Épisode précédent
Salut, BONNE CHAUDE ET HEUREUSE ANNEE PLEINE DE BONS MOMENTS !
Voici la suite de mon histoire : DRAGUE PAR LE MARI DE MA COLLEGUE
Nous voici lundi, suite de la précédente histoire de Marc, charmant chaud mari de ma collègue.
Quelques jours après sa première pipe avec moi (mais il avait déjà bien tété par ailleurs le cochon), Marc reprend contact pour demander un RDV, afin d'avoir mes conseils sur sa recherche d'emploi.
RDV est fixé lundi, un lundi de décembre. Autant la dernière fois il y avait certaines réserves, autant cette fois ci nous allions faire le point clairement sur la situation. Il est donc prévu de se retrouver dans un autre lieu de la boîte, un entrepôt tranquille qui va bientôt fermer.
Arrivé le premier pour ouvrir, je prends le temps de m'installer et de m'assoir dans l'axe de la porte d'entrée pour voir Marc arriver. Il ne tarde pas à venir, je reconnais sa silhouette et sa démarche un peu cow boy avec ses bonnes cuisses. Mais son pas est sec, court, je le devine stressé.
On se salue, et là je décide de profiter de la gène. Pas un mot de Q ni une allusion, tout sur le travail et sa recherche. Il est de plus en plus mal à l'aise, c'est visible. Il s'agite, a du mal à tenir sur sa chaise et semble peu intéressé par la conversation qui le concerne pourtant.
Les minutes passent, on arrive au 1/4 d'heure. Et là je savoure : je mène le jeu contrairement au démarrage de la précédente et première fois. Je suis bien dans mon rôle de mâle, macho, de boss. Je porte un pantalon qui met en évidence mon paquet, qui reste mou et que Marc reluque.
Je le sens bien affamé, en manque de queue et impatient de se jeter sur ma tige. Je devine qu'il est aussi mal à l'aise car pour y accéder il va devoir me laisser accès à sa bouche, ce qui le répugne.
Avec la bite, le gland et les boules il est à l'aise, gourmand et endurant. Par contre, le sensuel, les préliminaires et les baisers il ne supporte pas entre mecs, se considérant non gay. Il se trompe, car il est plus gay que moi. Et je sens que dans le temps il va céder et s'offrir intégralement.
Je décide alors de brutalement changer de style. Alors que nous parlons CV, recherche, job, et que je le vouvoie :
- Alors Marc, tu n'y es pas, tu ne penses qu'à ma queue et oublie pourquoi tu es là
- Je suis là pour ça
- Bonne réponse, tu es déjà à moi
- Et je veux tout de toi, en entier, et dans mon trou
- Passe dans le bureau, dépêche
Pas besoin de répéter, il s'exécute avec joie. J'en profite pour palper son bon fessier de bi, ferme et bien rempli.
Comme la fois précédente, je le plaque contre le mur, une main sur sa nuque et l'autre entourant son bassin. Je saisi sa bouche, malgré son mécontentement, pour tout de suite lui montrer qui mène la danse même s'il a pu un moment jouer en leader en m'allumant.
Très vite, une pression sur ses épaules pour qu'il s'accroupisse et entame son bon labeur de bi affamé.
Ca ne loupe pas, il a déjà déballé ma tige mole et dense, qu'il aspire comme un affamé. Il s'applique, besogneux, en bon expert de la bite. Honnêtement, mon côté mâle viril méditerranéen, sportif aux cheveux courts, brun poilu me permet de satisfaire mes désirs et pulsions facilement. La quarantaine est vraiment un bon cap !
J'ai donc eu la chance de pouvoir comparer des bouches, des Q, des mecs et surtout des sensations.
Marc n'est pas le plus chaleureux. Le feeling n'est pas sa rubrique (je vais devoir l'améliorer et lui faire assumer son goût pour les mecs, au delà du paquet). Il sait être chienne, salope bien que la relation se limite au pur Q. Mais il sait se donner, et je sens qu'un jeu débute.
A moi de l'encourager :
- Tu aimes le boss, le mâle dominant ?
- Oui, je suis une salope
- Et les mecs plus agés
- Oui, ils savent y faire et je m'offre mieux
- Me servir, te servir de ma tige, me satisfaire
- Oui, te fairer gicler, t'avoir obtenu me comble
- Alors comble moi, calme ton rythme. Prends le temps de monter sur ma tige. Utilise bien ta langue autour de mon gland
Incroyable ! Il apprécie mes conseils, s'exécute et devient totalement à moi, chienne libérée. Ne voyez là aucune vulgarité, mais parfois, des mecs bien mecs, macho hétéro, sont encore plus féminins une fois que l'on révèle leur penchant pour plus mâle qu'eux.
- Donne moi ta queue, je la veux, profond. Encule moi, je suis à toi
Là encore, s'il la veut, il va devoir attendre et mériter.
- Non, tu n'es pas encore bien ouvert, continue à faire gonfler ma tige, pense à mes boules, donne toi, exprime toi. Tout ce que tu gobes sera dans ton trou, alors applique toi
Et le voilà qui s'applique encore mieux, et qu'il commence à couiner. J'interromps son travail pour enfiler une capote (j'avais prévu mon coup).
Je le fais basculer sur le bureau, et sans gel, je crache sur sa large raie. Il adore et remue son bassin, me rappelant de bons souvenirs d'hétéro !
Une fessée, délicate mais brève, il bouge encore plus !!
L'heure est venue : faire passer mon gland. Il est chaud, mais pas totalement ouvert. Je joue avec ma tige sur sa raie, son orifice. Je récupère ma salive pour bien humecter sa rondelle qui frémit. Quel bon moment !
Il apprécie, et joue bien de son joli regard bleu intense, et me fais quasiment des yeux de biche.
C'est le moment. Je rentre doucement, faute de lubrifiant. Et l'accueil est excellent. Chaud, doux. Il s'est bien préparé, il est propre. Un expert passif !
J'augmente la cadence, en le caressant et parfois en le fessant. Et il apprécie le coquin. Bien endurant, il est même meilleur que nombre de passifs (ou annoncés actifs bien retournés) que j'ai pu honorer.
Il sait le faire savoir, en remuant du bassin, couinant, avec compliments :
- Ta queue est bonne comme je le sentais en te chauffant puis en te suçant... Ton gland !! Oh comme je le sens. J'adore
- C'est bien, et meilleur encore en étant le boss
- Oui ! Tout ce que je voulais ! Je suis à toi, fais de moi ce que tu veux
Brutalement, je plaque ma main sur sa bouche en le ramenant vers moi car j'ai entendu du bruit. Effectivement, mon assistante a su trouver un coursier zélé pour me faire parvenir le dossier attendu. Paniqué, il ne sait quoi faire.
- Reste là, pas un bruit, respire doucement.
J'enlève la capote, et me rhabille en express. Prévoyant je l'ai introduit en gardant pantalon et chaussures.
J'ouvre la porte. Le mec me tend le pli et repart. Aucun risque (et aucune tentation tant il est moche) mais je suis tout mou.
Marc, par contre est bien chaud. Comme s'il n'avait rien eu. Il malaxe mon entrejambe et m'allume de son regard chaud dès que je rentre dans le bureau. Retour à la case départ ! Je me laisse servir. Ma tige reprend vite sa forme. Une nouvelle capote et on enchaine une nouvelle position. Chaud, mais manquant de souplesse, je dois calmer mes envies. J'en profite pour l'assoir sur le fauteuil, les jambes sur mes épaules, mon torse poilu viril bien droit, et en avant.
Il couine, je rentre sans hésiter. Et il est encore plus comblé que la première fois. Aparté : effectivement, le coup suivant est souvent meilleur...
Je suis en pleine forme, plein de vigueur et ravi de ce nouvel amant particulier. Bi plus homo qu'un homo, sans chaleur sensuelle, sans baiser, sans trouble, mais avec une telle passion de la tige, du mâle, de se faire prendre en mains et dominer. Je continue, sans gène. Mes scrupules sont passés, je suis en lui comme si je l'avais toujours baisé. Et il se donne à fond.
Le temps passe, bon, dur, énergique. Epuisant. Mais mon sport, ma passion pour mon sport d'eau et de glisse qui demande une bonne condition de fond, me permet de tenir. Ca devient un jeu : tenir, durer, bien le prendre, en variant les angles, les positions et l'intensité.
Marc est surpris :
- Tu ne viens pas ? Jamais on ne m'a ainsi pris. Aussi intense et long !!
- Tu as mal, peur ?
- Oh non ! Je savais que tu serais un bon coup, mais pas à ce point ! Je me suis déjà bien fait baisé, mais là c'est top
Je n'ai pas regardé l'heure, mais par sécurité, je préfère changer de capote. Et c'est reparti. En pleine forme.
Marc est à la fois surpris et ravi, et se donne de mieux en mieux. Une vrai complicité de Q se créée. Il tend parfois une main pour me caresser (énorme... !).
Content de ma prestation, même... Fier de l'avoir ainsi honoré et montré que j'avais des ressources qu'il n'attendait pas. Je réfléchis sur la fin. Jouir ou ne pas jouir ?
Calcul simple : première fois la bouche, deuxième fois une saillie vigoureuse. Décision : stop. En laisser pour une prochaine fois.
- C'est bon, je pense que tu commences à avoir mal et tu seras calmé pour quelques heures.
- Oui, tu m'as explosé, je ne m'y attendais pas... Mais tu ne jouis pas
- Non, pas envie. Il faudra y mettre plus du tien.
- Mais je veux te voir jouir
- Je ne suis pas un jouet, ni une tige humaine, et toi pas seulement deux trous
- Mais...
- Mais voilà.
Sur ce, je sors de son trou, encore tout bandé. J'enlève la capote. Je lui demande de ramasser et ranger en lui tendant un sac plastique. Il s'exécute en disant qu'il va tout jeter (bon élève !). Et je pars laver mon outil aux WC
Il me rejoins, perplexe, ne sachant comment m'aborder.
- Tu sais, j'aime vraiment faire venir.
- Je sais, mais je n'avais pas envie pour une deuxième fois
- Justement, ça fait 2 fois et tu n'as pas joui
- Ca t'intéresse autant ?
- Oui, me donner et faire jouir, comme une pute.
- Justement, trop facile. Donc on en laisse pour une prochaine
- Et tu sais, j'aimerais...
- Que je te partage : oui. Avec un mec. Et avec un femme
- OUI ! Quand tu veux.
- Sélectif, beau, bien fait. Et sensuel. Tu vas devoir t'améliorer. Je ne suis pas un gode chaud
- Mais quel gode !
- Justement Marc...
- Mon régulier, je le suce et il jouit.
- Ah, ça y est tu m'en parles !
- Oui, il est plus agé, comme toi, il a une bite longue, un peu plus longue que la tienne, moins large mais
- Il ne s'en sert pas de la même manière. Il attend tes lèvres et ton trou
- Oui
- Alors penses y
Et rappelle à l'occasion
Je sens Marc en pleine réflexion. Epuise, le Q encore sensible, content de ce bon long moment mais en voulant plus et surtout pouvoir me faire jouir. Mais hésitant, effrayé.
Habituellement, il offre sa bouche et son Q et ça suffit. Jamais embrasser, ressentir, vibrer d'une caresse ne l'intéresse. Et pourtant...
Et pourtant, nous nous reverrons
Mâle cho
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