serviette le recouvrant.
- Ça va ?
- Très bien, merci, mais je vais y aller maintenant. Avant j’aurai quelque chose à vous demander
- Oui, pas de problème. Relevez vous lentement, restez assis un petit moment. Ensuite, si vous voulez prendre une douche, c’est là. Vous pouvez utiliser la serviette.
- Merci mais avant, est-ce que vous pourriez me prendre en photo pour preuve de mon épilation ?
- La demande est curieuse, mais bien sûr.
Il me passe son smartphone et se remet assis sur la table, les jambes légèrement écartées. Je prends deux ou trois photos pour qu’il choisisse.
- Merci, ce fut très agréable, je crois que je reviendrai.
Il prend une douche et se rhabille, s’avance vers moi pour payer.
- Merci, je ne vous compte que l’épilation.
Je lui fais un clin d’œil
- Vous aurez une autre preuve comme ça…
Il est presque 21 h quand je ferme mon salon.
Leo
maurleo@yahoo.fr
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