Premier épisode
Chapitre-2 | La nouvelle vie
Autant vous dire que mon calendrier de baise s’est énormément ralenti après mon installation en village.
Géraldine avait fait la connaissance d’un couple à l’école. Sans moi, puisque j’étais dans mon studio à l’époque. Elle était devenue très amie avec Sarah et Simon. Il faut dire qu’ils avaient notre âge, plus de 30 ans, venaient aussi de la ville, et qu’elle s’est trouvée des points communs avec eux en comparaison avec les gens du village qui avaient leurs enfants à l’école, plus jeunes ( dans la vingtaine). Tout le monde était extrêmement gentil avec nous, mais pas au point de nouer des amitiés, comme avec les S ( Sarah et Simon) .
Quand je suis venu m’installer définitivement, elle me les a présentés, et je n’ai pu qu’approuver son choix : ils étaient effectivement vraiment excellents, drôles sympas, accueillants, partageant nos idées, la passion de Gé pour le chardonnay, etc.
Je suis donc passé de citadin branchouille et fringant à papa de village qui commençait à prendre du ventre ( intolérable ! ) . Simon m’a même chambré là dessus, puis voyant que ça m’avait un peu piqué s’est excusé et m’a proposé de faire du sport ensemble. Il faut dire que je jalousais un peu le physique de Simon. Méditerranéen, ultra viril, issu d’une famille de juifs séfarades.
Il avait un corps de rugbyman, massif, des jambes comme des troncs d’arbres. Le col de ses t shirts laissaient apparaître une forêt de poils . Il avait une belle barbe brune très fournie, et de magnifiques cheveux brun bouclés organisés en un savant désordre.
Un sourire blanc éclatant qui contrastait avec sa peau sombre de juif. Je m’étais surpris quelques fois à remarquer son énorme paquet.
C’était donc décidé, on irait courir ensemble, tous les week-ends, pour se remettre en forme ( en fait ME remettre en forme, lui n’ayant jamais arrêté le sport) , et c’est comme ça qu’on est vraiment devenus amis lui et moi, peut-être même plus proches que l’étaient Gé et Sarah.
On s’est énormément confié, on s’est mis à courir 3 à 4 fois par semaine ( se faisant au passage des corps de malades, j’étais mieux gaulé que quand j’avais 20 ans !) .
Je lui ai confié la spécificité de notre relation avec Géraldine, sans sexe et il m’a avoué que Sarah et lui baisaient très rarement eux aussi, sans qu’elle l’autorise à se défouler ailleurs pour autant , le pauvre, que même s’il avait fait quelques entorses ( très rares) au contrat, il était quand même plutôt frustré sexuellement, et que le sport avec moi était une bénédiction, puisqu’il lui permettait du coup d’évacuer cette frustration.
On a décidé de s’inscrire à la boxe.
Je pense que Simon avait besoin de taper pour justement évacuer encore mieux. Étant les deux plus vieux du club, et totalement débutants, on s’est naturellement retrouvés partenaires. Loin de nous éloigner (on se mettait quand même sur la tronche deux fois par semaine) , ce sport de contact nous a encore rapprochés. On était entourés de petits lascars de 20 piges qui se la racontaient quand même pas mal, persuadés qu’ils étaient au summum de la virilité alors qu’ils s’épilaient quasiment tous le torse et étaient gaulés comme des arbalètes. Nous on étaient de vrais hommes. Poilus, bruns tous les deux, barbus, musclés comme il faut avec juste ce qu’il faut de gras autour pour pas avoir l’air de blaireaux de magazines.
Les rares fois où lui ou moi combattions quelqu’un d’autre, j’étais disons agacé. Je n’aimais pas du tout voir quelqu’un d’autre frapper Simon ( ou essayer plutôt, parce qu’on devenait bons). Je commençais à ressentir un sentiment de possessivité envers lui. Une envie qu’il ne « s’amuse » qu’avec moi. Comme un gamin qui veut pas prêter son meilleur copain.
Il m’arrivait de sentir l’odeur de sa sueur sur moi après ce sport de contact limite intime, et même si j’en rigolais en lui disant à quel point il sentait le taureau, j’avoue que j’ai été quelques fois troublé par ses contacts rapprochés. Il faut dire que le flot de mes maîtresses s’était complètement tari depuis que j’avais renoncé à la vie citadine, et que mes seules activités sexuelles étaient maintenant solitaires depuis des mois, ce qui me frustrait autant que Simon.
Je me suis mis à consommer pas mal de porno, recherchant en particulier des vidéos où des mecs se faisaient enculer par leur nana, et ça m’a petit à petit mené à des vidéos bisexuelles, puis occasionnellement à des mecs seuls qui se faisaient plaisir au trou avec des jouets.
Mon désir évoluait, et les contacts répétés avec le corps en sueur de Simon me troublaient de plus en plus. Il faut dire qu’il était extrêmement tactile; il n’était pas rare qu’il me prenne dans ses bras après nos petits combats ou cherche à me chatouiller en jouant après les footings. Son odeur de mâle commençait à vraiment m’entêter. Loin de me dégoûter, elle me donnait des demis moles que je calmais à coup de douches froides en évitant de regarder son magnifique corps brun et poilu.
On s’est mis à parler de plus en plus de cul. D’abord on s’est raconté nos aventures extra conjugales, et là je voyais que le short de boxe de mon pote était bien gonflé, autant que le mien. Puis on a commencé à se raconter nos fantasmes, et un jour, je lui ai avoué à quel point j’aimais me faire travailler le trou par mes conquêtes.
Je l’ai tout de suite regretté, honteux de m’être autant livré. C’était trop intime. Ça touchait à ma virilité, et j’ai eu très peur de perdre cette amitié, virile , justement.
Simon m’a surpris. Il a très bien encaissé cette révélation,et a vu de suite ma gêne. Il m’a réconforté, rassuré. Il m’a dit que ça ne faisait pas du tout de moi un homme moindre. Qu’il comprenait très bien la fluidité des fantasmes.
Il m’a même pris dans ses bras, encore une fois, et nos queues à moitié bandées dans nos shorts se sont frôlées, peut-être plus longtemps que les fois précédentes.
À partir de là il n’y avait plus de tabous entre nous. On avait des discussions très philosophiques sur la sexualité des hommes, et les interdits que l’on s’imposait, ou que la société nous imposait. Simon s’intéressait de plus en plus aux pratiques anales, mais il se demandait si c’était propre. Je lui expliquai qu’il suffisait de se préparer un minimum, pour éviter ce soucis, et je vis ses yeux s’éclairer.
Un jour qu’on courait sur la plage tous les deux, un putain d’orage subit nous est tombé sur la tronche ( le mois d’août dans le sud : une seconde il fait un temps radieux puis tu te prends une saucée de dingue pendant un quart d’heure) . On était à deux pas d’un abris alors on s’y est réfugiés. On était trempés tous les deux. Torse-poils en short de boxe.
On s’est mis à parler de tout et de rien, puis à parler de cul. On en parlait de plus en plus depuis quelques temps. Simon m’avoua qu’il avait commencé à se travailler le trou en se branlant et que ça avait été une révélation pour lui. À ce stade je bandais comme un Turk, et aucune douche froide n’aurait pu me calmer. Simon se caressait l’énorme bosse de son short, machinalement. Il m’a alors regardé , puis ses yeux sont descendus sur la bosse de mon short. Il s’est levé, s’est approché de moi, sans rien dire, a placé sa queue contre la mienne, ses mains sur mon cul pour pas que je m’échappe ( comme si j’en avais envie ! ) et m’a roulé une pelle, hésitante. Il m’a regardé, interrogatif, comme pour avoir ma permission de continuer. En réponse je lui ai dévoré la bouche. Nos bites ultra dures combattaient à travers nos shorts de boxe satinés et mouillés.
« J’en crève d’envie » me dit il, « j’en peux plus tellement j’ai envie de toi Jef ».
« Moi aussi. Chaque combat, j’hésite entre te frapper ou t’embrasser, tu me rends taré frérot »
Simon s’est agenouillé, et il a commencé à mordiller ma queue à travers le short. Il la reniflait comme s’il n’avait jamais rien senti d’aussi bon.
« Tu sens le mec Jef, ça me fait trop bander »
Puis il a extirpé ma bite douloureuse d’excitation et l’a prise dans sa bouche. À cet instant j’ai su que c’était là la place de ma teub : dans cette bouche . Voir ce mec, si viril en train de me pomper, en transe, à genoux devant moi, soumis à moi, ses cheveux mouillés par la pluie et nos sueurs mélangées, ça a été trop pour moi. Ma bite est sortie par inadvertance de sa bouche, et pendant qu’il me sniffait les couilles je n’ai plus pu me retenir , comme quand j’étais ado, et je lui ai balancé la sauce sur le visage. Son épaisse barbe noire était pleine de traînées blanches épaisses gluantes. Je n’avais pas pu me contrôler, et je balbutiais un « oh putain désolé frérot » . Simon n’était pas choqué, loin de là. Il se rejetta sur ma bite pour avaler le sperme qui continuait d’en sortir sans sembler vouloir se tarir.
Avec mes nanas, j’avais toujours été un peu dégoûté après avoir joui, mais pas cette fois ci. Pas avec lui.
Je voulais qu’il le sache , alors je me suis mis à genoux aussi et je lui ai léché le visage, emmenant mon foutre de sa barbe à sa bouche, partageant ce sperme. On a roulé par terre, sur le sol en béton en se roulant des pelles. La queue de Simon était toujours emprisonnée dans son short, tendu à craquer, alors je l’ai libérée. Je suis descendu faire connaissance. Elle était belle, pas extrêmement longue mais très épaisse, circoncise, brune. Elle sentait l’homme. Comme lui. Elle sentait la bite après le sport, et ça m’a refait bander en une seconde, moi qui mettais de plus en plus de temps à remettre le couvert depuis que je m’étais un peu rangé.
J’ai commencé à lécher son gland, timidement, en levant les yeux vers lui. Il a souris, extatiquement , attrapé mon crâne et a enfoncé sa queue dans ma bouche, jusqu’à la garde, ce qui m’a presque étouffé.
« Pardon mon Jef, pardon, moi aussi je me laisse aller à l’excitation on dirait » me dit il en venant m’embrasser.
« J’aimerais que tu me bouffes le trou, j’arrête pas d’y penser depuis qu’on en a parlé » me dit il.
Je suis redescendu vers sa bite, que j’ai léchouillé au passage, puis je lui ai écarté ses jambes massives et poilues pour avoir une vue sublime sur ce territoire vierge. C’était totalement différent de ce que j’avais connu jusque là. Je n’avais baisé que des femmes, extrêmement fines et féminines. Tout en Simon transpirait l’inverse, la masculinité la plus absolue. Et ça me faisait bander tellement dur, particulièrement son odeur de cul en sueur.
« Je suis propre, tu peux y aller » me dit il avec un clin d’œil.
Il ne savait pas que je profitais simplement du spectacle, visuel et olfactif, de son intimité en sueur, offerte et pleine de phéromones mâles.
Je plongeai alors vers l’infini et commençais à lui dévorer le trou du cul, imprégnant ma barbe de ses mâles odeurs. J’étais en transe, possédé par le désir de le pénétrer le plus loin possible avec ma langue, obsédé par son goût sublime, tellement différent d’une chatte. La sueur et l’excitation d’un homme dans ma bouche.
Il se donnait, gémissait, sans retenue, sans aucune pudeur. J’aurais pu l’enculer à ce moment là, j’en crevais d’envie, de le posséder entièrement, et ma bite était prête, indéniablement. Mais une autre idée s’était imposée à moi. Je l’avais vu soumis à mes genoux, couvert de foutre et vulnérable, je le voulais maintenant fort et dominant. Je quittais alors son trou pour me mettre à quatre pattes et crachais dans ma main pour me badigeonner l’anus.
« Prends moi Simon. J’ai envie que tu me dépucelles la chatte. Je veux être à toi » . Il avait l’air de ne pas y croire. Il plaça sa bite tellement raide à l’entrée de mon trou et me dit « tu es sûr ? » « oui, moi aussi je suis propre » lui dis-je en un clin d’œil.
Il poussa alors et m’envahît…
Je le regardais et savourais l’extase sur son visage. On connaît tous cette expression presque surprise qu’a un mec quand il enfonce pour la première fois sa bite dans le cul d’un autre homme, émerveillé par la douceur du trou.
Jamais je n’avais eu aussi mal, mais jamais je n’avais autant eu envie de quelqu’un. Je me sentais totalement possédé, offert à l’homme, et ce désir fut plus fort que la douleur.
« Ça va mon Jef ? » me demanda-t-il timidement, il n’osait pas avancer plus loin, à moitié enfoncé en moi.
« Ça va aller, continue, mais fais des pauses pour me laisser m’habituer stp »
« Tout ce que tu veux mon beau » ( mon beau ????) c’est délicieux d’être dans ta chatte. »
Quand il fut enfin au fond, je pris quelques secondes, le souffle coupé par son diamètre énorme, puis je lui dis « vas y mon beau, baise moi. Baise moi comme une femelle. Marque ton territoire, je suis à toi. »
« Oh putain…. Je vais pas tenir longtemps… et encore moins si tu me dis des saloperies….. je suis tellement excité, j’ai peur de jouir à peine je bouge »
« Te retiens pas, jouis si tu veux mais reste dans moi c’est délicieux maintenant. Fourre bien ta queue, branle toi dans mon trou du cul. Montre moi qui c’est le mec ! »
Il commença à taper dans mon cul. Très rapidement il se mit à grogner comme une bête blessée. « Je vais tout lâcher mon beau, je vais te féconder »
Je sentis plusieurs giclées épaisses me tapisser l’intérieur pendant que Simon continuait de me pilonner, comme s’il voulait faire entrer son sperme au plus profond de moi. « Je te remplis ma salope ! Prends tout ! Je t’en mets plein la chatte bébé….. » J’avais joui moi aussi en me touchant à peine le chibre, pris par l’excitation de cette sodomie bestiale. J’avoue que je ne m’en étais pas vraiment rendu compte tellement les sensations de mon cul avaient été fortes.
Je m’allongeais tant bien que mal dans ma flaque de sperme sur le sol, et Simon s’écrasa sur moi, décidé apparemment à patauger dans son propre jus dans mon trou. C’était inconfortable, et je lui dis.
Il se retira en gémissant, parce que mon trou le serrait, presque malgré moi , comme si mon cul et sa bite n’avaient aucune envie de se séparer. Je me retournai sur le dos et Simon vint se caler entre mes cuisses, bite contre bite. On se regardait intensément, sans rien dire. Heureux. Comme après un devoir accompli.
Ce fut Simon qui parla en premier, me lâchant un « alors heureux » qui nous fit éclater de rire tellement il était cliché. Je lui répondis peu après, plus sérieusement. « Oui Simon. Je suis heureux. Je crois que je n’avais jamais oser m’avouer que je crevais d’envie de baiser avec un homme. Et particulièrement avec toi. Depuis qu’on se connaît, je te jure, j’ai plus envie de baiser des secrétaires qui gloussent. Le seul truc auxquel je pense quand je me branle c’est toi, ton corps, ta sueur après le sport, ton odeur. J’imagine le goût de ta bite depuis des mois, sans oser même me l’avouer. »
« Moi je me suis acheté un gode. Et plusieurs fois je me suis branlé le cul avec en imaginant que c’était toi qui me prenais. Je savais qu’on finirait par s’enculer toi et moi. Ça couve depuis trop longtemps. Tu m’as dit que t’y pensais à la boxe, c’est pareil pour moi. C’est pornographique de se battre contre toi, ton putain de corps en sueur tellement viril. Ton short qui serre ta bite et ton magnifique cul. Quand tu te bats contre un autre j’ai l’impression de mater un film de cul. Ça m’excite de te voir gagner, te voir dominer. Et en même temps j’ai envie de défoncer l’autre parce que j’aime pas qu’on te touche. »
Cette phrase faisait tellement écho à mes sentiments profonds que j’en fus extrêmement touché. Je lui pris le menton pour lui rouler une pelle langoureuse. Nos bites avaient repris de la vigueur l’une contre l’autre, mais j’avais encore envie de le câliner, de lui parler. J’avais besoin de me confier à mon ami pour comprendre ce qu’il m’arrivait.
« Simon, j’avais promis à Gé de ne jamais m’attacher en baisant, mais là, je sais bien que c’est beaucoup plus que du cul. »
« C’est pareil pour moi tu sais. J’aime Sarah, et je veux pas la quitter. Mais je pourrai jamais plus me passer de baiser avec toi, j’en suis complètement sûr. J’y pense depuis trop longtemps. J’ai jamais eu de pote aussi proche que toi, j’ai grandi avec deux sœurs, juives de surcroît, donc l’amitié virile c’était pas au programme. Moi je t’avoue que j’avais déjà fantasmé sur des hommes, de temps en temps. Je pense que j’ai toujours été un peu bi maintenant que j’y pense. Mais là, putain c’est tellement fort ! T’es mon pote, quasiment un frère, et en même temps chaque fois que je rentre du sport avec toi je me branle comme un ado parce que tu me fais triquer comme un dingue. J’ai eu très vite envie de te toucher, tout le temps. Pourquoi tu crois qu’on fait de la boxe ? Il fallait que je te touche! À défaut de t’enfiler, je te cognais, au moins j’étais contre toi. Mais je veux plus y aller maintenant. Je préfère ta bite que tes poings, elle me fait plus de bien. »
Il était descendu sur mon chibre poisseux tendu à mourrir et m’avait pris en bouche, délicatement. Il avait glissé un main entre mes jambes, et caressait mon trou gluant de foutre. Il commença à me pomper vigoureusement tout en me doigtant la prostate.
« Putain que c’est bon ! Sérieux rien qu’à te regarder me pomper le chibre je pourrais cracher sur ta face. »
« Va falloir te contrôler un peu papi ( Simon me chambrait souvent sur mon âge parce qu’il avait 6 mois de moins que moi et que j’allais bientôt avoir 40 ans) parce que j’ai d’autres projets là ….. »
Il vint s’assoir sur ma bite frottant son magnifique cul poilu sur elle. Il mit sa langue dans ma bouche et me dit entre deux pelles « c’est mon tour de faire la femme je pense… t’as envie d’enculer mon beau ? »
« J’en meurs d’envie. Je vais te piner, ouvrir ta petite chatte vierge. »
Il se lubrifia un peu avec de la salive et plaça ma bite sur son entrée. Quand mon gland ( plutôt volumineux, j’ai oublié de vous préciser que je suis assez gâté par la nature) fut avalé il grimaça et ses yeux se révulsèrent. J’eus peur de lui faire mal. « Ça va bébé? » lui demandais je « oh oui ça va, ta bite est un peu grosse, mais ça va, c’est encore meilleurs qu’un gode. C’est la vraie, la queue dont je rêvais ! » il s’enfonça jusqu’au bout, s’empala sur mon chibre en un seul coup en criant de plaisir. Il prît quelques secondes pour s’habituer.
« Ça va bébé ? Je veux pas te faire mal. » lui dis je.
« C’est un putain de délice. Heureusement que je m’entraîne au gode parce que vraiment t’es énorme mon beau. Tu m’ouvres à fond » .
Effectivement, il était ouvert. Je sentais sa prostate battre contre ma queue et ses parois soyeuses me caresser le gland. C’était divin, 1000 fois mieux qu’une chatte de femme. J’avais passé un cap, je baisais un homme, et ça m’excitait au maximum. Il était à califourchon sur ma queue, appuyé sur mon torse, je sentais tout son poids, ses 85 kilos de muscles peser sur moi et c’était nouveau, délicieux. Il me regardait avec un sourire extatique, des yeux de possédé.
« Penche toi vers l’arrière » lui dis je.
Il prît appui sur mes cuisses, d’une main pour essayer de branler sa bite raide comme du béton.
« Laisse ça, je m’en occupe » .
Il mit alors ses deux mains sur mes genoux pour s’aider dans ses mouvements et soulager un peu le travail de ses cuisses. La vue était divine. Simon, le juif sublime, cuisses tendues par l’effort, torse poilu parfait, la tête en arrière, son chibre massif qui se secouait au fil de ses allers retours sur le mien, et ma bite que je voyais disparaître dans la forêt de son cul. Une merveille. Je ne pourrais plus jamais m’en passer.
« Tu m’encules Jef, tu m’encules » répétait il à l’infini chaque fois qu’il s’écroulait sur mon chibre, le faisant disparaître, comme pour réaliser que son fantasme devenait bien réalité.
« Oui je te baise. Comme tu m’as baisé tout à l’heure. On est des pédés maintenant. On va se piner le trou comme des pédés, on va s’enculer souvent, comme des bons pédés. » je répétais ce mot moi aussi, excité par cette ultime insulte.
« Pédé » et « tu m’encules » se répondaient à l’infini, pendant qu’il branlait ma grosse bite avec son trou et moi la sienne avec ma main. Au bout d’une dizaine de minutes, on était en sueur, totalement, sa queue se contracta, et je reçus une puissante giclée dans la gueule.
« vas y bébé arrose ma gueule de foutre ! » mais seule une autre giclée atteint mon visage, les suivantes s’écrasant sur mon torse poilu. Cette vision pornographique eut raison de mon self contrôle, et je me lâchais à mon tour dans son cul qui me serrait le chibre.
« je te féconde pédé ! » lui criais je en le remplissant.
Teddy
gnacracfrac@gmail.com
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